Qui L'Eu Cru Xiv M. Le Directeur

Françoise DUVAL, veuve depuis quelques années, la cinquantaine finissante, femme d’un milieu assez aisé et bien sous tous rapports, se laisse séduire par un jeune collègue trentenaire en recherche d’un certain confort matériel et qui s’est bien gardé de lui avouer qu’il vient de purger une peine de prison pour vol.
Après quelques coïts qui révèlent à Françoise des plaisirs jusqu’alors ignorés, la mère de famille qui se découvre jalouse, propose à son amant qui se prétend sans logement et qui feint de vouloir trouver refuge chez une ex petite amie, de s’installer provisoirement chez elle.
A l'occasion des fêtes de Noël, le séducteur en profite pour coïter Alexandra, la fille de Françoise, qui n'est pas aussi coincée qu'elle veut le laisser paraître.

Mercredi 21 janvier 2015 20 heures

Paul CROUCHET, au volant de sa berline BMW flambant neuve, a bien du mal à se concentrer sur l'itinéraire qui le conduit chez Françoise DUVAL, sa collaboratrice.
Il n'arrête pas de se demander depuis ce matin comment il en est arrivé là et surtout s'il n'est pas en train de commettre une énorme erreur qu'il pourrait regretter par la suite.
A bientôt quarante-six ans et après dix-sept-ans ans de mariage, l'homme droit qu'il est, catholique pratiquant de surcroît, peut se targuer de n'avoir jamais trompé Bénédicte, sa merveilleuse épouse, qui lui a donné quatre beaux s.
Jusqu'alors il n'y avait d'ailleurs jamais vraiment pensé, jusqu'à ce qu'il se mette subitement ces derniers jours à fantasmer sur sa collaboratrice mature, Françoise DUVAL .
Il a du mal à comprendre ce qui se passe, en dix ans il n'a jamais eu la moindre pensée équivoque envers Françoise, cette précieuse collaboratrice qu'il côtoie chaque jour plusieurs fois à son travail et pour laquelle il a toujours eu le plus grand respect..
Sans la moindre arrière pensée, il s'est même montré plein d'égard pour elle lorsqu'elle a eu le malheur de perdre son mari, il y a quelques années, avec Bénédicte, ils l'ont même invité chez eux un dimanche, quelques semaines après le drame.


Mais depuis quelque temps, Françoise s'est transformée d'une façon surprenante. La femme discrète et réservée qu'il a toujours connue, en a déconcerté plus d'un en se mettant à porter des tenues de plus en plus sexy, pour ne pas dire provocantes.
Bien qu'il n'éprouve pas habituellement un attrait particulier pour ce genre d'accoutrement, il s'est vite laissé aller à reluquer les formes de cette femme mature qui évoluait plusieurs heures chaque jour à ses côtés, louchant sur son cul mis à valeur par des pantalons ou des jupes moulantes, sur ses cuisses galbées gainées de soie que des mini jupes de plus en plus courtes dissimulées de moins en moins, sur le triangle d'affriolantes culottes ou sur la jarretière de ses bas auto-fixants entrçues à de trop nombreuses occasions pour que cela soit le seul fait du hasard, sans parler des tops moulants mettant outrageusement sa poitrine en valeur.
Peu à peu, sont apparues les premières difficultés à se concentrer, cette femme qui avait, il faut bien le dire de plus en plus l'allure d'une salope a commencé à envahir toutes ses pensées, jusque dans les moments les plus intimes avec Bénédicte durant lesquels il s'est rendu compte qu'il avait plus que tout envie de Françoise
Il a bien conscience que tout cela n'est pas rationnel, Françoise est plus âgée et ne peut rivaliser physiquement avec la très classique et néanmoins superbe Bénédicte, mais c'est ainsi.
Après une nouvelle nuit sans sommeil hantée par Françoise, n'y tenant plus, il s'est décidé ce matin sur un coup de tête, lorsque elle est venue le saluer dans son bureau comme chaque jour, à lui avouer son trouble.
Il appréhendait ce moment, craignant plus que le ridicule, une fin de non recevoir.
- Je...Eh ...je ne sais comment vous dire cela Françoise depuis le temps que nous nous connaissons, vous me troublez beaucoup ces derniers temps et....
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20 heures 10
- Alors comme ça, mon cher Paul, vous permettez que je vous appelle Paul n'est ce pas, vous voulez baiser Françoise , demande Stéphane sans ambages.

- mais...Eh....comment...

Paul CRUCHET est sans voix.
Face à lui, installé nonchalamment dans un confortable fauteuil, Stéphane LARTIGUE, le coursier et homme à tout faire de la société !
Paul est complètement perdu, il ne comprend pas ce que cet individu fait dans le salon de Françoise.
Il la revoit il y a quelques instants qui lui a ouvert la porte l'air un peu crispé dans un peignoir en satin beige avec des motifs de fleurs, elle l'a aimablement débarrassé du magnifique bouquet qu'il avait acheté en venant puis la conduit dans le salon face à ce type avant de disparaître !

- J'ai aperçu Madame CROUCHET, le jour de l'arbre de Noël, je me suis dit qu'une belle femme comme elle, devait être sacrément bonnasse, mais je me suis peut-être trompé après tout.
- Mais comment vous permettez vous....
- Calmez-vous Paul, on ne va pas se fâcher, je vous rappelle tout de même que c'est vous qui voulait baiser ma femme.
- Votre femme !
- Ah oui pardon, j'aurais dû commencer par là, vous ne le savez pas encore, mais Françoise est ma femme, enfin elle est à moi quoi, je suis son mec si tu préfères...chérie tu nous amènes une bouteille de champagne ?

Paul est comme paralysé, les yeux exorbités, Françoise vient d'apparaître portant un plateau avec un sceau à champagne et trois flûtes en cristal....elle est seulement vêtue d'une guêpière en dentelle rouge qu'elle porte avec des bas à larges résilles et des chaussures à talon aiguille.
Elle dépose le plateau sur la table basse devant Paul et attirée par Stéphane qui lui à pris le bras, vient s'asseoir en travers de ses genoux.

- Eh oui mon cher Paul, c'est à moi que tu dois de voir tous les jours la nouvelle Françoise, qui semble bien te plaire si j'ai bien compris.

Françoise, écarlate, essaie de ne pas le montrer, mais elle est très tendue par la situation, il y a une minute encore elle était toute tremblante dans la cuisine, heureusement son homme est là et elle a toute confiance en lui.

Depuis que Françoise a avoué à Stéphane qu'elle n'était pas insensible à son directeur, il veut qu'elle couche avec lui et qu'elle lui raconte ensuite leurs ébats par le détail .
Il ne se passe pas un jour sans qu'il n'aborde le sujet.
Et le plus fou, c'est que malgré la perversité de la demande, elle a envie de faire plaisir à l'homme qu'elle aime mais aussi et il lui faut le reconnaître, elle a tout simplement envie de se faire sauter par son directeur même si elle ne sait trop comment s'y prendre !
C'est tout à fait irrationnel, elle n'a jamais rien éprouvé d'aussi fort que ce qu'elle ressent pour Stéphane et pourtant de plus en plus elle se sent sexuellement attirée par les autres hommes.
Elle se demande si tout cela est bien dans sa nature comme Stéphane aime à le lui répéter ou si c'est plutôt le résultat de son emprise indéniable sur elle.
Elle a pris un plaisir immense ces derniers temps en se promenant devant Paul CROUCHET dans ses tenues sexy.
Elle ne compte plus le nombre de fois où elle a mouillé sa culotte pour lui et pour d'autres aussi , comme chaque fois qu'elle traverse l'atelier en pantalon moulant ou mini jupe devant tous les employés ..
Les premiers jours, elle était extrêmement mal à l'aise vis à vis de ses collègues de bureau dont elle devinait aisément qu'ils ne devaient pas se priver de médire dans son dos, mais tout cela a pesé si peu comparé au plaisir qu'elle ressent en se sentant salope lorsque les hommes la matent ouvertement.
Hier soir encore avant de rentrer chez elle, alors qu'elle portait une mini jupe écossaise bleue avec des bottes à talon, elle n'a pu s'empêcher d'aller déambuler dans les rayons d'un supermarché juste pour le plaisir de capter les regards à peine discrets des mâles de toute sorte, des pères de famille aux jeunes mecs en passant par des hommes âgés à l'oeil encore vif, malgré l'air sévère de certaines épouses ou compagnes qui ne manquent pas de flairer le danger potentiel.

C'est comme si son corps désormais échappait à tout contrôle, elle serait prête à suivre le premier type qui lui proposerait la botte et il lui faut de plus en plus fréquemment s'isoler dans les toilettes, pour caresser son clitoris de plus en plus sensible et même parfois faire aller et venir ses doigts dans sa chatte gorgée de mouille pour trouver l'apaisement.
Ces derniers jours, Stéphane commençait à se montrer impatient, Paul semblait emprunté et elle-même malgré l'envie mais faute d'expérience ne savait trop comment s'y prendre.
Stéphane lui avait demandé de l'inviter chez elle dès qu'il lui manifesterait ses intentions, et c'est ce qui est arrivé ce matin.
Par contre, elle ne savait pas que son amant voudrait lui-même recevoir Paul et lui demanderait de les rejoindre habillée comme une putain dans le salon.
Elle a bien entendu protesté mais comme chaque fois qu'il se montre autoritaire, elle s'est exécutée avec un sentiment mitigé de honte et d'excitation.
La voici maintenant sur les genoux de son amant, en guêpière et bas résilles, sans culotte devant son directeur qui semble ne pas pouvoir détacher ses yeux de sa chatte entièrement épilée l'avant-veille, par cette jeune esthéticienne, qu'elle a de nouveau demandée .
Elle devrait se sentir humiliée ou même pire, mais au lieu de cela elle sent sa liqueur intime qui s'écoule de sa fente.

- Tu as de la chance tu sais car je suis partageur.
- mais il n'est pas question...
- tut tut, ne me dis pas que ma chère Françoise ne te fait pas envie, c'est insultant, et puis tu n'arrêtes pas de loucher sur son minou, montre lui chérie, écarte les cuisses et ouvre bien les lèvres de ta chatte, ça va lui plaire.
Paul a du mal à déglutir , il assiste au spectacle de Françoise, sa collaboratrice depuis dix ans, qui pivote pour écarter les cuisses face à lui et s'aidant de ses doigts, ouvrir les lèvres de son sexe pour lui montrer son intimité la plus secrète.
Françoise ferme les yeux, le rythme de sa respiration semble devenir plus rapide, elle jouit déjà  de cette exibition devant son directeur!

- Oh Françoise...c'est pas possible bafouille Paul perdant toute retenue en se caressant machinalement le sexe à travers son pantalon.
- Tu vas aller la baiser dans sa chambre.
- oui !
- Ah j'oubliais, tu organiseras aussi une soirée chez toi avec Bénédicte, c'est bien comme ça qu'elle s'appelle n'est ce pas, il y aura juste Françoise et moi, j'ai envie de faire sa connaissance et... plus si affinité.
- Vous n'y pensez pas !
- Ce n'est pas négociable mon cher , mais ne t'inquiète pas, je n'ai jamais personne, puis tu seras peut-être surpris par ta chère épouse qui sait ?
- Vous êtes complètement dingue.
- C'est ça, en attentant M. Le Directeur, il est l'heure de faire une réunion avec votre collaboratrice.

Paul tout penaud mais très excité suit Françoise jusque dans sa chambre où le couple se retrouve face à face près du lit.

- Oh Françoise vous êtes tellement attirante dans cette tenue, vous me rendez fou..
- Vous trouvez ? Ça...ça vous plaît ?
- Oh oui, vous ressemblez à...à... une putain et j'aime ça ! Oh mon Dieu je ne sais plus ce que je dis, c'est indigne....pardonnez moi Françoise, que faisons-nous ? Et surtout que faites vous avec cet homme ?

- Nous sommes amants Paul, je sais que cela doit vous paraître incroyable, mais Stéphane représente énormément pour moi aujourd'hui, grâce à lui je peux découvrir enfin une partie de moi que je refusais de voir, vous comprenez, une partie de moi qui me fait honte, que j'avais enfouie depuis toujours au plus profond de mon être, mais que j'ai pourtant besoin de laisser s'exprimer aujourd'hui et qui nous permet de nous retrouver ici. .
- Mais...
- Vous avez entièrement raison Paul, c'est bien une putain qui se tient devant vous ce soir, la putain que je n'ai jamais osé être jusqu'alors, la femme qui a envie de vous faire bander depuis des années Paul, vous et tant d'autres aussi, dites-moi je vous fais bander Paul n'est ce pas ? dit-elle en posant sa main sur sa braguette.
- Oui Françoise, vous m'excitez terriblement depuis des semaines.
- Votre queue est dure Paul, je vais bien m'en occuper vous savez, Stéphane dit que je suis une bonne suceuse.
- Françoise !
- Oui Paul ?
- En vous voyant comme ça depuis tout à l'heure, j'ai envie de...j'ai envie de lécher votre chatte.
- Tout ce que vous voulez, venez, Stéphane veut que je sois tout à vous cette nuit, Dit-elle en s'allongeant sur le lit et en écartant les jambes.

Paul plonge son visage entre les cuisses ouvertes, il embrasse la peau blanche dénudée des cuisses au dessus de la lisière des bas tout en se dirigeant petit à petit vers l'entrejambe glabre qu'il convoite.

- Humm Françoise, c'est la première fois que je vois un minou épilé en vrai, c'est très excitant.
- Allez bouffes moi, n'attends pas, j'en peux plus....suce moi le clito.

Paul pose doucement ses lèvres sur la fente, que sa langue parcourt sur toute la longueur, il suce le bourgeon placé à l'extrémité, Françoise gémit, sa langue descend et pénètre dans la chaleur du vagin, puis perdant tout contrôle il plaque toute sa bouche sur la moule béante de la quinquagénaire haletante qui tend son ventre en avant comme pour mieux offrir sa vulve à cet affamé.
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Stéphane par l'entrebâillement de la porte, l'air goguenard observe Françoise chevauchant maintenant son directeur.
Stéphane se dit avec satisfaction que sa maîtresse est décidément en train de devenir une sacrée salope, elle s'empale sur la queue d'un autre type avec sa bénédiction et il ne lui a pas fallu longtemps pour se lâcher.
Sous ses yeux, son cul mature un peu large qu'elle fait onduler comme il le lui a appris pour intensifier le plaisir de son directeur qui pelote à pleines mains les seins sortis des bonnets de la guêpière.
Lorsqu'elle se penche un peu plus vers l'avant, il aperçoit la queue de Paul qui s'enfonce entre les lèvres vaginales.

- Mon Dieu Françoise, quelle femme tu es, oh je touche tes nichons et je suis dans ta chatte, j'en avais tellement envie, j'en pouvais plus d'attendre..

Stéphane s'aperçoit qu'il bande devant ce spectacle extraordinaire..
Il n'avait pas prévu de monter les regarder, il craignait que Françoise ne se bloque  en sa présence, mais la curiosité a été la plus forte et à les voir à l'oeuvre, ce risque est maintenant bien faible.
Il sait qu'elle ne pourra plus rien lui refuser à l'avenir, il pourra la faire baiser par qui bon lui semble, il a connu cela avec une de ses ex, il sait qu'il va prendre un pied d'enfer.
Mais en attendant, il a envie de participer à la fête.
En quelques secondes, il se met nu et s'avance vers les deux amants en pleine action.
Paul CROUCHET marque un temps d'arrêt, Françoise se retourne, son homme est juste derrière elle, à son tour il prend ses seins à pleines mains , il pince les tétons qu'il fait rouler entre ses doigts, il les étire longuement, elle ferme les yeux sous la caresse douloureuse et agréable à la fois qu'elle connaît bien maintenant, dans le bas de son dos elle sent le sexe bandé de Stéphane qui l'embrasse dans le cou, et en dessous Paul qui n'ose plus bouger, observe.
Son sexe qui a débandé d'un seul coup sous l'effet de la surprise se remet à durcir à l'intérieur du vagin de la mature qui se fait caresser les nichons par Stéphane.

- humm !

Françoise sous l'effet de la caresse et du mandrin qui grossit à nouveau en elle, respire de plus en plus fortement.

- Allez ma chérie, ne t'arrête pas pour moi, bouge ton cul, montre à Paul comme tu aimes la bite, tu m'excites tellement dit Stéphane en lui tordant les tétons.
- Humm !

Françoise se remet à onduler de plus belle du bassin en se mordant les lèvres et en fermant les yeux pour le plus grand plaisir de Paul qui se met à pétrir ses fesses à pleines mains.
Françoise a conscience de vivre un incroyable moment, elle prend un immense plaisir à se sentir remplie du sexe de Paul tout en étant entre les bras de Stéphane, son homme, son amour, c'est plus qu'il n'en faut pour qu'elle ne perde pied, les deux bras en appui sur le torse de Paul CROUCHET, la belle mature en gémissant de plus en plus fort se met à se démener avec frénésie sur le pieu de son directeur qui à ce rythme ne tarde pas à exploser dans son ventre en criant de plaisir au moment même où la jouissance l'envahit à son tour.

A suivre

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