La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1137)

Gladys au Château – (suite) –

Cette place était naturellement à Ses pieds … Mon attente fut longue durant la soirée et au bout d’un moment, le Maître, voyant que mes bras faiblissaient, m’autorisa à changer de position. Je me tournai d’un quart de tour, dos au Châtelain, et posa mes épaules et mon visage plaqué au sol, les bras de chaque côté de ma tête. Je laissai Monsieur le Marquis poser alors ses pieds sur mon cul relevé, exposant au passage mes parties intimes mouillées de mes sécrétions et mon cul orné du plug, cul bien relevé exposant tout l’arrondi de mes fesses.

- Eh bien, quelle belle vue tu m’offres là, c’est un peu moins confortable mais tu me donnes de belles idées, petite chienne, dit-il en posant ses pieds.

Il se remit à lire un moment et ne faisait plus attention à ma présence et je fermais les yeux, gouttant à ce petit repos. Je finis par rouvrir les yeux car je sentais le pied du Noble s’amuser avec le plug. Je ne l’avais pas entendu fermer son livre. Je mordillais ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. Je me cambrai un peu plus pour bien présenter le plug et mon sexe bien offert. Le Maître enleva ses pieds et se leva en me donnant une petite tape sur les fesses, tout en fouillant mon sexe déjà fort trempé d’excitation.

- Allez viens Ma chienne, monte dessus et remet toi comme tu étais, dit-il en me montrant une petite banquette.

Je me mis les genoux près du bord, les pieds écartés dans le vide, le cul bien en l’air. J’étais un peu en travers, le visage dans les coussins et me positionna le corps en levrette. Monsieur le Marquis se mit derrière moi et commença à me caresser chaque fesse avec une évidente envie de s’occuper de moi, ses mains étaient douces mais très baladeuses, elles allaient d’une fesse à l’autre tout en fouillant de nouveau ma cavité vaginale pour y trouver une forte humidité. Alors ensuite, je l’entendis défaire son pantalon. Il approcha sa queue de ma chatte et je le senti pousser sur mes petites lèvres.

Il entra doucement en moi, voyant sûrement que j’étais très serrée, humide mais serrée.

- Hmmm, tu es bien serrée chienne, c’est bon, mais tu verras, ici tu vas apprendre à te laisser pénétrer plus facilement.

Il fit de lents vas et vient en s’amusant à en faire aussi avec le plug, assouplissant mon anus et me détendant. Je gémissais légèrement mais le Noble ne disait rien. Il finit par enlever le plug et se retirer de ma chatte. Il présenta ensuite son gland sur mon anus, légèrement ouvert par le plug mais pas assez pour passer l’imposante queue du Maître. Je le sentais pousser contre ma rosette qui s’ouvrait doucement. Afin de lui rendre plus accessible, je mis mes deux mains sur mon cul et l’écartais le plus possible. J’avais le souffle court, totalement concentrée sur l’entrée de cette queue à un endroit très très peu utilisé. Je ne gémissais plus, comme muette par ma concentration et une certaine appréhension. Monsieur le Marquis caressait le haut de mes fesses et le bas de mon dos pour me détendre. Il continuait à s’enfoncer, entièrement. Une fois profondément en moi, le Châtelain attrapa ma natte et tira ma tête en arrière pour me susurrer à l’oreille :

- Tu n’as pas intérêt à gémir, tu n’es que Mon esclave, alors subit en silence.

Il se redressa et commença des vas et viens, quelques-uns lents, mais il augmenta vite la cadence. Il tenait toujours ma natte pour me faire relever la tête en arrière et je me cambrai du mieux que je pouvais en mordillant ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. De sa main libre, il s’amusa à me laisser des traces rouges sur mon cul en me fessant. Il m’enculait fortement si bien que j’avais du mal à rester silencieuse. J’avais les larmes aux yeux, les mâchoires serrées, mon cul me brulait légèrement mais j’étais excitée plus que jamais et cela irradiait en une forte chaleur dans mon bas-ventre. Je commençais à prendre vraiment du plaisir, et cela me troublait profondément et faisait défaillir mes sens que cela se fasse par le cul, chose que je n’avais osé penser avant.
Le Maître devait le voir car il me dit :

- Tu aimes, chienne ? Retiens-toi de jouir, tu n’as le droit qu’après Moi.

Il m’encula un long moment sans ménagement. Mon plaisir montait de plus en plus si bien que je fis tous les efforts possibles pour retarder ma jouissance. Sa verge si raide, si gonflée, longue et épaisse me pénétra donc profondément le cul, par des vas et viens cadencés d’abord, jusqu’à la garde, entre mes reins, profonds mais en des mouvements alternant cette cadence rapide puis ensuite plus amples et lents presque lancinants pour de nouveau être rapides, je sentais qu’il voulait prendre un maximum de plaisir dans mon cul en multipliant les sensations selon le rythme qu’il décidait en alternance. Puis au bout d’un moment, il garda toujours la même allure, la même cadence, je le sentais me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs jamais jusqu’ici égalés. Cette sodomie devenait sauvage, animale mais j’en mouillais terriblement ! Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonnait. Je me faisais enculer, tel un simple objet, une sodomie profonde, rapide comme ça, pour son plaisir, une pénétration sans jouissance avant la sienne, mon cul s’échauffait et ça m’excitait encore plus… Je me cramponnais. Je mis mes bras tendus sur le devant et ils ne fléchissaient pas ainsi et je me laissais porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants de Monsieur le Marquis. Sans doute allait-il ne pas tarder à jouir ?…

Apparemment pas encore car je me faisais toujours prendre par le cul avec vigueur, bestialement. J’aimais ça, j’aimais cette animalité, je me laissais aller à mes sensations, je me laissais démonter sauvagement car je l’avoue avec cette bite dans mes entrailles, je n’étais plus qu’un trou à plaisirs, à bourrer, à jouir. J’aimais sentir ses couilles taper contre mes fesses, j’aimais cette sauvagerie, cette saillie animale et je voulais ce membre tendus encore plus profondément si cela pouvait être possible, mais je sentais bien qu’il était au maximum de la profondeur de la pénétration car la base de sa hampe cognait contre l’entrée de mon anus en même temps que ses couilles.
Je me laissais ainsi buriner, besogner en ayant cette impression que tant de zones de mon corps dont je n’avais même pas conscience se réveillaient excitées par des spasmes qui remontaient sur toute mon échine dorsale.

Lorsque enfin le Maître jouissait en moi, il inonda mon trou anal, je sentais sa semence chaude glisser dans mes entrailles grandes ouvertes…je ne pus me retenir plus et je jouis de concert, mes muscles se contractant sous les vagues de plaisir, comme si mon corps était pris de petites convulsions qui se multipliaient en d’autres spasmes de plaisirs jouissifs. Après avoir jouit, le Maître me tira par la natte et me fit descendre pour me mettre à genoux devant lui. Il me présenta son sexe et je le léchai pour le nettoyer comme une bonne petite chienne. Je ne pensais pas la moindre seconde à me rebeller, après ce moment intense, j’étais juste fatiguée, mais détendue. J’avais envie de prendre soin du Maître et de mener à bien tous ce qu’il me dirait. Fatiguée après un tel orgasme, je suivis le Maitre doucement, les membres en coton. Nous nous enfonçâmes dans le Château pour atteindre la chambre de Monsieur le Marquis. Un fois entrée, le Noble me regarda.

- Tu dormiras sur le tapis à côté de la cheminée cette nuit, dit-il un sourire aux lèvres.

Je regardais l’endroit qu’Il me désignait. Le tapis avait l’air doux. Malgré le repos de la journée, j’avais besoin de dormir. Je me retournais vers le Maitre, il déposa un baiser sur chacune de ses chaussures, puis il me dirigea vers l’endroit sans me faire prier.

Je m’agenouillais, regardant le Châtelain se dévêtir pour aller se coucher.

- Allonge toi ma petite chienne, tu as besoin de repos, me dit-il.
- Bonne nuit Maitre, disais-je en baissant la tête par humilité et en signe de soumission

Je m’allongeais sur le côté, face à la cheminée, un bras sous ma tête. Du bout des doigts, je caressais le tapis, les yeux à demi clos. Je sentis le Maitre déposer doucement une couverture fine sur mon corps tandis que je sombrais dans le sommeil.
..

Le lendemain, j’ouvris les yeux. Les rayons du soleil perçaient à travers le beau rideau bordeaux de soie. Doucement, je me relevais et tournais la tête en direction du lit. Monsieur Le Marquis dormait encore. Je ne savais que faire. Je me mis à genoux la tête baissée, les mains derrière le dos et tournée vers le lit pour attendre, mieux valait de rester en place plutôt que de vagabonder dans les couloirs, ce qui je suppose, n’était pas autorisé sans un ordre donné. Mes pensées dérivaient dans l’attente. J’étais étonnée de ne pas avoir de courbatures, ayant dormi sur le sol, et je me sentais parfaitement reposée. Je repensais également à la veille. Tout avait été si vite, mais cela ne me gênait pas, si fort, si intense en émotions et plaisirs, cela m’enchantait et me rappelait là où était ma place. J’entendis un bruit de porte. Je tournais la tête et aperçus une grande femme noire entrer au corps magnifique et je pouvais aisément la détailler du fait qu’elle était entièrement dénudée. Elle avait une poitrine très généreuse avec ses gros seins possédant des tétons annelés. Elle portait un plateau remplit de victuaille pour le déjeuner. Elle le posa sur la table puis vint me chuchoter tout bas tout en arborant un aimable sourire :

- Tu vas me donner un petit coup de main pour réveiller le Maitre, d’accord ?

J’hochais la tête exprimant mon approbation et m’approchais du lit avec elle. Elle fit le tour et se mit de l’autre côté, me faisant signe de rester là. Elle grimpa sur le lit et s’approcha de Monsieur le Marquis. Je fis de même. Nous nous glissions toutes deux sous la couverture. Elle me fit signe de prendre le sexe du Noble doucement. Je m’exécutais donc, et calmement je léchai sa queue dans toute sa hauteur pendant que la femme s’occupait de son gland. J’entendis un râle de plaisir du Maitre à travers les couvertures. Ses mains se posèrent sur nos têtes. L’esclave noire prit alors le sexe qui commençait à se durcir, à gonfler, bien en bouche. Je me baissais et léchais avec avidité et gourmandise ses belles bourses remplies. Je m’appliquais, les yeux fermés, concentrée dans le plaisir du Maitre. Monsieur Le Marquis prit le bras de l’esclave et la remonta vers lui. De son autre main, il attrapa ma natte et me mit devant sa queue. Je la pris en bouche et commença à sucer. Je sentis sa main chaude et douce abandonner ma tête afin de caresser la grande esclave noire et l’embrasser à pleine bouche tandis que je pompais cette hampe gorgée de sang.

Au bout d’un moment, toujours sans un mot, il nous écarta de la main toutes les deux, puis il se leva. Je descendis du lit et m’agenouillais en position d’attente. Le Maitre mit l’esclave sur le dos. Il alla ensuite chercher deux godes de belle taille. Il me fit monter au-dessus de la femme. J’avais son sexe épilé juste en dessous de ma tête. Il nous donna à chacune un gode et dans un sourire il gagna sa table où son déjeuner l’attendait. Aucun ordre n’était sorti de la bouche du Maitre, mais les caresses de la femme sous moi me firent comprendre de répondre aux douces mains saphiques de la soumise annelée. Je ne savais pas vraiment par quoi commencer, c’était la première fois que je m’occupais d’une femme. Je sentais sa langue jouer sur mon clitoris pendant qu’elle humidifiait le gode avec mes secrétions vaginales. J’avais envie de gémir mais je me retins.

Je baissais la tête et présentais le gode à l’entrée du vagin de l’esclave. Ma langue lécha son clitoris et ses lèvres intimes déjà bien humides et timidement pendant que j’enfonçais doucement le sextoy, je fis quelques vas et viens pour le lubrifier puis je le sortis. Je me penchais d’avantage et léchais avec application son anus. J’enfonçais ma langue dans le moindre recoin de son petit trou. Cela et les caresses que me prodiguaient l’esclave me rendait folle, j’adorais, si bien que j’oubliais ce qu’il y avait autour. J’étais enivrée et déjà trempée. Mon sexe n’était plus que plaisir et réclamait d’être pénétré. Je posais le gode à l’entrée de son anus et poussa doucement. Il entra sans trop de difficulté pendant que mes doigts fouillaient son vagin dans une pénétration manuelle que je m’efforçais à produire sur un rythme lent et régulier puis plus rapide. Je faisais aussi avec le gode des vas et viens dans son cul de plus en plus vite sur le même tempo que mon doigtage vaginal.

Ma langue jouait également sur son clitoris et l’esclave de couleur avait l’air d’apprécier amplement le savoureux traitement que j’officiais sur ses deux orifices intimes. De mon côté, je sentais mon plaisir monter aussi vite que le sien. Ses caresses étaient divines, le gode était dans ma chatte, sa bouche contre mon clitoris et elle avait plusieurs doigts dans mon cul. Bref, nous nous pénétrâmes mutuellement nos intimités et des gémissements de plaisirs échappaient de nos bouches. J’avais le souffle court. Je me sentais proche de la jouissance tant la situation était excitante par des montées de plaisirs jouissifs de plus en plus puissants. Tout à coup, je sentis les doigts et le gode quitter mes orifices alors que j’étais sur le point de ne plus pouvoir me contenir étant à deux doigts de lâcher un puissant orgasme qui ne m’était pas autorisé. Les deux mains du Maitre vinrent se poser sur mes fesses. Il se baissa légèrement et enfonça son énorme sexe dressé dans la bouche ouverte de l’esclave noire. Il lui baisa la gorge à grands coups de reins, mais elle ne bougea pas, se contentant de caresser les fesses et les jambes du Maitre. Elle n’était plus qu’un trou à bite, un réceptacle de plaisirs, une cavité chaude et humide pour vide-couilles …

- Continue esclave, me dit-il en me claquant les fesses en guise de bonjour !

Je repris les caresses avec application. Je sentais le Maitre jouer avec mon anus. Ses doigts l’écartaient, plongeaient en moi, testant son élasticité. J’essayais de ne pas gémir. En vain, les mains de la soumise noire vinrent jouer avec ma chatte et cette fois l’excitation étant trop forte, je finis par jouir fortement en laissant échapper de longs cris orgasmiques. Avec des yeux au regard sévère, le Noble ne dit rien mais ce lourd silence suffisait à me faire comprendre que j’avais fauté, alors il me dévisagea avec un visage glacial et réprobateur pour me faire descendre du lit sur un claquement de doigts n’autorisant aucune réclamation de ma part mais plutôt exigeant une obligation à obéir sans attendre. J’obtempérais la tête baissée avec ma déception de n’avoir pas su le satisfaire en désobéissant via mon orgasme non autorisé. Puis il retourna planter sa noble queue dans la bouche de la femme noire en lui labourant sa cavité buccale.

L’esclave s’activa alors sur ce sexe si raide que ses lèvres buccales enserrent. Elle l'avala, l'aspira jusqu'à sentir le gland qui frotta contre son palais, les couilles du Maître à son menton... La bouche bien remplie par la tige longue et épaisse, elle suça ce sexe avec un délice évident. Elle avala vaillamment cette queue, la fit aller et venir entre ses grosses lèvres roses et pulpeuses... L'aspira, lécha, suça avidement toute entière. Sa langue titilla le gland et elle sentit la verge se tendre encore plus, durcir à son maximum jusqu'à éclater... Quand après avoir bien besogné cette bouche et dans de longs râles de Monsieur le Marquis, tel un cerf en rut, il laissa éclater sa forte jouissance matinale. Un flot épais inonda la gorge de l’esclave noire, le jet envahit sa bouche et elle savoura son goût qui visiblement elle avait l’air d’adorer … Quant à moi je baissais toujours la tête, honteuse d’avoir joui si facilement. Le Maitre vint s’essuyer sur mes joues et retourna à table. Je sentais de nouveau son regard courroucé sur moi, mais je n’osais pas lever les yeux…

- Debout. Pour l’instant tu vas suivre l'esclave Nadia MDE… elle va t’expliquer tes tâches pour ce matin, dit-il froidement. Cet après-midi tu seras punie. Tu comprends pourquoi ?
- Oui Maître, j’ai joui sans votre permission. Je vous prie de m’en excuser..
- Ici, on implore Mon pardon après avoir imploré et exécuté une punition pour la faute commise… Vas maintenant.

Je me relevais et suivis tête baissée et toute penaude, la grande esclave noire Nadia MDE qui avait pris le plateau et qui arborait une certaine fierté d’avoir su contenter le Maître...

(A suivre…)

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