Ghislaine, La Gourmande !

Le dimanche matin, je me rendis chez elle, où je la savais seule, enfin en compagnie du bébé toujours endormi. En quittant mes parents, j’annonçais que j’allais voire les potes pour faire un tour au marché. Un sourire me vint aux lèvres en franchissant la porte d’entrée, je ne mentais qu’à demie en un sens, c'était bien voire un ami.
Et j’y serais bien allé tous les jours, voire cette amie là. La porte d'entrée n'était pas verrouillée, je la poussais, et je m’avançais dans le couloir. J’entendais remuer du côté de la chambre. Je me permis d’ouvrir la porte, sachant très bien qu’elle ne m’en voudra pas de l’avoir fait.
- J'étais sûre que c'était toi, entre !
Assise dans son lit, près de sa lampe de chevet qui diffusait la douce lumière jaune. A son allure j’étais un peu près sûr qu’elle venait de se réveiller. Ses cheveux défaits, lâchés dans le dos, ses cernes sous les yeux, ses traits encore bouffis de sommeil la rendaient plus fragile, plus désirable. Je fus tenté de la rejoindre dans son lit. Mais déjà, elle se levait. Passant près de moi, fagotée dans une chemise de nuit en toile grossière, elle me tapotait la joue.
- Tu es bien matinal, aujourd'hui... excuse-moi, je vais aux toilettes.
- Je t'accompagne.
Derrière la porte qui abritait le coin toilette, elle jeta un coup d’œil à son image dans le reflet du miroir.
- Je suis à faire peur, moi, je vieillis à vue d’œil.
Nos yeux se croisèrent dans le miroir.
- Tu veux me laisser ? Il faut que je pisse.
- Moi aussi, j'ai envie. Répondais-je en faisant glisser le zip de la fermeture Eclair de ma braguette. Et comme si j’étais seul je sortis ma queue déjà raide que je plaçais au-dessus du lavabo. Ghislaine eut un petit rire en relevant sa chemise de nuit.
- C'est pour me montrer ton truc que tu es venu si tôt ?
Ne sachant quoi répondre je gardais le silence, préférant l’observer dans le reflet du miroir.

La chemise relevée sur ses hanches, elle reculait vers le siège des toilettes. Les poils en désordre couvraient sa fente. En s'asseyant, elle les gratta sans gêne.
- Tu te rinces l’œil, hein mon cochon ? Tu n'as pas du tout envie de pisser dis-moi ?
-Il faut que ça vienne.
Il avait fallu que je me force pour enfin voir surgir de mon méat un jet de pisse s'éleva en parabole avant de retomber en crépitant dans la vasque. Je lui lançais un regard de défi.
- Alors tu vois bien que j’avais envie !
Les traits du visage de Ghislaine se figés, alors qu’elle deux doigts en fourchette au-dessus de sa fente pour écarter ses poils, puis se soulagea. Un jet puissant qui frappait énergiquement l’eau au fond de cabinet. Cela me rappelait les vaches de la ferme d’oncle Alphonse. Je pris l’initiative de tourner la tête pour observer sa chatte pisser. Elle s'y attendait, je dirais même qu’elle le souhaitait, vue le sourire qu'elle esquissait.
- Ce n’est pas bien de regarder les dames, comme ça, petit vicieux. Ça te plait ?
-C’est tellement beau à voir. Répondais-je, sans quitter la vulve des yeux.
Pour m’en offrir un peu plus elle écarta ses poils à deux mains, ouvrant par ce geste ses chairs. Ses petites lèvres m’apparurent, toutes roses luisantes, ainsi que les crêtes mauves qui les bordaient. Ce savant observée, elle repoussait davantage ses chairs, suffisamment pour me permettre de voir le point précis d'où giclait sa pisse. Pour ma part j’en avais fini, sans pour cela la replacer dans mon slip. Elle ne m’en fit pas la remarque, se contentant de battre des paupières.
- Qu'est-ce qui te prend de bander comme ça de bon matin ? Tu as rêvé de moi, ou quoi ?
- Surement, je rêve de toi toutes les nuits.
Son ventre se gonflait par à-coups, elle lâchait ses dernières giclées.
- II ne faut pas tomber amoureux, je ne suis pas une fille pour toi ... et puis, j'ai ma fille, le père de ma fille, tout ça .
..
- Je ne veux pas y penser.
Sans essuyer ses poils et ses chairs mouillés de pisse, elle se redressa, la chemise de nuit retomba. Elle bailla et, à pas lents, regagna son lit, ou elle se laissa tomber. Elle rabattit les couvertures sur elle, et ferma les yeux, comme si je n’existais pas. Inquiet de la voir se rendormir, je proposais de lui apporter son petit déjeuner au lit. Elle rouvrit les yeux.
- C'est gentil, si tu peux me faire un thé, et essaye de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller la petite ...
Je m’affairais avec précaution dans la cuisine, revins quelques instants plus tard avec en mains un plateau chargé avec deux tasses et tous le nécessaire pour bien déjeuner. A ma vue, elle se redressa, l'air réjoui, alors que j’installais le plateau sur ses cuisses.
- Tu es comme un petit mari pour moi. Me fit-elle en fronçant les sourcils.
Je devais avoir tellement un air si grave qu'elle éclata de rire. Après avoir bien déjeuner son regard se porta sur la pendule, se secoua d’un coup.
- Déjà dix heures ! Je vais faire ma toilette, tu m'attends là ?
- Non, je viens avec toi.
-Comme tu veux, me répondait-elle en sautant du lit pour rejoindre de nouveau la salle de bains, où elle dosa l'eau dans le lavabo, avant de décrocher d'un fil deux gants de toilette, un rose, un vert. Après avoir soigneusement savonné le premier, elle se le passa énergiquement sur la figure. Sur-ce, elle lança.
- ça va mieux, ça réveille.
Saisissant sa chemise de nuit par l'ourlet, elle la fit passer par-dessus sa tête, apparut nue. Penchée sur le lavabo, elle savonnait le gant rose en faisant bouger ses seins et ses fesses. La tête tournée vers moi, elle me demanda.
- Alors, ça t'intéresse toujours, ma toilette ?
- Plus que jamais !
Jamais, je n'aurais pensé que cela pourrait m’arriver. En me guettant du coin de l’œil, elle se savonnait sous les bras. Ses poils disparaissaient sous la mousse.
On aurait dit qu'elle faisait exprès de faire bouger ses seins, qu’elle savonna aussi, en insistant sur les mamelons, qu'elle tordait et qui se redressaient vivement comme des tétines de caoutchouc. Les passages incessants du gant irritaient les pointes qui viraient presque au violet, se dilatant à vue d’œil. Les yeux brillants, elle respirait à petits coups.
- ça m’excite de les laver ... ça les fait bander, tu as vu ?
Hors d'état de parler, j'inclinais la tête. Elle creusa les reins pour faire bomber ses mamelles.
- Tu as envie de téter ? Avoue !
Sans attendre ma réponse, elle passa sa main derrière ma nuque, m'attira à elle.
- Viens.
Docilement, j’happai un mamelon. C’était tiède, élastique, ça me remplissait la bouche. Elle me caressa les cheveux.
- Vas-y, suce. Plus fort !
Je m’exécutai en cessant de respirer. Le téton gonfla en durcissant dans ma bouche. Quand un liquide tiède et sucré se répandit dans ma gorge, je crus m'. J’aspirai de toutes mes forces. Elle me donnait le sein comme elle le donnai à sa fille, dans une attitude paisible, alors que les traits de son visage changeaient pendant que je buvais.
- Continue, tu ne peux pas savoir comment ça m'excite ...
Alors je tétai son téton plus fort, ma main pressant le sein engorgé. Elle gémissait doucement, la bouche entrouverte, les yeux mi-clos.
- Tu suces bien, me murmura-t-elle, je t'apprendrai à me sucer la chatte.
Si elle savait que je ne l’avais pas attendu pour ce genre de caresse, mais je me gardais bien de le lui faire part.
-Mordille mon chéri, ça me fait mouiller...
J’emprisonnais le téton entre mes dents et appuyais.
- Doucement comme-même, tu me fais mal !
Je renouvelais le mordillage mais cette fois avec moins de force, tout en me pressant contre elle, le bout de ma queue s'enfonçait dans le gras de sa cuisse. Elle avança son bassin en chuchotant d'une voix rauque.
- Branle-moi, j'en peux plus ! tu la déjà fait ?
Sans répondre, j’enfonçai mon index entre les lèvres molles et lubrifiées.
Tout de suite elle s'agitait contre moi en respirant fort.
- Oui, vas-y, branle-moi.
A l'aveuglette, elle me prit la queue.
- Elle est dure, tu as envie ! me fit-elle en me branlant sans fioritures, presque brutalement. Je mis mon index en branle sous ses râles, alors qu’elle me masturbait si fort que mes couilles sautaient contre son poing serré sur ma queue. Comme s’était prévisible, mon plaisir pointa son nez, me faisant me figer en grognant alors que mon sperme gicla sur le ventre de Ghislaine. Elle se retourna en écartant les cuisses, j’en profitais pour enfoncer ma queue gluante entre ses grosses fesses. Elle répétait d'une voix sourde.
- Branle-moi, me murmura-t-elle, d’une voix que je ne lui connaissais pas. Vas-y fort, ça va venir !
J’enfonçais en elle un second doigts et activais la cadence de mon branlage. Des bruits de chairs mouillées me parvinrent jusqu’aux oreilles. Elle haletait, figée des pieds à la tête, les mains crispées sur ses genoux fléchis. Puis elle poussa un râle très bas qu'elle prolongea.
- Oui, je jouis, oui... que c’est bon ! mon salaud tu m’as fait jouir.
Quand je la lâchai, elle tituba jusqu'à la cuvette des toilettes, pour s'y laisser tomber, les cheveux répandus sur ses épaules et ses seins. Soufflant comme une bête épuisée, l’expression absente, les pommettes écarlates, elle pissait sans un mot, abandonnée, comme si elle était seule. Jamais je ne l'avais vue si animale, si excitante.
Enfin revenue à elle, elle me caressa la joue.
- Que tu peux être épuisant mon cochon ... laisse-moi finir ma toilette.
Je m’installai sur le rebord de la baignoire pour la regarder faire. Elle savonna le gant vert, se lava la fente du pubis au cul en écartant largement les cuisses. Voyant que je ne quittai pas des yeux les va-et-vient du gant, elle se reprit.
- Ca t'excite, hein ? Moi aussi, mais à présent tu dois partir. Mes parents vont arrivés d’un moment à l’autre et je n’ai pas envie qu’il te trouve là.
En partant, je la prévenais que je reviendrai la voir régulièrement le dimanche matin.
-Fais comme bon te semble ! me fit-elle.

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