Un Magnifique Soir D'Été


C’était un soir de semaine comme tant d’autres. Après une bonne douche bien chaude, je voulais rejoindre mes amis au plus vite pour ne pas affronter ma solitude une fois la nuit tombée. Vers les 21h00, j’entre dans ce grand bar du centre-ville, Le Diamond, et j’aperçois Mathieu et Damien qui sont déjà au comptoir. Quelques verres de tequila et de nombreux éclats de rires, il n’y a rien de mieux pour se changer les idées.Nous sommes tous à plaisanter, et l'alcool aidant nous faisons un peu les imbécile et nous devenons un peu bruyant et trop amples dans nos mouvements. Mathieu souhaite me faire boire un alcool plutôt étrange et je ne voulais pas trop mais en m'esquivant de ce geste vers mon visage, je donne un violent coup à la personne assise derrière moi sur un tabouret de bar, un verre à la main. Le brave homme se retrouve avec son Martini sur son pantalon avant qu’il n’ait pu comprendre ce qui lui arrivait. Je m’excuse platement et m'empresse de lui commander un autre verre.

- Je n’avais pas remarqué que vous étiez assis là, je suis vraiment désolé, et mes amis sont plutôt très agités ce soir. Veuillez acceptez ce nouveau Martini de ma part.

- C'est très gentil de ta part mais ce n'était pas nécessaire et puis je te comprends, j'étais le même quelques années auparavant et c'est ce que j'apprécie ici, une ambiance festive où nous pouvons nous retrouver entre jeune plus ou moins âgé.

Très sympathique, élégamment vêtu, la conversation s’engage très vite ensemble puis avec mes amis. Vers les 22h00, mes potes me demandent si nous finissons la soirée au restaurant, mais j’ai un peu trop bu, et je n’ai vraiment pas faim. Il est vrai que je préférais de loin rentrer me reposer. Ils insistent à plusieurs reprises, me traitant de « petit joueur », de lâcheur, puis finissent par capituler, et filent poursuivre leur soirée sans moi. Je reste à finir mon verre avec mon voisin de comptoir.

Il s’appelle Hakim, il est célibataire depuis 5 mois, tient un magasin de vêtements de marque pour hommes à quelques rues de là, et vient souvent se détendre après la fermeture, n’ayant personne pour l’attendre à la maison.

Nos verres vides, je règle et en nous levant, je vois de nouveau son pantalon trempé, et lui renouvelle mes excuses.

- Les gens vont penser que vous vous être pissé dessus, je suis sincèrement navré !

Le liquide est vraiment tombé sur son entrejambe, créant une belle tache. Et une fois debout, on ne remarqua plus que ça et le beau paquet bien rangé derrière le fermeture éclair de son pantalon trahissait un membre bien proportionné.

- Rien de grave ! dit-il en examinant les dégâts, frottant du plat de la main la zone sinistrée. J’en ai d'autres des pantalons à ma boutique ! Et puis ils n’auront qu’à me regarder dans les yeux ! ajouta t-il en arborant un large sourire et en me regardant droit dans les yeux.

Dehors, je remets ma veste car il fait frisquet. Hakim me remercie pour cet agréable début de soirée. Me trouvant très sympa, il me demande si je viendrai un jour dans sa boutique renouveler mon look. Je lui fais comprendre que le prix des vêtements fait vite mal à un petit budget d'étudiant. Il me propose de venir me rendre compte par moi-même du prix en me sortant ses clés.
- À cette heure-là ? proclamais-je interloqué.
- Et alors ? Il faut que je change de pantalon, car là, je me gèle l'entrejambe, donc par ce biais nous pourrons faire une pierre deux coups.

Malgré l’alcool, je réalise qu’il me fait une proposition sans équivoque. Je revois son pantalon bien gonflé sur le devant lorsqu’il s’est levé plus tôt, et constate brièvement que je n’ai pas eu de relations sexuelles depuis plus de 3 mois, cela commençait donc à faire un moment. Bel homme, musclé, souriant, pour peu qu’il soit joueur, je ne risque pas grand-chose, et une partie de moi à vraiment envie de poursuivre la soirée avec lui.

J’accepte, nous verrons bien. En marchant, il me remercie de ma présence, et m’avoue être assez timide d’habitude. Et que si je n’avais pas renversé ce verre, il serait déjà là à s’ennuyer chez lui.

Nous arrivons devant son magasin, une belle vitrine lumineuse pleine de mannequins habillés de manière bon chic bon genre. Nous rentrons par la porte de l’immeuble mitoyen, et accédons directement dans son arrière-boutique. L’endroit est assez vaste, des portants remplis de vêtements, des cartons, un miroir mobile, et une grande table trône au beau milieu, avec du matériel de couture à un coin, probablement pour les retouches, les ourlets, etc. Il me présente les lieux, le bureau, les toilettes en finissant par le passage vers la boutique.

Assis sur le coin de la table, je regarde autour de moi, et me demande un peu ce que je fais là, lorsqu’il me dit :

- Tu me plais beaucoup, j’ai eu envie de rester un moment encore avec toi.

Il est là, devant moi, et ses yeux scrutent les miens. Je lui réponds que je le trouve également sympathique et que son physique et son charme ne me laisse pas indifférents. Il pose sa main sur ma cuisse, et commence à remonter vers mon entrejambe. Je lui demande alors s’il a toujours les l’entrejambe trempée, et lui propose mon aide en posant ma main sur la tache humide.

Je quitte le coin de table et m’agenouille devant lui pendant qu’il dégrafe sa ceinture et ouvre son pantalon, qui finit rapidement sur ses chaussures, et devant mes yeux, j’ai une volumineuse silhouette qui se dessine dans son boxer. Mes mains agrippent le tissu et le font descendre lentement alors qu’il déboutonne sa chemise.

Chose improbable il y a encore une heure, je découvre à quelques centimètres de mes lèvres un sexe assez long alors doté d’un très gros diamètre avec pour sublimer le tout un gland très dessiné.
Je le complimente sur ma découverte en lui avouant mon émerveillement, ma main passant sur son ventre plat.

- J’ai très envie de ta bouche, mais je ne sais pas si je tiendrai longtemps. Je n’ai connu personne depuis presque 3 mois, alors mais fais-moi jouir, j’ai cruellement envie de ta bouche.


Ses chaussures volent dans un coin, son boxer reste par terre, et je l’invite à s’allonger sur la table. Impatiemment, je prends son gros gland entre mes lèvres et remarque au passage l’odeur du Martini. Son diamètre est impressionnant, et cette bite fait déjà largement 15 cm alors qu’elle ne bande pas encore complètement.

Avec ma langue, je me glisse entre les deux testicules et tente un mouvement circulaire, puis remonte en titillant le généreux gland. Sa queue commence à s’allonger et durcir, son gros gland est somptueux, et il ne tarde déjà pas faire grossir la mienne.

Je recule un peu la tête pour admirer ce puissant sexe en le caressant. Puis je commence à sucer délicatement sa queue bien ferme ! Il gémit, me dit que ce n’est que du bonheur, qu’il ne tiendra pas alors qu’il voudrait en profiter longuement. Je lui demande de ne pas s’en inquiéter, que de pouvoir sucer une queue pareille n’est que du plaisir, et que s’il jouit trop vite, je recommencerai volontiers. Son sexe est d’une beauté et d’une grosseur presque indécente !

- Tu as un bijou entre les jambes ! lui dis-je en constatant la distance séparant l’extrémité de mon pouce de celle de mes autres doigts pendant je le branle lentement, tant il est gros.

-Merci, mais un bijou qui n'est pas estimé à sa juste valeur parfois ! Tu me suces bien, j’adore comme tu t’en occupes en tout cas tu es doué, me répondit Hakim très excité.

Ma bouche repart à l’assaut de son entrejambe. Mes lèvres sont chaudes et moites et il gémit de plaisir, et lorsque je commence à aller et venir, je vois sa sangle abdominale se contracter au même rythme. Nous alternons entre la fellation et des bisous passionnés faisant rencontrer nos deux bouches qui s'épousent parfaitement entre elles.

J’accélère alors les va et vient, et entame de nouveau un mouvement alternatif, ses lourdes testicules serrées dans ma main, l’autre branlant la base de sa queue. Son ventre s’aplatit, son bassin part en avant comme pour porter un coup mortel alors que le gland est plus dur que jamais et me distend la mâchoire, une seconde avant qu’un puissant flot de foutre chaud emplisse ma bouche.


Il crie de plaisir et de soulagement, et m’expulse à chaque spasme une copieuse dose de sperme que j’avale avec délectation. Je continue de le sucer délicatement pour finir cette fellation dans la tendresse, faisant bien remonter avec ma main le sperme qui reste dans sa verge.

Cet homme est vraiment canon, et doté d’un organe redoutable, puissant. Ma langue le titille encore, je ne peux me résoudre à « lâcher l’affaire » tant il me plaît. Je lui demande comment il se sent, si je lui ai donné assez de plaisir, s’il en veut encore car moi j'ai encore envie de lui.

- Tu m’as comblé, mais je suis désolé de ne pas avoir tenu assez longtemps. Montre-moi ton corps, que je me fasse pardonner, me glisse t il sensuellement à l'oreille.

Sa demande est simple, sa voix est douce, et son sourire sincère, je m’exécute alors tout naturellement. Bandée comme il faut, ma queue jaillit de mon boxer humide avec fougue. Sa main att mes couilles bien pendantes et les serre alors que j’enlève mon t-shirt. De son autre main, il me branle délicatement. Cette fois, c’est bien moi qui suis au bord. Il m’assoit sur la table à mon tour et retire mon pantalon et mon boxer, je suis nu devant lui. Sa grosse queue à demi molle frottant agréablement contre ma jambe, il caresse ma queue lentement.

- Allonge-toi, me demanda t-il
Ses mains se promènent sur moi, m’explorent, ne laissant aucune zone esseulée. Puis il joue avec mes testicules, ma bite, enfile une main ferme sous mes fesses pour les palper, et me retourne soudainement sur la table avec une facilité déconcertante. Très simplement, je me retrouve à plat-ventre, lui debout entre mes jambes. Mon dos est tendrement caressé, mes cuisses, mes fesses, il fait un inventaire complet. Ses lèvres se posent au bas de mon dos alors que ses mains descendent des flancs vers mes fesses, juste avant qu’il ne me les écarte et les malaxe tendrement.

Délicatement, il embrasse mes fesses l’une après l’autre, et ses pouces se placent de chaque côté de mon anus pour bien écarter en les maintenant bien ouverts. Puis sa langue se pose sur mon anus et le léchouille. De toute évidence, il est en train de contempler mon cul et ne semble pas désintéressé par ce qu’il voit.

Sa langue parcourt ma raie complète. Douché il y a à peine 3 heures, je me sais propre, et me laisse aller complètement. Il salive beaucoup alors que son souffle chaud parcourt mon anus tel un vent de bonheur. J’adore et je gémis assez fort pour exprimer mon plaisir tellement il est doué.

Mais sa grosse queue me revient vite en mémoire, et il me retourne pour m’allonger sur le côté, la tête face à son sexe.

- J’ai encore envie de ta queue, lui dis-je sensuellement

Déjà considérablement gonflée, je la prends en main pour la guider entre mes lèvres et en redécouvrir la texture, la puissance. Sa main joue avec mes testicules avant de repasser entre mes jambes, son index se plantant dans mon anus totalement détendu.

- J’adore ton cul, il est hyper bandant, me lâche-t-il.

Ma bouche se retrouve une fois de plus au paroxysme de ce qu’elle peut engloutir, et Patrick donne des petits coups de reins pour rentrer davantage, me confirmant qu’il apprécie. Puis ce sont deux doigts qui me pénètrent maintenant, alors que son gland gonfle encore. Il aime mon cul, et ma bouche aussi, c’est incontestable.

- J’ai envie de te faire l'amour, me lança Hakim entre deux va-et-vient. Je te promets d’aller tout doucement, mais j’ai trop envie de te prendre, tu es trop beau et trop excitant.


Il a un tube de gel lubrifiant dans les toilettes de sa boutique et il part rapidement le chercher avant de m'en enduire l’anus généreusement ainsi que sa queue dure comme l'acier. Je fais face à la table en écartant largement les jambes avant de m’allonger, m’efforçant de rester zen. Ses mains écartent largement mes fesses, je suis complètement détendu et j'ai confiance en lui.

- Je veux te faire jouir, je ne veux que ton plaisir, et si tu veux arrêter, je me retire de suite ! Me murmure-t-il gentilement.
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Grâce au lubrifiant , son gland s’engage immédiatement à l’entrée de manière aisée me procurant un frisson dans tout le corps tandis que ses mains écartent davantage mes fesses.
- Si tu me laisses faire, je vais te prendre tout en douceur, tu vas hurler de plaisir, je vais te faire jouir comme un fou, murmure-t-il d’une voix mielleuse.

- Viens doucement, mais ne t’arrête pas, je t’en supplie. Je veux te sentir profondément en moi, oui, viens doucement. Hum c'est trop bon comme ça. Encore.

Lentement, il bouge en moi, et chacun de ses mouvements provoque de véritables spasmes de plaisir. C’est en même temps le supplice et l’extase à chaque ondulation du bassin. Au fur et à mesure, je me détends et commence à apprécier sa présence. Alors qu’il court lentement en moi, je réponds à ses tendres assauts.
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Il s’allonge de tout son long sur mon dos, solidement planté dans mes fesses, et se sentant « désiré », accentue son amplitude pour revenir à chaque fois coller ses testicules contre les miens, bien au fond. La chaleur m’envahit, et je ne regrette pas d’avoir accepté de me faire prendre.

Lentement, il se retire avant de s’allonger sur la table. J'enjambe Hakim avant de le guider à l’entrée de mes fesses. Je me laisse descendre en fermant les yeux, avec la sensation d’un membre dur et chaud s’enfonçant au plus profond de moi et de mon intimité.

Mon cul avale son sexe une nouvelle fois et je commence alors un mouvement régulier d’avant en arrière avec le bassin. Solidement planté, ce va-et-vient me donne des frissons et je vois les traits de son visage se tendre quelque peu, il ne tiendra donc plus très longtemps.

Mon cœur s’emballe et mon bassin s’emporte à un rythme aussi rapide que notre respiration. Je l’avertis que je vais pas tarder à éjaculer, mais au même moment, il donne de violents coups de queue en réponse à mes contractions.

Il se vide en moi en criant, son sexe est traversé de spasmes. Une douce sensation de chaleur envahit mon ventre, et mon sexe à demi mou lâche un flot continu de foutre sur son ventre, tandis que Hakim décharge ses derniers jets chauds de sperme en moi.

Épuisés, nous restons ainsi sans bouger, puis nous nous embrassons passionnément pour conclure sur cette baise sensationnelle peut être la meilleure de ma vie. Ces lèvres sont hyper agréables à embrasser et je ne peux m’empêcher d'y revenir encore et encore c'est un superbe amant. Je n’ai jamais joui aussi intensément, je n’aurais jamais pensé que cela m’arriverais un jour. Nous sommes maintenant tous les deux sur notre petit nuage à se regarder profondément avec une affection qui se dégage indescriptible mais puissante.

Fin.

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