Kristine 1 Un Premier Pas De Travers...

Ce récit est à la fois le mien et celui d’une autre. J’ai vécu une expérience similaire à celle de Kristine. Longtemps j’ai recherché des récits mettant en scène des relations familiales ambiguës en une belle mère et son beau fils analogue à celle que j’ai vécues. J’ai fini par emprunter le début d’un récit trouvé au hasard du net pour y glisser les éléments de ma propre vie. Si la situation réelle est au départ fictionnelle, au fil du récit se sont les éléments de ma propre histoire qui prennent le pas. Par amour et par dépendance, je me suis laissée aller à la débauche. J’en garde dans ma chair la morsure à la fois douce et amère.

Quand, Damien, le petit ami de ma fille a emménagé chez nous il y a environ un an maintenant, j'étais un peu réticente car il n'était pas avec ma fille depuis longtemps. Mais c’était un gentil garçon et semblait la rendre vraiment heureuse. Il faisait des études dans notre ville et habitait assez loin. J’ai appris plus tard qu’il n’était pas toujours le bienvenu chez sa mère, depuis qu’elle s’était installée en couple suite à son divorce. Damien occupait un emploi à mi-temps à l’accueil de nuit dans un hôtel et passait le reste de son temps à ses études. A la maison il était discret et courtois si bien que je savais à peine qu'il était là. Quand ma fille s’est vu offrir la possibilité d’un stage à l’étranger pour ses études, cela m'a laissé dans une position embarrassante à l'égard Damien. Avec mon mari, nous avons convenu de le garder à la maison. Il nous versait une contribution symbolique pour la chambre. Tout était au mieux.

Parlons d'Alain, mon mari. Il avait vingt-trois ans et moi 17 quand nous avons entamé notre relation. Il était tout ce que je voulais. Il m’a apporté la liberté et l’indépendance vis à vis de mon milieu familial. A vingt-deux ans, j’étais maman et j’avais un travail dans la même entreprise que lui. Petit à petit, j’ai acquis des compétences et j’ai gravi pas à pas les marches de la hiérarchie jusqu’à obtenir un poste de responsabilité.

Je ne me suis pas rendue compte que lui végétait au sein de la logistique de l’entreprise et en prenait ombrage et qu’il s’est mis à boire. Un peu au départ, puis de plus en plus.
Il a voulu acheter un camion pour être professionnellement indépendant. L’affaire aurait pu marcher, s’il n’avait récolté une suspension de permis de 6 mois. Je l’ai aidé comme j’ai pu, allant jusqu’à m’endetter. Maintenant c’est fini. Nous vivons ensemble, nos rapports se sont distendus, même si nous donnons le change aux s. Pour s’assumer, il accumule les heures de conduite et reste souvent plusieurs jours en dehors de la maison. Quand il rentre, c’est sorties et beuveries.
Dans ces moments, il aime me rabaisser et m’humilier. Souvent après, il essaye de faire amende honorable, mais je ne suis pas dupe. Plus frustrant que tout, c’est que nous n’avons plus d’intimité alors que pendant longtemps, elle a été le moteur de notre couple. Tout cela a été difficile à accepter au début. Surtout lorsque j’ai appris qu’il a eu un temps une relation adultère avec une amie à moi.

La réussite professionnelle a été mon moteur et mon soutien au cours de ces années. J’ai maintenant 43 ans, je me regarde en sous-vêtements dans la glace. Même si ma poitrine est un peu lourde, je reste une femme désirable. Je l’ai vu dans les yeux de mes collaborateurs au travail. J'aime le sexe, mais je n’ai pas franchi le pas de l’aventure avec un autre homme.
Quand mes filles ont commencé à ramener des copains à la maison, parfois j’entendais des soupirs d’amour à travers les portes closes, je reprenais conscience d’être une femme et mes doigts se faufilaient dans ma culotte pour calmer ma frustration.

Ce n'est qu’un mois après que ma fille soit partie pour l'autre bout du monde que j'ai commencé à remarquer que Damien traînait parfois dans la maison sans aucun t-shirt lorsqu’il faisait chaud. Maintenant, je ne vais pas mentir, je le l’observais quand il ne regardait pas.
Après tout il était un garçon de vingt-trois ans qui avait un corps athlétique et bronzé. Si je suis totalement honnête je n’étais pas indifférente.
Je savais que ce genre de pensées n’étaient pas saines, mais ...... j'étais excitée par le manque de sexe. J’avais ouvert la boîte à fantasmes et j’avais du mal à la refermer. Je guettais ses sortie je trouvais de plus en plus difficile d'arrêter de le regarder et j'étais là quand il sortait de la douche et se promenait seulement dans son short.

Un matin, alors que je rangeais des serviettes dans l'armoire du couloir, je n’ai pu m'empêcher de m'arrêter pour regarder par la porte de sa chambre. Il avait travaillé toute la nuit et il dormait nu sur les draps à cause de la chaleur. La vision ce corps jeune et désirable me procurait des délices, j'ai honte de l'admettre. Pour la première fois, j'ai senti dans mon estomac se contracter et aussi un picotement dans et autour de ma chatte que je n'avais pas ressenti depuis longtemps. Ce n’était ni un élan romantique, ni esthétique comme je me plaisais à l’imaginer, c’était quelque chose de purement sexuel.

Une fois seule dans ma chambre, j'ai fait quelque chose d’inhabituel j'ai pris une boîte dans la garde-robe qui contenait un vibrateur lapin. Un truc que j’avais acheté, il y a quelques années et que j’avais vite rangé plus agacée par le bruit que conquise par les sensations. Je l’ai tenu dans mes mains pendant un moment comme si je ne l'avais jamais vu ou tenu avant. J’étais nerveuse ou effrayée de l'utiliser. J'étais une femme de 43 ans agissant comme si j'avais quatorze ans quand je me suis masturbée pour la première fois.

J'ai écarté ma culotte et ouvert mes jambes et senti mes lèvres de la chatte se gonfler et j'ai haleté, je suis devenue humide et je me suis sentie rougir alors que je repensais au petit cul ferme de Damien. J'ai fini par passer plus d'une heure à pilonner ma chatte avec mes doigts et mon vibromasseur jusqu'à ce que j'aie eu trois orgasmes intenses et explosifs.
Quand j'ai rangé mon vibrateur, je savais que le soir j’aurais besoin d'un autre orgasme. Après tant d’années de négligence, j'avais besoin d'une libération sexuelle.

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