La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1135)

Gladys au Château –

Je vacillai dans l’inconscient… car Monsieur le Marquis mélangeait, avec une évidente dextérité, fessées et caresses arrondies sur mon fessier tout en fouillant parfois mon sexe trempé du bout de ses doigts, pour finir uniquement par une incroyable douceur caressante qui me fit tomber dans un premier temps dans un certain bien-être, puis dans un doux évanouissement lequel je ne pus me soustraire causé aussi par la forte émotion que tout cela provoquait en moi, ce qui me fit perdre pied, comme apaisée je perdis donc conscience… Je me réveillais beaucoup plus tard, dans un grand lit à baldaquin orné sur les quatre côtés de beaux rideaux constitués d’une magnifique étoffe dorée légèrement transparente telle de la soie orientale bordée de liserés d’or. Je me trouvais sans aucun doute, dans une des nombreuses chambres du Château. Le soleil était couché depuis peu. Les yeux ouvert, regardant le plafond, j’essayai d’éclaircir ce qu’il s’était passé avant de perdre connaissance. C’était encore un peu flou et je me demandai si je n’avais pas rêvé cette curieuse punition, qui je n’osais me l’avouer à moi-même, était plus que délicieuse… J’entendis tout à coup le bruit d’une page que l’on tourne et je me redressai pour voir d’où venait ce petit bruit. Je vis alors Monsieur le Marquis d’Evans, assis dans un fauteuil confortable, tenant dans sa main le magnifique livre que j’avais fait tomber plus tôt. Il leva ses yeux vers moi pendant que je me redressais.

- Vous voilà enfin réveillée, dit-il en me regardant droit dans les yeux, je commençais à croire que vous dormiriez jusqu’au matin. Mais heureusement pour vous, je ne me suis pas ennuyé car après votre punition, j’ai eu l’envie de relire encore une fois ce cher livre que vous aviez fait tomber et lequel je tiens beaucoup.

J’étais gênée et je commençais à rougir lorsqu’il se mit à parler de ma punition. Ainsi je ne l’avais pas rêvée. Je fronçai les sourcils au souvenir de mon incroyable docilité, sûrement dû au coup contre l’étagère que je venais de recevoir, me dis-je.

Instinctivement, je remis ma main sur ma tête.

- Ne vous inquiétez pas pour cela, je l’ai fait examiner par mon médecin personnel et il m’a assuré que vous allez bien, et que votre défaillance est dû en parti au coup que vous avez reçu mais également à votre excitation que j’ai senti par l’humidité de votre intimité et à votre forte émotion qui en a suivi…

Je rougis de plus belle et baissai la tête, honteuse de mon excitation, qui j’avais l’impression revenait suite au parole du Marquis. C’est alors que je remarquai que l’on m’avait changé. Cela dû se voir car Monsieur le Marquis ajouta :

- L’on vous a changé avec des vêtements trouvés dans votre voiture, expliqua-t-il. En effet, l’on ne savait pas combien de temps vous alliez rester sonnée et également pour ne pas abimer votre robe, laquelle je l’ai fait laver, sécher et repasser impeccablement.

J’étais donc assise sur ce lit, les couvertures chaudes encore sur mes jambes dénudées, un string noir simple et un débardeur clair et fin qui laissait deviner totalement les lignes de mes seins et mes tétons qui pointaient doucement. Je gardai ces vêtements dans ma voiture, avec également un jean, au cas où car une fille sage doit toujours prévoir un rechange lorsqu’elle le peut.

- C’est vous qui m’avez changé ? Dis-je plus que gênée, la voix hésitante.
- Non, c’est Marie et une de mes esclaves avant l’intervention de mon médecin qui vous a donc ausculté, dit-il, un sourire amusé sur les lèvres, attendant ma réaction suite au mot prononcé ‘’esclaves’’.

Cela ne se fit pas attendre. Je restai muette de stupéfaction et profondément confuse, les idées se mélangeant à vive allure dans ma tête.

- Vos ?… Vos esclaves ? Bredouillais-je stupéfaite.
- Sachez que je suis le Maître en ces lieux, je suis un Grand Maître reconnu dans la Communauté de la Domination/soumission et tous Mes esclaves m’obéissent à Mes Ordres dans une dévotion hors du commun.
J’en ai une cinquantaine qui vive ici pour la plupart en permanence, à demeure. Mais ce Château n’est surtout pas une prison, ils sont tous là de leur plein gré et par pure et totale dévotion, ils sont là pour vivre pleinement ce qu’ils sont, des soumis au plus profond de leur être, dit-il sans quitter mon regard, m’envoutant et faisant renaître en moi le puissant trouble qui m’avait secoué depuis ma venue au Château…. Si vous voulez bien maintenant, levez-vous.

Sa voix était calme mais froide et autoritaire et elle ne laissait place à aucune objection. Toutefois j’hésitais. Il fronça les sourcils et croisa les bras, tout en relevant la tête marquant par sa posture une autorité sans faille quand de ses yeux Dominants, il me fixa encore plus puissamment d’un fort regard pénétrant, ce qui me déconcerta et je me sentis toute petite devant son charisme, prête à lui obéir tant cela me fit de l’effet en moi-même….

- Je… je suis désolée mais je n’ai pas de bas, bredouillais-je impressionnée.
- Je vous ai demandé de vous lever, répliqua-t-il.

Perdue et hésitante, je poussais doucement la couverture et je me mis debout, tirant légèrement sur mon débardeur, souhaitant que cela me cache légèrement, mais accentuant seulement mon décolleté. Je restai au bord du lit, craintive. Monsieur Le Marquis me regarda, d’un regard évocateur, du menton il me fit comprendre d’avancer et intimidée je le fis à contre cœur, gênée de ma quasi nudité, mais une force irrésistible, indescriptible et que je ne pouvais pas contrôler m’incitait à lui obéir et je ne pus que constater que mon bas-ventre s’humidifiait, mélange de honte et d’excitation quasi incontrôlable….

- Les mains derrière le dos et écarte un peu plus les cuisses, m’ordonna-t-il, sans autre préambule.

Je voulus protesté, le visage légèrement suppliant mais le regard imposant du Marquis m’en dissuada. Après quelques secondes, je mis mes mains derrière mon dos, tenant de ma main droite mon poignet gauche.
Doucement et toujours à contre cœur, j’écartai donc mes pieds. Je regardai le Châtelain avec ma tête légèrement baissée, les sourcils légèrement froncés en me mordillant un peu la lèvre inférieure et la réaction ne se fit pas attendre :

- Baisse les yeux mais aussi la tête

Encore une fois, je ne pus me soustraire à son ordre qui claqua comme un coup de fouet, sec et froid. Il tourna autours de moi, doucement, regardant mon corps debout devant lui. Il me jaugea des pieds à la tête longuement dans un silence total. Je fixai un point sur l’épais tapis, espérant la fin de cette attente ainsi, souhaitant juste me rhabiller. Je ne savais que penser, j’étais horriblement et délicieusement troublée qu’un inconnu me regarde ainsi mais également étonnée de mon obéissance. Je me demandai pourquoi je ne bougeai pas, alors que pourtant tout aurai du me faire fuir cet endroit dans les plus brefs délais. Pourtant, je ne bougeai pas, comme si une force intérieure me commandait de rester ainsi. Monsieur Le Marquis fini par s’approcher de moi, m’ordonnant de retirer mon débardeur. Hésitante, je ne le fis pas de suite, mais une claque sur mes fesses m’enjoint à me presser. Je retirai mon maillot, relevait la tête en le regardant, les yeux implorants et sous son regard réprobateur, je baissai de nouveau les yeux et la tête. Il prit mon débardeur et le lança sur le lit. Je sentis sa main se poser sur mon épaule afin de me pencher légèrement. Sa main se retira pour se poser sur mes yeux et me les fermer. Toujours ma tête baissée, je compris que je ne devais pas les rouvrir. Puis il alla chercher quelque chose et se plaça derrière moi. Une claque tomba sur ma fesse droite. Puis, quelques secondes après une autre sur sa jumelle à gauche.

- Tu comprends pourquoi je fais cela ? me demanda-t-il, son tutoiement passant inaperçu à mes oreilles. (Devant mon absence de réponse, il reprit) Tu as défailli avant la fin de ta punition. De plus, tu as tardé à m’obéir plusieurs fois depuis que tu t’es réveillée et tu as cherché à discuter Mes Ordres.
Puisque pour l’instant tu n’es pas encore à Moi, je vais seulement te donner 10 coups de badine.

Il retourna derrière moi. Dans ma tête un tourbillon de pensées m’ensevelissait. Ma respiration s’accéléra en vue d’une nouvelle punition, j’en avais peur et paradoxalement envie. Toutefois, je ne savais ce qu’était une badine et j’avais peur de le découvrir. Mais je n’eus pas trop le temps de réfléchir car sans tarder le premier coup tomba. Je poussai un cri de surprise et instinctivement je mis mes mains sur mes fesses. Mal m’en prit car le Marquis donna un coup sur mes avants en disant que celui-ci ne compterai pas et il m’ordonna d’attr mes avants en mettant mes bras plus haut dans le dos afin de ne plus le gêner. Je m’exécutai promptement. Un deuxième coup tomba sur le haut de mes fesses. Je gémis en me mordant la lèvre mais encore une fois, je me sentais de plus en plus humide. Le troisième fût sur le haut de mes cuisses, ce qui me fit gémir de plus belle, ma respiration s’accélérant. Le Châtelain continua à marquer ainsi ma croupe, s’appliquant à laisser des marques de haut en bas de mon postérieur. Plus le nombre de coups s’approchait de 10, plus je sentais mon intimité s’humidifier jusqu’à ce que je sente couler sur une de mes cuisses ma cyprine, la preuve de mon excitation. Je continuai de gémir, les larmes au bord des yeux et le rouge aux joues. Toutefois, je ne pleurai pas. Une fois finit, le Marquis glissa sa main le long de ma cuisse, glissant sur mes sécrétions, s’en humidifiant les doigts. Il s’approcha ensuite de mon visage et mit ses doigts dans ma bouche, me redressant d’un mouvement de sa main.

- Ceci est la preuve que tu apprécies le traitement que je t’inflige n’est-ce pas ? Tu aimes être soumise. Alors maintenant suce ce qui provient de toi, chienne.

Je baissai les yeux, une larme roula sur ma joue et ma langue s’activa activement autours de ses doigts, glissant entre autours d’eux, je m’empressai à les nettoyer, bougeant ma tête dans un doux va et vient. Concentrée à cela, j’oubliai un moment les questions et contradictions qui assaillaient mon esprit et me concentra à ma tâche.

- Bonne chienne, tu vois que tu peux être prompte à agir, dit-il ayant sûrement remarqué ma concentration.

Il retira ses doigts de ma bouche et remarqua la trace de rouge à lèvre laissé sur ses doigts. Il l’essuya sur ma poitrine, frôlant mes tétons, ce qui me fit tressaillir. En effet, j’ai toujours été sensible au niveau des tétons malgré ma forte poitrine. Il s’en amusa et les titilla, les pinçant alors que je grimaçai et gémissais sous ses doigts. Au bout d’un temps, il alla jusqu’à une commode, tira un tiroir et en sorti une corde. Il revient, la doubla, la passa autour de mon fin cou et la noua sans être trop serrée.

- A quatre pattes chienne, m’ordonna-t-il, je vais aller manger et tu vas me suivre sagement en marchant comme la chienne que tu es. Nous parlerons de ta situation ensuite. Est-ce clair ?

Je me surpris presque à hocher la tête positivement, mon bas ventre subjugué par cet ordre et le ton autoritaire de Monsieur le Marquis. Mais ce dernier, marcha sur ma main et tira mes cheveux, relevant ma tête pour le regarder.

- Ici, on dit ‘’Oui Monsieur le Marquis’’ pour me répondre ! Et si tu le mérites, peut-être que très bientôt, tu auras l’autorisation de m’appeler ‘’Maître’’ ou ‘’Maître Vénér钅 ce qui pour toi sera un véritable privilège et honneur …

Il retira son pied, mais garda ma tête relevée, attendant ma réponse.

- Oui Monsieur le Marquis, réussissais-je à articuler.
- Plus fort chienne.
- Oui Monsieur le Marquis, dis-je d’une voix plus affirmée.
- C’est mieux, répondit-il en me donnant une petite claque sur la joue.

Sans attendre plus, il lâcha mes cheveux et s’avança, sans aller trop vite, conscient sûrement que c’était la première fois que je me déplaçais ainsi. Nous partîmes donc en direction de la salle à manger passant dans un long et luxueux couloir à l’épaisse moquette de couleur bordeaux…

(A suivre…)

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