Les Bonheurs De Sophie (8)

Il l’avait suivie. Il connaissait ses habitudes, son emploi du temps. 8 h 10, elle ne devrait plus tarder. Posté sous le perron d’un immeuble inoccupé car à vendre, il l‘attendait. La rue était peu fréquentée. Il avait repéré les lieux. Par chance, la porte d’entrée du bâtiment n’était pas fermée à clé. Il avait tout planifié. L’intercepter et la convaincre. L’entraîner à l’intérieur. Un couloir sombre, une cage d’escalier, question intimité ce n’était pas l’idéal. Mais ça devrait aller. Il n’avait pas trouvé mieux. Elle arrive !

Elle sursaute, ses yeux magnifiques s’agrandissent de stupeur, les lèvres délicieuses rejettent un cri, les traits du visage se troublent mais ne se déforment pas. La rougeur aux joues est naturelle et s’harmonise parfaitement à la noirceur de sa longue et fine crinière. Aucun maquillage, aucun fard sur la face angélique. La pureté immaculée émeut l’homme comme jamais. Mais l’animal, lui, n’a pas le droit au sentiment.

« Bonjour Sophie. Je t’attendais hier. Tu n’es pas venue. »

Avec assurance :

« Je ne veux plus vous voir.

- Âh bon ? Tu as surmonté ton démon ? Tu ne mouilles plus tes draps la nuit ? »

Une phrase a suffi. Toute la confiance de la jeune fille s’est envolée.

« Je… Laissez-moi !

- Allons ! Cesse de te comporter comme une petite dinde. Tu es trop faible pour surmonter ce démon toute seule. Tu le sais. Tu as besoin de moi pour le dominer. »

Phil ouvre son manteau. Dans la poche intérieur droite dépasse la cravache ; dans celle de gauche, le manche du vibromasseur.

« Tu vas recevoir ta punition puisque tu as désobéi. Et après, la récompense : une bonne branlée… »

L’adorable, les yeux mouillés de larmes, fait non avec la tête, mais elle est complètement désarçonnée. Son esprit se révolte, mais le corps lui se souvient de la félicité et il la réclame.

« Allons Sophie, au fond de toi, tu sais que tu en as besoin.

Qu’il n’y a pas d’autre moyens. On va dompter ton démon et le soumettre à la divine jouissance.

« Monsieur, je vous en supplie !!!! Je dois aller en cours…

- Tu as raison de m’implorer. Je vais exaucer tes vœux. Nous en avons pour dix minutes. Tu arriveras à l’heure et entièrement soulagée. »

Phil ouvre la porte d’entrée.

« Allez ! Dépêche-toi ! »

Il pose sa main sur le bras de la beauté. Elle se cabre mais ne se débat pas. Il ne lâche pas sa prise. La capitulation est proche. Il ne veut pas la forcer.

« Je… Je…. Non….

- Sophie ! Tu sais que tes tergiversations ne conduisent qu’à une punition plus sévère.

- Je… ça… ça fait trop mal… et je…

- Je ne suis pas cruel. Pour ta première punition, j’ai dû marquer ton esprit. Aujourd’hui, j’épargne tes seins car je sais que c’est très douloureux.

- Mais alors… Vous ?

- Mon but n’est pas de te faire inutilement souffrir. La punition est toujours proportionnelle à la désobéissance et à ton besoin de progresser. Donc je ne t’administrerai que six coups de cravache sur la croupe.

- La… ?

- Ta croupe, ma puce. Six coups de cravache, dosée. Trois sur chaque fesse. Sur cette partie rembourrée de ton corps, c’est trois fois rien. Je te jure que la douleur sera plus que relative. Elle sera même un préambule idéal à la jouissance. Tu verras à quel point cela amplifie par anticipation les délices de l’orgasme.

- Mais… Si je ne veux pas…

- Comment pourrais-tu ne pas vouloir ce dont tu as tellement besoin ? En attendant, je suis obligé de sanctionner ta stupidité ! Huit coups de cravache ! C’est uniquement pour ton bien et tu le sais.

- Je… »

Il l’entraîne doucement à l’intérieur de l’immeuble. Elle rechigne, mais le suit quand même. Elle franchit le pas. Trop tard pour reculer. La porte d’entrée se referme. Pour tout éclairage, la lumière du jour perce à travers le vasistas, le couloir est donc plongé dans la pénombre.
Phil n’allume pas car ce manteau d’ombre offre à la jeune fille une rassurante protection supplémentaire. La prise en main n’en sera que plus facile.

Mais si Sophie réfléchit, elle risque de se rétracter. La voix de Phil la presse, l’accule, n’autorise aucune objection :

« Obtempère sans faire d’histoire ! Fini les comédies interminables. La docilité est la condition sine qua non de ta libération. De toute façon, nous avons très peu de temps devant nous. Donc, tu baisses ta culotte sur tes genoux. Tu poses tes mains sur la rambarde de l’escalier et tu te penches ! Allez…

- Monsieur…

- Je t’ai déjà vue nue, non ? Je t’ai déjà cravachée, non ? Je t’ai déjà branlée, non ? Alors ? Tu vas vite prendre l’habitude.

- Ôh, non ! Jamais.

- Si tu savais comme tu m’exaspères quand tu fais ta petite connasse ! Dix coups de cravache !! Pourquoi tout ce cinéma alors que tu finiras par obéir ? Baisse ta culotte. Vite !

- Oh la la…

- Baisse ta culotte ! »

Ça y est ! Honteuse, elle passe ses mains sous sa jupe, se tortille et, tout en maladresse et en fragilité, tire sa culotte sur les cuisses. La jupe qui tombe sur les genoux dissimule provisoirement le dévoilement. Mais les joues de la jeune femelle sont empruntées d’une rougeur aiguë qui trahit l’impudeur. Les indices du trouble s’accumulent, sa respiration s’accélère, les lèvres sensuelles filtrent un air devenu incroyablement dense et Phil saisit au vol toutes ces opportunités de subalternisation.

« Mains sur la rambarde, penchée en avant ! »

Il a sorti la cravache.

« Ôooh mon dieu, non ! Ne me faites pas mal. »

- Vite. Tu s de ma patience. Douze coups de cravache ? »

Jambes tremblantes, elle a adopté la position ! L’homme n’a plus qu’à tranquillement trousser la jupe sur les reins, avec délicatesse il découvre l’arrière train paradisiaque, en accompagnant le geste lubrique de paroles réconfortantes :

« Chuutttt, tout doux, tout doux, n’ai pas peur, fais-moi confiance.
Tu le sais que je ne veux que ton bien. Làààà. Voilà. Comme ça. »

Une légère pression sur le dos pour accen le ploiement. La position est presque idéale. Mon dieu ! Il n’y a pas de mots pour décrire ce merveilleux petit cul ! Petit cul de fée ! Quelle fermeté, quel lac de douceur, quelle rondeur. Annoncée par une taille étroite, introduite par une cambrure majestueuse, deux orbes mirifiques que sépare un filon inépuisable ; la rainure comme une scission anatomique promet la plus intense des fissions atomiques. Elle n’est pas encore assez penchée pour qu’il puisse voir, au fond du sillon l’œillet anal. Il appuie donc sa main puissante sur le bas des reins de sa proie, elle n’a d’autre alternative que de se plier à la volonté du mâle. Le tronc de la pucelle s’abaisse de quelques millimètres, il n’en demande pas plus, car la cambrure se creuse d’autant et comme par un effet de levier, la croupe se soulève, se tend, à peine, un peu plus vers lui, vers sa bite dure comme l’acier, suffisamment pour que la chatte aux lèvres roses-brunes, lascives mais closes, se prélasse, indécente au regard, dans sa litière de poiles et que la rainure délivre son secret. Phil en pleurerait. Il sait combien il en coute à l’adorable femelle de dévoiler ainsi ce qu’elle a de plus réservée. Un don inestimable : son con et son anus !!! La raie de la pucelle est particulièrement profonde, elle dessine comme une frontière infranchissable entre la magnifique proéminence des deux globes charnus ; à peine visible au tréfonds de l’étroit passage le petit trou du cul paraît imprenable. Phil se jure à l’instant de relever le défi que lui lance le nœud serré. Dieu que le graal paraît Impénétrable ! L’accès si étroit semble à jamais interdit à la grosse queue de l’étalon en rut. Pourtant en adoptant cette position, elle lui prouve qu’elle est faite pour être enculée. Il ne brûlera pas les étapes. La quête de la béatitude passera d’abord par l’origine du monde. Ce périple inespéré entraîne le regard du mâle au cœur de la forêt noire, à la source de la jouvence éternelle : le paradis fendu, cette fruit-fleur aux pétales forcloses qui attendent d’être butinées pour s’ouvrir à la pénétration, jusqu’au noyaux de toutes les extases.
Les lèvres dessinent les contours d’un abricot parfait, joufflu et fendu à cœur, une composition aussi pure ne peut être le fait du hasard ; ce con est l’œuvre d’un artiste génial. Le terreau fertile aura beau être labouré, le mystère restera entier. Alors ne pas se précipiter ! Refreiner l’impulsion de la main qui brûle de palper, de peloter, de masser. Maîtriser ses instincts. Et ainsi lui prouver qu’il est le maître. Il mime donc l’indifférence. Au lieu, comme il en meurt d’envie de flatter la croupe insolence, il se contente de tapoter avec condescendance la tête de l’adorable chose. Jupe troussée sur les reins, culotte baissée sur les cuisses, orifices offerts, rendue à l’état d’objet sexuel, elle frémit, elle vacille, et lui, exerçant avec sérénité son empire :

« Du calme, ma puce. Détends-toi. Ça va bien se passer. Sois courageuse car je ne veux pas t’entendre chouiner. Si tu te plains trop, je rajoute des coups de cravache, compris ? Et surtout n’oublie pas : un coup non compté, ne compte pas. »

La badine s’abat sur la croupe. La lanière de cuir éprouve l’incroyable fermeté du fessier. Le son est sec. Ça claque. La peau tendue résonne tel le plus exquis des tambours. La jeune femelle tressaute et pousse un cri aigu. Mais elle n’oublie pas de compter. Dix coups de cravaches qu’il va doser. Elle doit le sentir passer mais il ne faut pas la traumatiser.

Les marques rouges s’accumulent sur chacune des fesses, le sang afflue et ce rouge animalise la chair immaculée. Phil frappe froidement, méthodiquement, selon un rythme irrégulier pour qu’elle ne puisse anticiper le moment où la badine va s’abattre sur son cul. Il fait durer. Elle est entièrement dépendante de lui, soumise à l’attente et cette expectative amplifie l’intensité de la punition. Une dizaine de secondes s’écoulent entre deux coups, puis il en assène deux d’affilée. Il évite de flageller deux fois le même endroit, le cul se constelle de traits pourpres, tous soulignent la rondeur musclée. Il privilégie la partie la plus confortable du matelas, donc la plus délectable. Pas de doute, la raclée attendrit le copieux siège à fantasmes. Les cris se font plus stridents à mesure que l’on approche du terme. Elle se tord, les genoux ploient. La voix de Sophie s’emplit de larmes. Anticipant le contact de la cravache et pour se soustraire à inéluctable, elle dandine du derrière ; l’ondoiement du bassin est comme une invitation à la saillie. Phil résiste à la tentation de de la baiser comme une chienne, de l’agripper par les hanches, de s’enfiler jusqu’aux couilles dans ce con, vierge, sublime, à disposition, qui aimante la bite. Il lui ordonne de ne pas bouger, de ne pas se dérober.

« Sois courageuse. C’est bientôt fini ma puce.

- Monsieur, pitié !

- Tu es bien douillette !

- Mais ça fait trop mal !

- Tu apprécieras d’autant la récompense. »

Il assène les deux derniers coups, un sur chaque fesse, avec la même intensité pour le même rebondi, pas de jalouse, elle mérite exactement la même attention, elles sont jumelles dans le sublime. Pas d’interlude non plus, il enchaîne, lâche la cravache pour le vibromasseur, retourne sans ménagement la jeune pouliche face à lui, la tient par le bras et enfouit l’engin vibrant, réglé sur l’intensité maximale, entre les cuisses de sa proie. Les aiguillons souples et diaboliques se mettent en branle.

La correction a maté les blocages, la douleur recouvre les complexes, elle est disponible. En moins de cinq minutes, elle va déclencher un orgasme. Fulgurant.

L’odeur de sueur et de sexe envahit les narines de Phil. Elle se trémousse de plus en plus violemment, les yeux exorbités, elle est vite submergée par le plaisir, s’il ne la retenait pas, elle s’écroulerait par terre. Comme un pécheur de thon, il ne desserre pas sa prise, la chatte est solidement hameçonnée au vibromasseur, ça y est, elle est déjà prise par les spasmes, se débat pour échapper à l’emprise de l’orgasme, s’agite telle une possédée en poussant des cris stridents, lui, impassible, prolonge le vibromassage clitoridien, maintenant, elle s’est accroupie, ses cuisses enserrent le vibromasseur comme si elle voulait retenir la déflagration, mais les tremblements quasi épileptiques de ses jambes prouvent qu’elle ne s’appartient plus, Phil maintient la boule engluée de mouille encollée à la fente, il accompagne la pucelle jusqu’au bout de la jouissance… Jusqu’au bout de l’infini… Elle a encore quelques soubresauts désordonnés, incontrôlés. Quand, entièrement vidée de sa substance sexuelle, la magnifique femelle s’affaisse et tombe sur les fesses, alors seulement Phil soustrait la moule au contact de l’engin diabolique. Les grimaces pornographiques s’estompent, même si les joues restent rougies par le feu, le visage retrouve son apparence angélique et la jeune fille un semblant de contenance. Elle a eu son compte.

« Et bien dit donc tu en avais sacrément besoin ! Et qu’est-ce que tu couines fort ! la prochaine fois, je te musellerai pour éviter que tu n’ameutes tout le quartier. »

La pudique est si bouleversée qu’elle n’a même pas conscience d’avoir les cuisses largement écartées. La jupe troussée sur les reins ne cache rien du cataclysme : le renflement du con baveux, exacte métaphore de l’abricot juteux, dégorgeant de sève, rend un inoubliable hommage à l’ourlet luisant des lèvres que la jouissance a entrouvertes ; un levé de rideau plein de suspens pour les nymphes timides qui, pour la première fois, se laisse violer par le regard du mâle ; la boule vibrante a aussi copieusement étalé la mouille sur la toison, des guirlandes de cyprine s’agglutinent aux poils noirs, et le tumulte se poursuit bien après la fourche, car les cuisses semblent, elles aussi, touchées par l’écoulement. Sophie serait-elle un peu fontaine ? Beaucoup ? Ce qui expliquerait pourquoi elle trempe si facilement ses draps. Et elle a joui en quelques minutes ! Phil ignorait qu’une femme puisse venir aussi vite. Ce record, preuve d’une énorme réceptivité à la masturbation, vaut promesse d’orgasmes à répétition.

« Je suis très content de toi ! Tu viens de franchir une étape décisive ! Tu ne seras plus jamais la même. Tu es en train de devenir toi-même. Nous allons t’épanouir, faire sauter un à un les verrous des mensonges hypocrites qui cadenassaient ton être. »

Sophie a entendu mais elle est trop pressée pour répondre. Elle se relève, remet sa culotte, recouvre sa chatte dégoulinante et sa croupe étrillée, tire sa jupe sur les jambes, puis part en courant. Elle est en retard. Malgré la jupe trop ample, Phil admire le balancement gauche du petit cul qu’il sait empourpré par la cravache. Un magnifique petit cul à la fois bien cuisant et marinant dans l’incommodité de la mouille. Il adore cette recette.

« A tout à l’heure ma puce. »

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