La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1107)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –

… il vit de la cyprine commencer à couler lentement…

- Non de dieu, dit-il, ça t’excite ? (Il se pencha carrément entre mes cuisses) - Mais tu bandes en plus ?

Mon clito, mon cher ami le clitoris, était dressé fièrement !… Du bout de sa cravache, il le tapotait et je fermais les yeux de plaisir en émettant de divins gémissements…

- Tu aimes quand je te touche comme ça, ici ? me demanda-t-il ?
- (Doucement) Hummm ! Ouiiiii Monsieur.
- Ah ça alors ! Les femelles, je ne comprendrai jamais rien !

Alors, il commença par de petits coups sur le nez clitoridien, puis entendant mes :

- Ahhh, puis Ohhh hummm ! Ouiiiiii !

Il poursuivait, avec, de temps en temps, un coup très fort sur l’intérieur d’un sein, revenant tout de suite après sur mon clitoris chéri… Et je mouillais de plus en plus libérant des paquets de cyprine qui tombaient sur le tapis clouté… Alors, il s’agenouilla entre mes cuisses, et me planta quatre doigts, sans préambule, dans la chatte, remontant très haut en ma vulve. Très vite, ses doigts s’agitant dans ma chatte, me faisaient accepter mes souffrances physiques, ce qui, pour la seconde fois me troubla vraiment. Je souffrais physiquement et pourtant les excitations transformaient mes souffrances en plaisirs me les faisant non seulement les occulter mais les acceptant comme la condition de mes jouissances fulgurantes. Sous ses doigts puissants, je me découvrais heure après heure… En fait, ses mains étaient si fortes qu’elles estompaient au début puis annihilaient ensuite entièrement les douleurs, comme les anesthésiant, les transformant en divins plaisirs ! Malgré ma pose très inconfortable et les coups reçus qui boursoufflaient mes seins et le reste de mon corps, les divins doigts de Roger, bien enfoncés en mon intimité me faisaient un bien fou…

Je me mettais même à aimer cet homme bourru mais si efficace qui me faisait découvrir de nouvelles choses en ma libido.

Tandis qu’il me travaillait violemment, je tentais de l’aider en écartant encore plus mes cuisses, mais mes pieds fichés sur les pointes me faisaient souffrir de plus en plus. Il ne pouvait m’enlever de la sentence du Maître mais, sa main fichée en moi ressortit doucement et il y ajouta son pouce, comme la nuit précédente. Quand je compris ce qu’il allait faire, ce fut pour moi comme une décharge électrique me souvenant de la nuit précédente. Effectivement, il tentait d’introduire à nouveau sa main puissante en ma vulve écartée, béante, offerte qui s’apprêtait, pour la deuxième fois consécutive à être aussi distendue… Lentement mais avec force, il poussait, poussait, et je m’ouvrais, m’ouvrais jusqu’au moment où j’attendais que sa main glissa enfin en ma profonde intimité. Oh sensation divine de comblement absolu ! Sentir cette main puissante entièrement en mon corps, se refermant ensuite formant un pieu terrible qui allait commencer son labeur, je transpirais d’envies non encore consommées, déjà prête à exploser un orgasme démesuré à tous moments… Instinctivement, je dis :

- Hummmm ! Merciiii, Monsieur Roger !

Interloqué, Roger ralentit, me regarda, haussa les épaules, reprit son sublime massage et m’envoya même un sourire que j’eus du mal à interpréter. Son bras, agissant comme un piston démoniaque, écartelait, défonçait, pilonnait ma chatte en feu et, ajustant sa pose, chercha de l’autre main ma rosette. Dans la position qui était la mienne, (accroupie) mon cul était facilement accessible, mais tandis qu’il labourait ma chatte de la main droite entièrement enfoncée en moi, son doigt de la main gauche effleurant ma rosette anale me fit exploser de fulgurants orgasmes successifs traversant toute mon échine par de multiples décharges électriques d’une puissance incroyable, m’ébranlant ainsi tout mon corps de spasmes d’une harmonie parfaite dans ses tremblements jouissifs :

- Ahhh Ouiiii
- Décidément, toi, tu n’es pas comme les autres, reprit Roger qui commençait d’enfoncer deux de ses doigts de sa main gauche en mon anus encore peu dilaté.

- Oh ! mon dieu, dis-je entre deux orgasmes

Je sentais ses doigts entrer lentement dans mon cul, en faisant des cercles pour étirer ma muqueuse, tandis que par devant, ma chatte distendue se laissait défoncer par son bras entre à mi bras. Sensation divine, explosive mon clitoris, comprimé par l’énorme pieu me pilonnant la chatte, participait aux mouvements du bras comme en de puissants massages clitoridiens, tandis que les deux doigts dans mon cul, maintenant bien enfoncés et allant et venant, continuaient de m’envoyer en d’autres galaxies. Les yeux mi clos, je tremblais de jouissances comme une feuille, les doigts de la main gauche ressortirent pour mieux revenir par la suite à trois cette fois. Roger poussait fortement sur mon cul en faisant des cercles, étirant encore et encore ma muqueuse anale… je m’ouvrais facilement ayant toujours été très souple, et c’est finalement quatre doigts qui maintenant se trouvaient en mon fondement anal, qui travaillaient de concert avec son bras planté par devant. Je sentais mon ventre ballonné, pistonné, envahi de myriades d’étoiles scintillantes, quand Roger retira sa main gauche en rotation, laissant mon anus largement ouvert et béant.

- Noooon ! hurlais-je

Roger riait et son rire n’était pas mauvais. Tandis que son bras droit s’activait maintenant fortement dans la vulve horriblement distendue où je sentais au fond de mon vagin, ses doigts qui tournaient par la rotation de son poignet, je criais mes orgasmes puissants sans plus aucunes retenues, alors qu’il reposa ses quatre doigts en pointe sur mon anus, poussa vivement, ils s’enfoncèrent sans difficulté me faisant rugir d’envies nouvelles. Puis, repliant son pouce entre les doigts, son bras se mit à pousser, pousser, pousser, je me dandinais, prise en sandwich.

- C’est bien me disait-il, vas-y, pousse, oui continue tandis qu’il enfonçait sa main lentement…

A nouveau cette impression d’être remplie totalement, le ressenti d’une main entière forçant mon trou du cul, tandis que ma chatte continuait à recevoir les à-coups du bras droit… Je me détendis entièrement et dans une dernière poussée, sa main entra entièrement en moi, mon anus se refermant sur son poignet…

- Ahhhh criais-je de plaisirs comme une bête enculée bestialement… Ahhhh ! Mes tremblements spasmodiques de plus en plus vifs aidaient Roger dans ses enfoncements….
Hummm ! Ouiiiiii !

Les yeux entièrement fermés, toute à mes ressentis de femelle animale lubrique en rut, je me laissais empaler, mieux encore, j’aidais Roger qui maintenant enfonçait son bras gauche par derrière. Deux pistons maintenant me ramonaient en cadence, celui de derrière enfoncé plus profondément que celui de devant, pratiquement au coude, j’explosais en une myriade de feulements bestiaux, de cris rauques de tigresse possédée par mille mâles en même temps… Un long travail de Roger maintenant posé sur ses genoux, m’expédia loin, très loin dans des découvertes orgasmiques totalement inconnues jusque-là de ma sexualité, me faisant pisser sur son bras droit sans aucune pudeur, mieux encore, par plaisirs, j’abandonnais ma condition humaine pour devenir une bête de sexe assoiffée de sensations orgasmiques majeures.

Tout en me travaillant la totalité du ventre, devant et derrière, Roger se baissa légèrement et attrapa entre ses dents mon téton droit, le mordit cruellement, ce qui me fit hurler de douleurs si bonnes qu’immédiatement je jouissais à nouveau en même temps du cul et de la chatte dans des cris de jouissance d’une intensité telle qu’on avait dû m’entendre à mille lieux ! … En effet, je poussais des hurlements de jouissances absolues, démoniaques, comme possédée par le démon du rut en personne. Tout mon corps vibrait à l’unisson d’innombrables orgasmes d’une violence exceptionnelle et qui se déversaient maintenant, les uns après les autres dans toutes les parties de mon corps. Plus aucune parcelle de celui-ci qui ne vibrât pas, j’étai en trans orgasmique. Roger mâchait mon téton, l’aspirait, le suçais, l’étirait, tandis que ses deux bras, maintenant bien enfoncés en moi, celui de derrière bien plus que l’autre, travaillaient en cadence, se touchant à l’intérieur au travers de mes membranes, tout explosait en moi, tout était atomisé, et c’est dans un mot, un seul que je dis à Roger…

- Je vous aime Monsieur… mer… mer… ohhhh ! … merci Monsieur Roger.


Je m’abandonnais entièrement aux mouvements de Roger qui m’abreuvait de sensations incontrôlables, insensées, je n’étais plus moi-même, définitivement plus moi-même admettant mon état nouveau de femelle animale obsédée de cul…

- Tu aimes ce que je te fais ! me dit Roger
- Oh Oui Monsieur, répondis entre deux souffles, le visage rouge et trempé de sueurs…
- Décidément, toi, tu vaux le coup à coup sûr… Tu es une bonne chienne en chaleurs bonne pour le cul …

(A suivre …)

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