Qui L'Eut Cru Partie Xii Françoise Est De Sortie

Après une longue absence pour laquelle je vous prie de m'excuser, ce texte est la suite de la série « Qui l'eut cru » proposée sous le pseudo GALONA puis GALONA bis que je vous invite à relire afin de mieux rentrer dans l'histoire présente.

Françoise DUVAL, veuve depuis quelques années, la cinquantaine finissante, femme d’un milieu assez aisé et bien sous tous rapports, se laisse séduire par un jeune collègue trentenaire en recherche d’un certain confort matériel et qui s’est bien gardé de lui avouer qu’il vient de purger une peine de prison pour vol.
Après quelques coïts qui révèlent à Françoise des plaisirs jusqu’alors ignorés, la mère de famille qui se découvre jalouse, propose à son amant qui se prétend sans logement et qui feint de vouloir trouver refuge chez une ex petite amie, de s’installer provisoirement chez elle.
A l'occasion des fêtes de Noël, le séducteur en profite pour coïter Alexandra, la fille de Françoise, qui n'est pas aussi coincée qu'elle veut le laisser paraître.
Françoise qui désormais découvre le plaisir de s'habiller sexy et d'attirer les regards des hommes, plus accroc que jamais à son amant, reprend la vie à deux avec Stéphane après le départ de sa fille et son mari.

Lundi 29 décembre 2014 23 heures

- Rentrons maintenant, quelqu'un pourrait me reconnaître, je ne suis pas tranquille dit Françoise la voix angoissée.
- Détends- toi chérie, personne ne te connaît ici, tu ne risques rien.
Pour la première fois, Françoise relève la tête et observe la salle, une dizaine d’hommes ne la quitte pas des yeux, un type d’un certain âge passe sa langue d’une façon obscène sur ses lèvres, il faut dire que juchée sur un tabouret au bar avec sa jupe en cuir bien remontée, ses escarpins à talons aiguilles et se laissant ostensiblement caresser les cuisses par Stéphane devant tout le monde, elle ne risque pas de passer inaperçue.


Inquiète malgré tout, elle se répète une nouvelle fois qu'elle n'aurait pas du accepter de suivre Stéphane en ville après la fin du film policier qui était programmé à la télévision ce soir.


Alors qu'elle pensait se mettre tranquillement au lit avec son homme, celui-ci l'a prise totalement au dépourvu en lui proposant une petite sortie en ville.
Sur le moment elle n'a pas mesuré où cela pouvait la mener.
Puis elle s'est tellement habituée à céder à tous ses caprices, qu'elle finit par se demander si un jour elle pourra lui refuser quelque chose.
Comme ce soir, où elle a accepté de conserver à la maison ses vêtements sexy mais sans la jupe !
Elle entend encore les paroles de Stéphane.

- allez ma chérie, fais le pour me faire plaisir, tu vas être bandante.

Elle a préparé le repas en string avec ses dim up noirs et ses chaussures à talon !
Le plus incroyable, c'est qu'à aucun moment elle ne s'est sentie mal à l'aise, bien au contraire elle prenait plaisir à se promener ainsi devant son jeune amant, fière de l'allumer et impatiente de se faire sauter !

Jamais elle n'aurait pensé faire cela pour son mari, et d'ailleurs lui n'aurait sûrement jamais imaginé non plus lui demander une chose à la fois aussi simple et extravagante.
Quel dommage en fin de compte.


Lovée contre lui pendant plus d'une heure devant la télévision, elle pensait qu'il serait impatient de lui faire l'amour, surtout après lui avoir raconté tout en lui caressant la queue, les détails de sa journée au bureau, notamment sa traversée de l'atelier le matin, et la façon dont Paul CROUCHET l'avait matée plusieurs fois .
Perspicace, Stéphane a fini par lui faire dire qu'elle éprouvait une attirance sexuelle pour son chef de service, et il n'a pas eu beaucoup à pousser , pour apprendre qu'elle avait mouillé quand il l'avait reluquée, à tel point qu'il lui avait fallu mettre un protège-slip pour éviter tout incident fâcheux.
Il faut dire que les aveux avaient été obtenus sous la contrainte puisqu’il caressait sa chatte désormais toute lisse alors qu’elle se confiait.

-Je suis sûr que ça t’excite que tous ces mecs te regardent, lui dit Stéphane perspicace en faisant remonter sa main à l’intérieur de la cuisse jusqu’au dessus de la jarretière du dim-up.

-Je...je ne sais pas, répond-elle timidement en essayant de serrer les cuisses.
-Chut ouvre tes cuisses…….Tu vois qu’on a bien fait de venir…Je suis sûr que tu les fais tous bander.
-Tout ça me fait peur, puis si tu savais comme j’ai honte.
-Il ne faut pas ma chérie, il y a beaucoup d’autres femmes comme toi, certaines ne veulent pas le savoir, se voilent la face, un peu comme toi avant. Et elles passent à côté de choses merveilleuses.

-Mais tous ces types me prennent pour….
-Pour une putain oui, mais ce n’est pas grave, tout ça n'est qu'un jeu, un jeu qui nous excite à tous les deux, c’est avant tout ce qui compte tu ne crois pas ?
-Oui …enfin je ne sais pas.
-Pense que tous ces mecs ont envie de toi ma chérie, eux aussi aimeraient baiser ta chatte de salope…comme CROUCHET d’ailleurs  dit Stéphane en faisant remonter sa main jusqu’au string humide.
-Non Stéphane arrête, je t’en prie...
-Ne fais pas ta mijaurée ma chérie, ce mec te plaît, je le sens.
-Partons...Je…au mon Dieu je vais jouir ici si ça continue.


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Françoise regarde son visage marqué dans le miroir de la salle de bain, il est plus de minuit, elle vient de sortir de la douche, elle enfile une nuisette très courte en voile transparent noir achetée l’autre jour avec Stéphane.
Dans quel état sera-t-elle demain matin, la nuit risque encore d’être courte !
Pourtant à cet instant, elle ne ressent pas la moindre fatigue, elle n’aurait jamais imaginé avoir autant de ressources, Stéphane l’attend au lit et elle ne céderait sa place à personne.
Cette expérience dans ce bar mal famé l’a totalement retournée, ses sens sont exacerbés, elle revoit encore ces hommes qui l’ont matée sans aucune discrétion pendant que Stéphane la caressait sous la jupe, elle se dit que certains vont peut-être se palucher en pensant à elle, elle ne sait pourquoi, mais elle pense en particulier au grand noir assis près de la porte qui lui a fait un grand sourire lorsqu’elle est sortie, son visage est resté gravé dans son esprit.

Lui aussi, elle l’a certainement fait bander. Elle ne peut s'empêcher d’imaginer sa bite noire et elle recommence à mouiller.
Elle s'imagine alors au lit avec ce black et se retient pour ne pas se toucher entre les cuisses.
Elle ne l'a jamais dit à personne mais elle a toujours secrètement ressenti une sorte de curiosité envers les Noirs, pour ne pas dire une attirance qu'elle n'a jamais su expliquer.
Peut-être la plastique de leurs corps souvent bien musclés ou déjà aussi une envie de transgression ?
Il faut dire que pour les femmes de sa génération et de son milieu, une relation avec un black était totalement impensable.
Elle se souvient alors de ce martiniquais qu'Alexandra leur avait présenté lorsqu'avec Jean-Pierre ils avaient passé un week-end à Paris.
Ils l'avaient croisé dans le parc près de son petit studio, c'était le frère d'une amie d'Alexandra ou quelque chose comme ça.
Elle avait été subjuguée par son physique.
Elle a cru alors déceler comme un malaise chez sa fille qui a pu lui laisser penser que ce garçon était plus qu'une connaissance pour Alexandra.
Comme à son habitude, Jean-Pierre ne s'était rendu compte de rien et bien qu'elle soit très proche d'elle, elle n'a jamais osé demander à sa fille si elle avait eu une relation avec ce Noir.
En tout cas, pour sa part, il lui est arrivé de repenser à ce black bien longtemps après son week-end parisien.

-Mon Dieu, il faut que je surveille mon imagination, la jeune fille l’autre jour, CROUCHET ce matin, maintenant ce Noir, Oh Stéphane mon chéri, tu me fais vraiment perdre la tête ! se dit-elle.
-Tu viens me sucer la bite mon amour ?
-J’arrive  !

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-Humm oh oui tu me suces bien la queue, allez vas y lèches moi les boules aussi! Oh oui comme ça, prends les dans ta bouche.

Stéphane observe Françoise en nuisette installée entre ses jambes qui lui taille une pipe d’enfer.

Elle lèche les couilles puis remonte le long de la hampe, sa langue s’enroule autours du gland puis le vit disparaît entièrement dans sa bouche gourmande, le tout sans quitter son regard.
Si le paradis existe, cela ne peut être mieux que ce qu’il vit ces derniers temps.

Voici maintenant que Françoise remonte vers lui, leurs lèvres se joignent, leurs langues s’emmêlent, ses lèvres vaginales humides se frottent contre sa hampe, ce n’est que douceur, il lui att les fesses à pleines mains et imprime le rythme.

-Oh Stéphane... mon chéri… je suis complètement folle de toi . Je n'ai jamais ressenti cela pour un autre homme tu sais, même pas pour Jean-Pierre !
-Je sais ma puce, moi aussi je t'aime.
-Oh mon amour je suis toute à toi, je ferai tout ce que tu veux pour te donner du plaisir !
-Allez continue frotte ta chatte sur ma bite c'est bon !
-Humm !
-Tu as excité combien de mecs aujourd'hui ?
-Je n'en sais rien  ! Plusieurs certainement!
-Tu aimerais te faire sauter par ces mecs que tu excites pas vrai?
-Oh Stéphane...c'est toi que je veux...
-Allez ne fais pas de chichi avec moi....ça ne prend pas, sois sincère.
-Oui j' ai envie de me faire sauter par d'autres hommes

Stéphane lui caresse la rondelle délicatement.

-Moi c'est ton cul que je veux prendre ce soir ma puce.
-J’ai jamais fait ça tu sais.
-Tu vas voir ça va bien se passer….tu as du lubrifiant ?
-Il y en a dans la table de nuit mais il doit être périmé…
-Tu l'utilisais quand tu baisais avec ton mari ?
-Oui parfois.
-Tu ne mouillais pas assez alors ?
-Non pas toujours, j'ai eu des problèmes à la ménopause, mais depuis que je suis avec toi mon amour, c'est fini, je mouille pour un rien.

Stéphane att un tube de gel vaginal à peine entamé au fond du tiroir.
Il vérifie la texture du produit qui semble encore correcte et visse l’applicateur qui était au fond de la boite .

-Met-toi à quatre pattes sur le lit, je vais bien te préparer, tu vas voir , ça va aller.

Françoise obéit avec appréhension, elle perçoit rapidement la langue de Stéphane qui lui lèche longuement l’anus, tout son corps est alors parcouru de frissons, elle apprécie de sentir l'appendice humide à cet endroit, un doigt s’insinue dans son vagin puis ressort enduit de cyprine, il vient faire pression sur sa pastille et s’enfonce un petit peu dans l’étroit goulet.

-Humm.

Puis il ressort quelques secondes, pour s’insinuer de nouveau plus facilement, elle perçoit le gel un peu froid, le doigt glisse beaucoup plus loin et commence quelques mouvements de va et vient avec délicatesse.
Stéphane n’en peut plus de préparer ce cul pour la sodomie, vu la façon dont elle se tortille, Françoise semble apprécier d’avoir son doigt dans l’anus, il se dit qu’elle doit être prête pour l’accueillir.
Il en a envie depuis leur première nuit, il n’est pas un dingue de la sodo habituellement mais il ne sait pourquoi il a envie de ce cul mature depuis le premier jour.
Il retire son doigt, l’orifice est légèrement ouvert, il y porte l’applicateur et envoie une bonne dose de gel.
Il enduit ensuite sa queue de cette même substance et se place bien derrière Françoise.

- Ecarte bien tes fesses avec tes mains ma chérie.

Son gland se positionne tout contre l’anus, d’un lent mouvement du bassin il commence à faire pression, sa queue commence à s’enfoncer entre les fesses de Françoise qui pousse un petit cri de douleur.
Les sphincters résistent au début puis finissent par céder, sa queue glisse lentement dans le conduit anal jusqu’à la garde alors que Françoise pousse un cri déchirant.

- OOHH AAAAH !
- Humm.

C’est un délice tellement il se sent serré.

- Ah Françoise, c’est si bon ! Tu as le cul étroit ma chérie, tu te rends compte je te dépucelle le trou du cul ma puce, c'est trop bon, tu aimes ça j'espère ?
-Ça fait mal mais j'aime que tu sois en moi mon amour.
-Oui je te prends par là ma chérie, Oh j’en avais tellement envie tu sais! Je vais commencer à bouger maintenant.

Il retire lentement sa queue de quelques centimètres et l'enfonce de nouveau.
-Ahhh  vas doucement!
- Ne t'inquiète pas.
Il entame alors de lents vas et vient en se cramponnant aux hanches.
-Humm !
-Ah !

Françoise, sans réfléchir s’est mise à se branler le clito jusqu’à l’orgasme pendant que son amant l’enfile par derrière.

-Oh je vais venir, je vais te gicler dans le cul ;
-OUI …viens, viens, fais-toi plaisir mon chéri.
-AAAH !

A suivre

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