Kristine3 Je Cède À Mon Beau Fils

Toute la journée j’ai été taraudée par le remord de ce que j’avais fait. Je n’avais pas la tête au travail. La vision de ce sexe hors norme me hantait. Avant mon mariage, j’en avais tâté quelques uns, des petits, des moyens et même des grands. Celui de mon mari était dans la moyenne supérieure. Quand je dis tâté, je pourrais dire goûter puisque je me souviens qu’au camping avec les copines on faisait des concours de pipes. Je gagnais souvent, j’avais le don de synchroniser ma bouche sur le plaisir des mecs et ils ne tardaient à juter, ce qui me permettait de picoler à l’oeil le reste de la soirée. Il faut dire que les jeunots étaient du genre rapide à la détente. Mais le sexe de Damien semblait une menace. Je le trouvais trop gros pour s’introduire sans dommage dans le corps de ma petite fille si fragile et si menue. Et pourtant j’avais déjà entendu ses gémissements au milieu de la nuit…

Ce soir-là, j'étais à l'étage quand Alain rentra à la maison ivre. Après l'avoir écouté déblatérer je lui répondis qu'il était inutile de continuer à discuter et me collais devant la télé .
Il s'est élancé dans les escaliers mais a trébuché et a raté une marche. Il a fini par s’effondrer sur le lit. Je suis quand même montée le voir. Quand je suis descendue, j'étais gêné de voir Damien assis là à regarder la télévision.

J’avais besoin de réconfort, je me suis allongée en travers de se cuisses. Il a caressé mes cheveux. Je me sentais bien. Il me caressait un sein qu’il avait sorti de mon soutien gorge. Il m’agaçait le mamelon, l’étirant jusqu’à me faire des picotements d’excitation dans mon bas ventre. Ma colère était retombée. Les ronflements de mon mari bourré à l’étage et les mains de Damien me faisaient tant de bien. Je jouissais de ma vengeance en le faisant cocu sous son propre toit. Damien avait maintenant sorti son sexe et se branlait lentement.
Les minutes suivantes sont un peu floues et je me suis conformée au directives de mon amant et avant que je ne le sache, j'avais ôté mon chemisier et je l'ai laissé décrocher mon soutien-gorge.

Damien était le seul autre homme en vingt ans à me toucher et maintenant à avoir ses mains et sa bouche sur mes seins et mes mamelons. Je ne l'ai pas arrêté, j'ai continué à branler son sexe dur. Je n’ai pas senti mon pantalon noir qui descendait le long de mes jambes jusqu'à ce qu'il soit aussi autour de mes pieds. Ce que j'ai fait ensuite, je l’avais pas fait à Alain depuis 8 ans. J’avais oublié ce que c'était le merveilleux goût et la sensation de la bite d'un homme dans ma bouche. Je n'ai pas honte de le dire maintenant mais chaque moment passée par sa grosse bite dans ma bouche, j’aurais voulu que cela ne cesse jamais.. J'étais tellement absorbée par ma tâche de sucer sa bite qu'il m'a fallu un moment pour me rendre compte qu'il tripotait ma chatte et frottait mon clitoris, mais comme j’étais à l'écoute de la réactions de son corps et je continuais de délecter du goût de sa bite sur ma langue. J'ai commencé à ressentir ma chatte s'humidifier comme jamais auparavant alors que je prenais dans la bouche, le copain de ma fille, pour la première fois.

Je ne me contrôlais plus. J’étais submergée par le désir et je ressentais un besoin impérieux de l’accueillir dans ma chatte. J'espérais juste qu'il voudrait aussi me baiser. Après tout, j'étais une femme de quarante trois ans et il avait vingt ans. Les minutes suivantes ont encore été floues, je me souviens qu’il m'a dit qu'il allait venir et que j’allais l’avaler.
- Avale, avale, je pensais.
- oh mon dieu avale son sperme, c’est ce que je pensais.
Et j’ai avalé instinctivement sa crème comme il me le demandait. Je me souviens d'avoir reculé pendant qu'il tirait sa bite de ma bouche et j'étais horrifié de réaliser qu'il avait lâché le reste de son sperme sur mon visage, je passais la main sur ma figure et sentis sa crème épaisse sur mes joues et le regardais horrifiée mais je n’ai rien dit.
Cela ne m'était jamais arrivé auparavant et je me suis sentie humiliée et sale.
Je savais que je ne pouvais pas dire non, même si j’étais son aînée de vingt ans et que j’étais une femme d'affaires respectée et la mère de sa petite amie. Je me sentais comme une gamine et je savais d'une manière ou d'une autre que je ferais tout ce qu'il me demanderait.

Il m'a ramené à travers le canapé et m'a dit d'écarter mes jambes. Quand il m'a dit qu'il était temps que ma chatte de femme mariée et négligée par son mari et se prenne une queue, j'ai accepté. Il a mis sa grosse bite entre mes lèvres intimes et mon ventre l’avala volontiers. je savais à partir du moment où son sexe me remplissait et qu’il commençait à me baiser, qu’il avait allumé un feu à l'intérieur de moi et que je n'allais plus être la même. Je me souviens de la première décharge de plaisir que m’a procuré sa queue et que j’ai sentie dans tout mon corps. Ma chatte épousait son sexe comme un gant et le plaisir est venu comme un train libérant six ans de frustration sexuelle refoulée.

- Kristine désormais, vous m’appartenez. Ce que nous avons accompli, ce n’est pas un accident. Je vais vous baiser comme jamais vous ne l’avez été. Nous allons franchir ensemble des frontières inconnues. Vous vous comportez comme une mauvaise mère en vous tapant l’amant de votre fille. Vous vous comportez comme une traînée et vous le savez.
Vous en jouissez.

Il était toujours en moi. Je me débattais pour échapper à son étreinte.

- Pour marquer mon nouveau territoire, je vais vous inonder de ma semence.
- Non, non je vous en prie. Ne faites pas cela.


Il a accéléré, écartant mes chairs de son membre monstrueux. J’étais soumise à son sexe.
Je me creusais pour mieux le recevoir. D’un autre coté, ma tête se refusait à se laisser partir si bien que n’ai pas retiré de plaisir quand mon ventre a été éclaboussé de son sperme. J'étais silencieuse. J’ai remonté mon pantalon et ma culotte pour aller me nettoyer, il m’a retenu par la main.

-Vous devez apprendre a garder ma semence en vous.
C’est ainsi que nous avons terminé l’émission télé. Moi, torse nu allongée sur le canapé, le sexe rempli de son foutre qui inondait ma culotte et le fond de mon pantalon, lui me caressant distraitement les cheveux et les seins.

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