L'Adultere De Ma Femme Me Donne Des Ailes...

Bizarrement, l’adultère de ma femme avait déclenché chez moi une augmentation de ma libido pour elle. Il ne s’était pas passé un jour dans la semaine sans que je la baisse.
Un après-midi que nous étions seuls à la maison, dans le salon, ma femme était à quatre pattes sur le divan pendant que je la prenais par derrière, en levrette. Alors que je la besognais je lui demandais si elle souhaitait jouer à un petit jeu.
- Oui… répondit-elle d’une voix rauque.
Ma femme était du genre de tout accepter quand l’excitation la submergeait.
- Imagine maintenant que ça ne soit pas moi qui te prenne ainsi, mais je ne sais pas qui ? Un voisin, un inconnu, un collègue à toi ou à moi…
Elle commença par protester :
- Pourquoi pensé à ça. Je te dis que je suis bien avec toi et toi seul. Je ne pourrais pas me faire prendre par un mec que je n’aime pas…
Je remarquais toutefois que ses fesses allaient plus volontiers à la rencontre de mon sexe. J’avoue que je ne la prenais pas comme d’habitude, mais plus fort, plus profondément. Je me laissais même aller à entrer trois doigts dans son petit trou devenue très accueillant ses derniers temps. Elle me semblait même plus humide que d’ordinaire. Et comme par hasard elle jouissait beaucoup plus vite.
Le soir même dans notre lit, encouragé par ce qui s’était passé l’après-midi, j’avais renouvelé ma demande, mais là en ajoutant un prénom. Et pas n’importe lequel, vous vous en doutez bien.
Dans le noir j’avais demandé à mon épouse d’imaginer que c’était donc le fameux Patrice qui la prenait. Elle avait longuement refusé mais fort d’une puissante persuasion, elle avait finit par céder.
- Seulement pour le jeu, avait-elle déclaré.
Elle se plaça d’emblée sur le dos, me serra le corps avec ses cuisses, et appuya elle-même sur mes fesses pour que je la pénètre plus profondément.
- Tu joues le jeu ma chérie. Il n’y a plus d’Alain, mais Patrice.

Après quelques instants de flottement, elle commença à gémir en disant.
- Vas-y Patrice, prends moi fort, baise moi, vas-y, vas-y…
- Plus tu m’appelleras par ce prénom plus je te bourrerais le cul…
Comme elle jouait le jeu, je la besognais de plus en plus fort, m’agrippant à ses seins, en pinçant les bouts. Puis je la retournais et la pris en levrette. Elle bougeait son cul tellement fort que j’en avais mal aux couilles. Je lui donnais des claques sur les fesses, alors qu’elle se dandina.
- Alors ma belle… ton mari ne te prend pas comme ça, hein ? C’est bon, non ?
- Oh vas-y mon Patrice, bourre moi plus fort, c’est trop bon…
Elle dansait autour de mon pieu tendu comme rarement. Il était à la fête comme jamais il n’avait été. Avec un tel traitement, elle ne tarda pas à jouir. Et comme s’était contagieux, je ne tardais pas de mon côté, à transférer le jus de ma jouissance dans son antre.
Le lendemain, alors que j’abordais le sujet librement avec elle, je la sentais comme gênée, au point que je dû couper court et passer à autre chose.
Le week-end suivant, elle me proposa de l’emmener au restaurant. Elle s’était mis sur son trente et un pour l‘occasion. Un bustier d’un rouge criard, aux bonnets pigeonnants. Un slip fendu et un porte-jarretelles assortis, des bas gris fumé complétant la tenue. Pour couvrir le tout, elle avait passé une robe noire.
Nous avons débarqué au restaurant dans les alentours de 21h00. Au cours du repas, nous avons discuté de choses et d’autres sans aborder le sujet qui l‘offusqué. L‘addition arriva.
Alors que je m’apprêtais à déverrouiller les portières de la voiture, ma femme me lança :
- Trouve un endroit discret, j’ai envie de te sucer.
- Là… maintenant…
- Oui, tout de suite…
Après un coup d’œil circulaire autour de nous, je trouvais ce que je cherchais. Je pris ma femme par la main et l’attirais dans
Une petite rue déserte, là où il n’y avait pas d’éclairage public.
Pas le temps de défaire la boucle de ma ceinture que ma femme s’était agenouillée, et s’occupa prestement de ma braguette. Elle y farfouilla à l’intérieur puis tira ma verge à l’air libre. Elle l’engloutit et lui fit subir un traitement très intensif. Me suçant avec une telle gourmandise que j’en étais ébloui.
- Oh oui continue, l’encourageais-je. J’adore que tu me suces comme cela, je suis très excité...
Une sensation de plénitude m’avait envahit. Je sentais le plaisir monter en moi. Je gémissais de plus en plus fort puis, n’y tenant plus, dans un long spasme de plaisir je jouis très fort, projetant de longs jets de ma semence dans sa bouche. .
Adossé à un muret, je continuais à haleter tellement le plaisir avait été intense. Puis, reprenant mes esprits, je me rajustais et nous avions repris le chemin nous menons jusqu’à notre véhicule.
- Tu es mon débiteur à présent… fit-elle.
- Ah bon et de quoi ?
- Tu verras. Me répondit-elle, les yeux pleins de malice.
Sitôt arrivé à la maison, nous avions regagné notre chambre. Sans un mot, nous nous sommes déshabillés. Puis de baisers en baisers, nous avions commencé à faire l’amour.
- Lèche-moi la foufoune, fit-elle.
Elle ouvrait largement les cuisses, exhibait sa vulve grasse. Je me suis penché sur elle et j’ai effleuré sa fente acidulée, de ma langue, guettant sa réaction. Puis j’étais passé au plat de résistance, sillonnant son sexe en tous sens. Donnant des coups de langue comme si je mangeais une onctueuse crème chantilly. Quand je la sentis tout proche de conclure, je lui enfonçais deux doigts très profondément dans la fente, et deux autres dans son anus. Elle me tendait le bassin tout en gémissant, la tête rejetée en arrière. Je pris son clitoris gorgée de sang entre mes lèvres, et tout en le suçotant je lui branlais simultanément, et énergiquement ses deux orifices. Une mouille épaisse me coulait le long des doigts. Elle se mit à gémir en remuant le bassin.
Se mit à crier sans retenue. Je m’appliquais à prolonger son plaisir en suçotant son clito par intermittence. Chaque fois qu’elle parvenait au bord de l’orgasme, je stoppais tout mouvement. Finalement, suppliée, j’allais jusqu’au bout. Un cri strident me récompensa de mes efforts. Elle avait atteint l’orgasme. Je retirais mes doigts poisseux de ses orifices, pour constater que l’anus était aussi ouvert qu’un entonnoir. Je m’agenouillai face à elle, je pointais ma verge contre son anneau culier.
- Cela te dirait que je te la gare dans le cul…
- Oui… s’extasia-t-elle.
- Oui qui ?
- Oui chérie, mon amour…
- Oui Patrice… tu entends, oui Patrice.
- Je veux ta queue dans mon cul, Patrice… vite, je sens que je vais encore jouir…
J’attrapais ma queue et la guidais jusqu’à l’ouverture de son cul. Je l’aidais à lui faire franchir l’entrée. Qui s’élargissait un peu plus sous la poussée. Peu à peu ma bite disparut dans son cul. À ce moment, ses soupirs se transformaient en cris encouragé. Je la pris de plus en plus vite et de plus en plus fort.
- Tu aimes cela lui dis je.
- Oui, Patrice continue, j’adore, c’est bon, continue, ne t’arrête pas.
J’allais de plus en plus loin au fond de son anus. Mes mouvements étaient de plus en plus rapides, sous ses gémissements. Sous le feu de sa jouissance, ses contractions me masser agréablement ma verge. Cette caresse à la fois douce, rapide et extrêmement insistante vint très rapidement à bout de ma résistance. Planté jusqu’à la garde dans ce cul bourdonnant, j’éjaculais à longs jets.
Après ce véritable feu d’artifice de plaisir, nous reprenions notre souffle, allonger dans les bras l’un de l’autre.
- Merci mon amour, me dit elle, j’ai adoré ce que tu viens de me faire.
- Moi aussi j’ai adoré, nous recommencerons, si tu le souhaites.
- Oh oui… et pourquoi pas remettre le couvert tout de suite…

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