La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1115)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

Je vous laisse imaginer l’effet produit sur les manadiers… Plus loin, sur la terrasse du mas, imposante bâtisse de pierres, le Maître des lieux, nous attendait. Vêtu comme ses hommes mais avec un gilet ouvert, signe distinctif du patron, son chapeau sur la tête, sa corpulence imposante d’homme habitué à être à cheval, par tous les temps, il avait, cependant ce petit plus, qui montrait bien, non seulement qu’il était le patron, le propriétaire des lieux, mais sa stature et surtout son regard en imposait fortement. Je ne sais pas pourquoi ni comment Maître et lui avaient noués des liens profonds, mais je savais que Monsieur le Marquis d’Evans, de par ses fonctions d’hommes d’affaires, entretenaient des relations très fortes avec beaucoup de monde, aussi différent que ce patron de manade par exemple, ainsi que d’autres PDG de grosses sociétés d’import-export de France voire du monde. Maître avait ainsi des « amis » aux U.S.A., au Brésil, en Chine, à Madagascar, en Europe et Asie, dont le Japon, pays qu’Il admirait depuis plusieurs années. Au Tibet, il avait également des amis très chers. Ses activités professionnelles ne s’arrêtaient pas là, Il avait des intérêts dans le domaine de la Viticulture, dans un élevage de crevettes à Madagascar, dans des sociétés au Brésil, et un de ses bureaux important se trouvait à Miami, en Floride.

Et à la Tour Montparnasse, à Paris, se trouvait un de ses importants bureaux de France. Monsieur le Marquis d’Evans gérait ses affaires de mains de maître. Sa holding supervisait beaucoup de choses, et la société du 12 avenue Daumesnil à Paris, société que j’ai évoquée dans un de mes tous premiers chapitres précédents (lors de ma rencontre avec le DRH), lui appartenait, mais à cette époque je ne le savais pas. Le Châtelain était souvent en déplacement et Il m’avait dit qu’Il souhaitait me confier des tâches auprès de Lui.

J’en parlerai dans les prochains chapitres. C’est dans cette mouvance que nous rendions visite à cet ami, manadier en Camargue. Mais, même en visite d’amitié, Maître ne perdait jamais de vue le monde des affaires ce qui me fit comprendre rapidement que derrière tous gestes qu’il faisait, se trouvait souvent une autre raison. Le maître des lieux nous reçut comme des princes. Tapant dans ses mains, le personnel de maison courait ici et là, nous apportant sièges, débarrassant le Noble de son manteau… nous mettant à l’aise…comme si le Roi arrivait en ses terres… Après les embrassades et accolades amicales et fortes bruyantes entre les deux Maîtres, Monsieur le Marquis me présenta en ses termes :

- Cher ami, je vous présente ma dernière trouvaille, une superbe pouliche comme votre œil exercé le voit depuis notre descente de voiture, pouliche que je vous laisse admirer…

Le Noble lâcha la laisse, mais me tendit sa main sur laquelle je posai mes doigts, je fis une révérence si basse, que mes fesses, ma vulve, mes seins, tout s’offrait naturellement à la vue de cet homme à la carrure imposante. Monsieur le Marquis d’Evans ajouta :

- Mon ami, sachez également, que ma pouliche est de sang noble et Comtesse de son état.
- Ah ! répondit le Seigneur des lieux, une esclave Comtesse ! C’est rare !…

Habitué à jauger d’un seul coup d’œil de la qualité de l’une de ses bêtes, Il me dévisageait à la façon d’un maquignon (encore un), me faisant comprendre de son doigt levé qui tournait sur lui-même d’en faire de même. J’obéissais, me laissant dévorer des yeux, tandis que Maître lui vantait mes mérites d’esclave. Les apéritifs ayant été apportés, les deux hommes échangeaient entre eux sur des questions importantes portant sur les troupeaux, la saison en cours, les problèmes administratifs, tandis que je restais debout aux côtés du Châtelain. De temps en temps, tout en poursuivant ses échanges, Maître passait ostensiblement sa main sous ma jupe, et me caressait la croupe sans vergogne.
Parfois, il passait ses doigts dans ma fente culière, et titillait même ma rosette sous les yeux lubriques du maître des lieux. A un moment donné, Maître mit sa main entre mes cuisses et selon la pression qu’il exerçait sur elles, je compris qu’Il souhaitait que je les écarte, ce que je fis. Alors que la discussion se poursuivait, que le personnel, tant masculin que féminin passait et repassait autour de nous, Maître titillait mon clitoris, introduisant même ses doigts dans ma vulve, en en massant l’intérieur sans retenue. Mes yeux clignaient, se fermaient, se rouvraient, je commençais de trembler toujours aussi excitée mais pas assouvie, je me laissais faire par les doigts habiles et baladeurs du Maître, sans rien pouvoir montrer.

De ma vulve commençaient d’arriver des fils de cyprine, difficiles à masquer étant donné la taille de la jupette. La glaire vaginale s’écoulait en fils entre mes cuisses exposées à la vue, fils devenant plus denses à mesure que les doigts du Noble amplifiaient leurs mouvements savants. Maître massait mon point G, et comme tout le monde le sait, un point G travaillé est carrément irrésistible pour une femelle, avec, en ce qui me concerne, une impossibilité absolue de bouger, obligée de ce fait, de subir… Ma respiration s’amplifiait de seconde en seconde, et le Manadier s’en rendit compte au point de dire au Maître :

- Votre femelle est en rut, je crois, mon ami !
- Ma femelle, comme vous le dites si justement est un Pur-Sang femelle qui démarre au quart de tour, comme vous le voyez ! Mais le terme de femelle Pur-Sang est, croyez-moi bien, adapté à elle et en vos murs, vous qui êtes un grand amateur de chevaux, et entouré de ces si formidables bêtes ! …

Nous étions venus, dans cette Manade, Monsieur le Marquis, Walter et moi pour deux jours, invités par le propriétaire des lieux, venue destinée tout à la fois, pour parler affaires entre Maître et son ami, et également, me présenter comme Sa plus belle acquisition.
Au fil des jours, des mois et des années passées auprès de Celui qui avait pris ma vie en main, tout en faisant partie de son troupeau de femelles esclaves, je me rendais compte de la place qu’il m’octroyait dans sa propre vie privée, mêlant à la fois sa vie professionnelle et celle de Maître. En plus de l’admiration sans borne que j’avais pour Lui, de l’Amour commençait de naître en mon cœur, pour cet homme qui avait tant changé ma vie. Mais, cela, je le gardais pour moi. Ainsi, Il exigeait de plus en plus souvent que je l’accompagne dans ses déplacements, qu’ils soient professionnels ou privés, et sur son ordre, j’étais chargé, par exemple de gérer son emploi du temps professionnel, Lui servant tout à la fois de secrétaire particulière, mais également de femelle qu’il n’hésitait jamais de présenter à ses relations et même à m’offrir.

Parmi mes fonctions, j’avais, également celle de ramener le calme entre les divers protagonistes, lors de négociations pour les accords commerciaux que sa Société négociait avec d’autres partenaires. Ces négociations, très ardues, entre financiers, hommes d’affaires, étaient parfois (souvent) très âpres. Ces Messieurs, bien, qu’en dehors de ces échanges, étaient des amis, partageant des goûts identiques, (beaucoup étaient Maîtres eux-aussi) ou se retrouvaient pour des parties de chasse privée en Sologne ou autres hauts lieux de chasse comme dans l’immense Domaine forestier appartenant à Monsieur le Marquis tout autour de Son Château. Ils ne chassaient pas uniquement que des gibiers à plume, le sanglier ou le chevreuil car entre deux coups de fusil, le soir, comparant leurs trophées de chasse, la soirée et la nuit se poursuivait en échanges de femelles et des ententes professionnelles et commerciales privées se nouaient ainsi. Mais, avant d’en arriver à ces « ententes » via les négociations, pour tant qu’elles se passent entre amis, n’en n’étaient pas moins âpres, l’amitié s’arrêtant là où commençait l’intérêt financier de chacun.
J’étais chargée, dans ce cas de ramener le calme, par ma simple présence féminine, et de femelle, proposant aux uns et aux autres des rafraîchissements, des moments agréables de détentes, et la notoriété qui était devenue la mienne, suffisait souvent à calmer les esprits. Parfois je devais même donner mon corps afin de contenter une signature de contrats…

Un téton effleurant une bouche tandis que je servais des rafraîchissements, des coups d’oeil justement adressés… je participais ainsi à la bonne humeur et l’entente entre partenaires. De fait, j’agissais en « tampon » entre les diverses personnes… proposant aux unes, quelques avantages, aux autres, quelques « récompenses » que je savais, acceptées par avance par le Maître voire imposées par Celui-ci. Combien de contrats avaient ainsi été conclus sur et grâce à mes « fesses »… Maître le savait… C’est dans cette optique que nous étions venus dans cette Manade. Je ne savais pas, en revanche, que j’avais été, également, l’objet de la négociation, voire plus encore, mais le vécus un peu plus tard. Vous le découvrirez dans les chapitres suivants. Pour l’heure, nous en étions au repas offert par le maître des lieux, repas très méridional, aïoli, crustacés, gardianne de taureau (cela s’impose) le tout arrosé des meilleurs vins locaux comme rosés de Bandol, rouge de Châteauneuf du Pape ou Gigondas, le vin coulait à flot… ce qui déliait les langues et ouvrait des appétits moins stomacaux. J’étais un peu la « reine » du repas de par ma tenue, toujours entièrement nue, portant collier et laisse aux armoiries de Monsieur le Marquis d’Evans. Ma façon de me tenir aux côtés de Celui-ci provoquait beaucoup de questions, devenant, au fur et à mesure de l’avancée du repas, vins aidant, plus directes et grivoises.

La tablée se composait exclusivement d’hommes et j’étais la seule femme du groupe… Imaginez l’ambiance très chaude qui régnait à cette table, tandis que mes seins trônaient au-dessus de mon assiette, carrément sous les yeux de ces messieurs maintenant bien avinés… Je devais répondre aux questions posées, questions devenant au fur et à mesure de l’avancée du repas, de plus en plus directes et précises… tandis que le Manadier et le Noble, qui se faisaient face, à la table, sans perdre ce qu’ils entendaient, continuaient de négocier entre eux… Le Manadier dut intervenir plusieurs fois, de sa grosse voix et autorité pour demander aux hommes les plus directs de se calmer quelque peu, mais Maître rajoutait :

- Laissez, mon ami, vos gens questionner ma si belle pouliche qui, elle le sait, doit répondre avec précision, à toutes les questions posées.

En fin renard de négociateur avisé, le Châtelain savait où il allait et entre le fromage et le dessert, ajouta en se levant :

- Je voudrai honorer cette assemblée qui nous a reçus ce jour avec tant d’honneurs. Je voudrai féliciter mon ami, le Manadier sur la qualité exceptionnelle de son domaine aussi, je vous offre, en avant-première du dessert qui va nous être servi, de vous régaler des facultés exceptionnelles de ma femelle Pur-Sang.

Des applaudissements fusèrent en tous sens. Maître remercia avec un grand sourire et poursuivit :

- J’entends les questions de tout le monde sur ma femelle ici présente et après les réponses qu’elle a données, je vais vous la montrer en action !

Les visages se tendirent, les bouches s’arrondirent, les yeux s’écarquillèrent, beaucoup de verres se virent subitement remplis de vins et vidés tout aussi vite…

- Ma femelle (poursuivit le Maître) va vous faire une démonstration de masturbation, là, devant vous, sous vos yeux, Messieurs et je lui ordonne même de se laisser aller au bout de ses envies en jouissant comme elle sait si bien le faire.

A bout de la table, se trouvait une autre table sur laquelle, les serveurs posaient les plats avant de les servir. Le Noble se pencha vers le Manadier et lui parla à l’oreille. Son visage rougeaud s’éclaira immédiatement, il frappa dans ses mains, ordonna de libérer la desserte, et demanda à deux serveurs de m’aider à monter sur la dite table. Je regardais Maître, qui prit la laisse, tira dessus pour me faire me lever, le suivre, aller vers la table, qui était trop haute pour moi… J’attendais un escabeau ou une chaise pour je puisse m’y installer mais deux bras puissants arrivés derrière moi et me prenant par les aisselles me soulevèrent tel un fétu de paille et me déposèrent doucement sur la table accompagnée d’applaudissements crépitant, de sifflets… Debout devant tous ces hommes, je commençais de tourner lentement devant eux, en ondulant du fessier, pour qu’ils découvrent la totalité de mon corps. Instinctivement, je retrouvais mes mouvements corporels provocants, ainsi que mon regard enjôleur et méprisant, qui étaient les miens quand je défilais. Les applaudissements reprenaient de plus belles… J’écartais les jambes, exhibant ma vulve que je caressais sans vergogne… puis commençais à travailler mon ami le clitoris, qui, excité depuis le matin, dans la Rolls-Royce, puis par les questions directes posées par les invités, les regards d’envies réagissaient très rapidement au même titre que mon clitoris.

Celui-ci se dressa fièrement, je l’exhibais et les sifflets reprirent de plus belle, tandis que je sentais mon bas ventre se creuser et ma chatte devenir très mouillée. Je fermais les yeux pendant je me caressais, titillais, tapotais, étirais mon ami le clito qui en fidèle serviteur ou tyran, me rendait immédiatement le prix de ma caresse. Ma respiration devenait plus rapide, mes reins se creusaient de plus en plus, mon bassin se présentait aux regards des invités, tandis que mes cuisses s’écartaient encore plus, que ma chatte s’ouvrait toute seule, et que des filets de mouille recommençaient à couler entre mes cuisses… La vue de ces fils translucides, preuve de mon envie, déclencha des tonnerres d’applaudissements nouveaux, tandis que les verres continuaient de se remplir et de se vider aussi vite, les serveurs n’arrêtant pas de servir, de déboucher de nouvelles bouteilles, et devant ces messieurs, la femelle que j’étais, les provoquait honteusement, s’offrant à tous les délires mentaux de ces cerveaux avinés et excités…

(A suivre …)

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