Fiction Érotique : Madame La Mairesse

Fiction érotique 7
Le jardinier et Mme la Mairesse.

- Mr ? Quel est votre programme de la journée ?
- J’ ai prévu de tailler les tuyas de derrière , de tondre , et d’entretenir la rue du stade puis de commencer le stade pour que ce soit fait pour Vendredi.
- Très bien, tout ce passe bien au sein de l’équipe ?
- Oui , bien sûr , deux collègues sont en vacances et le petit jeune , s’occupe de l’arrosage.
- Vous n’avez pas trop chaud ?
- Le matin , la chaleur est supportable mais l’après-midi quand c’ est trop dur , je m’ arrête quelques minutes pour boire et je dis au jeune de boire beaucoup.
- Oui , buvez , d’ailleurs ,tenez ,prenez cette clef, allez dans le local des adjoints , à côté des toilettes et prenez trois ou quatre pacs d’eau , mettez-les dans votre réfrigérateur . Prenez du coca aussi.
- Merci Madame, c’est sympa…
- De rien !
- Je vous ramène la clef de suite.
- D’accord , à toute suite.

Comme le lui avait ordonné Mme La Mairesse, Yundel s’approvisionna en eau . Il sortit du secrétariat ,descendit le première étage du bâtiment , après le couloir de droite qui menait aux toilettes , puis au local des adjoints municipaux dans lequel étaient stockés des biscuits , de l’ alcool , des sodas, de l’eau , des chaises , tables et cafetières juchés dans le noir, les volets fermés à fond dans l’attente d’etre relevé à la rentrée quand tout le personnel politique municipal serait frais et dispo , de retour de leur vacances.
La porte qui achevait le couloir donnait sur le jardin de la Mairie , encloisonné d’ une très grande et haute haie de laurier . Le gazon qui n’ allait pas tarder à sécher sous l’ air torride était coupé de vendredi dernier . Les deux tuyas au centre des deux parcelles vertes s’apprêtaient de passer entre les mains expérimentées de Yundel qui taillait en été le matin pour éviter les trop forts coups de chaleur que Juillet lui sortait des fagots.

Les touffes des conifères paillaient dans leur patience.
L’allée centrale conduisait aux deux parcelles engazonnées suivantes , dans lesquelles étaient plantés des petits buis et des rosiers . Ensuite , au fond, deux chênes multi centenaires , un tilleul et un érable sublime garnissaient le bout sauvage emmuré de vieilles pierres vertes de mousse. Un passage , dont la veille porte en bois vermoulue ne fermait plus permettait l’ accès à la ruelle par lequel quelques jeunes âmes trainaient . On accédait au centre ville , où il y avait un supermarché , l’église , la poste et un tabac-presse. De l’ autre sens on arrive rue Pres -Bonhomme , du moins sur ses jardins.
La petite camionnette communale garée sur le parking soutenait le dernier voyage du technicien paysagers ,pour ne pas dire agent d’entretien des espaces verts, qui choisit deux bouteilles de Coca et deux bouteilles de Sprite en plus des autres pacs d’eau . Sans vouloir r de la gentillesse de Mme La Mairesse , il se servait sans acquis de conscience , en se certifiant du fait , comme s’il avait de la pitié, que ces personnes là ne raclaient pas les fonds de tiroirs à la recherche de quelques derniers sous.
Il offrira un bon coup au jeune qui le faisait rire avec sa tête d’ assoiffé qui bave devant un verre de soda bien sucré et frais . Le jeune de 26ans, Simon, faisait son boulot correctement . Il bossait là dans la petite ville de Tannat avec l’équipe depuis décembre et espérait sa reconduction .Le ptit gars vivait comme un garçon de son époque entre trime et désir d’intégration selon le bon vouloir de la conjoncture , despotique conjoncture.
Yundel franchit les deux chênes énormes de l’entrée , posa les bouteilles de soda , ferma les portières puis rapporta les clefs . Mme la mairesse avait fermé son bureau pour sa tranquillité et la secrétaire , Steph, adorable ,lui souhaita bon courage, plongée dans ses affaires.
A 8h30, Il était en chemin des ateliers pour y déposer les ravitaillements et y échanger les outils nécessaires à son programme du jour.
Le jeune Simon était dans sa besogne, une rue plus loin , dans le début de son trajet , avec le mini- tracteur auquel on accrochait la citerne et des arrosoirs.
Yundel pris ce dont il avait besoin et ,dans son petit nuage , songeait à Mme la mairesse, Mme Deveine Claire de son joile nom , qui avait tout pour lui plaire , un sourire merveilleux , des yeux marrons pétillants , doux et autoritaires , un visage ouverts et sociable . Les cheveux coupés au carrée amusaient ses épaule minces quand elle ne les avait pas encore noués. Toujours en jupe , elle commandait sa petite ville d’un pas minutieux et toujours anticipé , avec confiance, sur ces jambes solides assez fines pour etre chatte . Ses fesses rondes, n’ étaient pas maigres , un peu grasse par le manque de gym mais tenaient serrées dans une taille correcte. Sa petite poitrine qu’elle habillait parfaitement avec le reste présentait la personne bien dans sa tête et dans sa peau .Elle regorgeait de quoi nourrir les fantasmes d’un grand nombre de type. D’ une humeur toujours égale elle était appréciée de l‘ équipe d’ouvriers qui jubilaient de la voir quand ils en avaient la chance . Même les hommes mariés ne se refusaient pas une galéjade parfois grossière.
Le manque de respect n’intéressait pas Yundel qui en avait assez de l’ obscénité courante. Les dictons vulgaires , les insultes , il s’ en écartait et estimait bénéficier de la grâce féminine avec un état d’esprit plus élaboré tel que celui de la décence , de la courtoisie ou de la provocation polie et bien placée . Il avait la conviction que s’était plus excitant.
C’est ainsi que, sans le dire à quiconque, il n’espérait que taper dans l’œil de Claire après avoir tout tenter pour Steph, dont les adorables yeux bleues avaient construits la muraille de l’interdit.
Vers les neuf heures , il débuta la taille des tuyas que l’on coiffa depuis leur plantation , en boule ronde et parfaite. Le ciel bleue sans nuage présageait d’ une journée très chaude .
Avant d’ avoir terminé le ramassage des coupes . Claire l’invita à prendre une pause pour boire un café. C’est elle qui vint apporter une tasse pour lui , avec une tasse pour elle dans l’autre main.
Elle portait un maillot blanc qu’ elle avait déboutonné. Les manches courtes laissaient jouer deux bras sans muscle mais délicats. Sa jupe noire maintenait son cul saillant, sur ses talons moyens , en cuir . Ses orteils vernis aguichaient et soudoyaient beaucoup d’affection.
-Tout est calme après le 14 juillet, dit-elle d’un air détaché, vous ne vous sentait pas trop seul ?
En effet on était le 17 et les locaux administratifs étaient déserts.
-Oui , c’est vrai , répondit- il.
-Vous partez en vacances cet été ?
-J’ai pris une semaine à cheval sur Aout-Septembre , le reste , en hiver.
- ah pourquoi ? Demanda- t- elle , curieuse et intentionnée.
- comme je suis technicien jardinier, je veux dire paysager , le boulot est moindre en hiver donc c’est assez pratique , pour etre présent l’été , quand il y a beaucoup de travail , répondit il, ayant peine à s’expliquer .
- c’ est original.
Il sentait les dessous de bras de Claire qui visiblement pétait la forme.
Il remarqua un peu d’ennuis dans les yeux de la mairesse puis tenta :
- Ce n’est pas trop fatiguant votre travail ?
- Oh non, les réunions de fin de journée sont plus légères , en journée on profite d’ un rythme au ralentit , c’ est pas si mal , on se repose pour le reste de l’année , en tout cas moi je vois les choses comme ça , c’ est pépère comme on dit , jusqu’ à ce que je parte en congé , après c’ est pire le secrétariat est vide et fermé la moitié du temps. Stéphanie par le 8 aout.
- Ah oui je… Elle en parlait .. dit-il un peu gêné . Il avait tourné autour tout l’hiver jusqu’à Mai. Sans succès. Je crois que Claire eu des échos. Il en eu peur en tout cas. Stephanie s’ était elle plaint de ses tentatives ? Elles ont plutôt blagué de lui en riant de l’air typiquement niais de tous les mauvais dragueurs.

- Vous êtes mariés ? Vous avaient des s ? questionna- t- elle, sortant Yundel du trépas.
- Non . J’ai 36 ans mais je suis toujours seul et sans descendance ,dit-il finement.
- Pas une amies , beau garçon comme vous êtes ?
- Merci , c’ est gentil, fit-il , son cœur s’emballa sur ces simple mots.
- Je n’ arrive pas à m’attirer les bonnes grâces du seigneur, finit-il par lâcher.,
Elle eut un rire insoutenable.
Yundel ria à son tour et eu peur de paraitre lait et abruti, même débile.
- Ça viendra, dit -elle , c’ est pas possible autrement , vous êtes beau et avez l’air intelligent , vous faites quoi de beau en dehors de votre travail ? questionnât- elle en penchant son visage de côté dégageant un peu sa nuque blanche et détendue. Il sentit le parfum de cette femme de 44ans qui fouillait sa vie avec tact. Il sentait un air d’ été dont l’ oxygène ravivait les couleurs ternes du défilé banal des jours mornes. Cet odeur frappante, tout à coup, affluaient le sang dans quelques synapses endormies et oubliées, et Madame la mairesse qui persistait de s’intéresser à lui, pénétrait doucement dans le fort intérieur d’ un homme qui ne savait plus s’ il était fort ou faible.
Submergé par l’odeur de femelle fraiche il faillit tourner court aux mots de sa patron et jeter son dévolu sur ses activités.
-oui j’ espère bien , maintenant que je suis embauché dans votre commune j’espère construire une vie honorable avec une femme sympa, pour assumer une famille… je fais tout pour… que j’y arrive fit il , trébuchant sur les mots. Il bafouilla devant la mairesse qui se remit à rire voyant bien qu’ elle mettait l’ ouvrier dans un état impossible .
-Je vous trouve bien mignon moi ,le complimentât- elle.
Elle rougit un peu , espérant charmé Yundel et évoquait une sympathie complice qui ferait un souvenir singulier. Et puis , qui sait si dans l’ année elle pourrait compter sur ce brave Ynudel au cas où . Un ami comme lui , ça se prend , pensa- t -elle, en cas de nécessité , par exemple un jour d’hiver… Elle se voyait envoyer son Yundel en dépannage café ou biscuit pour un de ces apéritifs tardifs de fin de semaine. Mieux valait l’ avoir sous la main. Il était pas moche du tout.
Elle se lécha machinalement le coin de la bouche puis acheva sa tasse .
-Bon je vous laisse , donnez moi votre tasse , bon courage Yundel , lui dit- elle avec un regard sévère et coquin .
- à plus tard , Madame, n’ hésitez pas si vous avez besoin je suis là ! dit- il comme à son habitude.
- oui d’accord, chantonna- t- elle . Elle dandina ses mignonnes petites fesses avant de pénétrer dans le couloir.
Sur cette vue , il eut un début de gaule et se concentra sur son boulot . Il trouvait ce genre de femme excitante à en crever. Il en ferait qu’une bouchée s’il le pouvait.
Penaud et envahit par une fougue sensuelle, il ramassa les dernières pelletés de branchages pour les entasser dans la benne.
Il partit en direction de la rue du stade quand il reçut un appel sur son téléphone professionnel. Il décrocha immédiatement et Mme la mairesse qui l’appelait dit :
-Excusez moi, Mr Elmour ? Pouvez- venir m’ aider ,j’ ai besoin de vous ?
-Oui pas de problème ,répondit-il serviable, tout de suite ?
-Oui de suite , rejoignez moi à l’étage , nous irons au local des adjoints j’ ai besoin de trois tables et de dix chaises pour la réunion des représentants des arrondissements, s’il vous plait.
- ok , j’ arrive.
-merci.
Elle raccrocha.
Yundel reprit sa place sur le parking presque vide puis se rendit au secrétariat un peu éméché de ce demi-tour subit. Toutefois , pas vraiment dans l’urgence de l’emploi du temps il pris le temps de respirer, se décontracta pour ne pas avoir l’ air nerveux. Son cœur battait à tout rompre en haut des escaliers , Claire l’impressionnait et le mettait dans un trac systématique .Il ouvrit la porte comme si ce fut celle d’ une salle d’examen. Le visage de Steph , à 10000 lieux dans le ciel d’été, le rassura mais lorsque que Claire sortit brusquement de son bureau sa tête fit un tour sur elle-même dans un épais nuage de fleur. D’ordinaire c’était Jean-Michel sans doute perdu dans la pampa de Provence à cette heure, qui s’occupait des salles de réunion.
Elle s’avanca en claquant des talons , le dévisagea avant qu’ il se sauve discuter avec sa secrétaire bien aimée puis elle l’ordonna :
- Bon , j’ai besoin de vous , venez ! Vous avez faits vite dites donc ! Elle partit devant et une fois que Yundel franchit la porte , elle la referma derrière lui.
- Je n’étais pas loin, sur la route de l’atelier, expliqua-t-il.
Puis elle ne dit rien jusqu’à l’ approche des toilettes .
-tenez, prenez la clef et ouvrez la pièce et ouvrez les volets , nous allons aérez . Puis elle entra dans les toilettes qui brillaient de propreté. La femme de ménage y venait tous les deux jours. Claire Deveine urina et essuya une énorme et hallucinante coulée de mouille qui avait inondé sa culotte beige. Détrempée , elle s’essuya et ôta sa culotte , la plia soigneusement et l’ inséra lentement dans la poche de sa jupe de manière à ne pas gonfler la poche et attirer les suspicions. Elle s’essuya une seconde fois et mouilla encore . Elle massa un peu son clitoris pour évacuer la pression mais elle mouilla de plus belle.
Etait- ce Yundel ou Stéphanie qui lui faisait cet effet ? Elle pencha pour l’homme mais reconnaissait parfois une attirance pour les femmes ,sans conviction ni même véritable expérience à propos.
Elle se leva, abaissa sa jupe et tira la chasse.
Yundel préparait les tables et compta les chaises. Il avait ouvert le volet comme un avare. En voyant cela elle se précipita à travers les tours d’ étages de chaises que l’ ouvrier empilait et dit :
- Ouvrez entièrement le volet s’ il vous plait , on va bien aérez et ouvrir grand les fenêtres !
Elle saisit la sangle et tira.
-Ne vous fatiguez pas c est coincé ! lança- t -il.
-Ah bon ? Elle essaya de tirer. Ah oui , comment ça se fait ?
Yundel s’ avança et dans sa conscience enjouée , à l’ affut de n’ importe quelle bonne initiative, il voulut s’ emparer de la sangle et attrapa involontairement les mains de la Mairesse .
Elle eut un sursaut et se cramponna, accompagnant du corps les mains viriles et douce de Yundel qui soulageait son effort sans l’écraser. Un flot de sensation vint traverser le corps de le femme. Claire eu un mouvement nerveux , séductif et incontrable, elle lui donna un léger coup de hanches , sa fesse gauche échoua sur la jambe droite masculine , quasiment sur son bas ventre . Elle avait reconnu le pénis courbé et réveillé puis rougit, s’ exalta même d’avoir touché le pénis d’ un homme dont elle ne savait que peu de choses . Dans l’ embarras de l’instant elle tira la sangle une nouvelle fois feignant ce qu’ il venait de se passer , et Yundel tendit les bras pour espérer un déclenchement du volet . C’ est alors que Claire eu un second mouvement contre lui. Dans son débat le volet ne cédait pas . C’était la queue de son homme qui montait. Le troisième essai fut celui d’une délivrance inopinée. Sentant la gaule de Yundel qui la regarda naif, subjugué par les gestes excitants de Claire il dit :
-Le volet est vraiment bloqué je crois , je vais…
Elle eut encore un geste contre sa queue qui se raidissait franchement . Il lâcha la sangle , se sentit coupable et envisageait de se faire gronder par sa chef.
Mais dans le replis de ses bras , elle dit :
-Mais aidez-moi aidez-moi ! bafouilla-t-elle, amusée.
-Oui oui , il essaya d’ attr le mains de Claire dont l les fesses ne quittaient plus ses hanches et décida de saisir plutôt le dos de cette femme qui se frottait délibérément contre lui . C’était une certitude . Dans ses mouvements sensuels elle ne laissait plus un doute dans l’ esprit de l’ouvrier interloqué.
Il plaçât ses mains sur le dos chaud et chétif de la mairesse qui se laissa faire , pris dans un jeu qui lui ressemblait, puissante et menue de sa personne dans les bras d’un petit technicien alléchant et intriguant.
Sous les mains hésitantes de Yundel, elle dit :
-Continuez , Lorsqu’ il la serra contre lui et caressa le ventre sous le maillot blanc elle posa ses mains par dessus les siennes prenant part à l’intuition de son Roméo .
Il poursuivit par embrasser son cou et enfuit ses mains sous le soutien-gorge. Les seins pointèrent l’ espace d’un instant puis ramollirent. La douceur de leur peau invoqua chez Yundel un émoi poétique et persistant. Sa gaule lui fit mal dans son boxer et dut abandonner la poitrine qu’ il malaxait avec amour pour visiter le reste , plus bas , sous la jupe , après avoir couru les hauts des cuisses , par-dessus l’habit qu’il remonta doucement , avec parcimonie jusqu’ à pouvoir recouvrir les fesses entières de ses pates enthousiastes et décidées. Pris dans cette excitation jubilatoire , il contint sa précipitation pour assouvir le pubis qu’ il affleura , enlaçant tout le bassin , découvrant une fermeté timide dans les cuisses et l’ odeur forte d’un sexe qui a faim. Il parvint aux lèvres recouvertes de liquide . Il fit glisser son doigt entre les lèvres glissantes plusieurs fois et pénétra la chatte qui suçait sa main .
Elle haleta, écarta les jambes et se cambra.
La porte était heureusement close. Le lumière du jour qui passait dans la petite ouverture du volet baignait leur étreintes après que Claire eu éteint l’interrupteur sur le mur .Dans cette obscurité vaincue , elle écouta Yundel déboutonner son pantalon et s’apprêta à recevoir son mas. Il le lui rentra avec savoir -faire , la chatte ruisselait et il entassa son pilonne jusqu’ où il pouvait . Elle succomba de plaisir , accoudée sur la table , le visage éclairée par un soleil de 11 heure.
Elle avait encore le gout du café en bouche et prenait son pied.
Il monta le maillot blanc dévoilant un dos mince et bien formé ce qui lui évoquait l’dée que la femme de 44 ans prenait soin d’ elle et était amatrice de sexe .Il songeait qu’un gars comme lui la sortait de la routine , que son mari l’ ennuyait ou préférait sa maitresse . Elle, dans sa nature de prédatrice éprouvait le besoin d’ originalité , comme pendant sa jeunesse , lorsqu’ elle se tapait des mecs sans costumes.
Les mouvements de Yundel étaient sages et plein de minutie , sans agressivité. Il la tambourinait, claquant discrètement son cul pour éviter le bruit. Claire qui se tordait pour regardait son partenaire se retourna puis s’ adossa contre la table et le fourbi. Elle tendit les jambes écartées vers le haut , bien tendues, que Yundel agrippa aux genoux puis contre lui. Elle se caressa les seins , puis dans le talent de Yundel eut son orgasme, comblée. Elle venait de s’ accrochant à son teeshirt , dans la contraction de l’extase , en avalant ses cris . A bout ,Yundel se retira et éjacula sur le minou repus , puis embrassa la bouche de la mairesse qui le saisit contre elle.
En sueur , elle le câlina. Puis la tension de l’ aventure chuta jusqu’à ce que rien ne puisse s’apprendre. Ils se rhabillèrent lentement , dans le choc de l’ébat . Elle resta avec lui le temps qu’ il reprenne ses esprits pour lui faciliter la reprise de son travail , ce qu’ il fit . Puis Claire gagna son bureau , enfila une culotte qu’ elle prenait en plus dans son sac . Il fallut peu de temps avant qu’elle ne mouillasse encore et qu’ elle n’ eu envie de son nouvel amant.
Ynudel la revit le jour précèdent le départ en vacances de Claire. Ils baisèrent sur le bureau de Madame . Claire dans sa jouissance s’étrangla à se faire mal pour que Stepf ne l’entende pas . Puis après le vacances de Yundel, ils se retrouvèrent une fois que personne ne les voyait , et ce pendant 7ans , Jusqu’ au jour où Yundel eu un avec le belle Patricia de 32 ans .

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