La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1136)

Gladys au Château – (suite) -

… dans un long et luxueux couloir à l’épaisse moquette de couleur bordeaux… Doucement, nous arrivâmes à la salle à manger. Plusieurs esclaves étaient déjà occupés à mettre en place le repas. Monsieur le Marquis s’avança majestueusement avec un pas noble et d’une grande élégance et alla s’asseoir au bout de la table, moi je le suivis toujours au bout de la corde. Une fois assis, il se tourna vers moi. Je m’étais mis à genou, par terre, à côté de lui, la tête baissée et les mains sur les genoux.

- C’est bien chienne, tu vois quand tu veux...

Le Noble me tapota la tête comme on le ferait à un chien qui est sage, puis son attention se reporta sur le repas qu’une esclave noire entièrement dénudée et d’une superbe silhouette plastique aux seins magnifiques et aux tétons annelés venait de déposer devant lui. Il mangea calmement, d’abord une belle entrée avec du melon, quelques morceaux de tomate et de concombre. L’assiette avait l’air délicieuse, et Monsieur le Marquis m’accorda un morceau de chaque aliment qu’il me donna à becqueter du bout des doigts. Je mangeais chacun des morceaux, un sentiment étrange en moi. C’était bon et doux, j’avais vraiment l’impression d’être comme un animal de compagnie à qui on accorde un peu de nourriture. C’était bizarre comme sensation car cela me rendait honteuse, mais d’une certaine manière cela m’excitait beaucoup d’être traitée comme une chienne et mon bas-ventre réagissait par une douce et agréable montée de plaisir intérieur… Ce sentiment me troublait, j’avais les joues rouges, les yeux baissés et je sentais mes sécrétions sur le haut de mes cuisses. D’autres plats furent apportés et Monsieur le Marquis me les fit gouter à chaque fois. Je mangeais à chaque fois, silencieuse. Marie La cuisinière, que j’avais vue à mon arrivée, vint rejoindre un moment le Noble à table. Ils discutèrent un moment ensemble pendant que le Marquis prenait un dessert à l’odeur de chocolat.

Je n’osai lever les yeux pour regarder ce qu’était le dessert à la douce odeur, car j’étais trop honteuse de moi-même d’être dans cette position sans me rebeller et de surcroit, d’en apprécier une certaine excitation. De plus, j’avais vu le regard supérieur et rabaissant de la cuisinière à son entrée en me voyant ainsi. Cela n’avait fait que me rendre plus rouge et augmenter mon trouble. J’avais instinctivement baissé encore plus la tête. J’écoutais distraitement la conversation, plongé dans mes pensées de honte lorsque le châtelain posa sa main sur ma tête.

- Alors ma chère Marie, tu ne trouves pas qu’elle est plus douce et mignonne comme ceci ? dit-il, se doutant de mon trouble et s’en amusant.
- Je trouve que cette place lui va mieux que sa fière et assurant allure, lui répondit Marie. Et puis, elle a l’air déjà bien docile, se moqua-t-elle.

Cela fit sourire Monsieur le Marquis. Il indiqua ensuite la fin de son repas et qu’il prendrait une tisane dans la bibliothèque. Il se leva et tira sur la corde.

- Allez, viens chienne, dit-il en commençant à marcher.

Nous allâmes donc vers la magnifique et Grande Bibliothèque, cependant l’allure était plus rapide et j’eu du mal à suivre cette fois. Le Marquis dû tirer plusieurs fois sur la corde avec un regard réprobateur. Une fois arrivé, le noble alla s’asseoir sur un confortable fauteuil style Louis XV et exigea de me mettre à genou comme je l’avais fait durant le repas mais en écartant les jambes. Je me mis alors comme exigé sans attendre. J’avais beaucoup mouillé durant le repas et cela devait se voir. J’avais la tête baissée de honte et de gêne d’être nue dans cette position. Certes, je l’étais aussi durant le repas, mais là, son attention était sur moi et je sentais son regard inquisiteur me détailler. J’étais fortement excitée et lorsque je l’entendis se lever, cela augmenta d’un cran si bien que mes tétons se dressèrent.

- Eh bien, cela à l’air vraiment de te plaire d’être à ta place, dit-il se mettant debout devant moi.
Nous allons parler de ta situation maintenant. (Il se mit à marcher en tournant autour de moi) - Tu m’as l’air bien douce et en bonne forme. Tu ferais vraiment une belle chienne pour mon Cheptel. Tu as eu un petit aperçu de la vie d’esclave et tu as l’air d’avoir les capacités requises pour y être à ta place. Je vais donc te faire une proposition que je ne réitèrerai pas. Soit tu acceptes d’être à Mes nobles pieds, soumise à Mes moindres exigences et dans ce cas je m’occupe de ton initiation à la soumission, soit je te laisse finir ton travail ici, tu quittes mon Château et tu n’entendras plus jamais parler de moi.

Le châtelain s’arrêta de parler, reprit son souffle et me dévisagea, puis une fois qu’il était derrière moi, il se pencha à mon oreille pour rajouter doucement.

- Réfléchis bien, vois l’excitation que tu ressens, à ce que tu as vécu depuis que tu es arrivée et à l’admiration que tu as ressentie devant cette grande toile… Il ne te reste qu’à honorer ton Maître et te mettre à Ses pieds ou te lever et repartir, dit-il en se plaçant devant moi de toute sa hauteur.

Je sentais son regard dominateur sur moi. Je ne bougeais pas, osant à peine respirer. J’avais du mal à réfléchir à tout ce que cela impliquait et une petite voix dans ma tête me disait de me jeter corps et âme aux pieds de mon Maître, que cela avait toujours été ma place. Je fermai les yeux et inspira fortement pour me donner un peu de courage. Je levai la tête et regarda le Maître dans les yeux, avec mes yeux légèrement suppliants. Alors c’est en balbutiant sur mes premiers mots que je me mis à parler d’une voix craintive mais sincère :

- Je … Je …veux de… devenir votre chose, Maître, faites de moi ce que vous voudrez… Je me donne à vous et vous laisse libre de droit sur ma vie, mo esprit et mon corps, dis-je, la voix légèrement tremblante.
- Hmmm… Fort bien ! Alors lèche, Ma belle petite chienne, me répondit-il en avançant un de Ses pieds.

Je me penchai, alors en avant et lécha doucement du bout de la langue la chaussure du Maître.
Ma langue léchait doucement le cuir. J’étais hésitante au début, puis comme lorsque j’avais léché ma propre mouille, je me concentrai sur ma tâche et lécha de plus en plus de bon cœur et avec application. Dès que j’eu léché une bonne partie de la première chaussure, je passai à la seconde. Le gout du cuir avait empli ma bouche et je sentais ma bave couler sur mon menton. Lorsqu’il jugea que c’était assez, le Maître se recula puis retourna s’asseoir dans son fauteuil en me regardant de sa hauteur et avec un regard puissant de dominant.

- Viens ici petite chienne, tu vas lécher autre chose, dit-il en écartant les jambes pour me laisser de la place.

Je m’avançai alors à quatre pattes et m’agenouilla devant Lui. Je défis sa braguette et lécha doucement son sexe à travers le tissu de son sous-vêtement, puis, je sortis son sexe déjà fort dur et dressé de l’habit. Je me mordillai la lèvre inférieure puis sorti la langue et lécha ce beau sexe de la base de la hampe jusqu’au gland. Je fis le tour du gland du bout de la langue puis le suçota sans m’arrêter de le titiller tout en aspirant ce gland violacé et gonflé. Je commençai à glisser sa noble queue un peu plus loin dans ma bouche, ma langue continuant de tournoyer sur cette verge aux veines saillantes et j’entamai un mouvement de vas et viens avec une régularité la plus concrète possible. Je n’allais pas trop loin, n’ayant jamais fait de fellation profondément en gorge profonde. Monsieur Le Marquis me laissait faire mais avait tout de même posé une main sur ma tête et me caressait affectueusement les cheveux, également avec une certaine régularité dans son tendre mouvement du haut de mon crâne jusqu’à une de mes oreilles. Je sentais une savoureuse douceur dans son geste caressant. Je posais les miennes soit une sur sa cuisse, l’autre sur la base de son sexe que je masturbais délicatement... J’étais comme apaisée par sa main sur ma tête et je ne me posai alors plus de question, occupée à satisfaire mon nouveau Maître.
J’étais toujours autant excitée, voir même plus, si cela était possible. Au bout d’un moment, le plaisir ayant monté chez mon Maître, il prit ma tête et entra son sexe beaucoup plus profondément. Surprise et étouffée, j’essayais de me reculer mais la poigne était trop forte car ses caresses sur mes cheveux s’étaient transformées en une puissante étreinte contre son bas-ventre, puisqu’il avait positionné ses mains derrière mon crâne pour maintenir une forte pression contre ma tête tout contre Lui… Il resta un moment au fond de ma gorge. J’avais les larmes aux bords des yeux et commençais à haleter par un début d’. Toutefois, j’avais la chair de poule de me faire forcer ainsi ma cavité buccale et une forte chaleur monta de mon bas ventre. Il finit par faire quelques vas et vient profonds qui me faisaient encore suffoquer pour jouir au fond de ma gorge dans un flot de semence qui inonda ma bouche... Le jus du Maître était épais et abondant, il avait giclé soudainement, dans de longs râles jouissifs et les jets jaillirent jusqu'au fond de ma gorge. J'avalais sans même réfléchir ces premiers jets de sperme et il finit de se vider dans ma bouche, je m'appliquais même à ne pas en perdre une goutte et à tout avaler, allant jusqu'à nettoyer son gland...:

- Tâche de ne rien perdre ou il t’en cuira chienne.

J’avalai comme je pouvais et Monsieur le Marquis se recula légèrement pour finir de jouir aussi sur ma langue les dernières gouttes. Le gout était amer mais je préférai avaler promptement plutôt que ça déborde de ma bouche.

- Continue à nettoyer, dit-il après avoir sorti son sexe de ma bouche.

Je léchai avec attention sa belle queue pour bien la nettoyer lorsque Marie la cuisinière arriva dans la pièce pour apporter la tisane au Maître. Elle sourit en me voyant, sachant sûrement déjà que j’allais accepter. Le Maître se leva et alla à son bureau. Il prit sur celui-ci un collier en cuir noir épais. Il me fit signe de m’approcher. A quatre pattes, je m’approchai de Lui, et une fois à sa hauteur je me repositionnai à genoux.

- Hmmm, bonne chienne, dit-il en me caressant de nouveau la tête, puis il me montra le collier. - Ceci sera à présent ton vêtement. La preuve de ton appartenance à Mon Cheptel. La preuve que tu es à Moi, tu deviens, de fait, désormais Mon entière propriété, tu m’appartiens corps et âme. Tu devras toujours le garder sous peine de forte punition. Tu as compris, petite chienne ?
- Oui, Maître, je le garderai en permanence car je suis à Vous
- Le souhaites-tu vraiment de ton libre arbitre ? Que les choses soient bien claires : Tu acceptes donc en pleine connaissance de cause, en étant saine d'esprit à devenir ce que tu souhaites au plus profond de toi-même, être Ma soumise ?
- Oui je le désire plus que tout
- Oui qui ?
- Oui Maître
- Bien, Ma belle petite soumise, alors soit ce à quoi tu es destinée à être à Mes pieds… Tu es dorénavant et pour toujours Ma soumise et soit heureuse de ton état servile. Tu vis désormais uniquement pour un seul objectif qui doit te remplir de bonheur : Tu vis uniquement pour Me satisfaire. Ma satisfaction sera ton seul bonheur … Tu trouveras la complète plénitude de ton esprit et de ton corps par cette irrévocable réalité… Qu’il en soit ainsi…

Monsieur le Marquis dit ces dernières paroles en passant le collier autour de mon cou et le ferma derrière ma tête et ainsi scella mon destin. Je dus tenir mes longs cheveux en l’air le temps qu’il me l’attache. Il fronça les sourcils en regardant mes longs cheveux.

- Marie, pourrais-tu tresser, avant de partir les cheveux de cette esclave ? Ils sont beaux, j’aimerai qu’ils restent longs, car une femelle aux cheveux longs fait beaucoup plus ressortir sa belle féminité. Mais ce soir ils vont me gêner, dit-il en regardant Marie s’approcher.

Marie la cuisinière me tressa alors les cheveux en une natte allemande. Elle prit un malin plaisir à les tirer fort, ce qui me fit serrer les dents. J’avais donc tous les cheveux tirés en arrière sauf quelques mèches plus courtes qui encadraient mon visage. A la fin, Marie tourna la tête vers Monsieur le Marquis qui semblait satisfait du résultat. Il lui fit donc signe qu’elle pouvait disposer. Le châtelain caressa alors la tresse de sa main. Il sorti ensuite d’un tiroir un petit objet. Je compris qu’il s’agissait d’un plug pas très épais mais je n’osais deviner où il allait le mettre. Il se pencha vers moi et prit mes lunettes qu’il posa doucement sur le bureau.

- A quatre pattes Ma petite chienne, m’ordonna le Maître.

Une fois positionnée ainsi, il se mit derrière moi et humidifia le plug avec mes sécrétions en le faisant pénétrer dans mon vagin trempé et caressa en même temps le haut de mon cul et l’entrée de mon anus. Puis, tandis qu’il me caressait les fesses, il inséra dans mon anus le plug fin. Je gémis mais vu comment j’étais mouillée et que le plug en était copieusement lubrifié, cela rentra facilement. Je sentais, toutefois, que la base était plus épaisse et écartait mon anus serré. Le Maître me caressa un peu le clitoris et entra deux doigts en moi, me faisant gémir. Je reçus une claque sur le cul et compris que je devais me taire. Il les retira de mon sexe et s’essuya sur mes joues. Puis, il alla s’asseoir.

- Ce soir, je vais lire un peu et tu vas me servir de repose pieds, alors ne bouge pas.

Je me glissais sous le bureau où je pensais que cela serai plus agréable pour lui de poser Ses pieds sur mon dos. Il prit alors un livre, ajusta un peu son siège et posa les pieds sur mon échine dorsale. J’essayais de bouger le moins possible. J’avais peur de lâcher au bout d’un moment, mais je tins bon, la tête baissée, les yeux légèrement fermés, je réfléchissais. J’avais l’impression que le fait d’avoir accepté d’être à Lui avait débloqué ou ouvert quelque chose en moi, comme une paradoxale liberté, une sensation d’un bien-être incroyable. J’étais calme et sereine bien qu’encore troublée et légèrement honteuse d’être ainsi, à quatre pattes à servir d’objet, un plug dans le cul, nue, un collier au cou…. Mais c’était bon… Je sentais mes sens être poussés au maximum, ma mouille glissait sur mes cuisses et je cambrai bien le dos pour que les jambes de mon Maître soit le plus à l’aise possible… J’étais, d’une certaine manière, bien aux pieds de mon Maître, malgré la douleur naissante dans mes bras et mes épaules. J’avais ce sentiment d’une délicieuse extase qui irradiait mon esprit et mon corps. Monsieur Le Marquis lu longtemps dans le silence de la pièce et je me demandais ce qui m’attendrais ma première nuit de soumise au Marquis d’Evans… Mais désormais, oui je savais que j’avais enfin trouvé la seule place qui, à l’évidence, était naturelle dans l’ordre des choses, cette place était naturellement à Ses pieds …

(A suivre…)

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