Mon Beau-Père Et Moi.

Avant de vous raconter mon histoire, je dois préciser un peu la situation…
A 18 ans passés, je vis encore à la maison avec mes deux frères mais je bénéficie d’un petit studio avec cabinet de toilette aménagé dans le sous-sol semi enterré de la maison familiale. Comme cela je suis indépendante.
Je suis inscrite en seconde année à la Fac’ de médecine de Paris… et je dois avouer que la réputation de carabins n’est pas surfaite…
En effet, si avant d’entrer à l’université, j’avais eu quelques aventures, depuis deux ans, je ne compte plus les mecs et les filles avec qui j’ai baisé ! Je ne suis plus une oie blanche… loin s’en faut !



Ce jour-là, ma mère et mes frères étaient partis vers le boulot ou le lycée…
Je savais mon beau-père à la maison car à la suite d’un accident de travail, il devait rester au repos pendant quelques jours.
Quand je suis montée voir s’il avait besoin de quelque chose, j’ai frappé à la porte de la chambre parentale.
N’obtenant pas de réponse, je suis entrée et là, j’ai trouvé mon beau-père en train de regarder une vidéo érotique sur sa tablette et je vis distinctement sa main s’agiter sous le drap à la hauteur de son pubis…
Il était évident qu’il se masturbait !
Pour moi, il n’y avait rien de choquant… cela m’arrivait aussi de temps en temps en repensant à une belle partie de jambes en l’air quelques jours auparavant !
Je me suis adressée à mon beau-père :
• C’est pas la peine de te demander si tu as besoin de quelque chose… Je peux t’aider ?
• Oui, si tu veux mais ce sera notre secret !
• Pas de soucis, je suis une grande fille et maman n’en saura rien !

J’ai relevé le drap aussitôt pour découvrir le sexe de mon beau-père, tendu et dressé sur son pubis.
• Dis donc, t’es vachement excité !
• Oui… la vidéo, c’était deux filles qui se faisaient baiser par un mec !
• Tu m’en diras tant ! Bon, je vais te soulager ! çà fait combien de temps que tu n’as pas baisé ?
• Hier soir… j’ai baisé ta mère deux fois…
• Tu as un sacré appétit !

Quand je vivais encore dans la maison proprement dite, je ne compte plus les fois où j’avais entendu ma mère grimper aux rideaux… Même si elle essayait d’être discrète, je finissais toujours par l’entendre… C’est d’ailleurs en l’entendant jouir que j’ai commencé à me masturber quand j’avais à peine 15 ans…

Sur la plage, j’avais remarqué que mon beau-père avait une jolie bosse au niveau du sexe mais je n’aurais jamais imaginé un tel membre (et j’en avais déjà vu et sucé un certain nombre…).

Il était presque aussi gros que mon poignet avec un gland bien formé et sans prépuce, et je ne vous dis pas la longueur : facilement 20 cm…
Cette bite me faisait envie…
Là-dessus, je me suis penchée sur le sexe de mon beau-père et après l’avoir enduit copieusement de salive, je l’ai sucé, montant et descendant avec ma bouche sur ce membre que je découvrais déjà bien bandé.
Je suçais… je branlais les couilles bien rondes… ma bouche allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, avalant le gland jusqu’à en avoir des haut le cœur… mais je n’en avais rien à faire…
C’était la bite de mon beau-père… je savais que je lui faisais du bien car il rythmait mes mouvements en appuyant plus on moins sur ma tête… mais je savais aussi qu’il se retenait car plusieurs fois, j’avais senti que j’arrivais au point de non retour… et je laissais retomber la pression !
Je voulais qu’il en ait non pas pour son argent, mais juste pour son plaisir de baiser une jeune femme majeure depuis quelques semaines.
Mais j’ai fini par libérer mon beau-père de la pression sexuelle et quand les premiers jets de sperme ont fusé dans ma bouche, je me suis reculée pour voir les giclées sortir du méat et se répandre sur son bas ventre !
J’ai toujours aimé voir mes amants se répandre ainsi… je trouve cela d’un érotisme torride : voir le sperme fuser… c’est presque mieux que de le sentir au fond d’une capote…
• Dis donc… on ne dirait pas que tu as baisé ma mère hier soir ! Qu’est-ce que tu es généreux !
• J’ai encore des réserves si tu veux y gouter !
• Pourquoi pas !

Comme mon beau-père bandait encore, j’ai ôté rapidement mon jogging sous lequel j’étais nue et j’ai enjambé son pubis et je me suis laissé couler sur cette bite qui a envahi ma chatte au plus profond… Que c’était bon de me sentir remplie ainsi…
Ce n’était pas lui qui me baisait… mais c’est moi qui faisais les mouvements sur sa queue que je sentais frapper ma matrice à chaque fois que je la laissais aller au bout de mon vagin… et c’était bon de se sentir emplie ainsi…
Mon plaisir montait dans mes reins et à voir l’expression de mon beau-père je devinais qu’il n‘était pas loin de jouir une nouvelle fois…
Lorsque j’ai senti son sperme gicler en moi, je me suis laissé partir et je me suis affalée sur son torse jusqu’à ce que ses giclées s’arrêtent !

A aucun moment il n’y avait eu des mots tendres… mais avions baisé pour le plaisir de baiser ! J’étais satisfaite et mon beau-père aussi !