La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1511)

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode précédent N°1510) -

Le Maître vient me chercher, il me tend un bandeau noir, que je me fixe devant les yeux…

- Avance, je te guide…

Je marche comme je peux avec la barre rigide fixée entre les chevilles…

- Stop… Tu sais ce qui t’attend ?
- Je pense que oui Maître… Vous allez m’enculer…
- Pas exactement… Je t’offre à l’un de mes amis en remerciement d’un service qu’il m’a offert. Sois tout de même tranquille, c’est un pro de la baise, il va te faire perdre ta virginité anale en douceur… il a l’habitude. Détends-toi et tout se passera pour le mieux. Je vais assister à ce dépucelage anal en buvant un bon verre de vin… obéis-lui… c’est une exigence.
- Ouuuiii Maaaîîître.

Une voix différente à celle que j’avais déjà entendue chez le Maître lors de mes premiers tests.

- Détends-toi, pose ton buste juste devant toi sur l’accoudoir… Voilà, recule un peu les jambes, écarte les biens… Parfait… cambre-toi…bien en relevant ton cul… Je vais prendre du plaisir en te déflorant… ce sera le cas si tu coopères en te laissant prendre avec docilité, alors laisse exprimer ta nature servile…
- Détends-toi, mon esclave, enchérit le Maître, offre-toi bien à mon ami Angélo, que je veux remercier. Il faut que mon cadeau soit à la hauteur du service qu’il m’a rendu en m’ayant offert sa salope de soumise de femme …

C’est la voix du Maître, il me caresse les cheveux et me passe un doigt sur mes lèvres, puis dans ma bouche… Visiblement, il veut me décontracter. Je sens le gland dur d’Angélo venir se frotter conte ma raie anale pour descendre contre mon œillet qui s’ouvre sous une poussée lente de l’ami du Maître

- Oui, je sens qu’il s’ouvre… elle se détend, la lope !
- Ahhh !
- Chut, tais-toi et donne-toi bien, écarte bien tes fesses avec tes mains, m’ordonne le Maître…
- Mon gland est rentré, réplique Angélo… C’est serré mais agréable… J’avance doucement sans problème… J’ai bien fait, pour une première fois, d’avoir bien lubrifié ma verge… Je fais toujours ça quand il s’agit de déflorer un nouveau cul vierge… Merci Pierre pour ce cadeau… Encore quelques centimètres et je l’aurai pénétré en totalité, jusqu’à la garde… Ensuite, je resterai ainsi profondément en lui, bien immobile en coït anal afin de bien lui dilater l’anus avant de faire des aller-et-venues
- Alors, tu apprécies Angélo ? Il est bon ?
- Oh oui Pierre, il y avait longtemps que je n’avais pas pris un si beau cul verge… et il est bien étroit… Il me serre bien ma verge que je sens bien raide dans son fondement… Hummm unl vrai délice …
- Ohhhh ! Ahhh !
- Oui c’est un peu douloureux… au début, le temps que la place se fasse … Je pense pour ta première sodo tu réagis plutôt bien… mais que c’est bon pour moi… Ouiii … Je vais don forcer un peu… pour que ma verge s’introduise complètement…
- Ahhhhh !
- Oui voila, j’y suis jusqu’à la garde… Tu sens mes testicules sur tes couilles, cela te montre que je suis totalement en toi… je te laisse quelques secondes pour t’habi en restant immobile comme je l’ai dit…

Je me détends le plus possible, j’ai eu mal… mais cela s’estompe petit à petit… il me semble que je dois remercier mon enculeur pour sa douceur et lenteur volontaire à mon dépucelage…

- Merci beaucoup Monsieur, pour m’avoir pris en douceur…
- J’aurai pu te prendre d’une façon plus hard… mais cela aurai modifié ta façon d’accepter les prochaines pénétrations, tu te serais moins offert et je devais bien cela à mon ami Pierre.


- Merci Angélo de ne pas lui avoir explosé le cul…
- C’est normal… il doit et va servir à d’autres, je pense ?
- Oui, j’ai un autre cadeau à faire… Et puis comme il est dorénavant mon esclave, je l’offrirai à qui je voudrais, quand je voudrais et ou je voudrais…
- Si tu me permets, maintenant qu’il s’est habitué à ma verge, je vais le terminer…
- Je t’en prie c’est ton cadeau…

Monsieur Angélo commence alors des allers et retours dans mon cul sortant, je pense, presque entièrement sa verge et la rentrant totalement et même en essayant d’aller encore plus profond… J’encaisse, sans trop souffrir et même si cela avait été le cas ce n’aurait pas été son problème… Mais en revanche, pour le moment, je n’éprouve aucun plaisir, mais je ne suis pas là pour en prendre mais pour en donner ! N’est-ce pas la raison d’être d’un esclave !…

- Esclave… tu ne dois pas rester passif… tu dois mettre du tien pour que les Dominateurs prennent le plus de plaisirs possible quand ils te baisent, t’enculent…
- Que doiiis jeee faaire Monnssieur ?
- Quand on s’enfonce en toi, tu dois te détendre au maximum pour faciliter la pénétration, donc bien t’ouvrir. Et quand tu es besogné, en même temps que les coups de reins du sodomite, tu dois faire bouger ton cul en va-et-vient accompagnant chaque poussée de reins, pour faire un appel à la bite… Voilà c’est bien ça, voilà comme ça … Continue… Ouiii… Et en même temps, tu dois resserrer tes sphincters comme si tu souhaitais empêcher la verge de se retirer… Pour celui qui te sodomise, ce sera ainsi comme un massage… donc très agréable… Ouiii c’est cela…

Je fais un effort dans mon travail d’enculé pour satisfaire et apprendre… Monsieur Angélo m’encourage en me donnant des claques sur le cul, ce qui me fait me contracter et donc resserrer mes anneaux… Maître, lui, d’après les déclics, prend des photos et entre chaque prise, il me caresse la tête en me disant :

- Je suis fier de toi… Même si tu as encore des progrès à faire car de toutes façons un esclave n’est jamais au top de ses possibilités… le Maître doit toujours le faire progresser.


Pendant ce temps Monsieur Angélo, me labourait le cul de plus en plus rapidement et je n’avais pas le temps de faire mes exercices sur sa verge…

- Ohhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Il est vraiment bon… Ahhh ! Ouiiii… Il va me faire gicler cette petit lopette… ahhhhh voilà, ça vient … Tient prend ça dans ton cul la petite salope …

Angélo vient de jouir, même avec le préservatif, je sens qu’il vient d’éjaculer avec sa verge qui frétille de soubresauts … Il se couche sur mon dos… me caresse les côtes…
- Tu es une bon vide-couilles, j’espère que Pierre te prêtera encore à moi… ton cul va faire des envieux…

Voila comment se passa ma première sodomie. Je rentre ensuite chez moi et j’attends que le Maître me convoque de nouveau comme il m’en informe avant que je quitte son immeuble… Et donc, une semaine plus tard, en fin de matinée le Maître m'appelle sur mon portable pour me donner quelques précisions sur mon habillement que je devrai porter : propre, slip blanc, cockring (c’est un anneau), pull et chemise facilement ouvrable et enlevable et pour le pantalon de même. Il me précise également ce qu'il attend de moi : Un esclave n'est pas uniquement un objet sexuel, son désir doit être de se donner et de plaire au maître, et cela doit se voir dans son regard soumise, dans son comportement motivé, sa dévotion et dévouement totale. La relation de Domination/soumission Maître-esclave ne doit donc pas être simplement que sexuelle. Par exemple, les esclaves de Rome devaient répondre à toutes les attentes des maîtres, leur obéir en tout mais tout en restant des mâles… Il me donne rendez vous à 16 heures devant l'église Saint-Mery. Il me faut 40 mn maximum pour m'y rendre.

À 15 heures, toilette de fond en comble (douche, lavement) rasage du visage, pose du cockring (toujours difficile à poser compte tenu du diamètre de mon scrotum : 6cm). Pas de slip blanc (je croyais en avoir un… faute!) je mets donc un slip le plus clair possible, pantalon de survêtement.
Comme pull, je mets la veste de survêtement qui s'ouvre par le devant. Blouson. Me voilà fin prêt. Metro, arrivée à 15h45… Je fais un peu le tour du quartier, très belles maisons du 15-17° siècles… Je suis à l'heure, le Maître aussi. Suivant ses consignes du matin, je l'accueille avec un sourire, le salue (car je ne pouvais pas me prosterner en pleine rue) et lui propose de lui porter son sac. Nous partons, je me positionne un peu en retrait, à 50 cm derrière lui sur le côté, vers un bar du quartier. Le bistrot est encore fermé, nous déambulons, il cause beaucoup sur l'art mais aussi en me disant qu'un esclave doit montrer sa joie de sa condition. 16h05 Le bar est ouvert, nous rentrons, il s'assoit, je reste debout. Il commande une bière et pour moi un coca (sans que ce soit mon choix). Nous descendons au sous-sol, demi-obscurité.

- Retire mon blouson et ôte le tien.

Le Maître me présente ses jambes à masser l'une après l'autre.

- Retire-moi mes chaussures, sens mes pieds, imprègne toi de mon odeur. Retire mes chaussettes, sens et lèches mes orteils, et essaie de rentrer mon pied le plus profond possible dans ta gueule d’esclave…

Je m’exécute le mieux possible… mais cela n’est pas très agréable… J'ai chaud.

- Retire ta veste de survêtement, ouvre ta chemise… Occupe-toi de mes tétons…

Je m'exécute. Tout cela entrecoupé de moments sensuels où il me demande de l'embrasser, de rentrer ma langue dans sa bouche. Il s'occupe aussi de mes tétons… toujours très sensibles.

- Aiiiiiiieeee !
- Tu fais trop de bruit, ferme-la…

Le Maître reprendra cela par la suite mais moins fort et je me retiendrai alors… Il me retire ma chemise

- Retire ton pantalon.

Je suis nu cette fois, entre ses jambes, à genoux, il me triture mes couilles et ma queue.

- Maître, puis-je vous signaler que je jouis assez vite.
- Je ne veux pas que tu jouisses, au moins pour l'instant, alors tu as intérêt à faire attention…
- Donne-moi ta ceinture.

- Je n'en n'ai pas, Maître.

Le Maître retire alors la sienne. C’est pendant que je suis en train de lui lécher les pieds, cul tourné de trois quart vers lui, qu’il me cingle à plusieurs reprises les fesses et surtout une fois où j'ai du mal à rester en position. J'avais apporté un appareil photo afin de pouvoir illustrer mon rapport au Maître. Il me prend en photo en train de lui sucer les pieds et me fait positionner pour photographier mon cul marqué.

- Baisse mon pantalon, hume ma verge et mes testicules à travers mon slip, et en même temps occupe-toi de mes tétons.

Je dégage donc son sexe en baissant son slip avec les dents, je m’occupe de ses testicules en les gobant, il aime que je les étire bien… j’alterne avec sa verge… En levant les yeux je vois qu'un homme s'était approché et je suis surpris car je vois que le Maître le suce. Il me fait prendre deux photos de son travail (il les effacera ensuite). L’homme se retire une fois qu’il ait éjaculé dans mes cheveux. Je m'occupe toujours de la verge du Maître (pas trop longue ni épaisse), il gémit de plaisir, souvent pendant tout ce temps… Ceci me fait bander de voir que je lui donne du plaisir et qu'il apprécie ma prestation. Mes mains doivent s'occuper de ses tétons et je dois avoir le cul bien exposé pour que d’autres hommes présents puissent venir me mater, en s’approchant… Je suis visiblement dans l’arrière-boutique qui doit être un lieu de rendez-vous entre gays, certainement des habitués… Le Maître me fait retirer ma bouche, maintient ma tête par mes cheveux collant de sperme près de sa verge. Il se termine lui-même en se branlant frénétiquement… Dans des gémissements de plaisirs, il éjacule sur mon visage en plusieurs jets de sperme saccadés sur ma figure…

- Tu ne t'essuies pas, je te l’interdit…
- Branle-toi, maintenant, bâtard de lopette…
- Maître puis-je retirer le cockring ?
- Oui la lope.

Je suis à un mètre de lui, à genoux jambes écartées, je bande bien… je me paluche la queue, quand je sens que je ne vais pas tarder à jouir, alors je présente ma main pour récupérer ma jute d'esclave à venir.

- Retire ta main, le chien.

Je lui signale que je pense que le Maître voudrait que je ne perde pas ce foutre. Je peux remettre la main. Juste avant de jouir, je le regarde… il me fait un ‘oui’ de la tête et là je me mets à gémir, à pousser des petits cris de jouissance et mon foutre jaillit dans ma main (pas beaucoup…). Quelques secondes de récupération, je présente ma main au Maître qui me fait lécher que je peux lécher. Je m'applique… lui montre ma main vide… Il me fait remarquer d’un geste qu'une goutte est tombée au le sol. Je me mets à quatre pattes et je vais la lécher. Ensuite, il exige de m'asseoir à côté de lui car il veut un moment pour récupérer. Il me serre contre lui et nous restons quelques minutes ainsi… Une personne approche, alors le Maître s’écarte un peu de moi quand l’homme entièrement nu stoppe à notre niveau. Visiblement, il bande, il est grand, mince et vient s'asseoir entre nous, et sans un mot, sans un regard, comme s’il connaissait très bien le Maître, il prend la verge du Maître et la mienne aussi entre ses doigts fins. Et il se met à nous branler, une bite entre chaque main. Il nous faut un peu de temps pour retrouver une érection, mais l’homme sait attendre et continue à nous masturber jusqu’à érection et nous faire de nouveau éjaculer entre ses doigts… L’inconnu toujours silencieux, se frotte les deux mains sur mon torse nu pour s'essuyer, puis il se lève et repart sans dire un mot, sans un sourire ni un regard… Je dois rester ainsi souillé de sperme dans les cheveux, sur le visage et sur mon torse… Ensuite je dois rhabiller le Maître puis c’est à mon tour…. Une fois habillés tous les deux, nous nous retirons, j'accompagne Maître à son métro.

- J’ai pris du plaisir avec toi, je suis satisfait…
- Moi Maître, je suis heureux d’avoir pu vous procurer du plaisir… Mais qui était l’homme qui nous a donné du plaisir à nous branler jusqu’à l’éjaculation ?
- Une de mes autres esclaves qui avait des consignes claires pour faire ce qu’il avait à faire…

Je suis de retour à 18h40 chez moi… ''

(A suivre …)

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