Microfictions : 1- Le Réveil.

Ce matin là, Agnès se dépêcha d'emmener sa dernière fille à l'école maternelle. Pierre, son mari, était rentré très tard dans la nuit après un déplacement de plusieurs jours. Elle l'avait laissé profondément endormi sur le lit conjugal, à plat ventre, nu, ses petites fesses rondes appelant la caresse. Et surtout, cette image avait pris Agnès au cerveau, son long pénis étalé non contre son ventre mais entre ses jambes, le gland palpitant. Agnès avait hâte de rentrer pour s'occuper de cette bite surgissant comme un troisième membre inférieur. Elle seule pouvait désormais calmer son bas-ventre et ses seins douloureux.

Lorsqu'elle rentra quelques minutes plus tard, elle passa rapidement aux toilettes, se dévêtit entièrement, regarda son corps nu dans la glace, ses seins lourds en apesanteur, son ventre bombé, son pubis brun fourni et, se tournant légèrement, la raie longue et fendue de son copieux fessier. "Je suis prête pour une bonne partie de baise", se dit-elle.
Elle vérifia sa montre avant de l'enlever. Son mari dormait depuis maintenant sept heures. Suffisant pour un réveil triomphant... Elle entra à pas de loup sur ses pieds nus dans la chambre, s'assit au bord du lit et alluma la lampe de chevet. Pierre était toujours dans la même position, le gland entre ses cuisses. Elle se pencha en avant et vint poser le bout de sa langue sur le noeud violacé puis insista. L'homme bougea légèrement mais ne se retourna pas, écartant juste un peu les cuisses. Encouragée, Agnès vint lécher les couilles gonflées, ses cheveux mi-longs caressant les cuisses puissantes de son mari. Elle constata avec satisfaction que le gland avait pris du volume et, cette fois, le goba franchement au prix d'une contorsion du cou. L'homme grogna mais ne bougea toujours pas de sa position à plat ventre. Puis Agnès s'intéressa à son anus. Après avoir écarté les fesses, elle vint titiller l'anneau du bout de sa langue tout en faisant aller et venir ses doigts sur la hampe qui, désormais, faisait presque office de troisième jambe.

Après avoir fortement humecté l'anus, Agnès y glissa son doigt par petits coups, à la recherche de la prostate. Pierre faisait désormais bouger ses hanches comme s'il baisait. Lorsqu'elle toucha la prostate, il gémit faiblement dans l'oreiller. Agnès l'astiquait de son autre main avec frénésie, donnant à son pénis un volume largement suffisant pour la satisfaire. Et enfin, il se retourna :
- Petite cochonne ! Tu ne pouvais pas attendre que je me réveille ?
- J'ai trop envie. S'il te plait, baise moi.
- Pas tout de suite. Laisse-moi me réveiller.
- Regarde ta queue. Elle est bien réveillée, elle...

De fait, le gland se dressait vers le plafond, mais Pierre voulait la faire languir et prétexta un réveil laborieux. Alors, Agnès ne fit ni une ni deux : elle l'enfourcha, s'empala sur lui et le chevaucha avec ardeur et enthousiasme, faisant danser ses gros seins et palpiter son abdomen. Vaincu, l'homme se contenta dans un premier temps de lui renvoyer la balle en prenant appui sur le matelas. Agnès couinait, feulait, balbutiait, tout entière concentrée sur le corps étranger qui entrait et sortait de son entre-cuisses à une cadence élevée. Mais Pierre voulait retrouver son autorité de mâle. Cette fois bien réveillé, il la fit basculer sur le lit, lui saisit les chevilles, les écarta et s'enfonça en elle sans ménagement avant de la pilonner avec une telle vigueur qu'Agnès en perdit la voix. Ecartelée, pliée en deux, fouillée, creusée, elle se soumettait sans réserve à la virilité de son mari-amant, l'encourageant à poursuivre dans la même voie avec des slogans dont la crudité aurait surpris de la part de cette jeune mère d'allure si sage.
Puis l'homme marqua une pause, la bite toujours fière, et interrogea :
- Tu veux quoi maintenant ?
- Ce que tu veux. Je suis toute à toi.
- Puisque tu m'a mis le doigt dans le trou du cul, je vais t'enculer.
- Oui, fais-le, mais mets la langue d'abord.
Pierre s'exécuta sans rechigner.
A quatre pattes au bord du lit, Agnès lui offrait ses deux globes jumeaux qu'il écarta avant de visiter l'objet de son désir d'une langue baveuse. Comme par miracle, l'anus semblait s'ouvrir et il ne laissa pas passer l'occasion. Après avoir positionné son gland turgescent dans l'orifice, il procéda à de légères poussée jusqu'à ce qu'il engage franchement son dard et l'entre dans un océan de volupté. Agnès se mit à agiter frénétiquement son popotin et encouragea son mâle à aller de l'avant, sans rechigner. Les peaux claquèrent, les couilles pleines ballotèrent contre la chatte humide, leurs voix s'unirent dans la même extase jusqu'à ce que Pierre se répande dans le rectum de son épouse avec de profonds bruits de gorge. Le couple resta uni quelques secondes pour savourer jusqu'au bout la fin du coït avant de se séparer et de s'allonger côte à côte, l'homme la tête sur l'épaule de la femme encore palpitante. Puis tous deux s'endormirent..

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