La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1508)

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1497) -

De toute façon, mon avenir n’est plus entre mes mains mais dans celles du Maître à qui je souhaite appartenir…

Dès son entrée, le Maître est suivi des deux femelles qui se sont occupées de moi, soumise Chloris MDE et esclave Clytoris MDE évoluant avec sensualité en quadrupédie et de manière la plus féline au bout de deux chaînes dorées, peut-être en or, et maintenues avec grâce par le Maître des Lieux. Pendant ce temps, les deux esclaves mâles noir ébène ainsi que pute et moi, à leur exemple, nous nous mettons face à la porte de nos cages à quatre pattes. Monsieur Walter habillé avec un costume noir, chemise blanche, cravate noire, très bien peigné commence par ouvrir la cage des 2 esclaves noirs qui ont du mal à se déplacer à cause de leurs articulations engourdies, sûrement par un temps trop long dans cette cage. Ils se placent immédiatement à côté des deux femelles… Je vois leur cage de leur pénis emprisonné se mettre à frétiller… Ils portent au cou chacun un épais collier métallique gravé également des Armoiries de la Famille des Evans et sûrement leurs noms et matricule d’esclave, mais que je n’arrive pas à discerner distinctement. Puis le Majordome ouvre la porte de la cage de pute et avant que ce dernier ne sorte, il lui passe une corde autour du cou, puis le fait sortir. Je vois que, comme moi, il porte un plug avec une queue de chien.

- pute, aux pieds, on ne bouge pas.

pute obtempère, bien évidemment. Puis il ouvre ma cage. A ma grande surprise, le Majordome me lance à la figure des habits, pas aussi beaux que les siens, mais un pantalon, un slip moulant, une chemise toute aussi moulante, un pull, des chaussettes et des chaussures.

- Mets cela.
- Mais ?

Une claque bien appuyée…

- On se tait, on ne pose pas de questions et on obéit, le chien… Monsieur le Marquis veut que tu sois habillé, tu obéis… Et puis, tu te mets en quadrupédie et vite.

..

Tout en obéissant et m’habillant, je me pose des questions en silence en regardant pute, qui me regarde indifférent. Pourquoi ? Vais-je être renvoyé, je ne lui conviens pas ? Mais pourquoi cette façon de faire ?… Je remarque que sur chacun des vêtements, une petite enveloppe est accrochée. Je me tourne vers Monsieur Walter qui comprend mon étonnement.

- Fais attention de ne pas les faire tomber… Tu comprendras quand il sera temps pour cela, le chien.

Dans le slip moulant, comme dans le pantalon, une ouverture au niveau des fesses, a été pratiquée pour passer la queue du plug. Rien n’est omis pour me mettre dans ma condition de chien servile. Je commence à trouver cela normal. Monsieur Walter me passe une corde, comme pour pute, autour du cou. Les deux cordes entourant nos cous, nous sortons de la salle de bain derrière Monsieur Walter. Nous croisons deux esclaves debout et affairés, qui ne nous regardent même pas, la tête dans leur corvée à épousseter les tentures et tableaux. Nous avançons dans ce luxueux couloir garni d’une moquette épaisse rouge et noire dans laquelle nos mains et nos genoux s’enfoncent, aux murs de magnifiques tableaux de grands artistes, des nus et nues de Rubens, ou de peintres plus modernes comme Jim Warren et des photos de Hikari Kesho. Des bruits de voix et de rires viennent à nos oreilles. Nous approchons d’une immense double-porte en bois verni massif et stylé comportant de nombreuses sculptures de feuillages et d’animaux sauvages, une double-porte visiblement datant de plusieurs siècles...

- pute et esclave 976-038-936, têtes hautes, dos bien cambrés et culs serrés sur vos plugs queues. Montrez de la fierté…

Monsieur Walter frappe ensuite à la porte et au bout de quelques secondes :

- Entrer

Nous pénétrons alors, toujours au bout de nos cordes de chanvre, précédés de soumise Chloris MDE, de l’esclave Clytoris MDE et des deux esclaves mâles ébènes, au bout de leurs laisses-chaînes aux maillons métalliques dans une pièce immense, ouverte sur l’extérieure par de hautes portes fenêtres.
Entre chacune d’elles, sont accrochés au mur de nombreux trophées de chasses, d’énormes hures, de nombreux bois de chevreuils, mais surtout d’impressionnants bois et tête de cerfs de toutes les grandeurs du daguet aux 12 cors et plus.… En dessous, des esclaves mâles et femelles nus portant des plateaux en argent remplis de coupes de champagnes ou de jus de fruits... Nous passons devant des tables monumentales recouvertes d’esclaves femelles et mâles allongés, soit sur le dos soit sur le ventre et tous parés de victuailles diverses, viandes, crustacés, légumes, etc, directement déposés sur leur peau nue. C’est surréaliste mais combien significatifs pour exprimer notre condition de soumis-esclave que nous sommes au fond de nous-même et que nous avons choisi de vivre en plénitude. Toutes les conversations s’arrêtent à notre entrée et des « bravo » ou des applaudissements ponctuent notre marche émanant des nombreux Dominants présents dans cette vaste salle au plafond aux poutres à la française et au sol en carrelage damier noir et blanc…

- Magnifiques ! …
- Bravo ! …
- Splendides, superbe … Encore une fois, Mon sieur le Marquis, vous nous comblés !…
- Merci beaucoup mes amis, oui je vous l’avoue que les quatre premiers, sont splendides...

Monsieur Walter attache l’extrémité de nos cordes à des points d’ancrage scellés à même le carrelage. Puis, il conduit les deux soumises et les deux esclaves black sur une estrade, au centre de la pièce séparant les sexes, femelles d’un côté, mâles de l’autre. Il les fait mettre en position de présentation à genoux très écartés, exposant ainsi magnifiquement leurs corps nu et leurs attributs. Le Majordome retire les cages des nouilles des deux noirs en leur faisant écarter au maximum leurs cuisses. Leurs nouilles, moi je dirai plutôt leurs ‘saucisses de Morteau’ se redressent immédiatement, et leur énorme volume de leur forte érection impressionne toute l’assemblée qui laisse échapper des ‘Oh !’ de la part d’invités admiratifs, surtout chez les Dominas.
..

- Oui admirez ces très beaux morceaux, en effet… Leurs nouilles de chien sont d’une exceptionnelle taille !… Ces deux esclaves venant d’Afrique m’ont été offerts par l’un de mes amis qui est Maître africain venant du Congo. Le père de ce Maître africain était déjà un ami de mon père et il a été parmi les premiers adhérents du Cercle des Supérieurs. Grace à lui, depuis plusieurs décennies, le Cercle a bénéficié de nombreux esclaves femelles et mâles de l’Afrique noire... Ils sont très dociles et surtout très excités comme vous pouvez le constater car ils n’ont pas été au contact de femelles depuis près de deux mois sans bien sûr pouvoir se donner à eux-mêmes du plaisir à se soulager par l’interdiction à éjaculer et concrétisée par l’encagement de leurs attributs en chasteté… Les deux femelles sont comme eux, même si elles ont été pénétrées et souvent utilisées, mais toujours sans autorisation de jouir… Inutile de préciser que de voir leurs congénères mâles, de sexe opposé, cela excite encore plus leur état de femelles en chaleur… Et il n’y a pas à douter qu’ils nous divertiront tout à l’heure dans de torrides copulations qui leur seront autorisées… Mais laissons les baver d’envie à se soulager pour l’instant…

- Regardez les femelles commencent à couler sur les cuisses… s’exclame un invité
- … et les mâles ont leur nouille qui frétille…, répond une Domina visiblement émoustillée par le spectacle

Alors que tous les invités sont en admiration, un autre esclave mâle, européen quant à lui, s’approche suite à signe de tête et un claquement de doigts de Monsieur le Marquis. Il est debout, nu, encagé et tête baissée. Il porte un large plateau stylé en argent où sont déposés divers colliers. Sur ordre du Châtelain, il passe doucement devant l’assemblée afin que les invités aient le temps de regarder attentivement ce qui se présente sur le plateau…

- Par ailleurs, regarder j’ai fait fabriquer ces colliers spécialement de la meilleure sellerie de France.
Ils sont gravés en lettes d’or finement ciselées dans le cuir, à leurs noms et au mien bien évidemment par Mes Armoiries de la Famille des Evans également réalisées en or.

Monsieur le Marquis montre donc à tous ces magnifiques colliers, de véritables objets d’art présentés à bout de bras par l’esclave...

- Remarquable, vraiment magnifique, Edouard, dit une amie Domina admirative tout en prenant un collier, l’observant attentivement avant de le reposer sur le plateau
- Merci chère Carmen … Par ailleurs mes amis, je vais vous présenter mes deux dernières acquisitions, qui sont là, regardez juste derrière… Mais ceux-ci sont moins intéressants que Mes esclaves africains… Voici pute que certains ont reconnu pour l’avoir déjà utilisé, même si ce n’est pas tellement sa figure qui les intéressait… (rires) … pute, debout, présentation...

Pute, mon ancien maître, s’est mis debout en position impeccable de présentation comme il me l’avait lui-même appris, jadis : Jambes écartées au maximum, cambré pour faire ressortir ses attributs, cul en arrière relevé le plus possible, buste droit, mains derrière la tête avec les coudes bien étirés vers l’arrière, tête baissée… Tout en passant sa main sur le corps de pute, Monsieur le Marquis fait la présentation :

- Cette chose, cet animal parlant qui avait fugué est un beau mâle bien constitué, dit-il en malaxant et étirant la nouille et les couilles de pute
- Ces goyaves sont peines, n’ayant pas été trait depuis qu’il est ici, peut-être même avant ? Qu’en est-il exactement, pute ?
- Maître avant de reprendre place à Vos pieds, ici au Château, je n’avais pas juté depuis quinze jours. Maître.
- Vous voyez, de quoi alimenter nos plaisirs de la frustration de ce chien et de le vider totalement… Qu’en pensez-vous, Monsieur le Préfet ?
- Mon cher ami, oui c’est excitant et Dominant de pousser un de ces esclaves jusqu’à quelques secondes avant un non-retour et de contempler sa frustration. Surtout lorsque vous-même êtes en train de vous faire pomper la verge. Je verrai bien ma chienne de femme le branler pendant que j’enculerai celle-ci…
- Très bien, vous pourrez vous occuper à cela tout à l’heure, je vous l’offre…

(A suivre …)

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