Fanstasme Assouvi...

Sur mon contrat de travail il était stipulé que je devais intervenir à chaque fois qu’un incident se présenter dans les bureaux. Cela aller de raccrocher des rideaux, de changer des piles dans les horloges, changement des ampoules, des tiroirs à graisser, des serrures à changer, de déplacer les bureaux ou armoires, etc.…
Mais pour mon plus grand désarroi, chaque intervention chez certaines secrétaires, prenait un temps fou. Ses dames n’hésitant de m’accaparer plus ce qui le fallait. J’avais donc trouvé la solution. Celui de venir travailler quand elles n’étaient pas dans leurs bureaux. Donc le samedi matin.
Ma liste de petits travaux dans une main, ma caisse d’outil dans l’autre, j’arpentais de long en large les couloirs sinistres de l’établissement.
De matin là, une demi-douzaine avaient été programmé. Les deux premières interventions terminée je m’avançais jusqu’à la troisième. M’autorisant après celle-là de faire une halte café.
C’était le bureau de la DRH. Il était mentionné sur ma liste d’intervention un changement d’ampoules à effec. J’ouvrais la porte et là surprise je me retrouvais nez à nez avec Bénédicte, assise derrière son ordinateur. Vingt-cinq ans. Ordinaire physiquement. À son expression, je sentais que je n’étais pas le bien venue. Son visage dans son entier avait rougi à vue d’œil.
Comme il n’était pas question que je reporte l’intervention, je m’avançais jusqu’au bureau, et ça malgré sa présence. Pas un mot n’avait été encore prononcé. Un silence absolu. Mise à part un petit ronronnement qui n’échappa pas à mes oreilles. La source venait du côté de chez Bénédicte. Par pur réflexe je jetais un rapide coup d'œil sous la table. J’y décelais rapidement un fil électrique noir qui sortait de dessous de la jupe et courait jusqu’au plateau. Là même où se tenait un petit boitier de contrôle. Je reconnu tout de suite la télécommande d’un gadget sexuel.
Se croyant sans doute tranquille en ce samedi matin, elle avait emmené son joujou avec elle.

Avec l‘intention de se payer une bonne partie de plaisir. Mais ce qu’elle n’avait pas prévus, c’était mon intrusion. Je fis comme si je n’avais rien décelé, et lui dis :
- Tu es au courant de l’ampoule que je dois changer ?
- Oui… oui, la lampe à Jeannette.
- Merci… fis-je en me dirigeant jusqu’à la lampe.
Comme par enchantement le ronronnement avait cessé. Pendant le changement, elle n’avait pas cessé de me regarder. Allant jusqu’à me sourire à chaque fois que mon regard croisait le sien.
Sortie du bureau, j’allais comme convenu prendre un café dans la cuisine. Je profitais de cette pose pour me ressasser de ce qui venait de ce déroulé. C’était à se tordre de rire. Mais après réflexion j’avais regretté de ne pas avoir profité de ce qui m’avait été offert. Une jeune fille que son joujou avait sans doute menait au point culminant de l’excitation. Tout m’avait été servi sur un plateau, mais je n’en avais rien fait. Et maintenant il était trop tard. D’ailleurs après cet incident j’étais un peu près sûr qu’elle s’était empressée de tout rangé.
À l’heure du déjeuner, je trouvais Bénédicte, attendant le bus. Je stoppais à sa hauteur et lui proposais de la déposer chez elle. Comme nous nous connaissions depuis belle lurette, elle se laissait entraîner.
Elle me guida jusqu’à devant sa cage d’escalier.
- Eh bien merci… me fit-elle en décrocha la ceinture de sécurité.
- Dis ! Tu n’oublis pas quelque chose ?
- Non ! Je ne sais pas ! Quoi ?
- Tu ne m’invite pas à monter ?
Elle se mit à rire. Un rire de bêbête.
- Je n’ai pas osé.
- Mais il faut oser, Bénédicte. Je suis toujours prenant pour prendre un verre avec une charmante jeune fille.
- Arrête de dire des bêtises. Veux-tu ?
Elle était consciente qu’elle n’était pas du genre à faire retourner des foules à son passage.
Trois étages plus haut elle s’effaça devant sa porte pour me laisser pénétrer son nid.
C’était un simple studio. Mais très bien aménagé. Elle m’invita à prendre place sur une chaise.
- Je t’offre quoi ?
- Qu’est-ce que tu as ?
- Du vin.
- Va pour du vin.
Elle ouvrait un élément au-dessus de l’évier et y sortit deux verres. Qu’elle posa sur la table.
- Tu avais du boulot en retard, l’interrogeais-je. Pour venir travailler un samedi matin.
- Oui… oui… répondit-elle en emplissant les verres à moitié d’un rosé bien frappé, sortit du frigo.
- Tu es arrivé à tout faire ?
- Oui, des rapports en retard, et quelques coups de téléphone à passer. Rétorquait-elle, en vidant son verre cul-sec.
- Il est vrai qu’en travaille mieux quand en est seul.
- Je suis tout à fait d’accord avec toi. Approuva-t-elle en se servant un autre rosé.
- C’est super chez toi. Tu vis seul ?
- Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Comme ça. Pour faire la discussion.
- Oui, je suis célibataire en ce moment.
- Cela explique…
- Vas au fond de tes pensés. Tu veux parler sans doute de ce que tu as vue dans le bureau. Fit-elle en se jetant le deuxième verre, toujours cul-sec.
- Tant que tu prends ton pied avec…
- À défaut d’autre chose… me coupait-elle, je suis du genre… comment dire : très coincée… Parler de sexe me fait peur. Je n’ai pas confiance. Alors je préfère ne pas m’aventurer sur ce terrain-là avec des hommes. Mais si tu insistes…
Elle se leva d’un bloc, et s’avança jusqu’au fauteuil. S’arrêtant devant ce dernier, elle retroussa sa jupe. Ses yeux dans les miens, elle remonta sa jupe en se tortillant. Dessous, elle portait des bas en voile auto-fixant. Et une culotte, déjà humide et palpitante d’excitation.
- Je suis pourtant une vicieuse, tu sais Alain… un vrai
Vicieuse… tu ne peux même pas savoir à quel point…
Elle eut alors un sourire cruel, en saisissant de ses deux pouces recourbés l’élastique de sa culotte.
Elle tira lentement l’étoffe imprégné de mouille vers le bas de sa personne, dénudant centimètre après centimètre, le haut de son intégralité son intimité. Je sentais ma verge durcir. Le spectacle devenait d’une rare indécence. Elle m’adressa un clin d’œil malicieux, en me voyant, masser ma queue à travers l’étoffe de mon jean. Tout en me coulant un regard malicieux, elle se débarrasser de sa petite lingerie d’un coup de pied.
- Ta présence chez moi, fait pleurer ma chatte à chaudes larmes, tu sais ? Depuis le temps qu’elle me réclame un homme.
Je ne pouvais empêcher ma respiration de s’accélérer. Les yeux rivés sur l’incroyable forêt vierge, d’un noir de jais, qui s’épanouissait au bas de son ventre bombé. Elle portait la main à la hauteur de son ventre et fit disparaître deux de ses doigts dans sa toison humide.
- Elle te plaît ?
J’avais la vulve au point de mire.
- Et comment qu’elle me plaît… Oui… il faudrait être difficile.
Je fixais ses petites nymphes brunes et fripées où perlaient quelques gouttelettes blanches.
- Pour moi, ça vaut tous les programmes de télévision du monde. Et pourquoi fais-tu cela ?
- Parce ce que je suis prise de frénésie, je ne sais pourquoi. Je pense que le rosé n’est pas innocent sur mes faits et gestes. Je n’ai pas l’habitude de boire.
- Et pourquoi boire, alors ?
- Tiens donc ! Pour me donner du courage.
Elle écarta les jambes. En mettant ses mains entre ses cuisses. Ses poils bruns étaient tout englués de mouille. Elle séparait ses nymphes. Avec ses pouces, elle tirait sur le petit capuchon de chair pour débusquer son clitoris. Soudain mon cœur se mit à battre comme celui d’un chasseur devant une belle prise. J’avalais ma salive avec difficulté.
Une excitation irrésistible montait en moi. Mais le plus étonnant, c’était le clitoris. Il pointait à présent comme un dard, aussi gros que l’extrémité d’un petit doigt. Mon cœur cognait dans ma poitrine.

- Tu sais quoi ? Dit-elle d’une petite voix qu’elle s’efforça de rendre aussi câline que possible. Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Ce serait que tu me laisses entièrement faire. Que tu me laisses te guider jusqu’au bout, jusqu’à ma jouissance.
Elle me fit me lever. Violemment, elle défit mon pantalon et sans attendre, écarta l'élastique de mon slip, pour permettre à ses doigts de me fouiller.
- Elle est comme je les aime. Bien dur ! Je vais te chevaucher et bien me baiser avec ta queue. Enfin si tu es d’accords.
- Et comment que je suis d’accords. Répondais-je en posant mon cul sur la chaise.
Elle se plaça en califourchon au-dessus de moi. Dressée, les cuisses ouvertes. Passant sa main entre ses cuisses, elle me prit ma verge qu’elle dirigeait à l’entrée de son sexe. En fléchissant ses jambes elle descendit lentement sur ma tige jusqu’à ce que nos deux pubis n’en fasse qu’un. La sensation était affolante, soyeuse. Au jugé, j’envoyais mes mains sur sa poitrine. Après avoir déboutonné son chemisier et écartais son soutien-gorge, mes doigts se mirent à en triturer les mamelons avec une fébrilité presque violente.
- Oh ! Oui, plus fort, n’aie pas peur… mes nichons adorent d‘être brutalisés…
En appui sur les mollets et les mains, elle faisait remonter son sexe très haut. Dévoilant toute ma queue avant de l’engloutir jusqu’à la garde. Elle me branlait de haut en bas, de droite à gauche. Même circulairement, en roulant des hanches. Ses gémissements se transformèrent en cris aigus.
- Oh ! Oui… je vais… oui, je vais…
Elle poussa un long cri strident. Son corps agité de soubresauts incontrôlable. J’en avais pas besoin de plus pour me répandre en elle.
Nous restâmes quelques secondes d’une immobilité de statue, sur la chaise. Puis elle se leva et alla se poser sur son fauteuil.
De sa fleur de chair s’écoulait mon sperme. Je me levais de la chaise et plongeais mon visage au cœur de son antre parfumé. Avide d’en explorer les moindres froissements charnels. Je me saoulais des fragrances qui s’en échappaient.
Je lapais le cocktail mouille, sperme. Imprégnant ma langue de leur saveur acide, et salé. Parcourant le relief de son intimité. Bénédicte avait eu un spasme. Du liquide blanc de plus en plus épais avait coulé dans ma bouche. Tout en la lapant, j’agaçais du bout du nez son clitoris gorgé de sang. Sous ma cajolerie inopinée, perdant tout contrôle d’elle-même, se tordant tout en criant, elle déchargeait sur ma langue des jets glaireux.
Le lundi matin je fus appelé de me rendre au bureau de la DRH. L’appel comme par hasard provenait de Bénédicte.
- J’ai mon ampoule qui vient de griller.
- À oui ! Il faut que j’aille en chercher dans la réserve…
- Par la même occasion tu n’aurais pas une pile ?
- Cela dépend pour quoi ?
- Pour ça, fit-elle en me désignant le boitier de son joujou…

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