Sur Le Capot...

Comme tous les soirs depuis maintenant deux mois je m’apprêtais à placer ma voiture dans un parking souterrain. Pour cela je devais m‘arrêté devant la borne d’ouverture et y introduire une carte magnétique. Après quelques secondes de patience la porte pivota, donnant peu à peu son accès. Je passais la première et m’engouffra dans l’ouverture éclairé par des néons. Comme un rituel chez moi, je m’engageais tout de suite sur la rampe me menant jusqu’au second sous-sol. Pour un problème d’insécurité, le premier niveau étant toujours saturé. Comme à son habitude il y avait peu de voiture. Et je pus aisément choisir ma place pour me garer. Et cela au plus près de la porte menant aux étages d’appartements.
Mais alors que je me préparais d’ouvrir cette dernière, je fus interpellé par la présence d’une femme. La trentaine. Une chevelure longue, épaisse et très soyeuse. Qui coulait sur ses épaules. Elle portait une robe noire très courte qui arrivait à peine quelques centimètres en dessous de son pubis. Ses cuisses étaient gainées d’un collant diaphane et des cuissardes qui cintré ses jambes. Son maquillage était très discret, mais ses grands yeux noirs étaient soulignés d’un épais trait de mascara.
Sa tenue faisait sur elle comme une seconde peau. Marquant bien des hanches larges et pleines, une poitrine lourde que nul soutien-gorge ne tenait. Pourtant mon émotion n’avait atteint son maximum que quand elle s’était retournée et avec une souplesse déroutante avait ramassé le trousseau de clé qu’elle avait laissé tomber. Dans le mouvement, son cul fut comme projeté vers le haut tendant à son maximum le tissu, à en faire céder les coutures.
J’avais le regard comme aimanté sur cette vision imprenable. À en oublier qu’elle m’examinait d’entre ses jambes écartées. Elle me lança alors :
- Ça l’air de te plaire ! Tu veux le voir de plus près ?
Sans attendre une réponse, elle s’était redressée, et marchait avec avidité à ma rencontre.

L’intensité de son regard était à la limite, intimidant. Seconde après seconde, je devinais ce qu’elle désirait. Ce n’était tout de même pas le fruit du hasard qu’elle soit là devant moi. Et surtout dans ce lieu isolé. Tout en elle respirait le sexe.
Elle stoppa à seulement quelques centimètres, m’offrant une fois de plus son dos. Et reprit la même position. Sa poitrine collait contre ses jambes.
- Tu sais, tu peux toucher si tu veux…
J’étais envahi par une sensation forte. Le besoin de savoir ce qui se cacher sous sa robe. Pour ce faire je m’étais accroupi et seulement là, j’avais jeté un œil sous le vêtement. Y découvrant un collant avec une particularité très distincte. Celle de ne pas recouvrir son intimité. Grâce à une large ouverture, j’apercevais la fente du sexe bordée de poils blonds frisés. Dissimilant à peine les petits lèvres et l’entrée du vagin. Je ressentais des bouffées de chaleur dans mon bas-ventre. À en avoir du mal à respirer. Me sentant encore plus excité. Mais aussi affreusement coupable de mettre laissé embarqué dans ce jeu. Où je ne savais pas où cela aller me mener. Alors que deux étages plus haut, ma future femme attendaient sagement dans son appartement, ma venue.
Des pensées qui furent très vite balayées par l’intensité des paroles de la femme :
- Qu’attends-tu pour me toucher ?
Elle parlait d’un ton léger, comme si sa requête n’avait pas plus d’importance que ça. Je me redressais. Nos regards se croissaient. La passion se lisait dans nos yeux. Le désir que j'éprouve pour cette inconnue était évident. La bosse que faisait mon érection était là comme pour l’attester. D’ailleurs elle la discerna, et prit l’initiative de l’effleurer d’un revers de sa main gauche. Incapable de me contenir, je n’avais pas pu résister à approcher ma bouche de la sienne. Mais elle esquiva mon geste. Plaquant son index sur mes lèvres.
- Il n'y a que mon mari qui m'embrasse sur la bouche et personne d'autre.
Toujours de la même menotte, elle augmenta la pression sur le devant de mon pantalon.
Elle colla sa bouche près de mon oreille pour me chuchoter :
- Tu vois mon mari nous observe un peu plus loin, ainsi qu’un couple d’amis.
Et tout d’un coup, comme pour prouver ses dires, des bruits indistincts se faisaient entendre, venant de l’intérieur d’une voiture stationnée un peu loin. Je tendais un peu plus l’oreille. Percevant très nettement à présent, des soupirs, des halètements, puis une acclamation étouffée. Il y avait aussi une clameur plus forte et une exclamation explicite. Je n’y croyais pas, mes pensées s’entrechoquaient, mais rapidement après réflexion, je me disais que cela pouvait être une expérience aussi inédite, qu’excitante.
Les jambes entrouvertes, le regard fixe, la bouche gonflée, la jeune femme se mettait doucement à rouler des hanches comme pour traduire, par ce geste, le motif des bruits venant de l’automobile. C’était à la fois délicieux et un peu frustrant.
Elle se comportait à peu près comme une chatte en chaleur. Encore une fois si souple, qu’elle semblait ne pas avoir d’os. Soigneusement elle s’offrait une ouverture du côté de ma braguette pour y engouffrer sa main. Du bout de ses doigts experts, elle fit connaissance avec mon sexe éternellement bandé. Elle l’enserra dans sa main et comme elle l’aurait fait avec une laisse, me forçait à la suivre jusqu’à la fameuse voiture.
Là, elle me poussa en arrière. Perdant l’équilibre, je m’affalais sur le capot. Après s’être agenouillée, elle se rua sur ma virilité. Qu’elle engloutissait avec une maestria révélant une grande habitude. Sur un rythme régulier, presque paisible, elle entreprenait de m’administrer une fellation passionnée. Sans se soucier le moins du monde de notre environnement.
Son corps, tout en courbes, dégorgeait de sensualité. Ses longs va-et-vient me procuraient un désir infini. Je ne pensais plus à rien. J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé. Ses lèvres plongeaient, puis revenaient en arrière, retroussées, tandis que sa langue parcourait l’extrémité de mon sexe avec le soin que mettait un à lustrer un cornet de glace.
Je me laissais consommer par cette délicieuse inconnue. Je m’abandonnais à cette volupté qui m’envahissait. Je n’éprouvais ni honte, ni pudeur. J’avais juste l’impression de m’offrir à un péché merveilleux.
Lorsqu’elle sentait à mes coups de reins que j’étais au bord du plaisir, elle me laissait choir quelques instants, me regardait, puis entamait, toujours avec sa bouche, un long mouvement tournant, ce qui avait pour effet de m’occasionner un cri de plaisir.
Avec une grande souplesse, elle avait grimpé sur le capot. Et se mit à dansé au-dessus de moi, alors que j’étais toujours sur le dos. Elle se posta sur mon ventre, me frôlant sans jamais vraiment me toucher.
Puis se déplaça au-dessus de ma figure. Cuisses écartées, ventre projeté en avant. J’enfouis mon nez dans ses poils. La langue tirée au maximum, et lapant comme un animal son intimité. Elle se mit à grogner. Je l’avais agrippé par les chevilles pour la stabiliser. Laissant le reste du corps de la femme tanguait et roulait comme un bateau pris dans la tempête. Elle sentait fort la crevette, mêlée à la fournaise. Je léchais le clitoris à petits coups de langue circulaires. Les yeux hors de la tête, elle m’attrapa les oreilles et se mit à tirer comme pour m’enfoncer le visage encore plus profondément en elle.
Puis elle se redressa avec la conscience du devoir accompli. Les soupirs continuaient de plus belle à l’intérieur du véhicule. Sautant avec souplesse sur ses talons, se postant à côté de la voiture aux vitres obscures. J’imaginais les occupants nous mâtaient plus que jamais. Ce jeu m’excitait de plus en plus.
J’accolais mon inconnue, alors qu’elle glissait ses mains sous sa jupe. Son bassin mimait l’amour. Ses jambes frémissaient en rythme et son visage appelait le plaisir. La démonstration achevée sur son merveilleux abandon d’elle-même, elle retourna s’allonger sur le capot et m’invita de la prendre. J’étais, à cet instant, devenu complètement fou. Le con béait lascivement, luisant de mouille et de ma propre salive.
Comme une large bouche rose et baveuse cernée de poils hérissés.
J’avais pris le con dans ma main. Elle se laissa faire, comme une poupée dolente. Je le palpais avec une douce brutalité. Froissant pêle-mêle les muqueuses gluantes et les lèvres poilues. Du plat de la paume, je comprimais le clitoris. Le désir la submergea de nouveau.
La voiture avait comme des sortes de tremblements. Les amis devaient bien s’amuser ! Puis une main sortait de la vitre entrouverte. Tenant du bout des doigts un petit sachet de couleur orange. Il s’agissait d’une capote dans son emballage. Je sortais le préservatif de son logement et le déroulais sur mon sexe.
Elle fit oui de la tête, se tortillant ses fesses et son pubis de façon obscène. Je balayais du bout de mon gland la fente qui s’ouvrit comme une cicatrice mal refermée. Je faisais passer sa jambe droite par-dessus mon épaule du même côté. Je réalisais la même opération à sa jumelle. Peu à peu, moulinant du bassin, je prenais possession de son antre. D’une poussée franche, je m’enfonçais. Surpris que ce soit si facile, je lui flattais les hanches. Je la sentis trembler sous moi. Elle respirait fort. Je m’avançais le plus que je pouvais, pour bien l’emmancher. Je m’engluais en elle. Je commençais mon balancement d’avant en arrière. Puis mes coups de reins se faisaient
De plus en plus puissants, ce qui la rendait complètement folle. Elle s’agrippait comme elle le pouvait au capot. Son visage tourné en direction du pare-brise fumé. Elle criait et me sommait de ne surtout pas m’arrêter, que ça venait, qu’elle n’en pouvait plus.
J’entendais une porte s’ouvrir. Quelqu’un venait de faire son entrée dans le parking. Mais rien ne venait perturber la femme sur le capot. L’avait-elle entendu ? Je n’en étais pas sûr. Il fallait conclure au plus vite. Pour cela j’augmentais le rythme de mes coups de boutoirs. Elle haleta si fort que je dû lui bâillonner sa bouche à l’aide de ma main pour ne pas nous faire remarquer.
- Il y a quelqu‘un… fit une voix d’une femme, que les piliers cachés de ma vue.
Puis le bruit de talons martelant le béton, s’approchaient. Je m’attendais d’un instant à l’autre de voir en visuel la femme. Espérant que ce ne soit pas ma voisine de palier. Qu’avienne ce qui s’en suivra. La sensation était d’une telle force que je ne pouvais pas m’imaginer de tout stopper. Ma gêne sera presque une nourriture pour ma part. Tout à coup, j’avais senti le con de la femme se resserrer autour de ma queue et un flot de mouille m’inonder les couilles. Elle venait de jouir, alors qu’une femme, la cinquantaine venait de poindre son nez. Une chevelure, courte très courte, rousse presque couleur carotte. Des taches de rousseur. Son regard braquait de notre côté. Je n’ai pas pu me retenir davantage. Je giclais au fond de mon préservatif. La rousse avait tout comprit, et me sourit.
- Monsieur, fit-elle avant de disparaître de mon champ de vision.
Avec ma partenaire, nous restions là, tous les deux accouplés pendant un instant, cuvant notre orgasme. Puis je me redressais, pour l’émanciper. Elle prenait alors contact avec le sol. En me frôlant, elle me chuchota un délicieux :
- Merci.
Puis elle disparaissait comme une ombre, dans la voiture. Cette dernière démarra et quitta sa place de stationnement. Je retirais mon
Préservatif souillé, et fis un nœud pour tenir mon sperme prisonnier. Les jambes en coton, je me rajustais alors qu’une voiture stoppa. Au volant je reconnu la rousse. Elle me fixait, un sourire salace dessinait ses lèvres. Après avoir baissé la vitre, elle passa sa tête dehors et m’envoya :
- S‘il vous plaît monsieur…
- Oui madame !
- Je crois avoir un ennui…
- Problème de batterie ?
- Oh plus grave que ça… une fuite…
- Une fuite ! Mais où donc ?
J’approchais jusqu’à elle. Assise sur son siège, sa jupe retroussait très haut, sa culotte à mi-cuisses. Me gratifiant d’un sourire complice en réponse à l’intérêt que je portais à ce qu‘elle exhibait à mes yeux.
- Là… fit-elle en me désignant sa chatte. Le pubis lisse, semblable à celui d’une adolescente.
- Vous pouvez faire quelque chose monsieur ? Avec un sourire aguicheur ?

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