La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1111)

Marion au Château (devenue esclave Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1110) –

- … car tu seras une sublime esclave, si tu l’acceptes…

Sangmo s’aplatit alors au sol, versant des larmes d’émotions sur les pieds de Wangdak, qui attendait avec impatience sa réponse, ayant peur malgré tout de mal avoir deviné les envies de sa soumise. Après quelques secondes, pour se remettre, il la releva, mais elle voulut rester à genoux. Après lui avoir baisé la main, elle commença, après avoir obtenu son approbation, par les vœux qu’elle avait prévu de lui dire. Puis elle leva la tête, et elle fut accrochée par le regard plein d’amour de son futur époux.

- Maître, vous me comblez en ce jour. Oui je sais tout ce que cela implique que de devenir une esclave, et c’est avec un bonheur sans fin que j’accepte, Maître Vénéré et Chéri !

Monsieur le Marquis d’Evans donna alors un petit coffret à Wangdak. Il contenait une bague d’O en or pur. Autour de l’anneau, comme deux yeux, deux émeraudes rappelaient la couleur des yeux du Maître Tibétain. Passé dans l’anneau et autour du doigt une chaine de main, slave chain, en or, avec posé au centre du dos de la main un œil du Destin. Au moment du passage de la bague, l’adjoint au maire demanda le consentement habituel des époux, mais lorsqu’il s’adressa à la mariée, après lui avoir demander si elle voulait épouser Wangdak, il lut un texte des obligations d’un Maître et d’une esclave l’Un envers l’autre et il lui demanda alors officiellement si elle acceptait d’être sa propriété entière et totale à vie, si elle acceptait tout ce que son titre d’esclave représentait, et ce que symboliserait cette bague et cette chaine, qu’elle ne devrait jamais ôter de sa main et de son doigt. Elle répéta alors son consentement à tout. Wangdak la releva alors pour le traditionnel baiser des mariés. C’était le milieu de l’après-midi. Le Châtelain proposa alors à l’ensemble des Invités une promenade dans les parcs du Château, et de se rejoindre une heure plus tard pour le vin d’honneur, le repas et la soirée.



Pour les festivités, où tout le Cheptel était à la disposition de tous les Dominants Invités au mariage, Wangdak s’occupa exclusivement de Sangmo. Elle s’était remise debout pour la balade, plus pour le respect de la tenue qu’elle portait, cadeau du Maître du Château, que par plaisir. Ils se dirigèrent vers une rotonde, presque entièrement recouverte de végétaux, qui aurait pu avoir l’air, au premier coup d’œil, d’un endroit un peu laissé à l’abandon, mais qui en fait était très recherché. Ils s’y installèrent pour discuter. Il lui apprit qu’il avait été présent durant les deux semaines qu’elle venait de passer au Château, qu’il était celui qui l’avait prise dans la cuisine, qu’il avait participé au dîner où, pour la première fois, elle avait été soumise à plusieurs personnes en même temps. Il lui dit sa fierté par rapport à son évolution en si peu de temps, sur son comportement exemplaire. Il lui confia une fois de plus son amour, ses sentiments, avec pour seul témoin la végétation qui les entourait.

Lorsqu’il fut l’heure de retrouver la noce, ils commencèrent par une danse très sensuelle, une version sur un rythme de kizomba de la musique « Lost Girls ». C’était une passion qu’ils avaient en commun. Ils évoluaient sur la piste qui avait été improvisée devant l’entrée du Château. Serrés l’Un contre l’autre, lui la guidant, arrêtant ses mouvements, la faisant évoluer. Elle n’ayant d’yeux que pour lui, un moment à eux, où elle avait le droit de le regarder au fond des yeux pendant les quatre minutes que durait la musique. Eux enfermés dans leur bulle de bonheur, ne voyant plus le monde qui les entourait… deux danseurs magnifiques, faits l’Un pour l’autre, parfait l’Un pour l’autre… la musique s’arrêta sous les applaudissements car ils avaient tous les deux un très bon niveau, et personne n’avait pensé à danser tant ils étaient subjugués par le spectacle qui avait lieux sous leurs yeux. Il n’y a qu’un peu après la moitié de la musique, sur la seconde variation, que le Maître Vénéré m’invita à danser, en tant que témoins du mariage.
Evidemment, Il excellait en tout, et même sur la musique, Il savait me posséder ! Ayant eu Son accord pour le regarder dans les yeux pour mieux savoir quels pas Il allait entreprendre, j’étais totalement hypnotisée, dans un autre monde…

Après un petit moment de danse, où tout le monde fut invité sur la piste, même les membres du Cheptel qui avaient eu, pour l’occasion, à moins qu’ils ne soient sollicités par un Dominant, l’autorisation de se tenir sur leurs deux pattes arrières pour danser, il y eut un somptueux repas, où Sangmo, ou plutôt esclave Zhuoyue, reçut l’ordre de manger à table avec tous les convives, la nuit était tombée, et à la lueur de nombreux lampions éparpillés un peu partout sur la propriété, et malgré la fraîcheur qui tombait, la nuit devint plus chaude et les invités commencèrent à s’éparpiller à l’extérieur comme à l’intérieur. Les nouveaux mariés s’isolèrent de nouveau. Pour leur nuit de noces, Wangdak voulait faire vivre à sa nouvelle femme, qui restait malgré et plus que tout, sa propriété, tout ce qu’elle aimait dans le côté sexuel de leur relation D/s. dès qu’ils furent seuls, il prit soin de lui préciser qu’elle était autorisée à jouir aussi fort et aussi souvent qu’elle le voudrait. Ainsi, il la fit jouir en lui travaillant le clitoris, juste avec les tétons. Elle eut plusieurs orgasmes sous la cire de bougie. Elle fut prise en levrette, par terre, sur le lit, sur une table, en le chevauchant alors qu’il était assis sur une chaise. Elle eut un violent orgasme en étant attachée sur une croix et en étant fouettée, les lanières attrapant souvent, mais pas régulièrement, son sexe qui était toujours plus en feu, excitant son masochisme confirmé depuis longtemps. Mais ils firent également l’amour tout en douceur, avec une immense tendresse, prenant leur temps, les souffles se mélangeant divinement. On ne compta plus les cris et les jouissances qui eurent lieu entre ces quatre murs !

Monsieur le Marquis d’Evans avait tu à son ami le fait que son mariage tombait le jour de son anniversaire.
Mais tous ceux qui lui appartenaient s’en souvenaient. Et alors que la fête battait son plein, que des scènes orgiaques avaient lieu dans les quatre coins du Château, que les deux époux s’étaient retrouvés dans la suite nuptiale du Château qui avait été apprêtée pour eux avec tout ce qu’il fallait pour passer une délicieuse soirée D/S et amoureuse, Walter vint près du Châtelain, qui discutait avec un couple de Dominants de leur nouvelle soumise, pour Lui dire qu’il y avait un besoin urgent de Sa présence dans la maison des gardes forestiers. Il se dirigea alors précipitamment vers la bâtisse en question. Le chemin par lequel Il arrivait ne Lui permettait pas de voir ce qu’il se passait derrière, mais quand Il ne fut plus qu’à quelque mètres du bâtiment, des chiens et chiennes en quadrupédie, tout le personnel qui n’était pas pris par le mariage, dont Walter et Marie en sortirent, en chantant la traditionnelle chanson des anniversaires. Le Châtelain fut surpris et ému qu’avec tout ce qu’il y avait eu à faire ses derniers jours, tous ceux qui travaillaient pour Lui et ceux qui Lui appartenaient, aient pris le temps de Lui préparer cette petite surprise, à l’écart de la noce pour ne pas la perturber. Marie s’approcha avec deux soumis soutenant un plateau sur lequel était un gâteau à trois étages avec, dessiné au chocolat, ses trois femelles en Cachot.

Ses chiens et chiennes étaient peu nombreux, puisqu’Il les avait laissés aux mains de Ses invités. Mais tous ceux qui étaient présents eurent droit à une autorisation de jouissance à volonté jusqu’à ce que les douze coups de minuits ne sonnent la fin de cette journée calendaire spéciale. Alors commença une nouvelle orgie de ce côté-là de la propriété, où Monsieur le Marquis prit un moment avec chacun de ceux qui Lui appartenaient. Et Il nous fit tous jouir également. Les gardes et les domestiques présents eurent tous le droit de nous utiliser comme ils l’entendaient, du moment qu’Il restait évidement prioritaire sur nous.
La fin de cette journée finit par arriver, et lorsque l’horloge de la bâtisse sonna minuit, si les assauts des uns et des autres ne s’arrêtèrent pas, il y eut beaucoup moins de bruit, l’autorisation de jouissance ayant pris fin. Les festivités se prolongèrent jusqu’au petit matin. Monsieur le Marquis annonça une journée de repos pour tous, y compris Son Cheptel. Cependant, et avec Son accord, Marie et Walter réquisitionna tous les punis, les fautifs, qui eux, étaient restés enfermés, pour effec un nettoyage rapide mais minutieux, à faire croire à une visite improviste que rien de spécial ne s’était passé la veille...

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!