La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1116)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

… s’offrant à tous les délires mentaux de ces cerveaux avinés et excités… Certains invités se levaient comme pour mieux voir mais étaient immédiatement rassis par l’invité placé derrière eux qui ne voyait plus rien pendant quelques secondes… Des échanges commençaient entre les voyeurs… La tension érotique montait dans la salle et même les serveurs, pourtant très occupés à déboucher les bouteilles et servir, tentaient eux-aussi de ne rien perdre du spectacle offert, en lançant des coups d’œil insistants dans ma direction…. Je savais l’immense fierté qui devait être celle du Maître, aussi, je poursuivais mes attouchements, devenus maintenant obscènes, en introduisant dans ma chatte, deux, puis trois et enfin quatre doigts tout en continuant à malaxer mon clitoris en feu. Je me branlais profondément la vulve devenue torrent de cyprine, laquelle s’écoulait entre mes cuisses en longs paquets de glaire, qui se balançaient entre mon entre jambes, s’alourdissant au fur et à mesure qu’en arrivait de nouvelles, parfois se collant sur mes cuisses de salope, parfois ramassées par mes doigts que je léchais vicieusement devant les hommes, pour, ensuite, renfoncer profondément mes quatre doigts dans ma chatte bien ouverte, ce qui me faisait onduler encore plus de la croupe, et j’avais de plus en plus envies de jouissances, tellement ces envies étaient devenues bien réelles et torrides. D’un coup d’œil, je regardais Maître qui comprit ma demande charnelle et jouissive faite par mon regard suppliant. D’un discret geste affirmatif, hochant doucement et positivement la tête, je compris Son autorisation à ce que je lâche mes jouissances sans retenue, alors je ne fus pas longue à exploser me mettant à crier mes violents orgasmes…

- Ouiiii mer…ciiiii Maître…ouiii ! Ahhhhhhhh !

Je me tortillais en tous sens, la laisse se balançait entre mes seins dont les tétons fripés étaient dressés et allongés.

Les orgasmes se succédaient sans interruption et se déversaient sur moi les uns après les autres, en des vagues successives, ininterrompues, me faisant abandonner définitivement toute notion de pudeur. J’avais tant envie de jouir et depuis si longtemps, privée de ce nectar divin qu’est pour moi la jouissance, que je me laissais complètement aller remerciant en pensée le Maître de son si généreux cadeau, même si je savais qu’Il ne l’avait pas fait pour moi… Dressée sur la pointe de mes orteils, je jouissais comme en une sorte de danse orgasmique, exhibant sans plus de retenue l’intégralité de mon corps de femelle exhibée, dévoilant mes intimités en écartant ma chatte, l’ouvrant démesurément devant les yeux affamés des convives. De ma propre initiative, je m’allongeais sur la table, cuisses bien écartées, mon sexe tenu béant par mes deux mains, puis je bondissais, me retournant, posée sur les genoux, écartant mes fesses montrant mon ouverture anale, dans laquelle j’enfonçais deux doigts et me branlant ainsi devant l’ « auditoire »… les fourchettes frappaient les assiettes, le dessert était servi, dessert que les invités engloutissaient sans même prendre le temps de le déguster, tous entièrement tournés vers le spectacle que j’offrais, spectacle d’une salope vicieuse en chaleurs qui se donnait à leurs regards pervers… Devant la montée très palpable des grondements des invités perdant la tête, Monsieur le Marquis et le Manadier durent mettre fin d’autorité à ma prestation et c’est non encore assouvie que je dus redescendre de la table, revenir la tête baissée aux côtés du Maître, reprendre ma place, complètement essoufflée, transpirante, comme sortant d’un rêve… brutalement, rêve non terminé… Le Noble me tapotait avec amour la main, je le regardais comme si je cherchais de sa part sa fierté et son contentement… Alors que « mon public » était déchainé, il tapait fortement des pieds au sol résonnant mais aussi par de multiples applaudissements à n’en plus finir, le Châtelain me dit alors à l’oreille :

- Jai de grands projets pour toi, Ma belle petite chienne, de très grands projets… tu es… merveilleuse…
- Merci Maître, répondis-je en rougissant…
- Messieurs, calmez-vous… calmez-vous !, s’adressa-t-il à l’assemblée en effervescence, Ma chienne vous a excité et je m’en réjouis, c’était mon dessein ! Mais je ne vais pas vous laisser sur votre faim ! Je vous l’offre ! Elle est à vous pour la soirée et la nuit ! Prenez là par tous ses orifices, baissez-la comme vous voudrez ! Usez et z de son corps à satiété ! …

Monsieur le Marquis n’avait pas fini ses derniers mots qu’une volée de « hourras » se fit entendre suivit d’une ruée d’hommes bondissant sur mon corps.
Je fus investie par des dizaines de mains baladeuses, des queues déjà dressées que je dus sucer tandis qu’on me baissait à tout va. A peine un homme avait joui qu’un autre prenait sa place que ce soit dans ma chatte, mon cul ou ma bouche … J’étais devenue un réceptacle à sperme et la nuit fut orgiaque. Le Maitre dans sa grande bonté m’avait autorisé à jouir à souhait toute la nuit alors je ne me suis pas privé par d’innombrables jouissances lesquelles je ne saurai chiffrer tant elles ont été nombreuses jusqu’au petit matin…

J’eu droit à me reposer dans le lit du Maître pour dormir toute la matinée. L’après-midi fut consacrée à une magnifique balade à cheval en pleine Camargue. La soirée et la nuit suivante marquèrent la fin des deux premières journées si intenses en sensations. Un banquet était prévu en l’honneur du Maître. Pendant que Monsieur le Marquis parlait affaires avec le Manadier, dans le bureau de celui-ci, j’avais été envoyée en compagnie de Walter, me préparer. Le Manadier nous avait adjoint sa fille, Laure, 20 ans et Michel, un jeune homme travaillant dans la maison, pour nous guider et nous aider. Il était 18 heures, le banquet était prévu pour 21h30. Michel vint nous chercher et nous conduisit vers des chambres annexes aux appartements du Manadier. C’est dans une de ces chambres que je logerais jusqu’au demain soir et non plus dans le lit du Maître. Michel nous fit entrer, moi et Walter et nous découvrîmes des chambres très bien équipées, lit à baldaquin, très belle tapisserie, salle de bains superbe avec tout le confort… Michel nous laissa, Walter et moi, nous disant de nous faire signe en cas de besoin. Seule avec le Majordome, celui-ci m’ordonna, avant d’aller prendre un bain, de me pencher sur le lit, mains posées sur celui-ci, fessier bien offert, ajoutant :

- Si le Maître est particulièrement flatté de ta nuit avec les hommes du Manadier, il est aussi agacé de ce qui lui a semblé, être de ta part un semblant de déviation dans ton esclavage.
Tu sembles avoir pris aujourd’hui, d’après Lui, des libertés inacceptables. Cette sorte de vedettariat qui était le tien auprès des gardians l’a particulièrement agacé par le fait que la nuit dernière par exemple, tu les as tous épuisé en leur vidant abondement les couilles alors que toi, au petit matin, tu semblais être encore toute fraîche, insatiable de sexe et un air de victoire et d’insolence se dessinait sur ton regard victorieux toute cette journée surtout lors de la balade à cheval où tu as gardé la tête haute devant les cavaliers tous à ta suite avec leurs yeux quasi admiratifs envers toi...

Je n’étais pas encore penchée sur le lit et j’allais répondre quand, très brutalement je reçus deux allers-retours en plein visage qui me firent tomber à terre. Souffle coupé, je mis quelques secondes à comprendre ce qui m’arrivait. Walter, sans un mot, de son doigt me désignait le lit.

- Que crois-tu que tu sois, petite salope, la reine de la journée ?, parce que tu as réussi à contenter toute une nuit une bande de cavaliers en rut ? Tu n’es qu’une femelle, ne l’oublie jamais !
- Oui Monsieur Walter, pardon !
- Pardon ? Tu n’imagines pas qu’il te suffise de dire Pardon pour l’être ! Les femelles comme toi doivent être dressées et punie, c’est la Loi du Maître.

Le Majordome sortait de son sac, une cravache, et il commença de me labourer l’arrière-train, mais si fortement, que j’eux la nette impression, pour la première fois, de ne pas résister… Les coups tombaient si forts qu’à chaque coup reçu, j’avais la sensation d’avoir la fesse coupée en deux, ou les cuisses… Je ne puis dire combien je reçus de coups mais alors que j’allais m’évanouir, Walter jeta sa cravache. Je souffrais tellement que je me mis à trembler fortement, si violemment qu’il s’en rendit compte…

- Ça va ? me demanda-t-il ?

Pas de réponse tant j’avais mal, très mal, mais je ne lui en voulais pas et en plus, je comprenais bien que Maître avait bien senti que j’en profitais d’avoir réussi à vider les couilles des hommes du Manadier et que j’en faisais un péché d’orgueil, ors une esclave n’a pas à avoir d’orgueil ni d’insolence….
.

- Réponds-moi, ça va ?
- Oui, Monsieur Walter, ca…..va……(en fait, ça n’allait pas du tout)
- Relèves-toi, alors !

Tandis que je me relevais, je tombais devant lui tant la douleur me faisait plier sur mes cuisses en feu… Walter me rattrapa, me prit dans ses bras, me levant comme un fétu de paille, (inquiet même) il m’allongea sur le lit, mais, posée sur mes fesses, je fis un tel bond tant la douleur des marques sur les fesses était cuisante, que je me remettais immédiatement sur le ventre… Il me laissa ainsi un bon moment et se rendant compte que je m’étais enfin calmée, après avoir vérifié les marques qui lui paraissaient, certes bien frappées, mais sans danger, m’ordonna à nouveau de me relever…

- Remets-toi comme tout à l’heure ordonna-t-il !

Pendant une seconde je ne bougeais pas, (la peur que cela recommence) puis j’obéis. Je l’entendis défaire son pantalon, sans le voir, le sentit poser ses mains battoirs sur mes fesses, enfin aux endroits non marqués, les écartant, puis il posa son gland sur ma rosette qui se ferma puis immédiatement s’ouvrit. Walter n’était ni mauvais ni méchant, il appliquait seulement les consignes données par le Maître. Il poussait, sa bite forçait mon ouverture anale, je tentais d’écarter encore plus les jambes, pour m’ouvrir plus, et peu à peu, me détendant, il s’enfonçait lentement mais sûrement en mes fesses. Avec lui, cette sensation d’être remplie m’étonnait toujours, il était si gros que je ne pouvais ressentir autre chose que d’être rassasiée, pleinement remplie… Il s’enfonçait profondément à chaque fois et ensuite commençait ses mouvements de piston, lents au début, puis de plus en plus forts, puissants, dévastateurs ce qui, immanquablement, et malgré les douleurs, m’amenait à déclencher en moi des pulsions orgiaques. Son travail, méticuleux, d’allers-retours, élargissait ma muqueuse anale mais en même temps, labourait profondément mon rectum comme le ferait le soc d’une charrue. Le Majordome en vieux connaisseur de la chose féminine, savait s’y prendre, alternant les fortes poussées, les violents coups de reins avec les moins forts, contrôlant de ce fait la montée des désirs en la femelle que je devenais à chaque fois avec lui. Walter avait un self contrôle incroyable et il pouvait me pistonner ainsi pendant près de trente minutes sans faire montre d’une quelconque arrivée de son foutre. C’est ce qu’il fit en cet instant ; après un labourage systématique qui me faisait « oublier » mes douleurs, il ressortit complètement laissant béante l’ouverture anale. Ensuite, il s’enfonça sans préambule dans ma chatte gluante, jusqu’au fond, me remontant le col utérin….

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!