Petits Boulots D'Étudiantes 1/2

- Je m’inquiète pour Anouck mon chéri
- Pourquoi ? ça fait six mois que ta fille est en fac et elle a déjà déniché un petit boulot pour payer son loyer
- Justement c’est ce ‘petit boulot’ qui m’inquiète
- Je reconnais que serveuse dans un fastfood n’est pas de tout repos et très mal payé
- Je ne crois pas à ce fastfood Julien
- Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
- Une intuition, un instinct de mère, tu dis toi-même que c’est mal payé et elle ne réclame rien en fin de mois, je sais que ce n’est pas ta fille mais j’aimerais que tu ailles voir sur place, en cachette comment elle vie, quitte à louer une chambre d’hôtel, tu ne reviens pas avant d’avoir fait la lumière sur ce mystérieux boulot
- Comme tu veux Cathie, je vais réserver une chambre pour demain soir, ne t’inquiète pas je t’appellerais tous les soirs
- Merci pour ton dévouement chéri
- J’aime Anouck comme si elle était ma fille, je ne veux que son bonheur
Il est vrai que cette fille est très gentille envers moi, elle m’a bien accepté en tant que beau-père, au lycée elle a toujours travaillé dur, excluant les petits copains, pourtant elle ne manquait pas d’être sollicitée même par des hommes plus âgés, rien d’étonnant avec de telles formes provocantes…
Dès mon arrivée en fin de soirée, je me suis posté dans ma voiture tel un détective prés de ce fameux fastfood situé près de la gare, les minutes passent et toujours pas d’Anouck en vue, quand soudain j’aperçois sa silhouette, mais elle passe devant le resto rapide sans s’y arrêter bizarre non ? en hâte je décide de la suivre à pieds à bonne distance, ma belle-fille marche d’un pas décidé vers la gare et entre dans un bar … ça ne m’inquiéterais nullement si ce n’était un bar de nuit qui s’appelle ‘au bout de la nuit’… tout un programme …peut être va-t-elle prendre tout simplement un café ? J’attends donc devant, là aussi d’interminables minutes passent sans qu’elle ne ressorte, si je rentre je suis grillé, je repars donc avec des questions qui m’occupent l’esprit, elle travaille certainement là mais comme barmaid, serveuse, hôtesse ? je reviendrais demain aux heures de cours d’Anouck, j’appelle Cathie pour la ‘rassurer’ …
- Allo chérie ? tout va bien, hélas ce soir Anouck ne devait pas travailler je ne l’aie pas vue, je te tiens au courant demain, bisous
- A demain julien ….

bisous
Je sens qu’elle n’est pas dupe, le lendemain après-midi je me rends a ce fameux bar, ce sera une première pour moi aussi je vais faire d’une pierre deux coups ! dès l’entrée l’atmosphère feutrée vous englobe totalement, une très jeune fille, de l’âge d’Anouck a peu près vient à ma rencontre, c’est une vision de reve, cette nana est habillée, ou devrais-je dire déshabillée ! talons hauts, très hauts mettant en valeur sa cambrure parfaite, une jupette ultra courte et d’un chemisier demi ouvert sur une poitrine irréprochable, ma verge n’y est pas insensible …
- Venez-vous assoir par ici monsieur, vous y serait parfaitement bien
- Merci
- Que désirez-vous boire ? une coupe ?
- Ça ira très bien merci
- Vous m’en offrez une ?
- J’allais vous le proposer
- Merci à vous, je reviens !
La table est à moitié dans la pénombre, la fille revient avec deux flutes pétillantes et s’assied à mon côté, cuisse contre cuisse sur une banquette moelleuse sans s’occuper si sa jupette est raisonnablement tirée pour dissimuler un string blanc, elle me transmet la chaleur de son corps, ce qui n’arrange pas la flamme qui monte en moi …
- Tu te prénomme comment beau brun ?
- Euuuuhhh… Jacques et toi ?
- Ludivine
- Charmant prénom, dis-moi, qu’est-tu ‘autorisée’ à faire avec tes clients
- Oooohhh pas grand-chose, leur tenir compagnie, leur faire oublier les tracas du jour … mais dis-moi, tu n’es pas de la police ?
- Rassure-toi, je veux simplement te demander un renseignement d’ordre privé
- On me surveille de près ici, offre moi une bouteille et nous pourrons nous isoler dans une alcôve je pourrais mieux répondre à ta question
- C’est combien la bouteille ?
- 160 ….
- C’est pas donné mais c’est très important, allons y
D’un simple signe Ludivine, certainement un prénom d’emprunt, commande une bouteille à servir dans une loge fermée par un rideau ou une table et une banquette très confortable nous tend les bras, elle attend qu’un homme a la carrure de videur nous serve pour se blottir contre moi genoux repliés, dénudée jusqu’au bas ventre, mini slip totalement apparent ce qui consolide définitivement mon érection
- J’ai droit à quoi avec une bouteille ?
- Premièrement une réponse à ta question pourvu que je puisse y répondre, deuxièmement tu peux toucher ou téter mes seins
- Troisièmement te faire l’amour ?
- Surtout pas ! a la moindre tentative de passer ta main entre mes cuisses tu te ferais expulser manu militari, par contre je peux te masturber en douce, mais quelle est ta question ?
- Tu connais Anouck ? une petite blonde ?
- Anouck ???????? connais pas … pourquoi devrais-je la connaitre ?
- Parce je crois qu’elle bosse ici comme toi
- Anouck … Anouck … aaaaaaaaaaaahhhhhh tu veux dire Constance ?
- Elle travaille sous le pseudo de Constance ?
- C’est ça, j’y suis ! c’est une belle nana ! elle est très demandée par les clients et se fait un bon salaire, elle travaille ce soir vers vingt et une heures, c’est ta fille ?
- Ma belle-fille, elle ne fait que faire consommer ?
- Théoriquement oui, bien que comme moi elle concède quelques caresses intimes …mais …
- Mais ?
- Mais quelquefois elle repart avec un client, c’est assez courant
- Pour baiser ?
- Sans doute, et cette sotte je crois qu’elle ne se fait pas payer, pour les passes à l’extérieur ça ne regarde pas notre patron !
- Tu prends combien ?
- Assez de questions, je vais m’assoir sur tes genoux, caresse mes seins, ce que j’ai sous la main m’inspire vachement, tu bande et ça bouge grave dans ton slip !
- Branle-moi Ludivine …
- Avec plaisir, aspire mon gros téton
La fille prend ma bite que j’ai sortie en catastrophe avec ses deux jumelles, elle me décalotte lentement et du bout du doigt prélève l’énorme goutte qui allait se perdre elle le porte à sa bouche et le suce avec gourmandise
- Ton sperme doit être fameux au goût et une verge pareille doit bien fouetter le fond de la chatte
- Il ne tient qu’à toi de tester …
- Tu possèdes un bon manche, tu me plais bien … tu es là pour une bonne cause … à l’hôtel sans doute ?
- A deux pas, au BB
- Quelle chambre ?
- 47, Combien ?
- Pour toi je vais faire une exception, ce sera gratos a une condition
- Laquelle ?
- Sort ta belle-fille de là, sinon elle va finir pute sous la coupe d’un souteneur
- Je suis là pour ça, tu viens à quelle heure ?
- Je quitte dans une demi-heure, laisse la porte ouverte, attend moi nu sur ton lit
- Meeerrrrrrrde ! je joooouuuuuiiiiiiiis !
- Pile-poil au creux de ma paume, ça va me servir de coupe…. Mmuuummm, il est fameux ton foutre !
- Ta chatte doit être divinement bonne aussi, merci d’avoir essuyée ma queue sur ton sexe, dommage qu’il y avait le slip entre les deux ! rejoint moi vite à l’hôtel
- A tout de suite, n’oublie pas de payer le champagne au comptoir Jacques !
- Julien, mon véritable prénom est Julien ! mais nous n’avons rien bu ?
- Tant pis pour toi, je veux ma commission !
Je n’y croyais qu’à moitié mais Ludivine est arrivée comme prévu, la porte claquée elle s’est déshabillée avant de me rejoindre sur le lit, sa chatte est rasée, elle se jette sur moi pour un baiser passionné, sa main part en exploration pour attr ma bite qui repart de plus belle au beau fixe tandis que mes doigt vont explorer une grotte bien ouverte, les autres servent a peloter sa poitrine d’une fermeté très acceptable
- Assèche ma foufoune avec ta bouche Julien, je vais te sucer
Je l’aie prises trois fois sans capotes, missionnaire, levrette, et pour finir je me suis fait chevaucher, je n’ai pas osé lui demander si elle acceptait la sodomie mais mes doigts intrusifs ne l’ont pas dérangée, donc affaire à suivre … une façon comme une autre d’amortir ma soirée qui m’a couté cher ! j’espère bien revoir bientôt cette jeune nana peu farouche
Ainsi Anouck ‘travaille’ ce soir ? ma carte bleue va encore chauffer
A SUIVRE…..