Collection Étrange Phénomène. La Foudre (2/6)

C’est incroyable moi qui suis une femme fidèle à Robin depuis des années escaladant avec lui le plus au sommet du monde, je suis sur les pentes du Ballon-d'Alsace avec dans ma bouche la queue d’un homme marié avec trois s.
Je le suce tout en me caressant la chatte et plus précisément mon clito qui semble avoir grossi après que la foudre ait frappé dans l’après-midi, mais surtout semble en perpétuelle excitation.

• Tu suces comme une reine, avale tout.

Il me remplit la bouche, au moment où j’avale, j’ai des remords, mais trop tardifs, car la quantité de sperme que je dois avaler après les gicler qui sont sorties de sa verge sont très importantes, grâce à mes doigts, je réussi à calmer mon clito quelques minutes.
Nous reprenons la route après nous être rajusté, il me dépose sur la place centrale de Colmar.

• Quand tu auras fini, viens m’attendre dans ce café, je te remonterais merci pour le plaisir que tu m’as donné, depuis qu’avec Emmanuelle nous avons eu notre troisième , elle refuse de plus en plus d’avoir des rapports, alors tu penses une pipe.

Je descends, un peu, même beaucoup, honteuse de mon comportement surtout avec cet homme marié même s’il est craquant, j’ai l’impression d’être devenue une aussi grande salope que Véronique.

• Bonjour madame, est-ce la première fois que vous venez me consulter ?
• Oui, j’habite près de Grenoble et je suis en vacances au pied du Ballon-d'Alsace avec une amie.
• Que vous arrive-t-il ?

Je lui raconte la course en montagne, la foudre qui tombe non loin de moi et mon corps qui semble être devenu fou.

• Déshabillez-vous, montez sur la table et placez vos pieds dans les étriers, je vais vous ausculter.

Je fais ce qu’il me demande, vient entre mes jambes dans une position que j’avais du mal à supporter devant ma gynéco, il a mis sa lampe frontale et il approche son écarteur de mon intimité.


Le regard de ce médecin me fait mouiller, il écarte mes lèvres vaginales et commence à l’introduire en moi, j’ai un mouvement du corps.

• Excusez l’appareil est un peu froid.

Je sens qu’il l’a introduit, quand je le sens au fond de ma chatte, il l’ouvre comme cette nuit quand je me suis mis la main entièrement, je suis à deux doigts de jouir.

• Vous avez des toilettes, vous avez déclenché une envie d’aller me soulager.
• Oui, derrière cette porte, je vous attends, mais je peux déjà vous dire que tout est normal.

Je suis normal, mais dès que j’ai fermé la porte, je m’assois sur l’abattant des toilettes et je suis obligé de me mordre les lèvres au moment où j’éclate en caressant mon clitoris.
Quand je sors, comme tout à l’heure dans le chemin creux, il semble calmé, espérant qu’il va me laisser un peu de répits, car être en excitation presque permanente, moi qui étais dans un calme relatif, depuis mon mariage a tendance à me faire faire des choses que ma morale est loin d’admettre.
Je sors, je m’habile et je m’assieds pour attend son verdict.

• La foudre a certainement exacerbé votre libido, mais sans pour autant détruire la moindre cellule de votre corps, aucun calmant ne pourrait vous apporter un soulagement, le temps va apaiser les choses et tout redeviendra normal.

Je le quitte et je retrouve Roland, mon chauffeur.

• J’ai fait une bonne affaire, j’ai assuré mon chiffre d’affaires annuel, je t’invite au restaurant, regarde sur la place, il y a une taverne alsacienne, je te propose de manger du fois gras du pays et du baeckeoffe plat typique de la région.

Il me prend par le bras touchant mon sein et moi qui pensais qu’il n’y avait que mon clitoris stimulé par la foudre qui s’était développée et qui me posait problème, force est de constater qu’eux aussi ont développé une hyper-sensibilité.
Ce simple contact démarre le reste de ma libido, mais j’ai compris qu’il fallait que j’apprenne à vivre avec en attendant un improbable retour à mes envies d’avant bien plus simple.

J’arrive à me maîtriser avec beaucoup de difficultés jusqu’au moment où la serveuse nous sert un café, boisson qui échauffe mes sens ou est-ce la main que Roland pose sur ma cuisse qui m’émoustille.
Je me penche pour lui parler à l’oreille pour éviter que mes voisins ne m’entendent.

• Roland rejoint moi aux toilettes.

Comment, moi, Jennifer femme mariée n’ayant jamais trompé son mari, puis-je faire une telle proposition à cet homme lui aussi marié ?
Ce que je sais, c’est que je me lève et un peu titubante aidé par le blanc d’Alsace et l’envie qui me taraude le ventre, j’ai des difficultés à arriver là où je vais définitivement commettre l’étape qui va faire de moi une salope pire que peut l’être Véronique.
J’ai à peine ouvert la porte que je me sens propulser dans l’une des deux toilettes, Roland me plaque le ventre contre le mur, il écarte mes jambes, arrache mon string, je sens sa queue entrer en moi violemment me faisant pousser un cri de plaisir.

• T’aimes salope, tu veux de la queue, je vais t’en donner.

Il me laboure et ce grand couillon éjacule en moi alors que je reste en rade, s’il avait attendu deux minutes de plus, j’aurais satisfait ce nouveau besoin de mes sens.

• Je t’attends dans la voiture, rajuste-toi.
• Inutile, j’ai d'autres courses à faire, je me débrouillerais pour rentrer.
• Je te fais confiance, une pute comme toi qui te fais tringler dans les chiottes d’un restaurant à certainement plus d’un tour dans son sac pour voyager gratuitement.

Pauvre con, il vient d’avoir dans ses bras une femme qui a ce jour à toujours été fidèle à son engagement et détruit tout par une phrase malheureuse, retournes vers ta femme jouer à touche-pipi, c’est tout ce que tu mérites connard.
Je pourrais lui dire ces mots, mais hormis le fait que je me tais, je ramasse mon sac que j’ai laissé tomber au sol regardant le bout de tissu qui m’a été arraché comme un trophée, mais qui est la preuve de ma déchéance, je récupère mon portable et je fais le numéro que j’avais devant les yeux tout le temps où la verge de mon amant me pilonnait.


• Allô, vous êtes l’homme ayant l’énorme bite qui est dessinée dans les WC du restaurant de la ville de Colmar.
Est-elle aussi grosse que sur le dessin ?
Vous habitez au numéro 3 de la place, aux 3ème étages.
J’arrive.

Allô, docteur, pouvez-vous me passer une camisole de force et me faire enfermer, je quitte le restaurant réglé par Roland, je me retrouve au troisième et dernier étage d’une des maisons traditionnelles qui compose cette place.

• Entre, c’est elle que tu cherches !

L’homme bedonnant et vulgaire a une clope collée au coin de ses lèvres, mais entre ses jambes pend une trompe comme celle d’un éléphant proportion gardée.
Il se gratte les couilles, mais si mes sens sont chamboulés depuis que j’ai pris la foudre, mon cerveau doit être atteint rendant improbable une éventuelle guérison dans les jours et les semaines prochaines.
En voyant le tableau que cet homme me présente, je devrais fuir en courant, mais j’avance d’un pas frôlant ce monstre dont mon corps ressent le besoin de sentir son contact.

• T’es comme toutes les autres catins qui ont vu le dessin de mon sexe et mon numéro de téléphone, depuis que je l’ai mis au mur de ces chiottes, vous vous interrogez si elle existe et vous appelez, tu vois, elle existe, agenouille-toi et honore là à sa juste valeur, l’essayer, c’est l’adopté.

La partie de mon cerveau malade doit bloquer la partie où se trouve le centre du raisonnable, ma main la caresse et elle réagit, Rocco en Italie doit être vert de rage, car la longueur et la grosseur qui se développe devant mes yeux dépasse mon imagination.

• C’est suffisant salope, à poil, je suis sûr qu’un autre vagin va appeler pour se servir de mon œuvre d’art dans les minutes prochaines.

Je me lève le regardant droit dans les yeux, j’enlève un à un, mes vêtements les choses étant facilitées par mon manque de culotte gisant dans la toilette du restaurant, si un client m’a vu entrer avec Roland, il aura la preuve que je me suis comportée comme une chienne.

Une chienne, je le redeviens quand sans attendre son ordre, je me mets à quatre pattes sur la moquette maculée par des taches de toute nature moi qui ai une maison irréprochable entretenue par ma technicienne de surface.
Je ferme les yeux non par peur de ce que je vais sentir dans mon corps n’attendant que cela, mais par la femme que je vais devenir dès qu’elle sera en moi.
Elle entre comme dans du beurre, la grosseur ne pose, aucun problème, je n'y ai bien rentré ma main, mais par la longueur qui semble toujours aller plus loin, me faisant éclater en gerbe de plaisir très rapidement.
Je jouis deux fois de plus en plus fort, vais-je être obligé de venir vivre ici pour ressentir chaque fois autant de plaisir, une partie de moi dit, oui, tu vas trouver un logement à Colmar et l’autre dit que tout doit finir et que je dois retrouver ma vie faite de sport et surtout de grimpette si tentée que de monter au sommet de l’Everest est une petite grimpette.
Il m’inonde plus qu’il ne m’envoie ses petits jets de sperme, je me rhabille alors qu’il part se laver la queue.
Je l’entends pisser et ressortir sans avoir fait la moindre ablution, mon corps est repu et ma lucidité me revient pour un temps, j’ai masturbé et sucé cette verge qui peut-être sortait d’un autre vagin, d’une de ses putes qu’il m’a dit recevoir.
En quelques secondes, je suis habillée persuadée que jamais au grand jamais, je ne reverrais cet homme.
Pour m’en convaincre, je descends les marches qui m’ont conduite dans l’antre de ce porc et j’enlève son numéro de téléphone, j’arrive sur le dernier palier quand je croise une femme aussi bien mise que moi, certainement la prochaine chatte que cette bite monstrueuse va pénétrer encore maculer de mes sécrétions.
J’arrive à l’extérieur quand mon portable que j’ai gardé en main sonne, c’est Jennifer qui vient aux nouvelles s’inquiétant de mon absence.

• Jennifer, je t’en supplie viens me chercher, je suis sur la place centrale de Colmar, je vais tout t’expliquer…

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