Sophie La Découverte (2)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je vous ai laissé en vous racontant mes exhib dans la nature. J'ai eu mon BAC et je suis partie sur Limoges en classe prépa afin de préparer le concours pour rentrer dans une école d'infirmière. J'ai également acquis le permis de conduire et en bonne fifille gâtée, mes parents et grands parents mon achetés une jolie petite voiture.
A Limoges pour moi la vie de grande fille libre s’ouvrait à moi, j’avais ma voiture, mon petit appartement F1. Bien que j’ai essayé d’être studieuse car motivée pour obtenir ce concours, je n’ai pu m’empêcher le week ends d’aller les soirs une fois la nuit tombée dans des lieux isolés pour assouvir cette envie d’avoir peur et d’avoir froid.
Mon concours en poche, j’ai du déménager pour intégrer une école d’infirmière. J’ai encore été assez sage la 1ère année, mais dès la 2ème année j’ai eu envie d’aller plus loin. C’est en visionnant des vidéos SM que des idées me sont venues. J’ai commencé à me fesser assez sévèrement, me pincer les tétons, m’attacher serré les seins avec des cordelettes et les frapper. Mes sorties nocturnes se sont faîtes de plus en plus rapprochées. Il m’est d’ailleurs arrivée deux histoires ou j’ai eu assez peur. Un soir de nuit bien noire, j’avais rejoint un délaissé de vieille route, je suis passé dans un très grand pré en pente une fois mise nue, une vieille paire de tennis aux pieds, je suis descendue jusqu’au ruisseau. Ce soir en plus j’avais tous les ingrédients que j’aimais, pluie fine et fraicheur. Comme d’habitude j’ai rampé, je me suis excitée et une fois bien excitée j’ai décidé de marcher le long du ruisseau. Arrivée au bout du terrain, j’ai rampé sous la clôture pour aller plus loin encore. J’étais trempée par la pluie, je suis arrivée sur un marécage, bain de boue, jouissance, je me suis lavée un peu dans l’eau froide du ruisseau et j’ai décidé de remonter à ma voiture. Sauf que sans repaire avec la nuit noire je ne retrouvais plus mes affaires et ma voiture.

J’arrivais face à un bois, le froid m’avait gagné la panique aussi et c’est au bout d’un très long moment que j’ai pu entendre une voiture passée sur la route. Finalement sans repaire je n’étais pas assez loin.
La 2ème peur, j’avais repairé en faisant du VTT un étang isolée à moitié vide avec toute la vase que vous imaginez. Le soir même, j’enfile juste un imper, mes vieilles tennis et direction l’étang. Comme à mon habitude, je me suis mise nue à l’entrée du pré, j’ai rejoint directement le fond de l’étang et sans hésitation j’ai été me rouler dans la vase. Sauf que, je pense que c’est le propriétaire qui ai arrivé avec son 4/4 avec un projecteur puissant il a regardé le niveau d’eau, moi je n’ai eu d’autre choix que de m’allonger complètement dans cette vase et quand au bout d’un certain temps il s’est mis avec son projecteur à balayer le tour de l’étang, j’y ai même mis la tête complètement pour ne pas me faire voir. Finalement il ne pas vu et il est reparti comme il est venu. C’est la 1ère fois que j’étais complètement recouverte de boue, j’y ai même replongé en me faisant jouir plusieurs fois. Le plus dur a été de ce laver. Les semaines qui ont suivi, j’ai rencontré un homme, il m’a dépucelé mais au bout de quelques semaines mes aventures en solo me manquaient. J’ai compris qu’une sexualité dite normal n’était pas faite pour moi. J’ai fait d’autres rencontres en passant par des sites de rencontre. J’y ai pris du plaisir, j’ai appris à sucer et à avaler, j’ai goûté à la sodomie, mais hélas mon souhait aurait été de rencontrer un partenaire dominateur. C’est donc par le biais de sites internet spécialisés que j’ai opté de rencontrer un maître vénal. Il habitait à 3h00 de voiture, nous nous sommes mis d’accord sur les modalités. Le tarif 200€, je venais le vendredi, j’arrivais pour 21h, on s’était mis d’accord sur la séance, j’avais accepté pour essayer le fouet. J’avais un mot magique à dire pour qu’il cesse. C’est donc toute excitée que j’ai pris la route pour le rencontrer.
Suite à venir