La Belle Des Années Folles - Chapitre 8

Ch. 8- Une soirée parmi d’autres, au Carré de dames.
Première partie.

Nous sommes ne l’oublions pas, au tout début des années 20. Autant dire qu'à cette époque, vu les restrictions des années de la Grande Guerre à peine terminées, tout est prétexte à faire la fête…

Un soir, quatre hommes sont arrivés plus qu'éméchés et pas loin d'être fin-saouls. La belle Jeanne, peut-être était-ce à cause de son nouveau métier d'inciter les hommes à boire, ou peut-être parce que dans une autre vie elle avait été dépucelée lors d'une partie très arrosée par des soldats, en tout cas Jeanne est toujours très excitée d'une façon un peu spéciale, par les hommes, ou les femmes d'ailleurs, qui ont bu et qui sont dans cet état second et euphorique que leur confère l'alcool…

Elle est de plus, irrésistiblement attirée par les hommes. D'ailleurs le fait qu'elle-même soit plus ou moins ivre, la libère énormément de ses tabous et lui permet de laisser plus facilement libre court à ses envies secrètes vis-à-vis des hommes. Et puis surtout, dans ces moments là de demi ivresse, elle a très envie d’assouvir ses fantasmes d'être baisée et partousée, de sucer des bites, encore et encore, plusieurs même à la fois quand c’est possible… Enfin de se lâcher quoi, et de se laisser aller à faire tout ce qui ne peut se faire dans le cadre des convenances sociales habituelles…

Les quatre hommes font visiblement une '' tournée des grands ducs ''. La consigne pour les femmes du '' Carré de Dames '', c’est de retenir à tout prix la clientèle, même déjà très éméchée, lorsqu'elle se donne à entrer dans le bar. Mieux vaut que ces clients laissent leur argent ici plutôt que d’aller le dépenser ailleurs ! Aussi, chacune doit donc s'employer à faire en sorte que ces messieurs dépensent le plus possible dans le bar et tout doit être fait pour cela…

Les deux premiers entrent à l’intérieur en force et avec fracas ; non qu’ils soient en colère ou agressifs, mais parce qu’ils titubent pas mal, heurtant le huis de la porte de l’épaule … Le troisième, un moment en suspend sur le seuil de la porte, amorce déjà un demi-tour vers la rue.

L’Adèle fait un signe rapide à Léo qui se précipite et ratt prestement le larron dans l’entrée pour le ramener à l’intérieur…
Le quatrième, un petit blondinet, se présente à son tour en titubant plus que les autres. Il fait deux pas et s’affale sur la première table, près de la porte…

Fernande s’est approchée des deux premiers et déjà met en avant sa poitrine volumineuse et à moitié dénudée… Joyeuse, elle, s’est mise debout, deux pas derrière Fernande, et attend le suivant à se présenter sans faire un choix à l’avance…

Jeanne imperturbable, reste debout devant le comptoir, accoudée au zinc… Déjà, à la vue des hommes elle sent frémir son entrejambe et la pointe de ses seins. Tout de suite elle remarque que l’un des hommes, celui qui a amorcé le demi-tour à l’entrée, est comme elle aime à le dire : un '' grand beau mec ''. Elancé, plutôt grand, de beaux yeux clairs, des cheveux bruns mi-longs, le type avait incontestablement '' une belle gueule ''. Le regard de Jeanne croise celui du gars… Elle sent immédiatement qu’il se passe quelque chose de fort, de violent, de brutal dans son bas-ventre…

Brusquement, sans savoir pourquoi, ni d’où cela vient, elle a une très forte envie de baiser, là, maintenant. Avant qu’elle puisse savoir d’où vient cela et ce qui lui arrive, elle sent une forte bite dans son trou de femme, grosse, très forte et très bandée…
En fait, et elle s’en rend compte de suite, elle fait à cet instant précis, le transfert de la sensation d’une des bites qui l’a baisée autrefois… Sans parvenir pour autant à se rappeler laquelle. Quel est le membre qui l’a prise ainsi au point qu’elle garde en elle une sensation aussi présente, aussi forte, aussi précise ?... Elle sent les lèvres de son sexe se mouiller légèrement. Elle porte en soirée, comme nous l’avons dit, des bas qui montent haut et pas de culotte, elle serre bien les cuisses pour se confirmer la moiteur de sa chatte. Pas de doute, elle mouille. Décidément le gars lui fait beaucoup d’effet…

Le type a dû remarquer son trouble.
Il s’avance vers elle d’un pas peu assuré. Il dépasse la Fernande et ses deux autres comparses. Il ne fait aucun cas de Joyeuse, qu’il heurte de l’épaule dans son déplacement incertain et vient se planter devant la Belle Jeanne… Un petit temps, il se plaque à elle, l’enserrant dans ses bras forts. Les relents d’alcool qu’il lui souffle dans le visage, la font vaciller. Elle sent qu’elle mouille abondamment… L’ivresse des autres, des hommes comme des femmes l’excite toujours fortement. Elle s’est souvent posée la question, sans jamais avoir la réponse, de savoir de qui la fait mouiller si fort lorsqu’elle est en présence de personnes avinées ou très éméchées, et particulièrement les hommes. Elle ne comprend pas d’où peut lui venir une telle excitation. Celle-ci se traduit le plus souvent par la sensation d’un violent pincement au niveau du clitoris et d’une soudaine et irrésistible envie d’uriner.

D’ailleurs à plusieurs reprises depuis qu’elle est au Carré de Dames, dans des cas similaires de clients ivres et entreprenants, elle a dû s’éclipser aux toilettes pour s’apaiser momentanément en se donnant un plaisir rapide. Dans ces moments-là, elle remarque que son clitoris la titille fortement, qu’il est alors très bandé et sort même de son capuchon, tant il est gonflé et turgescent… Dans ces situations, il lui est indispensable de se branler furtivement et de se donner un plaisir éclair, en quelques secondes, pour se calmer un peu…
L’homme collé à elle, cherche sa bouche avec avidité (photo 1). Malgré une forte odeur d’alambique, elle lui abandonne ses lèvres qu’il prend entre les siennes, les suce, les aspire… La langue brûlante du mec, pénètre sa bouche et prend possession de tout l’espace qu’elle lui offre en gardant ses lèvres entr’ouvertes… La fougue du type la surprend. Elle sent au niveau de son ventre le sexe énorme du type… Elle se laisse aller et elle commence à se frotter doucement dessus. Elle a comme l’impression d’une bite démesurément longue, puisqu’elle sent la tige dure et dressée atteindre la base du sillon entre ses deux seins.
Il est vrai que le type est plutôt grand. N’empêche. Elle se sent chavirer et la tête lui tourne un court instant… Elle ouvre plus grand la bouche et la langue chaude la pénètre plus profondément…

L’instant d’après, elle sent son corps s’amollir et elle décharge maintenant complètement. Sa liqueur chaude coule de sa vulve, et inonde doucement son entrejambe… Le type se laisse aller de plus en plus sur Jeanne, au point que celle-ci se retrouve coincée entre le comptoir du bar et l’homme qui l’embrasse. Bien qu’elle soit pleine de désir d’être pelotée et caressée, elle redoute un peu que l’homme lui mette la main entre les jambes et s’aperçoive de son état. Et en même temps, elle se dit qu’il est tellement pété qu’il ne s’en apercevra peut-être même pas… Elle sent qu’elle continue à couler et que son clito est tendu…

L’Adèle interrompt ses craintes et les effusions en rappelant de derrière son comptoir que l’on est là pour consommer et que le reste viendra dans la foulée et en fonction de ce qui sera commandé…

La Fernande a entrepris un petit brun, râblé et apparemment très musclé ; elle lui passe la main dans la chemise sous le veston ouvert. La Joyeuse, elle, a hérité du plus jeune de la bande, un beau blondinet très classe, mais sans doute aussi le plus saoul du quatuor. Il se laisse aller sur elle et elle a beaucoup de mal à le contenir et à le faire tenir debout. Léopoldine, quant à elle se coltine le quatrième, toujours avachi sur la table près de l’entrée où il s’est effondré. Il a du mal à se relever malgré les efforts désespérés de la petite…

Celui qui colle la Jeanne est sans doute le chef. En effet, suite à la demande de l’Adèle, se recule à peine de la jeune femme et avec des gestes mal assurés, sort de sa poche une grosse poignée de billets de banque, qu’il appuie lourdement sur le comptoir devant la patronne à qui le sourire revient. Celle-ci s’en empare presque avidement. Jeanne, qui tourne le dos au comptoir, ne peut voir directement les billets, mais au temps que met l’Adèle pour les défroisser et au bruit que font ces billets, les uns après les autres, elle comprend qu’il y a le '' paquet ''.

La patronne met en poche les billets et dit :
- ''Allez, on y va, champagne pour tout le monde !'' Et elle aligne rapidement neuf verres sur le zinc, sortant de dessous le comptoir deux bouteilles de Champ., et du meilleur, celui des grands soirs…

Jeanne est toujours le dos appuyé au comptoir. Ecrasée par l’homme qui l’embrasse toujours goulûment. Maintenant il lui pelote les fesses d’une main et de l’autre il lui écrase un sein… Il la pelote, utilisant une force très disproportionnée avec ce que nécessite la douceur d’une caresse… L’engin énorme, roule sur son ventre, lui prodiguant des montées de désir qui se concrétisent en mouille de sa chatte…

La Fernande a pris en main le petit brun qu’elle a réussi à l’asseoir sur une chaise près de la porte. Le gars, a le pantalon à mi-cuisses, les bretelles baissées. Fernande s’agenouille entre ses jambes, les fesses à l’air, montrant sans complexe aucun, son joli cul à l’assemblée grâce à la culotte fendue (photo 2). La garce prend en bouche la bite flasque et nonchalante qu’elle a sortie du caleçon. Elle la suce avec force et conviction pour la faire bander.

Léo, a fini par coucher complètement l’autre type sur deux chaises. A genoux, elle aussi, elle lui suce le membre d’un assez beau calibre. (Photo 3). Elle le branle et suce. L’homme lui a sorti les seins du chemisier et lui caresse sa belle poitrine, magnifique et sensuelle.

Joyeuse a réussi à asseoir son type au fond de la salle, à l’opposé a plus loin de l’entrée, dos au mur. Pour l’exciter un peu, comme à son habitude, elle lui prend la bite entre ses seins, façon cravate de notaire. (Photo 4). Mais le type ne semble pas très excité par les frottements pourtant déterminés que lui prodigue la petite Joyeuse…

Jeanne est toujours compressée entre le type et le comptoir. Elle ne sent la bite du type qu’à travers le tissu… Le gars est trop saoul et trop affalé sur elle pour avoir trouvé le petit pli secret dans le tissu de la jupe, qui lui donnerait directement accès à la chatte de la belle. Etrangement, la bite lui chauffe fortement le ventre, même à travers le tissu …
Elle a souvent été dans cette position, celle où un quidam lui fait sentir son sexe en se frottant sur son ventre, mais jamais elle n’a remarqué comme maintenant, que cela la chauffait autant. Comme le type est ivre, elle pense que cela peut expliquer la chaleur de son corps… et de son sexe !

L’homme lui écarte les jambes et sans ménagement, presque brutalement, il lance maladroitement sa main sous la jupe. Elle sent la main brûlante arriver dans son entrejambe. Elle est trempée. Ce qu’elle redoute arrive… L’homme malgré sa cuite s’aperçoit qu’elle mouille. Son souffle brûlant dans le cou et sur le visage de Jeanne se fait plus rapide et plus présent. Ses doigts atteignent sans peine la vulve, glissent dans la fente, et s’insinuent dans l’ouverture de son jeune con. Le trou est béant, mouillé et onctueux de la cyprine qui s’épanche depuis un bon moment… Glissant entre les lèvres de sa jolie vulve de femme, deux doigts entrent complètement dans le vagin et commencent à branler la jeune femme. Jeanne défaille presque écartant au maximum les jambes pour faciliter les va-et-vient des doigts… De par son mouvement, l’homme s’appuie de plus en plus sur Jeanne qui a la barre d’appui du comptoir juste au-dessous des omoplates et commence à avoir très mal au dos.

Elle arrive à grand peine à passer la main droite entre son ventre et celui du mec. Elle réussit à atteindre les boutons en haut de la braguette. Elle sent la bite dure sous le tissu tendu. Elle frémit et décharge dans les doigts de son branleur. De surprise, celui-ci arrête son mouvement. Puis dans un langage pâteux et à travers une haleine chargée d’alcool, il lui souffle à l’oreille :
- '' Oh toi, la jolie coquine… Tu es toute mouillée !... T’as très envie de te faire baiser, toi, hein ! ''
- '' Oui, oh oui ! '', lui répond Jeanne dans un souffle également…

Elle continue de défaire les boutons de la braguette et fait sortir le bel engin par la fente du caleçon. La bite, au toucher soyeux, est énorme ; cependant elle sent qu’elle n’est pas encore complètement bandée. Jeanne la prend en main ou plutôt l’enserre de ses doigts, sans parvenir à en faire le tour… Puis plongeant la main plus profondément dans le pantalon, elle la passe sous les couilles très lourdes et grosses…

Elle commence à branler doucement la grosse tige par un long mouvement de va-et-vient… Elle a le visage écrasé par le torse du type, le nez dans sa chemise. L’homme sent fort. L’odeur d’alambique se fait plus présente et plus agressive, sans doute là cause de la sueur qui distille l’alcool à travers tous les pores de sa peau…

L’homme, la comprime encore davantage contre le bar ; il passe son bras sous la cuisse gauche de Jeanne et commence à lui remonter la jambe. Elle sent la fente mouillée s’ouvrir davantage sous l’effet de l’écartement. Brusquement sans qu’elle sache pourquoi, une bouffée de honte lui monte au visage qu’elle sent s’empourprer. L’homme retire ses doigts enfoncés très loin dans son vagin. Elle sent maintenant sa vulve mouillée grande ouverte et sa jupe trempée, lui coller aux fesses. Le gars saisit sa bite avec ce qui lui reste d’adresse et en présente le bout brûlant dans l’espace offert entre les lèvres du con de la jeune femme.

Le gland lui frotte doucement l’intérieur des lèvres, Jeanne défaille de nouveau et décharge une nouvelle bordée de liqueur chaude. Alors qu’il va pousser son nœud plus avant dans le trou dégoulinant de cyprine, l’Adèle intervint :
- '' Oh là, non ! fait l’Adèle, on ne commence pas par-là !!"
Saisissant l’homme aux épaules, elle le dégage fermement de son étreinte avec la Jeanne… Le gars est déséquilibré. La conséquence en est que le gland sort brusquement de l’entrée du trou baveux de Jeanne qui éprouve alors subitement une sensation de froid et un fort sentiment de frustration… Le gars surpris, le braquemart énorme dressé devant lui, n’a même pas le temps de réagir.
- '' Il faut avant, arriver au nombre convenu de bouteilles !, fait l’Adèle et elle montre l’écriteau accroché au mur. Un écriteau dans le genre de celui de la photo 5.
- " C’est écrit là, explique-t-elle. Le droit de regarder c’est une bouteille par personne… Une pipe, c’est 2 bouteilles et pour mettre le Jésus au chaud c’est au moins trois, plus la pièce à la dame !!...'' Puis elle ajoute, comme pour elle-même :
- '' C’est vrai que dans l’état où ils sont, on peut leur dire n’importe quoi, ils s’en foutent !... Eh les filles, il y a déjà six bouteilles de réglées… Cela fait du travail de fait, mais il en faudrait encore autant pour faire une soirée convenable ! Hein, vous m’avez entendue ? ''

Chacune acquiesce à sa façon d’un signe de tête ou d’un regard et continue ses occupations… L’homme qui presse Jeanne sur le comptoir, s’en est écarté sous la poussée de l’Adèle. Il est à quelques centimètres de la jeune femme, la bite à l’air, sortant par la braguette du pantalon.
Il vacille un court instant durant lequel Jeanne craint qu’il lui retombe dessus. Puis finalement il pivote et se laisse aller à côté d’elle, dos au comptoir. Il fouille maladroitement dans la poche intérieure de son veston. Puis, par-dessus son épaule, il tend à l’Adèle une autre grosse poignée de billets, tout aussi froissés que les premiers.
- '' A la bonne heure ! dit la patronne, Monsieur a parfaitement compris… Monsieur est un gentleman ! Pas la peine de lui apprendre les bonnes manières !''.

Ayant rapidement serré l’argent dans son tiroir-caisse, elle sort ensuite de derrière le bar, son plateau à la main pour aller mettre les verres sur la table du centre, qui seule est restée vide et commence à servir le champagne…

Jeanne jette un coup d’œil à l’engin dont le gland l’effluerait l’instant d’avant. Il est effectivement de belle taille comme elle l’a pressenti…
Doucement alors que gars ferme les yeux, elle lui reprend le membre en main. La hampe est plutôt longue et particulièrement épaisse, et ce qui attire surtout l’attention de Jeanne, c’est que cette tige n’était pas droite, mais bizarrement courbée, coudée presque, de telle manière que le gland n’est pas dans l’axe du membre, ni complètement dans le prolongement de la tige, mais décalé et plus bas…
̏ Une bite à tirer dans les coins ̋, se met à penser Jeanne que ces petites anomalies anatomiques attirent tout particulièrement sans trop savoir pourquoi. Sans doute plus par curiosité que par une perversion de son excitation.
Elle est sensible à ces petites différences plus ou moins accentuées qui font qu’aucun membre n’est exactement semblable à un autre… L’envie aussi de savoir quelles seront les répercussions de telles conformations dans les moments sexuels, avive son excitation ; par exemple lorsqu’elle s’en fera pénétrer, ou encore quand elle va le sucer… Elle le branle doucement d’un mouvement lent de haut en bas, mais qui va bien à fond, sur toute la longueur de la hampe, des couilles jusqu’au bout du gland…

Comme le quota de bouteilles est désormais atteint, Jeanne met un genou sur le sol et se penche pour prendre la bite en bouche, non sans s’être assurée au préalable que l’Adèle n’allait réagir intempestivement…
L’odeur de tout à l’heure, plus forte et plus présente, l’agresse de nouveau. Un effluve dense qu’elle connait bien qui vient directement du sexe de l’homme mêlé à un relent de musc. Non que le membre soit sale, mais cette odeur est sans doute due au fait que l’homme a traîné toute la journée, et ne s’est pas lavé depuis des heures. Et puis aussi parce qu’il a ment dû pisser… C’est une odeur forte à mi-chemin de celle de l’urine et celle de la transpiration forte des hommes...

Lorsqu’elle prend la bite en bouche, le goût associé à l’odeur lui déferle dans l’arrière gorge et les narines. Brusquement elle retrouve une sensation qui s’impose à elle….Une sensation qu’elle a connue et qu’elle reconnait maintenant très bien : celle de la bite de Casy. Il y a de cela quelques années… Alors, à cet instant son imaginaire lui échappe et se sont des images, des goûts subtils et précis qui lui reviennent, sans aucun effort, sans recherche particulière de sa part… Cette odeur tellement caractéristique, fauve, forte et puissante qui l’a tant enivrée cette première fois et qu’elle n’a encore jamais exactement retrouvée avant ce soir.

Parfois à certains moments, avec certains hommes, elle a eu conscience d’approcher cette odeur et ce goût qu’elle connait de ce moment-là, mais toujours quelque chose lui a manqué. Alors que ce soir…
Tandis qu’elle suce et aspire le membre imposant et déformé de l’homme, les images s’imposent devant ses yeux : le bout du gland énorme du Noir, des couilles aussi qui vont et viennent sur ses seins… Cinq ans après, le souvenir, la sensation lui reviennent, intacts, d’une présence inouïe. D’ailleurs c’est la bite de Casy qu’elle suce là, maintenant, et non celui du bel inconnu ivre de ce soir…

Elle veut en avoir le cœur net et vérifier que cette odeur si particulière, qui mêle le musc, la transpiration forte et l’urine ont bien pour chaque composant des origines différentes… Suçant le bout du gland et aspirant comme sur le tuyau d’une pipe, elle peut définir que c’est bien le goût acide et fade de l’urine qui domine, associé à une forte odeur de pisse, lorsqu’elle porte son nez sur le bout du gland.

Lorsqu’elle enfouit son nez et sa langue à la base de la tige, sous les couilles, là, c’était incontestablement les effluves de transpiration et de musc qui l’emportent, s’associant à la saveur piquante et un peu aigrelette de la sueur… Mais les deux odeurs combinées, ont cet étrange pouvoir sur elle de l’exciter au plus haut point. Elle sent son clito se durcir et même son sphincter anal frissonner… Toutes les femmes, à un moment ou à un autre de leur vie parfois même très souvent, ont atteint ainsi le paroxysme de leur excitation de femme grâce à ces mélanges d’odeur chez leurs amants…

Elle suce encore plus avidement le beau membre qui maintenant bande bien dur. Excitée par tous ces effluves, Jeanne fait le maximum, avec sa langue mais aussi avec ses mains. De l’une, elle branle la hampe tout en suçant le gland, de l’autre elle manie doucement les couilles allant de la caresse au pétrissage, ce qui a pour effet de maintenir l’érection du membre, ce dont le quidam à moitié somnolent a grand besoin pour conserver un minimum de vigilance…

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