La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1120)

Une nouvelle lopette au Château – (suite de l'épisode précédent N°1119) –

- … Car désormais il est à Moi…

Patrick trembla en écoutant Monsieur le Marquis, mais il en était tout excité car il buvait ses mots, il était en adoration totale devant celui qui désormais était devenu Le Maître et cette réalité le faisait bander comme jamais il avait bandé de sa vie. Il ne pouvait savoir si cela été du au froid ou à cette forte excitation à entendre les propos du Châtelain, mais sa verge laissait échapper un méat, il mouillait donc c’était bien l’excitation qui s’emparait de son corps et surtout de son esprit soumis. La présence physique de Monsieur le Marquis le mettait en transe. Le Noble continua à parler :

- Je suis en train de rédiger ton contrat de soumission, je vais te le lire et tu devras me répondre si tu acceptes celui-ci par oui ou par non. Ce choix t’engagera définitivement jusqu’à ce que je daigne te libérer de ton sort. Je vais donc te lire le contrat : Moi esclave ‘Chiennasse’ je jure de servir fidèlement Monsieur le Marquis d’Evans, je reconnais que je deviens son chien soumis et qu’il pourra faire de moi ce qu’il bon lui semble. Je reconnais que je rejoins son Cheptel libre de toutes contraintes et que je deviens ainsi un chien soumis. Je reconnais que je suis une lopette mâle et que je dois par la même m’abstenir de toucher mon sexe sans en être autorisé. L’abstinence sexuelle sera mon quotidien. Seul Monsieur le Marquis d’Evans pourra rompre ce jeun sexuel, il aura ainsi toute latitude sur ma vie sexuel qu’il contrôlera selon son bon vouloir, ma sexualité ne m’appartenant plus. Je reconnais que je pourrai être encagé afin de lutter contre mes pulsions naturelles érectiles et pour une durée qui sera à l’appréciation de Monsieur le Marquis. Je reconnais que je devrais maintenant appeler Monsieur le Marquis d’Evans, Maître, et l’honorer pour la grâce qu’il me fait. Je Lui fais dons de mon corps et de mon esprit sans y être contraint, ces dons sont réalisés de ma propre volonté.

Je porte à ma signature le libellé : Lu et approuvé.
Fait au Château le :
Signature des parties :

Monsieur le Marquis posa alors la question finale : - Chien oui ou non, veux-tu être Mon esclave ?

- Oui Maître, dit Patrick avec une forte érection d’une nouille tendue à l’extrême et sans plus aucune hésitation

- Bon les choses sont claires. Il s’agit maintenant de signer le document. Appose ta signature.

Le Châtelain lui tendit un stylo et le contrat. Patrick devenu Chiennasse signa de suite en rajoutant ‘‘Lu et approuv钒 sans hésiter, la nouille dressée… Le Noble apposa son sceau et sa signature

- Tu m’appartiens désormais et je tiens à déflorer ton cul de chien soumis puceau.

Monsieur le Marquis se leva et sortit de son pantalon sa volumineuse verge. Patrick osa jeter un regard à celui-ci regard que surpris le Noble :

- Tu regardes mon Vit et bien regarde le bien, et vois comme je bande, tu vois comme ma verge est de bonne taille… Quand je vais t’enculer, tu sentiras toute l’épaisseur et la longueur de ma noble queue en toi. Mais surtout c’est mon gland qui va perforer ton anus bien serré et tu devras me remercier quand mes couilles seront au contact de tes fesses… Tes entrailles m’appartiendront, tu sauras Ma chose bonne à baiser en toute circonstance, Mon objet sexuel et heureux de l’être… Aller, prend place tête baissée sur mon bureau et pose ta tête sur le contrat de soumission que tu viens de signer … Qu’il te rentre bien en tête quand je vais te prendre, salope … Ecarte bien les pieds, montre-moi le chemin de ton anus en écartant tes fesses de tes deux mains, la pute … Ma pute !
- Oui, Maître, répondit Chiennasse en bandant comme jamais à l’idée de se faire prendre par le cul…

Il écarta ainsi les deux fesses et laissa son trou de balle bien en vue au regard dominateur du Noble...

Le Châtelain prit alors sa verge et son gland violacé se posa à même l’anus du chien soumis.
Les deux mains du Maître prirent possession des hanches de Patrick. Bien calé sur ces appuis, Monsieur le Marquis d’Evans comptait d’une seule et franche poussée investir la place. Le chien devait sentir ses entrailles s’ouvrirent d’un coup et comprendre qui était maintenant Le Maître absolu. Le Noble poussa en effet d’un coup et Patrick entendit le ‘han’ de la poussée et de satisfaction du Seigneur. Le gland brutalement et à sec venait d’ouvrir l’anus de Patrick qui poussa un cri, de douleur sur le coup, que réprima Monsieur le Marquis en le fessant de la main agile et puissante et Sa Chevalière laissa une trace sur le fessier du chien. Mais pour l’instant le Châtelain comptait labourer le nouveau territoire qui lui appartenait. Ses mouvements amples des hanches montraient que si Son gros gland était passé, Son sexe n’avait pas encore pris toute sa place, et une seule solution s’imposait alors : Déculer complètement et reposer le gland plus en face au trou de balle. Puis d’une même poussée investir de nouveau les lieux jusqu’à ce que ces couilles soit enfin au contact des fesses de la lopette.

Et c’est ce qui arriva cette fois ci, le chien soumis avait vraiment maintenant le cul bien pris. Monsieur le Marquis apprécia cette sensation de Son membre bien serré par ce trou vierge et qu’il pouvait revendiquer comme à Lui, ‘Chiennasse’ se laissa faire, sa nouille bandait témoignant du plaisir qu’il prenait à être traiter ainsi. Le Noble encula de plus en plus fort le soumis par de grands coups de reins telle une saillie digne de ce nom… Les coups de boutoirs étaient profonds, virils et cadencés. Et le soumis commençait à y trouver du plaisir car la douleur se changeait en sensations jouissives ce qui ne le faisait pas débander. Bien au contraire, plus il se faisait enculer, plus il bandait fort, voire à l’extrême... Alors Patrick remua les hanches pour favoriser les pénétrations anales de son sodomite viril, jusqu’à que tout d’un coup un flot saccadé de sperme remplit les entrailles de Patrick.
Le Châtelain venait de jouir sans retenue. Il s’enfonça alors encore plus dans ce cul qu’il venait de dépuceler, un de plus !, pensa-t-il d’ailleurs. Au bout d’un moment, le Seigneur décida qu’il était temps de se retirer. Le sperme du Noble s’écoulait du cul du soumis, c’est alors que le Seigneur dit :

- Lèche, nettoie bien Ma verge et avale tout, que Mon Vit soit propre de Ma semence comme de tes secrétions anales … espèce de putain bonne à enculer …

Patrick obéit et sa langue docilement s’empara du sperme qui maculait le gland et la hampe du Maître, provoquant ainsi la satisfaction de Monsieur le Marquis. Ce chien soumis lui appartenait et lécher la verge du Noble était pour le soumis comme un privilège, une chance à l’instar de se faire saillir par Celui-ci… Patrick lécha donc avidement le sperme du Seigneur. Dorénavant son activité sexuelle serait régie par Monsieur le Marquis d’Evans qui prenait un contrôle total de sa sexualité ne lui appartenant plus... Le Majordome se régalait du spectacle, il savait qu’il serait le prochain à profiter du cul du soumis-esclave ‘Chiennasse’. Monsieur le Marquis dit en effet :

- Walter, le chemin est fait, profite bien de ce chien, de cette lopette bonne à être prise par le cul !

Alors Walter prit son temps mais c’est la queue à l’air qu’il s’approcha du cul du soumis, son gland se promena sur le sillon fessier cherchant le moment propice à la saillie. Progressivement, Patrick sentait le sexe de Walter s’introduire dans son endroit plus qu’intime mais qui ne lui appartenait plus maintenant. Le Majordome encula d’un coup Chiennasse qui, surpris par l’assaut rapide de la pénétration, gueula comme un chien d’abord, provoquant ainsi le courroux du Noble Seigneur qui décida qu’une correction s’imposait.

Monsieur le Marquis pris alors son membre et l’engouffra dans la bouche de l’esclave ‘Chiennasse’ en lui disant :

- Au lieu de crier comme une pute en chaleurs, viens me téter le gland, lèche-moi la queue, tes deux trous nous appartiennent ! Salope …

En effet Patrick était pris en sandwich, sa queue était tendue d’une excitation forte et d’un plaisir inouï, un méat urinaire s’écoulait bientôt remplacé par le liquide séminal.
Le Majordome lui saisit alors les couilles qu’il pinça fortement, Patrick s’arqua mais prit en bouche par Monsieur le Marquis qui lui tenait la tête des deux mains tout en lui baisant la cavité buccale avec Son noble sexe et par Walter qui l’enculait sauvagement. Patrick ne bougea plus et c’est en silence qu’il comprit qu’il était maintenant leur jouet, leur chose. Le Majordome le pilonna longtemps et éjacula abondamment dans ce nouveau cul qu’il venait de fourrer profondément. Le Noble se retira de la bouche de l’esclave ‘Chiennasse’, avec stupeur car il se rendit compte que ce chien avait souillé le parquet de son sperme. Une correction s’imposait, car le soumis n’avait eu d’autorisation à éjaculer son foutre de chien. En effet Patrick avait juté sans même se toucher la nouille tellement il était excité de se faire prendre dans ses deux orifices… Alors séance tenante le Noble prit le fouet du Majordome et il asséna le premier coup sur la croupe du chien soumis, Patrick se raidit mais un deuxième coup remplaça le premier et c’est au cinquième coup de fouet que le Châtelain prit la parole :

- Tu vois petite lope comment je corrige un effronté comme toi qui bande et jute n’importe comment. La punition du fouet est une correction que j’affectionne mais elle ne dure qu’un temps. En revanche, une cage de chasteté pour ta nouille te permettra de sentir tout le temps le poids que j’exerce sur toi. Walter ira demain te trouver un modèle adapté à ta morphologie parmi notre abondant stock. Pour l’instant, je t’ai assez vu, dégage de mon bureau...

Le Majordome se saisit alors de la laisse et tira dessus afin de faire plier les genoux du chien soumis qui se trouva rapidement à quatre pattes. Avant de quitter la pièce le Seigneur dit à ‘Chiennasse’ :

- Avant de partir, la pute, nettoie de ta langue mon parquet que tu viens de souiller.

Patrick dépité baissa la tête et lécha les trainées blanchâtres qui trahissaient son éjaculation. Il montrait dans cette position son cul encore rougit par les assauts des sexes turgescents des deux vrais Mâles présents dans la pièce et par les coups de la lanière du fouet. Il était devenu une vraie lope bonne à se soumettre et sa transformation avait pris peu de temps témoignant du savoir-faire de Monsieur le Marquis d’Evans…

(A suivre …)

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