Je Prends Plaisir De Voir Ma Femme Me Cocufier...

Je fus tout de suite en alerte. Il y avait quelque chose de pas très normal, sur l’altitude de ma femme en cette fin après-midi. Il était prévu qu’elle travaille cette nuit, mais la tenue qu’elle avait revêtue porté à confusion. M’incitant à me tenir sur mes gardes.
Après m’avoir annoncé qu’elle s’apprêtait à partir, je l’accompagnais jusqu’à l’entrée. Elle se saisit de son imperméable sur la patère, celui même qu’elle enfilait habituellement que pour la grande occasion.
Elle se justifia en attestant que les autres étaient sales. Pour compléter le méfait elle fourra ses pieds gainés de nylon blanc dans ses escarpins rouges au lieu et place de ses coutumières baskets.
Cela ira mieux avec mon imper ! Ce fut ses propres mots comme pour se disculper. Elle avait réponse à tout.
Je pris sur moi pour ne rien faire paraître à ses yeux. Alors que j’avais pris auparavant la ferme résolution de la suivre discrètement. Avec l’espoir de mettre trompé sur son compte.
J’avais attendu patiemment qu’elle prenne la route à bord de sa voiture pour débouler à mon tour sur le trottoir. Je sautais dans l’habitacle de la mienne et je lui filais le train. Cela avait été un jeu d’ de la rattr. La conduite de nuit n‘avait jamais été son point fort.
Alors que je suivais à bonne distance, ses feux rouges en ligna de mire, une seule pensée me vint en boucle dans la tête : mais où donc pouvait-elle aller ? Surtout que la direction qu’elle avait prise n’était pas celui la menant à son boulot.
Elle me fit parcourir une vingtaine de kilomètre avant de s‘arrêter devant une grille que je reconnue, étant la demeure de son collègue Patrice. Tiens ! Tiens ! Je fus qu‘à demi surpris.
J’avais décelé ses derniers temps, qu‘ils y avaient entre eux deux, plus qu’une complicité professionnelle. Mais là, à croire qu‘elle était devenue sa maîtresse il y avait un pas qu‘elle avait sans doute franchis.
Après m’être garé un peu loin dans une rue perpendiculaire j’émergeais dans l’air tiède de la nuit.

Tremblotant, je m’avançais jusqu’à la grille, là où ma femme avait été avalé quelques instants plus tôt.
Pour être à plusieurs fois venue dans ce lieu, je connaissais parfaitement l’endroit. Je savais qu’un gros chêne se trouvait dans le jardin, et que ce dernier dominait toute la demeure. Et cela me donna une idée.
Je m’engageais dans à l’intérieur de la court, coudes au corps, en une petite foulée rapide et souple, jusqu’à ce que j’atteigne mon but. Un coup d’œil en direction de la demeure, je m’aperçus des ombres aux seconds niveaux. Je supervisais l’objectif, tous les sens en alerte. Quelques branches s’avançaient jusqu’à l’aplomb de la pièce allumée. Ce fut un jeu d’ pour moi de l’atteindre.
De ce parfait poste d’observation, j’eus la douloureuse surprise de surprendre ma femme en compagnie de son collègue. Elle était dévêtue, agenouillée aux pieds de son amant, son pénis dans la bouche. Ses lèvres étaient affreusement déformées par le gland. Qu’elle suçait avec une infinie délicatesse. Avec une lenteur démesurée en hochant les joues. Patrice, ses mains en appuie sur la tête de ma femme, faisait tanguer son bassin.
Visiblement mon épouse prenait un certain plaisir à le sucer. Elle y mettait même une application qui aurait pu dans d’autre temps me rendre jaloux. Ce qui n’était pas le cas sur l’instant.
Elle avait pris la bourse de son collègue dans sa main gauche, la soupesa, l’évalua, la prenait à pleine poignée avant de la malaxait tendrement pendant que sa bouche effectuait de savants allers et retours sur l’épaisse verge à l’énorme gland, sa main droite accompagnant le mouvement.
J’ai honte de vous avouez, à vous, mes chers lecteurs qu’à cet instant je bandais, oui ! Je bandais, excité comme jamais. De toute façon, je ne pouvais pas être tourmenté, ce n’était pas ma femme qui le sucer, c’était son enveloppe charnelle, désincarnées, possédée par le démon de la perversion.
Puis elle se positionna à quatre pattes sur le lit.
L’amant s’empressa de l’imiter, se plaçant derrière elle. Il plaça son gros mandrin de chair au centre de sa cible et commença à la faire disparaître avec lenteur dans le derrière de ma moitié.
Sur ma plate forme improvisée, mon érection ne diminuait pas, d’où au contraire. Tant je prenais plaisir à ce qui se dérouler devant mes rétines. Au point de ne pas pouvoir résister à pincer ma queue par-dessus l‘étoffe de mon pantalon. Là-bas derrière le carreau ma femme avait levé les fesses pour aller au-devant de son amant. Je devenais surexcité. Ma bite gonflée était maintenant devenu à l’étroit dans mon pantalon. Je ne résistais pas à la mettre à l’air et à me masturber, les yeux rivés sur ma femme qui se cramponnait au lit, pendant que son amant la baisait de toutes ses forces. Le visage rougi par le plaisir, elle remuait son cul dans tous les sens la bouche grande ouverte.
Sous la brutale poussée, elle tomba le nez en avant. Le salaud en profita pour lui défoncer carrément la chatte. Elle s’offrait à lui, tendant encore et toujours ses fesses, le cul en l’air. Il la limait de plus en plus vite, de plus en plus fort aussi. Malgré la fenêtre fermée, je l’entendais jouir comme je ne l’avais jamais entendu jouir avec moi. Il m’en fallait pas plus pour me faire éjaculer à gros bouillons.
L’excitation retombé, je m’interdis d’en voir plus. Je suis descendu de mon arbre et j’étais allé rejoindre ma voiture.
Quelques kilomètres plus loin, au fond de mon lit, je n’avais pas pu fermer l’œil de la nuit. Regardant l’heure à chaque instant. Puis j’entendis une voiture s’arrêter sur le trottoir. Le moteur se coupait, puis une portière claquait. S’en suivit des bruits de pas dans l’escalier et enfin la porte de la chambre qui s’ouvrait. J’appuyais sur l’interrupteur, une lumière artificielle éclaira ma femme en train de se déchausser.
- Bonjour, ne fis-je, pas trop dur ?
- Ne m’en parle pas… que des emmerdes… bon n’en parlant pas, veux-tu, je suis crevée comme tu peux le comprendre après une nuit mouvementée.

Son visage était rouge et échevelé, sa jupe était toute froissée. Les boutons sur le côté de sa jupe étaient dégrafés jusqu’à la hanche. La chair blanche et luisante de sa cuisse était visible au-dessus du bas pourtant de la même couleur et elle ne cherchait pas à la masquer. Ses yeux fixes brillaient d’une étrange lueur.
Pas la peine de regarder ma queue pour savoir que je bandais. En d’autre temps j’aurai caché mon érection, mais pas là, tout au contraire. Elle me regardait, étonnée, dans sa petite tenue en dentelle rouge qui moulait parfaitement ses formes. Une large auréole ornait sa culotte à a hauteur de son sexe. Comme si elle s‘était pissé dessus. Je coupais la lumière. Dans l’obscurité, je perçus le froissement d’un vêtement que l’on retire. Puis aussitôt elle investit le lit, son corps vint se lover contre le mien. Sans un mot, elle enfila elle-même ma queue dans sa chatte. J’avais l’impression de nager à l’intérieur de son sexe alors qu‘elle cavalcadait dessus. Elle prenait un réel plaisir à monter et à descendre tout en ondulant des hanches. J’avais rarement été aussi excité à ce point ses derniers jours. Elle se mit à donner des coups de cul de plus en plus rapides, tout en ahanant.
Ma main glissa sous ses fesses, alors que la deuxième s’empara d’un de ses nichons, le pressant comme si j’avais voulu le remodeler. Sans contraindre, j’insinuais mon index dans son cul. J’y trouvais avec stupeur et émoi, du sperme. Pris de folie, d’un violent coup de reins, je la fis basculer sur le lit. Sous l’action elle avait laissé échapper ma verge, que je mis un point d’honneur à engager entre ses fesses. Il ne me fallut qu’un seul coup de reins pour l‘investir de toute ma longueur. Elle devait se sentir indigne et sale pour se laisser malmener comme une pute. De façon obscène, elle offrit son cul en frétillant de la croupe sous mes coups de queue.
- Oh oui, encule-moi ! Je ne veux jouir que comme ça, maintenant ! Dit-elle dans un murmure, pour ne pas réveiller les s dormant tout proche.

Ce furent les seules paroles sortant de sa bouche, avant de se mettre à haleter à en perdre le souffle. La jouissance nous emporta tous les deux. Et en même temps. Une chose qui n’était pas arrivé depuis belle lurette à notre couple…

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