La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1138)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1122) –

La voiture démarre, Keira MDE ne sait pas où on l’emmène, mais a confiance en son éducateur … Après plusieurs minutes de route, la voiture s’immobilise, Le Commandant ouvre le coffre et en fait sortir la jeune femme en tirant sur la laisse. Ils sont sur un petit parking dans une arrière-cour. Laurent ouvre une porte par l’arrière du bâtiment qui semble être une issue de secours, ils y pénètrent et arrivent dans un magasin que Vanessa reconnait, il s’agit d’un des meilleurs sex-shops de la ville. Quelques clients sont à l’intérieur et semblent apprécier la vue qui s’offre à eux. La jeune femme baisse immédiatement la tête, honteuse de s’afficher ainsi face à des personnes extérieures à leur cercle. Le vendeur s’approche d’eux.

- Commandant, bonjour, très belle chienne, une nouvelle acquisition ?
- Bonjour Louis, non elle ne m’appartient pas, mais je viens la dresser dans le salon VIP, tu as de la place ?
- Oui, toujours pour vous, Monsieur.
- Parfait, je vais l’y installer et, tu pourras y faire venir les clients qui souhaitent expérimenter tes nouveaux produits.
- Bien Monsieur, je préviens les VIP qu’un modèle est à leur disposition.

Laurent tire sur la laisse et se dirige vers une porte dans le fond du magasin, il s’arrête devant, passe un bandeau sur les yeux de Keira MDE et la fait entrer. Comme à chaque fois qu’elle est privée de sa vue, tous ses autres sens sont en alerte, elle sent une odeur familière qu’elle ne parvient pas à définir, pourtant cette odeur l’apaise. Il la mène dans un coin de la pièce, l’asperge d’eau froide, frictionnant vigoureusement les partis de son corps souillés du sperme des serviteurs du Monsieur Le Marquis. Puis la sèche avant de la faire monter sur une sorte de caisse au centre de la pièce, à quatre pattes, elle prend la pose, bien cambrée, sachant qu’il attend d’elle une posture parfaite.



- Bien, tu vas être offerte ce soir, à des hommes et des femmes qui n’appartiennent pas à notre cercle. Evidemment je resterai présent, donc il ne se passera rien qui soit contraire à nos règles. Je te conseille de faire honneur à ton éducation, tu portes la marque des meilleures soumises que la France puisse posséder, appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, ne l’oublie pas, termine-t-il sur le ton du défi.

La jeune femme ne répond rien, elle ferme les yeux sous son bandeau, prend une grande inspiration, comme pour entrer dans la peau de celle qu’on attend d’elle. A peine quelques secondes plus tard la porte s’ouvre et, laisse entrer plusieurs personnes, au son des pas Keira MDE reconnait une femme par la résonnance de ses talons et, trois hommes.

- Mes amis, bienvenus, voici une véritable soumise MDE, comme je le sais, vous en avez toujours apprécié, elle vous est offerte pour tester tout ce que vous désirez, profitez, elle est dressée pour tout supporter, rien ne vous sera refusé.

Sans attendre, ils s’approchent d’elle et commencent à la caresser, à explorer tous ses orifices de plusieurs doigts. Certains osent doucement la fesser tandis que d’autres pincent timidement ses tétons. Vanessa n’éprouve aucune difficulté à ces attouchements, mais s’impatiente presque, trouvant leur attitude trop sage. Soudain un des hommes touche la marque qu’elle a au-dessus de sa fesse droite.

- Cette marque…c’est…c’est…dit-il d’un ton déstabilisé.
- La marque du Maître auquel elle appartient oui, répond Le Commandant serein.
- Mais elle est faite au fer rouge, s’indigne-t-il.
- Effectivement.
- C’est de la barbarie, ose-t-il.

Les autres se sont reculés et observent Le Commandant qui sourit calmement à son interlocuteur.

- Si cela lui avait été imposé oui, mais ce n’est pas le cas.
- Depuis quand une soumise a le choix ?
- Depuis toujours très cher, la soumission est basée sur le consentement et pas sur la contrainte.
soumise, éclaire notre ami, ordonne Laurent.
- Oui Monsieur. En premier lieu, Le Maître m’a laissé le choix de porter ou non Sa marque, puis également celui de la façon dont je souhaitais la recevoir. C’est moi qui ai choisi le feu, car il a une connotation particulière dans l’histoire de ma soumission et je ne regrette cette marque en aucun cas, je suis fière de la porter, c’est pour moi un véritable honneur et privilège.
- Bien, vous voilà rassurés, Monsieur le Marquis d’Evans n’est pas un bourreau et encore moins un esclavagiste, sourit Le Commandant. Je vous en prie mes amis, reprenons où nous en étions.

Chacun reprend ses caresses, puis à tour de rôle, ils expérimentent des objets sortis des rayons du magasin. Ainsi plusieurs godes et plugs pénètrent ses orifices, rien de bien éprouvant pour la jeune femme qui se laisse faire sans bouger. Puis elle reconnait la morsure d’une cravache sur son fessier, mais ne peut s’empêcher de sourire en comparant avec ce qu’elle a l’habitude de subir, ce coup est une caresse. En voyant son visage, Le Commandant rejoint l’homme qui tient l’objet, prend sa main et la guide pour lui montrer la force qu’il peut employer. Keira MDE reconnait le bras de son éducateur, puis l’homme abat encore cinq fois la cravache avec une force égale, avant d’être satisfait des trois stries présentes sur son fessier. Pendant ce temps la femme pince de ses ongles les tétons de la soumise avant d’y poser des pinces. Mais trouvant insatisfaisant la non-réaction de la jeune femme, elle les serre plus fort, sans pour autant obtenir ce qu’elle recherche. Après plus d’une heure, les 4 convives quittent la pièce, non sans oublier de remercier Le Commandant. Laurent s’approche de Vanessa et lui caresse le visage avec tendresse.

- Tu as été parfaite, mais la soirée n’est pas terminée, lui souffle-t-il à l’oreille.
- Je m’en doute, Monsieur, répond-t-elle avec respect.
- Tu te doutes de ta perfection ? interroge-t-il surpris de cette arrogance.

- Non, que la soirée n’est pas terminée, sourit-elle.
- Et pour qu’elle raison.
- Eh bien parce que la cinquième personne qui est sur ma droite est encore dans la pièce, Monsieur.
- Qui donc ?
- Je ne sais pas qui elle est Monsieur, mais elle était présente avant notre arrivée, et a observé l’ensemble de ce début de soirée sans bouger.
- Qu’est-ce qui te fais dire cela ?
- Parce que les autres intervenants se sont toujours assurés de ne pas lui cacher la vue lorsqu’ils ont profité de moi, cela aurait pu être une caméra, mais le fait que vous ne démentissiez pas mes dires, et que vous semblez étonné que je sois au courant de sa présence, me laisse penser que j’ai vu juste.
- J’ai cru un instant que le bandeau n’était pas assez occultant, répond Le Commandant en souriant. En effet, le propriétaire du magasin a observé toute la scène, et je vais me retirer et te laisser avec Lui, il connait nos règles, ne t’inquiète pas.

Sans un mot de plus Laurent quitte la pièce, Keira MDE entend la porte se fermer, puis un long silence suit. Elle patiente le bon vouloir de cet homme qui l’observe en silence, puis il se lève et dès le son du premier pas, elle le reconnait et, sourit. Il arrive à sa hauteur, voit son sourire et se penche au creux de son oreille pour lui murmurer.

- Pourquoi ce sourire, soumise.
- Parce que je suis heureuse d’être à Vos pieds Maître, répond la jeune femme qui a reconnu Le Châtelain.
- Comment as-tu su que c’était moi ?
- Le son de vos pas Maître, peu de personnes possèdent des chaussures de cette manufacture.
- Tu reconnais les types de chaussures au son des pas ?
- Non Maître, je reconnais Vos pas, au rythme posé, et seulement le Votre, qui est pour moi signe d’un grand plaisir.
- Quel plaisir ?
- Celui de Vous servir Maître.

Le Noble sourit, Il la regarde un instant sans rien dire, profite de la vue de ce corps qui lui est offert, impudique, dans une parfaite position.


- Hum…que penses-tu de cette journée ?
- Je n’ai pas été à la hauteur de votre éducation Maître, je Vous présente mes excuses, et Vous prie de bien vouloir me sanctionner, dit-elle sereine.
- En quoi as-tu faillit ?
- Dans les tâches ménagères Maître.
- Et ton erreur n’a-t-elle pas été sanctionnée ?
- Si Maître.
- Penses-tu que cette sanction était trop faible.
- Je n’ai pas à juger des décisions de Vos serviteurs, lorsqu’ils agissent en Votre nom, Maître.
- Je te le demande ! ordonne-t-Il d’un ton laissant comprendre qu’Il attend une réponse.
- Je pense que cette sanction était juste.
- Donc pourquoi me réclamer une autre sanction ?, questionne-t-Il en frappant avec force le fessier de la jeune femme, d’une cravache laissée là.
- L’habitude Maître, répond-t-elle dans un souffle.

Monsieur Le Marquis sourit, Il repose l’objet, puis caresse avec sensualité le dos de la jeune femme, sa main posée sur sa nuque descend le long de sa colonne, avant de flatter sa croupe. Elle sent comme un courant électrique traverser tout son être...

(A suivre …)

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