Soirée Humide

20 heures, c’est le moment de rejoindre la soirée en cours dans l’appartement du quatrième larron… Aucune volonté ne le meut, il est fatigué d’un monde qui le soule, des règles, des jugements, quelle barbe. Allons-y se dit-il, nous verrons comment cela se présente. Arrivé devant la porte après dix minutes de marche bercée par un morceau de métal fou, le jeune homme entend distinctement les basses vibrer dans l’immeuble. Cela semble bien partie pense-t-il, et soudain la porte lui est ouverte par un gars bourré sans aucune allure, à moitié nu suite aux danses décérébrées. Il entre, puis ce n’est qu’un tourbillon, les amis hurlent leur joie indiscrète de le voir, la fumée virevolte, la beuh tourne entre les doigts, les verres se vident les uns après les autres, et il y a elle qui danse sans cesse, captivante se dit-il. Alors que tout s’enchaine, semblant être hors du temps, un slow porte ses sons jusque dans la cuisine oui le jeune homme se tient, parlant à la belle inconnue. un instant de pause. Il la regarde et lui prend la main sans dire mot, plein sourire, puis l’attire contre lui dans le salon privé de toute lumière… Et ils tournoient l’un dans l’autre, s’accrochant comme désespéré au partenaire. Elle a quelques larmes qui coulent, alors qu’elle pense à son mec qui s’est barré comme un lâche. Rien à foutre lâcha-t-elle, je profite. Quoi ? lui répondit le jeune homme. Oh non rien, ce n’est qu’une réflexion. Mais les yeux se sont accrochés comme deux aimants, c’est la chute obligé dans les profondeurs de l’âme en face, les bouches s’approchent alors que le coeur rate un battement et s’emballe ensuite. C’est un moment de bonheur infini, plus rien n’existe pour eux alors que les langues s’entremêlent dans un ballet langoureux. La main de l’homme sert la taille fine de la fille, qui se serre contre lui, cédant au désir. L’autre main descend vers les rondeurs parfaites, arrivée obligé de cette course érotique. De tendres caresses la font frémir, elle sent une chaleur incontrôlable monter en elle, se pressé dans son bas-ventre.

Elle se sent ployer sous le désir, elle n’en peut plus alors qu’elle sent contre sa cuisse que l’homme non plus n’est plus indifférent ; elle se détache, le fixant dans les yeux, et l’attire par la main dans une chambre libre. C’est un appel humide, un désir incroyable qui la font s’allonger sur le lit, jambes écartées, le regard fiévreux, aussi humide que son entrejambe qui appelle l’accomplissement de toute l’excitation. Alors qu’il s’allonge doucement, elle ôte son haut, dévoilant une poitrine parfaite, ronde, aux tétons dardés au point qu’ils lui font mal, écrasés qu’ils sont contre le soutient-gorge. il lui arrache d’un coup, alors qu’elle défait son pantalon, dévoilant un pénis de taille conséquente… Comment va-t-il rentrer se dit-elle d’un coup ? Mais la main du jeune homme la fit taire au même moment. Elle s’était posé sur sa chatte trempée, à travers le string à présent inutile. Un frisson violent la parcourue, la mouille ruissela de plus belle entre ses jambes, tant le désir se faisait pressant et la passion violente.
Elle posa ses mains sur les seins, tandis qu’il dénichait le point dissimulé, centre de plaisir, elle gémit alors, n’y tenant plus. La chaleur montait sans cesse, elle remuait du bassin pour essayer d’échapper à cette qui l’amènerait pourtant à l’orgasme tant convoité. Mais elle n’avait pas prévu l’entrée des doigts du jeune homme dans sa fente trempée, elle suffoqua presque sous le coup, et souleva le bassin alors qu’elle sentis monter la vague irréversible. Elle l’emporta d’un coup, la poussant, l’élevant, la retournant pendant qu’un long cris sortis de sa bouche, un long cris aigu, celui de l’orgasme. Heureusement que la musique était suffisamment forte. Achevée, allongée sur le lit, elle saisit la bite tendu pour lui rendre la pareil. Elle fit glisser lentement sa main le long de l’engin qui prenait encore du volume, mais ne voulu pas attendre encore. Elle poussa l’homme sur le dos, et monta à cheval au-dessus de lui, s’empalant sur le dard dressé, et poussant un gémissement aigu.
Elle le sentais pleinement en elle, tirant de tout les cotés malgré toute la mouille présente. Alors qu’il lui pressait les seins, elle monta puis descendit sur l’homme en elle, accélérant alors qu’elle criait à présent, haletante. Et d’un coup, elle saisit la peau de l’homme, pacha un premier « aaah » hésitant puis se pencha en avant en gémissant longuement et puisement tandis qu’il se déversait en elle à longs jets qui semblait sans fin. Puis elle s’affala, irradié par le plaisir…

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