La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1152)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1151) -

‘‘- Tu comprends, il fallait que je sache qui Il était avant même d'envisager tout autre chose avec lui !..., déclara Carole à Sandra,… Je suis donc partie en coup de vent avec mon scooter. Passant chez moi, juste le temps de me changer et de prendre mon sac à main avec mes papiers et argent, ainsi que la sacoche contenant mon vieux PC portable, me rendant ensuite à notre bibliothèque municipale de Villefranche-sur-Saône afin d'y rechercher des informations sur l'histoire du Château de la Famille des Evans. Grace à l'aide de charmants messieurs-dames, mes recherches s'avéraient fructueuses : J’appris grâce à des documents retraçant l’histoire de la région qu’effectivement le Château des Evans était très proche de Villefranche-sur-Saône sur la commune de Saint-xxxxxxxxx, en pleine campagne limitrophe. Ce qui coïncidait donc avec mon trajet, puisque je sais qu’avec mon scooter, je suis juste sortie de la ville pour me retrouver en rase campagne et y découvrir ledit Château au détour d’une départementale très boisée.

J’appris aussi que les Evans étaient des nobles très influents dans la région et cela depuis le XVII ème siècle. A la fois de généreux mécènes et créateurs d’emplois depuis la révolution industrielle de la seconde moitié du XIX ème siècle, ils possédaient de très nombreux terres, terrains, forêts, étangs et diverses propriétés au village et ailleurs. Mais aussi industriels, ils donnaient du travail à un grand nombre de personnes du village et d’ailleurs. J’appris également que les différents Marquis d’Evans qui se sont succédés de père en fils depuis des siècles étaient tous réputés pour leurs mœurs sexuels ‘‘bizarres’’ sortant de l’ordinaire et cela depuis aussi plusieurs siècles, mœurs transmis de génération en génération et donc qu’il se passait durant tous ses derniers siècles, des choses étranges dans le Château mais que personne ne s’était jamais plaint de quoi que ce soit.

J’appris enfin que faute de descendance, le Château fut fermé depuis près de 10 ans et tomba à l’abandon au fil de ces années. Que tous les biens ainsi que le Domaine en étaient revenus à l’Etat français, propriétaire, suite aux Volontés testamentaires du dernier Marquis et que l’Etat ne s’est jamais préoccupé de revendre ledit Château, ce qui explique qu’il soit tombé en désuétude.... On me confirma aussi que le fameux Marquis de Sade séjourna au Château entre 1784 et 1785. Alors qui était ce spectre ? Le dernier Marquis D’Evans ayant vécu au Château ? Et dans ce cas pouvait-il être le fantôme qui m'avait sauvée, hébergée, et initiée à Ses plaisirs ?

Sans réponse, si ce n'est avec encore plus d'interrogations, y ayant passé de longues heures, je décidai de retourner au Château. En sortant de la bibliothèque, j’avais froid et décidais d’aller boire un chocolat chaud dans un bistrot avant de retourner au Château. Le temps était incertain et il y aurait certainement de la pluie abondante avant la fin de la journée, à voir le ciel chargé de gros nuages noirs. Une fois mon chocolat dégusté et avant de quitter le café-bar, je décidai de me rendre aux toilettes pour me soulager la vessie avant reprendre la route. Je m’étais à peine assise sur la cuvette du WC que je m’immobilisai de tout mon corps car au moment où j’allais uriner une voix, Sa voix résonnait dans ma tête. Je reconnus tout de suite le fantôme qui visiblement voulait communiquer avec ma petite personne… Avant même qu’il m’ordonna quoi que ce soit, j’étais comme hypnotisée, obnubilée par Ses mots et je savais déjà qu’Il pouvait me demander ce qu’Il voudrait, que j’obéirai sans aucune hésitation, tant j’étais déjà sous Sa forte Emprise… Voici ce qu’il me dit, d’une voix d’outre-tombe, froide mais calme et autoritaire :

- Te crois-tu autorisée d’uriner de cette manière ? A partir de maintenant et pour toujours, tu devras mettre tes seins à nus et te pincer, presser tes tétons de chienne pour déclencher le premier jet d’urine et cela jusqu’au dernier, de manière à ce que tes tétons servent de boutons-pressoirs qui enclenchant l’expulsion de pisse de ta vessie… Alors montre-moi ton obéissance, petite chienne qui doit pisser comme je le veux …

La voix se tut, plus un seul mot, mais je savais que je n’avais pas rêvé ! La voix avait été très distincte et sans équivoque.
Inconsciemment, je vérifiais que la porte des WC soit bien verrouillée et sans tarder, j’obtempérais en sentant déjà l’excitation que ça me procurait. Je ne tardai donc pas à me mettre toute nue, à me rasseoir sur la cuvette et à pincer au plus fort que je le pouvais mes deux tétons déjà dressés, tout en forçant sur mes muscles de mon bas-ventre pour expulser ma pisse… J’en avais mal aux seins tellement je pressais alors que mon jet d’urine était au plus fort, je pinçais encore plus… Une fois terminée, je relâchais mes tétons comme on relâcherait un robinet après sa fermeture. Je m’essuyais le sexe … quand j’entendis de nouveau la voix spectrale :

- Reste nue et caresse-toi pour Moi, assise sur la cuvette, cuisses largement écartées, petite chienne et jouis quand je t’en donnerai l’ordre …

Alors je n’attendis pas une seconde pour obéir, trop mouillée, déjà par l’ordre délicieux de se caresser. Je ne tardai pas à me malaxer tendrement mes seins, un dans chaque main. Mes tétons se dressèrent, comme s'ils m'appelaient à m'occuper d'eux. Je les titillais, je m'amusais avec eux et cela eut pour effet de me procurer des frissons de plaisir qui me parcourut tout le corps. Ensuite, je délaissais mes seins pour aller droit au but, j’étais trop excitée ! Ma chatte était déjà bien humide... Je frôlais de ma main mon clitoris. Je ne fis que passer mais déjà quelques décharges électriques de plaisir m'ordonnèrent d'aller plus vite. Je m'attardais donc sur mon clitoris laissant échapper des soupirs de plaisir. Je le caressais doucement mais fermement. Je sentis le plaisir m'inonder, ma chatte était maintenant trempée. Mes mouvements se firent plus rapides. Mes soupirs se transformèrent vite en cris. Je n'en pouvais plus, je souhaitais jouir le plus vite possible. Alors sans que je ne baisse le rythme de pression sur mon clitoris, je me doigtais abondamment m’enfilant mes doigts le plus profond possible et les fit aller et venir dans mon vagin dégoulinant.

Mon clitoris n'étant plus apte à me contenter, je pensai vite à mon deuxième ami : le point G.
Vue la mouille qui inondait ma chatte, je n'eus aucune difficulté à continuer à m'enfoncer encore et encore mes doigts dans le vagin. Je commençais à me tortiller et à faire des va-et-vient toujours plus rapides et profonds. Des ondes de plaisir m'envahissant le ventre, mes soupirs réguliers se transformèrent non plus en cris, mais en hurlements sans me préoccuper au cas où quelqu’un vienne aux toilettes d’à-côté, je criais des "Oh oui, plus fort, plus vite, encoooooore’’ à moi-même. Mon corps était maintenant secoué de spasmes, toujours assise sur la cuvette du WC, je me branlais avec frénésie, me tordais de plaisirs, criais mes montées de plaisirs et d’excitation quand j’entendis la voix laconique dans ma tête, du fantôme ordonnant :

- Jouis, maintenant Ma chienne !

Alors, un ultime et violent spasme orgasmique m'arracha des râles de jouissance à n’en plus finir dans un orgasme rarement égalé en étant seule à me caresser. J'ai eu du mal à garder le rythme. Brusquement mon corps se cambra et je rejetais la tête en arrière dans de longs râles rauques ! De puissants et violents orgasmes successifs vinrent m'assaillir... J’en étais épuisée mais envahie de bien-être. Je souris béatement. Je m'écroulais un instant, inerte et haletante sur dossier de la cuvette. Il me fallut quelques minutes pour m’en, remettre alors que je n’entendis plus aucun mot du fantôme. Je me rhabillais le plus vite possible, remerciant le ciel que personne ne fut entré dans les toilettes car inévitablement, on m’aurait entendu crier mon plaisir jouissif. Je sortis des toilettes, payais ma consommation et quittai le bistrot.

Une fois dehors, je fus repousser par une bourrasque de vent froid, et sous un ciel sombre chargé encore plus de gros nuages gris anthracite, je me hâtai de retourner à mon scooter. Alors qu'il commença à pleuvoir je me dépêchais de démarrer, me faufilant en trompe entre les voitures pour sortir de Villefranche, accélérant de plus belle une fois ses limites franchies, afin d’arriver au Château avant que la pluie ne devienne plus violente.
Mal m'en fut car roulant trop vite sur cette route départementale boisée que je ne connaissais guère, je sentis soudain dans un virage, ma roue arrière glisser sur des feuilles mortes me faisant perdre subitement le contrôle, faisant choir mon scooter et moi avec, nous vautrant tous deux dans le talus sur le bas-côté de la route. Heureusement plus de peur que de mal, même si mon scooter en avait pris un sacré coup, remerciant en moi-même en me relevant doucement, mon père qui à l'époque m'avait fait jurer de toujours porter un casque et autres protections quand je faisais du vélo et plus encore plus tard quand je montais avec ma sœur sur son scooter qui plus tard devint le mien.

Je lâchai un juron, quand en le redressant je constatai les dégâts dus à sa chute. J'en avais tellement pris soin toutes ces années, et voilà que par mon empressement, il était largement fendu dégorgeant d'huile et d'essence, le moteur fracassé. À contre cœur, je décidai de le laisser là, de toute façon je n'aurais su le remonter toute seule sur la route. Et étant plus proche de la vieille Demeure que de la ville, je repris ma route à pied vers le Château. En cette époque de l'année la nuit tombait vite, et ne m'aida guère à retrouver le Château dissimulé entre temps sous les rideaux d'eau de pluie en trombe me sentant durant un moment perdue tel "Ulysse" puni par les Dieux, ne pouvant retrouver mon ‘foyer’. Trempée jusqu'aux os, ne sachant plus où je me trouvais, je priai comme à chaque fois dans ces cas-là mes parents pour qu'ils m'aident. C'est alors qu'un éclair fendis les cieux, illuminant un bref instant l'immense et sinistre Demeure au loin. Je courus le cœur en joie, manquant de tomber à plusieurs reprises, vers le Château. Mais étrangement, quand je voulus entrer, la porte me résista refusant obstinément de s'ouvrir. Je tambourinai alors dessus en criant, cherchant à me faire entendre malgré le bruit de la pluie battante, pour appeler mon hôte afin qu'il vienne m'ouvrir, quand brusquement, la porte se dégonda et tomba lourdement avec fracas dans le hall soulevant au passage une épaisse couche de poussière. La pluie tombant à torrent, ne me laissait pas le loisir de demeurer là à m'interroger sur le comment et le pourquoi...

Je montais dare-dare l'escalier, me dirigeant vers ma chambre dans le but de m'y changer et réchauffer, mais je restai interdite dans l'embrasure de la porte ouverte devant la scène de cette chambre où j'avais passé la nuit, bien au chaud allonger dans ce lit moelleux, trappée des mille et une nuits, aux meubles et décor ancien digne de Versailles. La pièce qui s'ouvrait devant mes yeux n'avait plus rien de merveilleux. C'était comme si je me retrouvais dans un mauvais film d'horreur. La pluie poussée par le vent s'engouffrait par les deux hautes fenêtres aux carreaux brisés dans la pièce, se répandant sur le sol jonché de mousses, de chiures d'oiseaux, de verres, de plâtres et de pierres détachées des murs décrépis et sales, couverts eux aussi de moisissures et de toiles d’araignées. Le lit était en pièce, tout disloqué, et le matelas pourri traînait sur le sol, complètement déchiré, troué, grignoté par les rats, servant de refuge probable à toutes sortes de bestioles. Lâchant sac et sacoche, je redescendis en hâte les escaliers, découvrant la même scène cauchemardesque dans la salle à manger et la cuisine. Ce n'était pas possible. Je n'avais quand même pas hallucinée à ce point mon séjour dans ce Château. Seules les traces de souris ou autres rongeurs témoignaient dans la poussière omniprésente de leur passage. Mille toiles d’araignées complétaient ce triste décor d’abandon de lieux. Aidée de la lumière de mon portable, que j'avais récupéré chez moi et garder dans ma veste, je me frayai un chemin à travers les couloirs ténébreux. La peur montait en moi, à la vue des quelques rares tableaux délabrés que j'avais pu découvrir et admirer de paysage, de scène de chasse et de nus anciens, à présent effacer, poussiéreux et noircie par le temps et l’humidité, troué, déchiré, quand il n'était pas pantelant ou décrocher en bas des murs, ou carrément disparue, enlever, voler je ne sais quoi d'autre…

(A suivre...)

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