Première Rencontre

Dans ma recherche pour rencontrer un homme dominant qui pourrait me « prendre en main » j’ai laissé plus annonces sur des sites différents dont HDS petites annonces. La dernière dit ça :
« Dans la vie de tous les jours j'ai une position qui m'oblige à décider, à paraitre fort. Mais ça me demande beaucoup d'effort car je n'ai pas un caractère individualiste ni de dirigeant. Je suis d'un naturel à me laisser aller, à suivre les autres.
Je recherche une relation qui soit en accord avec mon caractère naturel. Une relation dans laquelle on choisit, on décide pour moi. Une relation dans laquelle mon côté serviable puisse s'épanouir.

Je cherche à rencontrer un homme doux mais très ferme avec moi, qui sache utiliser et parfaire mon côté serviable, qui arrive à me faire découvrir mon côté soumis à l'autorité. »

Je ne sais jamais vraiment quoi écrire pour arriver à être court et à la fois assez précis dans ma recherche. Elle a quand même eu un petit écho puisqu’un homme proche de chez moi a été suffisamment attiré pour me contacter. Nous avons eu quelques échanges par mail mais il a rapidement souhaité m’avoir directement au téléphone.
Comme toujours j’ai eu beaucoup de mal à exprimer ma recherche, mais il m’a laissé le temps et plusieurs conversation pour que j’arrive à lui dire mes envies de me sentir inférieur avec l’homme avec qui je suis, mes envies de le servir, mes envies d’apprendre progressivement à me soumettre à lui et d’accepter ses remontrances et ses punitions. Je lui avais donné mes limites :
• Rien de sale, ni scato, ni uro
• Pas de
• Pas de dilatation, pas de fist .....
• Rapports protégés
• Pas d'épilation totale
• Pas de photos ou de vidéos à visage découvert
• Besoin d'apprendre

Au fur et à mesure de nos discussions, j’ai vraiment pensé qu’il pourrait être un homme avec qui je pourrais me laisser aller. Il me disait qu’il était excité de pouvoir mettre dans des positions humiliantes un homme qui avait des responsabilités dirigeantes dans son travail, de le voir le servir, de pouvoir le fesser … que la sodomie n’était pas pour lui une obligation.



Nous avons convenu d’une première rencontre en ville. Il m’avait déjà parlé de son envie que je porte des chaussettes fines presque transparentes. Je suis allé en acheter pour les porter le jour de notre rencontre.
Cette rencontre m’a permis d’avoir de plus en plus confiance en lui. On a discuté pendant une petite heure de nos envies respectives. Il m’a fait enlever une de mes chaussures pour voir si j’avais bien respecté sa demande sur les chaussettes. Moi aussi j’étais excité, complément serré dans mon jeans.

Lorsqu’on s’est séparé, je suis resté un long moment dans ma voiture qui était garée dans un parking public. J’étais à la fois très excité et très inquiet de ce qui pourrait se passer.
J’avoue avoir peur de ce que je pourrais ressentir, peur de vraiment aimer ça … je ne suis pas homosexuel jusqu’à présent et les seules relations avec un homme qui m’attirent sont les relations de soumission !

Il a été très patient avec moi, j’ai régulièrement refusé ses propositions de rencontres … On a discuté au téléphone, je lui envoyé des photos de moi nu avec les chaussettes quand il le souhaitait. Je fantasmais souvent sur cette rencontre mais je n’arrivais pas à passer le cap. Ce petit manège a duré au moins 2 mois ….

Je me suis décidé à répondre à son invitation il y a 2 semaines.

C’était un vendredi soir, je devais porter une paire de chaussette très transparentes. Durant cette journée je lui ai dit que je me sentais à la fois excité et à la fois anxieux. Il a trouvé ça très bien « comme une pucelle » et que pour une bonne entente il était important que je ressente de la peur sur ce qu’il pourrait m’arriver, que c’est cette peur qui lui permettrait de bien me soumettre.

Quand je me suis retrouvé sur son palier je n’étais plus qu’une boule dans mon ventre, plus aucune excitation, mais j’ai frappé à la porte tout de suite comme si j’étais déjà sous son emprise. Quand je suis rentré, j’avais l’impression de ne pas être vraiment moi … je suis resté planté dans l’entrée et je n’ai plus bougé.


- « Tu sais déjà dans quelle tenue je veux que tu sois chez moi, alors vas-y »

Machinalement j’ai enlevé mon pull, mon tee-shirt et mon pantalon, je suis resté quelques instants avec mon boxer puis mon désir a repris le dessus et je l’ai enlevé.

- « Et bien, tu me disais être excité à l’idée d’être devant moi nu, je m’attendais à te voir bander »
- « Je pense que je suis trop angoissé »
- « C’est très bien comme ça, tu vas te balader nu avec tes chaussettes et ton sexe tout rabougri »

Il s’est éloigné et m’a demandé de le suivre. On s’est retrouvé dans son salon. Il y avait un canapé, une table basse ronde et une télé allumée mais sans le son.

- « Il y a un match ce soir. Mais j’ai quand même 10 minutes pour te donner tes premières instructions pour la première chose que je veux que tu apprennes. C’est très important que tu saches me sucer comme j’aime. Alors écoute bien, parce que je n’ai pas envie de répéter. Quand je te demande de me sucer très souvent tu devras te mettre à genoux. La seule fois où tu pourras utiliser tes mains c’est pour sortir ma queue. Après tu mets tes mains dans ton dos et tu me suces. Dès que je bande bien tu me décalottes avec tes lèvres. Si je ne bouge pas c’est toi qui vas et viens sur ma queue, je bouge tu ne bouges plus et tu serres tes lèvres. Si je prends ta tête dans mes mains tu te laisses faire. Quand tu me suces tu dois vite m’amener près de la jouissance mais sans me faire jouir, c’est moi qui te donne l’ordre de me faire éjaculer dans ta bouche, à toi de gérer. »
- « C’est clair ? »
- « Oui je crois … »
- « On verra ça tout à l’heure »

Il est allé s’assoir sur son canapé et il a mis le son du match qui venait de commencer.

- « La porte de droite c’est la cuisine. J’ai préparé une assiette dans le frigo. Tu vas me la faire chauffer au micro-onde et sers moi. »

J’y suis allé. J’ai rapidement fait chauffer ce qu’il m’a demandé.
J’avais l’impression d’être plus mal à l’aise seul dans la cuisine qu’en sa présence.
J’ai pris couteau, fourchette, pain et je lui ai posé devant lui sur la table basse l’assiette. Comme si je n’étais pas là il a continué à regarder le match et a commencé à manger. Je suis resté debout à coté de lui sans rien dire ni faire … De temps en temps il tournait la tête vers moi, je pouvais le voir me regarder le sexe et il avait un petit sourire satisfait.
Il a rapidement fini son assiette et m’a fait un signe bien compréhensible. J’ai débarrassé l’assiette et je suis allé la mettre dans l’évier de la cuisine.
Quand je suis revenu dans le salon, il avait éloigné la petite table du canapé. Il a écarté les jambes et m’a fait signe de venir me mettre à genou entre ses jambes, il y avait juste la place, je sentais la table derrière moi. Il a passé une main sur ma nuque, a serré légèrement :

- « C’est le moment de me montrer que tu as vraiment envie d’être à ma merci, comme tu me l’as si souvent écris, mon petit cochon »

Je me suis bien calé entre ses jambes et j’ai mis mon regard sur son entre-jambes. J’ai défait la boucle de sa ceinture, déboutonné son jeans et fait descendre la fermeture éclair. Je sentais son sexe déjà raide sous son pantalon. Comme j’ai pu j’ai sorti son sexe de son slip, j’ai mis mes mains derrière mon dos et j’ai planqué ma bouche contre son gland qui dépassé.

- « Tu as vraiment l’impression que ça va être bon pour moi comme ça ? »

Je l’ai regardé d’un air interrogateur. Il a soulevé les fesses du canapé.

- « Enlève-moi le pantalon et le slip. Je veux être sucé …. tu comprends … je ne vais pas passer mon temps à expliquer »

J’ai passé mes mains dans son dos pour tirer sur le pantalon, je me sentais gauche à essayer de lui enlever le tout coincé entre ses jambes et la table. Mais j’ai finir par y arriver. J’ai tout posé à côté de lui sur le canapé. Je me suis remis entre ses jambes et j’ai mis mes mains dans mon dos.
Il a remis sa main sur ma nuque :

- « Toi j’ai l’impression que tu as oublié que ce qui m’excite les plus c’est de te fesser …. Et vu comme tu te débrouilles je vais te faire chauffer le cul sans retenue … »

J’ai voulu parler …

- « Tu ne dis rien, je n’ai pas besoin de t’entendre, pas besoin de tes explications »

Il a tiré sur ma nuque lentement, j’ai rapidement humidifié mes lèvres, je regardais son sexe approcher. Quand son gland a été posé sur mes lèvres il a lâché ma tête. Alors j’ai appuyé mes lèvres dessus et j’ai enfoncé son sexe dans ma bouche. J’ai senti son prépuce descendre en même temps que ma bouche. Quand je n’ai pas pu descendre plus j’ai légèrement desserré mes lèvres et j’ai remonté ma bouche. J’ai sorti son sexe pour voir s’il était bien décalotté, j’étais satisfait. J’ai commencé à faire des vas et viens sur son sexe. Rapidement je me suis rendu compte que sans l’aide de mes mains je ne tiendrai pas longtemps à faire des allers-retours sur son sexe avec mes abdos … Je sentais que ma bouche descendait de plus en plus bas, j’avais du mal à faire ressortir son sexe de ma bouche. Alors j’ai sorti sa queue de ma bouche et je l’ai léché pour me reposer. Il m’a claqué les fesses violement.

- « Fais ce que je te dis, tu n’es pas là pour improviser. Et vas plus vite »

J’ai repris mon va et viens sur son sexe en accélérant mes mouvements et en serrant plus mes lèvres. Je suis allé au bout de mes efforts et je me suis affalé son sexe bien enfoncé dans ma bouche pour reprendre mon souffle. Il m’a caressé la tête

- « Putain tu m’excites »

Il a pris ma tête dans ses mains et s’est branlé dans ma bouche.

- « Tout à apprendre … à coup de … claques sur le cul »

En disant ça je l’ai senti éjaculer dans ma bouche, il n’arrêtait pas de se faire jouir dans ma bouche. Je sentais son sperme dans ma bouche et dégouliner de mes lèvres. Il s’est arrêté en plaquant ma tête sur son sexe. Je me sentais souillé, son sexe encore dur dans ma bouche. On est resté un moment comme ça, jusqu’à que son sexe débande.

- « Va chercher du sopalin dans la cuisine, ce n’est pas encore le jour de t’apprendre à avaler mon petit cochon »

Je me suis levé difficilement, j’ai pris le sopalin sur la table de la cuisine et je suis revenu à genou entre ses jambes pour essuyer au mieux son sperme.

- « C’est bon ça ira comme ça. Va mettre ça à la poubelle et reviens. »

Quand je suis revenu il avait remis son pantalon.

- « Viens te mettre à 4 pattes sur le canapé, ton cul vers moi »

La bouche toujours pleine de son sperme je ne suis mis dans la position demandée la tête posé sur un coussin.

- « Repose toi un peu mon petit cochon … Après tu vas comprendre que tu n’as pas été à la hauteur » a-t-il dit en me caressant les fesses.

Je me suis presque endormi dans cette position mais j’angoissais un peu la fin du match. De temps en temps il me caressait les fesses ou les pinçait. Je savais qu’il allait me fesser, j’étais venu le voir aussi parce que je savais qu’il aimait ça mais là maintenant j’avais peur, peur de la situation et peur de la douleur ….
Immanquablement le match s’est terminé

- « Quelle bonne soirée, une pipe et une victoire … »
- « A nous deux maintenant » en me claquant les fesses.

Il a coupé la télé et il est venu debout à côté de moi.

- « Je me suis fait une petite liste : erreur de ta part nombres de claque en conséquence. Avec le temps que tu as mis pour venir me voir j’ai eu le temps de la peaufiner. Et ça m’a excité de la faire, je finissais toujours par me branler … si tu vois ce que je veux dire. Je ne peux pas te promettre de résister à t’en coller quelques-unes de plus juste pour le plaisir »
- « Alors … qu’est-ce que tu penses que tu as à te reprocher ? Je vais te lire ce qu’il y a sur ma liste et tu tapes une fois avec ta main quand tu penses devoir être corrigé pour cette raison. Si je ne suis pas d’accord je te le ferai savoir. On fera après le calcul du nombre de fois où tes fesses seront battues »
- « Et tu retiens chaque cause, c’est toi qui me les réclameras avant chaque correction »

- « Arrivée en retard », j’ai tapé, « je suis d’accord, facilement 15 min de retard »
- « Politesse en rentrant » …
- « Ne s’est pas mis à poil dès son entrée », j’ai tapé, « il a fallu que je le dise … pourtant c’était évident »
- « N’a pas mis les chaussettes nylon » …
- « Ne bande pas », j’ai tapé, « même si je te préfère comme ça finalement »
- « Petit sexe » …. « tu ne peux pas dire le contraire, tu vas y avoir droit »
- « Parle sans qu’on le lui demande », j’ai tapé
- « Maladroit quand il suce », j’ai tapé
- « Ne garde pas les mains dans le dos quand il suce » … « je crois que c’est la seule chose que tu as bien fait »
- « Ne tient pas la cadence quand il suce », j’ai tapé, « il va te falloir travailler tes abdos »
- « Ne fait pas jouir son maître » … « tu mérites une demie punition parce que j’étais vraiment trop excité et ça fausse le jugement »
- « N’avale pas le sperme de son maitre », j’ai tapé relativement confiant, « même si je t’en ai dispensé tu aurais dû le faire par toi-même comme un bon petit cochon que tu es »
- « Bon on va s’arrêter là ça sera déjà pas mal … Alors …. On en a pour un total de 46 !!! »

- « Je t’écoute, si tu te goures c’est 2 de plus »

- « Je suis arrivé en retard »
- « NON …. Je mérite une correction Maitre parce que je suis arrivé en retard »
- « Je mérite une correction Maitre parce que je suis arrivé en retard »
- « Un bon quart d’heure oui au tarif d’une claque par 5 min »

Je ne m’attendais pas à ça … le bruit et la force des 3 fessées qu’il m’a envoyées à la volée m’ont surpris, j’ai glissé vers l’avant, ma tête est passée par-dessus l’accoudoir du canapé. J’ai voulu me remettre en position…

- « Ne bouge pas … mais tiens-toi »

Ma respiration s’est accélérée.

- « Je mérite une correction Maitre parce que je ne me suis pas déshabillé tout de suite »
- « J’aurai préféré nu devant vous retiens le et 5 de plus »

Je me suis cramponné à l’accoudoir, et la douleur a été plus intense … à la 4éme claque j’ai laissé échapper un gémissement.

- « Oui mon petit cochon, couine j’adore ça »
- « Je mérite une correction Maitre parce que je ne bande pas »

J’essayais de résister mais à chaque claque je gémissais et j’avais l’impression que mes sons étaient de plus en plus aigus.

- « Je mérite une correction Maitre parce que j’ai un petit sexe »

Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase … je ne me suis plus retenu, la bouche ouverte je respirais fort et gémissais à chaque claque.

- « Mais tu aimes ça mon petit cochon, tu gémis comme une fillette mais ton cul est toujours bien tendu … tu en veux encore »
- « Je mérite une correction Maitre parce que je parle sans que vous me le demandiez »

Il a déboutonné son pantalon et sorti son sexe qui bandait. Affalé sur l’accoudoir, je sentais de la salive sortir de ma bouche. A regarder son sexe je n’ai pas vu arriver les claques suivantes, j’en ai presque crié.

- « Je mérite une correction Maitre … »
- « Arrête, tu as de la chance que tu m’excites beaucoup. Tu ne sais pas sucer alors tu vas prendre que pour ça. Remonte toi sur tes bras et ouvre la bouche »

Il m’a tourné la tête vers lui et mis sa queue dans ma bouche.

- « Garde là en bouche, tu n’es bon qu’à ça »

Et sa queue dans ma bouche il a recommencé à me fesser, le rythme était rapide mais moins fort. Je forçais sur mes bras pour rester en position et pour garder son sexe dans ma bouche, je serrais mes lèvres, je ne voulais pas le décevoir.
D’un coup j’ai sentir son sexe grossir encore, il l’a sorti de ma bouche et je l’ai regardé se branler 2 fois avant de sentir son sperme sur mes fesses. Il a giclé plusieurs fois avant de frotter son gland sur mes fesses.


Ensuite il m’a rapidement congédié. J’avais un exercice à faire pour la prochaine fois : faire des abdos, je devais lui rendre compte tous les jours de mes exercices.

J’ai commencé à bander en marchant vers ma voiture, j’étais comme sonné mais le seul ressenti que j’avais était dans mon slip. En arrivant à ma voiture j’ai plaqué mon sexe contre la portière et j’ai joui comme rarement, j’ai inondé mon pantalon …..

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