La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1118)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

Le Maître s’exclamant haut et fort :

- Mesdames et Messieurs, j’ai le grand honneur d’être parmi vous ce soir, accompagné de mon fidèle Majordome Walter, (celui-ci se leva, salua puis se rassit immédiatement), et de Mon esclave, Isabelle, Comtesse de son état… (D’un signe de tête poli, je saluais également) De manière à clore ces questions d’esclavage que j’entends de ci, de là, je vais vous présenter la Comtesse esclave, ainsi vous saurez… (Se penchant vers moi, il me dit) - Lève-toi, petite chienne, m’attrapant par mon collier (je n’avais pas la laisse)…

Il claqua dans ses doigts vers Walter, qui la lui tendit. Puis, il accrocha la laisse, tira dessus pour me faire lever… Des épouses, mains devant la bouche, dirent :

- Ohhhh !

Je me levais et suivais le Maître qui me fit monter sur une petite estrade et :

- Déshabille-toi entièrement et laisse-nous admirer ton corps sublime…

Je montai sur l’estrade dominant de ma hauteur, augmentée par les 15 cm de talons de mes escarpins, Je défis la ceinture faisant tenir ma robe et du bout des doigts, regardant droit dans les yeux, les Invités, la lâcha et la fis choir sur mes talons, dévoilant d’un coup, d’un seul, l’intégralité de mon corps nu de femelle… Tournant sur moi-même, la vue de mes fesses, très marquées et entamées firent pousser des :

- Ohhhhh et des ahhhh, mon dieuuuuu ! (d’admiration pour les hommes et d’interrogations pour certaines épouses)

Puis, revenue de face, jambe de gauche, à demie pliée à la manière des mannequins, main gauche posée sur la hanche, je dévisageais l’ensemble de l’assemblée en un regard fier, les toisant même…

- Des questions, reprit Maître ?
- Mais, esclave quand même reprit Madame De… vous voulez dire ?…
- Petite chienne, reprit Maître à mon adresse….

écarte tes jambes ! Montre-nous ta vulve !

- Ohhhh dirent certaines…

J’écartais les jambes, ouvrais ma chatte, mais je baissais les yeux…

- Caresses-toi, ordonna le Noble !

Une main sur la chatte ouverte, l’autre sur le clito, je me caressais langoureusement…

- Mesdames et Messieurs, avez-vous compris, maintenant le sens du mot esclave ?

D’un claquement de doigts, Monsieur le Marquis me fit signe de redescendre et tandis que je tentais de récupérer ma robe tombée à terre, il prit la laisse et m’entraina ainsi à sa suite, réintégrant à la fois, Sa place et la mienne. C’est ainsi, qu’entièrement nue, le banquet commença. Diverses conversations s’échangeaient, je répondais sans encombre à toutes les questions qui m’étaient posées, à la fois sur mon état d’esclave, mais nous parlions aussi de politique, de mode, de propos mondains en somme, sauf que j’étais entièrement nue, portant collier et laisse… Le Manadier me complimentait ouvertement sur mes qualités de femelle. Les Invités semblaient être décontenancés par la vue de la femelle nue et obéissante que je montrais, et ce qu’ils entendaient de la bouche même de celui qui les avait Invités. Maître en profita pour renverser les compliments qui m’étaient faits en prenant la parole :

- Chers amis, si, comme vous je remercie mon excellent ami, Manadier à la fois de son invitation et des compliments qu’il m’adresse personnellement vantant les mérites de ma petite pouliche, je souhaiterais néanmoins vous démontrer les excellentes qualités qui sont les siennes en matière d’obéissance. Si vous avez vu avec quelle aisance elle se montrait et se donnait à vous en toute impudeur, je vais vous proposer de la re tester plus encore, au cours de cette soirée, en ce qui concerne, ses étonnantes facultés d’obéissance et de soumission. Vous la voyez, là, devant vous, nue, mais maintenant je vais lui ordonner de se caresser, là tout de suite, depuis sa place, se laissant aller aux plaisirs que vous imaginez aisément et sans aucune pudeur de sa part, car pour une esclave, les mots comme ‘pudeur’, intimité, ‘honte’ n’ont plus lieu d’exister.
..

D’un claquement de doigt à mon intention il me fit comprendre de commencer immédiatement, ce que je fis. Toujours assise sur le rebord de mon siège, reins cambrés, j’écartais ostensiblement mes cuisses, et commençais de passer mes doigts le long de mon ami le clitoris…. Maître reprit :

- Si, vous souhaitez en voir plus, dites-le moi et vous saurez ce qu’obéir signifie pour Moi !

Tandis que je titillais mon clitoris, du bout de mes doigts, celui-ci se dressait fièrement, mais les Invités ne voyaient que mon visage, mes yeux se fermaient par moment comme pour mieux ressentir encore la douceur de mes doigts… Rapidement, plusieurs d’entre eux, tentaient de se lever pour mieux voir ou en voir plus et finalement, quelques hommes et femmes aussi demandèrent à mieux voir… Le Châtelain eut un sourire entendu : Il prit la laisse en tira un coup sec me faisant comprendre de le suivre…. Je fus installée sur la petite table en bout de celle sur laquelle nous mangions. Une sorte de fauteuil y était placé sur lequel je pris place, les fesses sur le bord du siège, les épaules contre le dossier et les deux cuisses reposant sur les accoudoirs… Ma vulve, bien exposée et ouverte, laissait voir mon clitoris, maintenant bien dressé par mes premières caresses. Je renversais la tête en arrière, et reprenais mes attouchements… Caresse sur le long du clito, tapotages sur son nez, effleurages du capuchon, étirement de celui-ci pour faire émerger la partie sensible de mon ami, le clito… Très rapidement, celui-ci se mit en mouvements, car avec mes envies naissantes, il commençait à remuer en même temps que mon vagin qui lui commençait à réclamer son du. La vue de mon clitoris remuant régulièrement fit rire beaucoup d’Invités, tandis que de ma vulve, commençait de suinter ma cyprine démontrant le début de mon excitation. Ma facilité à me toucher en public, sans aucune gêne, étonnait beaucoup de monde se laissant aller à des commentaires :

- Elle est bien dressée en effet !
- Vous avez vu avec quelle facilité elle se laisse aller…
- Quelle salope, tout de même !…

Je n’avais cure de ces réflexions, ne regardant que le Maître qui savourait mon obéissance aveugle.
Tandis que j’avançais rapidement dans mes envies, ma respiration devenait plus rapide, mes gestes aussi, et c’est trempée laissant s’écouler mon fruit si mûr, que le premier orgasme arriva, me faisant jouir intensément.

- Comment fait-elle aussi vite ?, dit une invitée qui avait sa main entre ses cuisses
- Elle jouit vraiment ?, demanda un homme peu habitué à ces démonstrations

Le Manadier, déjà sous le charme, ne me lâchait pas des yeux…

- Puis-je demander une faveur dit-il en se levant ? (D’un signe de tête, le Noble lui fit comprendre que oui !)
- Nous serait-il possible d’assister à une séance de dressage ? Je veux dire, au fouet, par exemple ?

Les Invités, enthousiasmés, (et les femmes n’étaient pas les dernières) tapaient dans leurs mains en disant :

- Le Fouet ! Le Fouet !
- Laissez terminer ma petite jument, dit Maître et ensuite nous verrons…

D’un signe de main, Celui-ci me fit comprendre de poursuivre…. Je reprenais mes caresses, et introduisais deux doigts au début dans ma vulve, la massant fortement, tout en continuant de titiller mon ami le clito. Mon ventre était déjà secoué de spasmes, tandis que trois doigts maintenant travaillaient plus vigoureusement ma chatte dégoulinante maintenant de cyprine. Rapidement l’ensemble clito/chatte, explosa me faisant remuer comme une salope sur le fauteuil trempé par ma glaire. Je n’avais cure des spectateurs devant lesquels je m’exhibais sans pudeur, seulement heureuse et fière de démonter aux Invités mon obéissance aveugle au Maître…

(A suivre…)

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