La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1510)
esclave 976-038-936 au Château (suite de l'épisode précédent N°1509) -
Jai été bondagé, fouetté, jai même servi durinoir pour dames, la bouche grande ouverte
Et ce nest quà 2h du matin quon me ramène dans ma cellule et malgré la fatigue, ne trouvant pas le sommeil, encore trop excité par cette orgie extraordinaire, je me remets à lécriture de mon vécu avec lancien Maître qui me soumettait jadis. Jatt donc quelques feuilles de papier, un stylo et je commence à écrire la suite de mes anciennes aventures :
Cest le lendemain matin que jai reçu un courriel du Maître. Mon cur sest mis à battre
Suis-je accepté ou non ?
« Je taccepte parmi mes esclaves en formation. Tu devras impérativement te plier à toutes mes exigences sous peine de sanctions et en cas de récidives de rejet temporaire ou définitif. Lorsque tu recevras des messages de ma part tu devras impérativement attendre pour en prendre connaissance que tu puisses être nu et à genoux. (Le Maître te fait lhonneur de técrire). Tu porteras, dès que tu le peux, ton collier le plus longtemps possible pour te rappeler que tu es dépendant du Maître a qui tu appartiens. Ton corps devra rester glabre et particulièrement ta nouille, tes roubignoles et ton cul. Tu ne pisses plus debout mais assis comme une femelle. Plus de branlette solitaire. Le Maître est le seul à pouvoir te permettre de tels actes, qui seront très rares et jamais seul. Je te convoque après-demain, même heure. Lavement obligatoire. Le Maître »
Lavement ? Je vais être baisé ?, sodomisé ?... Jhésite
Je laisse tout tomber
Je ne dois rien à ce type, après tout !
Je peux changer dadresse mail et couper tout contact
Ce sont mes réflexions de la journée... Mais malgré tout, le soir venu, je me couche tourmenté, en tournant et retournant mes réflexions jusquà ce que je mendorme avec difficulté... Une nuit de rêves bizarres quon peut qualifier de prémonitoires se passe alors
Je me vois entièrement nu avec une laisse en chaîne métallique accrochée à un collier à mon cou et dont je ne distingue pas lextrémité sans fin, dans une pièce immense sans aucuns meubles, ni porte et fenêtres et dans une lumière blanche intense.
- Tu vas te faire mettre ?
- Oui, je pense, Monsieur.
- Une première ?
- Oui Monsieur
- Lave-toi bien le cul pour que ton sodomite ne se salisse pas sa verge
- Combien de fois faut-il faire le lavement Monsieur ?
- Autant de fois que cest nécessaire pour quà la fin leau soit claire sans résidus.
- Merci, Monsieur
Ca fait mal
- Le lavement ?
- Non, se faire pénétrer ?
- Oui un peu mais si tu es détendu, cela se passera bien
Offre-toi
- Ok. Merci pour toutes ces infos
Pisser assis
cela fait tout drôle de plus voir son urine couler
Dès que je rentre chez moi, je me pose le collier autour du cou, bien sûr dès que je suis couché, je ne peux mempêcher de me caresser ma nouille
mais je marrête avant le moment du non-retour
une première faute que je devrais avouer au Maître avec mon hésitation à poursuivre mon dressage. Demain je ne serai plus comme avant
je serais un enculé soumis
Une véritable dégradation, quand on entend parler les gens uniquement vanilles qui ont une vision moralisatrice portant des jugements sévères sur un monde quils ne connaissent pas, celui de la Domination/soumission
.
Je finis par mendormir plus sereinement que la nuit précédente... Au matin, érection matinale, mais je maitrise mes mains, mabstenant de me toucher. Aussi je vide ma vessie comme ordonné. Le lavement se passe bien, même si ça tout drôle de senfoncer une canule dans lanus, un préliminaire à ce que je vais peut-être recevoir cet après-midi dans mon cul de soumis. Il faut trois lavages pour que leau devienne bien claire. Je mhabille avec soin tout en gardant mon collier jusquà mon départ de chez moi. Je mets ce dernier dans mon sac et ainsi près pour ma convocation de laprès-midi, je sors. Comme à laccoutumé jarrive quelques minutes avant lheure fixée, jattends donc dehors lheure exacte. Je dois être à lheure. A lheure dite après louverture de la porte par le Maître, je monte jusquà son étage, la porte est entrouverte, je pénètre dans lappartement, je me prosterne devant les pieds du Maître que jembrasse avec le plus de servilité possible.
- Va mettre en état mon salon, puis tu te mets en tenue et tu me préviens.
- Oui Maître
Je vais donc au salon, baisse les stores, déplace légèrement la table basse, ouvre le placard aux trésors D/s et en sort une badine, un martinet et un paddle, en espérant que le Maître appréciera le choix au moins dun instrument. Je vais dans la cuisine faisant guise de vestiaire, je me déshabille, plie mes affaires, me mets en position dattente debout et :
- Maître, Votre esclave est prêt.
Quelques minutes dattente, le Maître était occupé.
- Bien
Petite inspection, le Maître soulève ma nouille, inspecte mes tétons, puis
- Plie et écarte
Toujours une position qui me fait encore rougir dhumiliation
- Le cul semble propre.
- Oui Maître, trois fois.
- Bien, suis-moi.
Dans son salon, il me tend une barre décartèlement en me demandant de me la fixer aux chevilles. Puis la barre fixée, je dois me positionner en position dattente debout devant laccoudoir du fauteuil. Le Maître cherche quelque chose, ou du moins je le pense, mais tout était prévu
- Détache la barre, rhabille toi
sans sous-vêtements cela fera gagner du temps.
Prends ces 10 et va à la pharmacie à langle de la rue et achète une boite de préservatifs
- Euh ?... Oui Maître
- Cest trop compliqué pour toi, petite lope ?
- Non Maître
- Alors fait fissa
Je sors de lappartement et en descendant les escaliers, je pense que ma déchéance se poursuit
cest la première fois que je vais acheter des capotes
jespère que les boites sont à disposition des clients et que je ne serai pas obligé de demander
En rentrant à la pharmacie, je ne vois pas les préservatifs
Aie
Je ne suis pas seul et je dois me dépêcher
- Euh ! Sil vous plait, les
les préservatifs ?
- Derrière vous, Monsieur
il y a plusieurs tailles
cest pour vous ?
Je suis à la limite du supportable
- Non
- Vous connaissez la taille ?
Jai failli demander de quoi ?
- Si vous ne connaissez pas la taille
prenez la taille moyenne
Je prends une boite, je paie en sentant mes joues sempourprer puis je sors de la boutique, lair frais me fait du bien. Après avoir annoncé mon retour, la porte de limmeuble souvre de nouveau et je remonte les étages. Le Maître mattend
Je lui remets la boite à genoux, je baisse la tête à bout de bras comme une offrande avec sa monnaie.
- Bien
Humiliant ?
- Oui Maître
- Cest bien, cela fais partie de ta formation
la prochaine fois tu devras dire pourquoi tu les achètes
car je suppose que tu as rien dit de leur usage ?
- Non Maître.
- OK. Aller, va te remettre en tenue, fixe la barre et attends.
Je souffle beaucoup
je me déshabille avec une certaine excitation voyant ma nouille gonfler, je me mets à bander, je positionne la barre en tremblant
puis
- Votre esclave est prêt, Maître
Le moment est venu
Le Maître vient me chercher, il me tend un bandeau noir, que je me fixe devant les yeux
(A suivre
)
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