Collection Black. Mon Fantasme (3/3)

Après l’Afrique, spécifiquement Dakar, ou Sambou le boy de mon père m’a dépucelé, j’ai eu la chance de rencontrer Christian, jeune officier élève du navire-école Jeanne d’Arc.
Il m’a épousé me faisant entrer dans le giron des femmes blanches baisant avec un homme blanc et lui faisant deux filles, des jumelles qui habitent à Saint-Palais sur mer et tienne avec leurs jumeaux de maris une boutique de souvenirs.
Avec mes copines toutes femmes d’officiers, malgré nos bagues aux doigts, nous nous réservons des week-ends entre filles.
Les années étant passées, mon mari comme moi ayant vieilli est monté en grade et je suis venu à Brest assister au départ de la Jeanne d’Arc qu’il commande depuis cette année.
Pendant son absence qui dure de novembre à mai, Adeline organise un week-end dans une villa de ses amis à Grasse et pour la première fois, elle a engagé des hommes, cinq chippendales qui font le spectacle, parmi eux il y a un black sur lequel je craque et perdant toute pudeur, je me donne à lui alors qu’il est assis sur une chaise.
Je regardais un spectacle, je prends conscience que je viens d’entrer dans le spectacle, non, mieux, je suis le spectacle.

Aucune précaution lorsqu’il me pénètre assise sur sa verge tendue comme il n’en peut plus et c’est avec délice que je retrouve mes joies d’antan
Pour la première fois, moi qui pendant plusieurs années à reçu le sexe de Sambou en moi sans goûter à sa bouche, il me la refusait, j’embrasse cette bouche à grosses lèvres qui m’a toujours fait envie, il va sans dire que si de temps en temps, j’acceptais le sexe de Diop dans ma bouche, jamais il ne m’a baisée et jamais je n’aurais accepté ses lèvres sur les miennes.
Sa fonction était très claire, se taire auprès de mes parents et me donner son jus que j’appréciais et que Sambou m’a toujours refusé.

Chaque fois que j’ai essayé qu’ils finissent dans ma bouche, avec son parlé, il me disait.



« Ça, c’est pas propre mademoiselle »

Baiser une demoiselle cela pouvait passer, lui faire boire son jus dépassait son entendement.

Chaque étape que je franchis me ramène à mes années de rêve en Afrique.
C’est le cas en ce moment, celui qui vient de devenir mon amant devant toutes mes copines, dont je ne connais pas le prénom et encore moins le nom me distent la chatte comme jamais mon ventre ne l’a jamais été.
Christian, bite normale, Sambou bite fine et très très longue en érection, Diop jamais dans ma chatte et monsieur x présentement, grosse bite.

Je prends appui sur mes jambes et c’est moi qui donne le rythme de nos pénétrations, je me demande ce que doivent penser mes compagnes.
Pour mieux les voir, je sors de ce sexe qui me pénètre et en me retournant, je le fais replonger en moi.
Le spectacle que je suppute aux divers bruits qui me parviennent dans la demi-inconscience où je me trouve et où les pensées resurgissant du passé ma mise sont bien plus impressionnantes que je ne le pensais.

Certaines de mes compagnes que je côtoie régulièrement n’ont pas attendu ce soir pour s’adonner à des jeux que la morale réprouve, mais toute, c’est une nouveauté, Magali couchée sur le dos et les jambes bien écartées se laissent manger la minette par Louisette.
Je comprends mieux l’empressement qu’elles ont eu de vouloir être dans la même chambre.

Les plaisirs féminins ne semblent pas leur être étrangers et les coups de langue que Louisette met sur le clitoris de sa compagne ne tardent pas à ce que des convulsions de plaisir la saisissent.
Agnès, Pierrette et Antoinette ont disparu et comme il manque des hommes les chambres ont dû les recevoir.
Sylvie, Roselyne et Danielle s’occupent des deux jumeaux.
Sylvie et Danielle sucent l’un des jumeaux pendant que Roselyne se fait labourer la vulve assise dans un fauteuil les cuisses bien écartées par le deuxième.

Si je suis folle de monter et de descendre le long de la verge qui me pourfend, tous mes amis, « bon chic bon genre », en quelques minutes sont devenus de belles salopes.

Cette soirée et même ce week-end doit être l’aboutissement de petites soirées qu’elles ont faites entre elles qui dévoilent leurs penchants et leurs affinités.
J’ai des doutes que l’une d’elles ne sache mon petit penchant pour les hommes africains, mais à la façon dont je m’empale et que je montre les dents dès que l’une d’elles approche, elles ne peuvent plus ignorer que j’ai de vieux restes de mon passage auprès des noirs d’Afrique.

Africain qui contribue à mon plaisir dans mon vagin en me pénétrant comme je ne l’ai plus été depuis bien longtemps et qui finit par déclencher un max orgasme en moi.
À être folle pourquoi ne l’être qu’à moitié, il y a bien longtemps que je songe dans mes rêves les plus fous à faire avec Christian, ce que je fais en ce moment.
Je me soulève, faisant légèrement glisser la verge et la présentant à ma rondelle qui semble n’attendre que cela, lorsque je me fais retomber, elle s’ouvre et permet que je m’empale sur ce pieu que j’adore déjà.
Sambou lui aussi a toujours refusé, seule une fois, j’ai été en situation d’être sodomisé, alors que je venais de le sucer Diop et que j’enfourchais Sambou, Diop a voulu monter sur le lit prendre la seule place disponible.
Sambou le voyant faire lui a parlé dans son dialecte et Diop a reculé, me frustrant à double titre d’une sodomie doublée d’une double pénétration.

La double pénétration, c’est maintenant que je sais ce que c’est, depuis quelques mois ou j’ai vu le film porno sur canal et ou l’actrice se faisait prendre par-devant et par-derrière.

Pour moi, ce soir, la douleur est vive, je n’y suis pas allé de main morte, j’aurais pu descendre lentement, mais l’impatience qui monte de mon bas-ventre me fait commettre des actes que j’avais oubliés ou que je souhaitais retrouver.

Toute douleur doit avoir son pendant, le plaisir, il vient rapidement, je n’aurai jamais imaginé que l’on puisse jouir par le cul, c’est pourtant ce qui m’arrive quand une boule se forme dans mon ventre et viens éclater sur mes lèvres.

Par-devant, par-derrière, mon corps a eu des orgasmes, tout ce week-end organisé par Adeline, les trois soirs, vendredi samedi et dimanche, nos chippendales ont fait le spectacle.
Antoine, c’est le nom de mon chevalier servant originaire de la Guadeloupe, île sur le chemin de l’esclavage me reste fidèle et je suis bien incapable de dire le nombre de fois qu’il m’a baisé dans un grand nombre de positions possibles, la levrette bien sûre surtout quand il vouait me sodomiser.
Au troisième jour, il a dû tellement m’ouvrir l’anus qu’il me pénètre d’une seule poussée.

Toute fête a une fin et celle-ci ne fait pas exception à la règle, je sais que dès demain, je devrais retrouver ma vie d’avant avec une simple différence, celle d’avoir renoué avec mon penchant pour les hommes noirs.
Je vois partir la camionnette des garçons prenant conscience que j’ai baisée pendant trois jours avec un garçon ayant l’âge de mes filles, étrangement, je n’ai aucun remords.

Je me prélasse dans mon bain quand on sonne à ma porte, je vais ouvrir, le facteur me fait signer pour un pli en recommandé, je l’ouvre, je suis convoqué dans deux jours au cabinet d’avocats de mon mari.
Je m’y rends pour entendre qu’il divorce, il est tombé amoureux du commandant adjoint certainement la jeune femme que j’ai vue sur le pont à qui il s’adressait sur la passerelle quand il est parti en croisière et que j’ai prise pour une élève tellement elle faisait jeune.

L’avocat me stipule qu’il prend en charge une partie de mes frais, mais, je sais mes droits et je vais me battre pour tirer un max de fric de mon cocufieur si tenté que ce mot existe.
Cocu, je le suis, mais en même temps quand je vois le cachet d’où cette lettre est partie, le souvenir de mon week-end orgiaque, me revient en mémoire, je me marre, car la lettre est partie de Dakar.

Mon mariage ayant fait la boucle Dakar, Dakar, je voudrais bien retrouver mon sexe noir, maïs ou le chercher, facile, auprès d’Adeline, elle semble gênée de ce qu’elle a fait, son mari étant en permission, elle me donne rendez-vous dans un café.

Rassuré que je ne veuille simplement que savoir comment elle a engagé nos sexes sur pattes, elle me donne un numéro que j’appelle dans la foulée, c’est une agence de spectacle, le groupe est dissous après ce week-end, je récupère le numéro des jumeaux qui étaient les créateurs de leur spectacle.

Grâce à eux, j’ai l’adresse d’Antoine à Aix-en-Provence, je m’y rends, il est chez lui et est surpris de ma visite.
Dès que je suis entré, c’est vers sa chambre qu’il me conduit, elle aurait bien besoin d’un bon rangement, mais je mets de côté ma tendance à vouloir que toutes choses soient à leur place et mes vêtements enlevés, il me baise, non, il me défonce, car les coups qu’il me porte me faisant démarrer sont plus de la rage que de l’amour.

Le lendemain, mon Guadeloupéen veut me quitter, car il doit aller s’inscrire à l’ANPE, je refuse de risquer de le perdre une nouvelle fois même si je sais qu’à cause de notre différence d’âge, il est hors de question de parler mariage après que mon divorce ait été prononcé.

C’est à ce moment que l’idée germe, nous allons monter une structure pour refonder un groupe de chippendale, mais avec uniquement des blacks, pour mettre en place cette structure, nous quittons le Sud pour nous rendre à Paris.

Nous passons des annonces, Antoine s’occupe de la première audition basée sur le physique, il faut des garçons équilibrés, la danse, c’est lui aussi qui sait ce qui plaît aux femmes.
Moi, je m’occupe de la possibilité que ces garçons plaisent à la dame ou aux dames qui les solliciteront, ils doivent pouvoir assumer sexuellement, c’est là où j’interviens, c’est souvent là que je les recale, pour les autres, j’entretiens leur libido en me laissant baiser.

Lors des soirées où je m’occupe des contrats, je signe avec des particuliers, voulant se faire un spectacle insolite, l’enterrement de vie de jeunes filles où autres soirées comme celle qu’Adeline, nous avais organisée, c’est moi qui m’occupe de la sonorisation.
Les costumes avec des mètres de Velcro, c’est aussi moi, enfin avant de partir à Bordeaux pour deux jours, je viens de signer un contrat avec des jumeaux blacks bien sûr.
C’est la première fois et certainement pas la dernière où je me suis fait prendre en double pénétration, j’ai beaucoup aimé ces deux verges qui m’ont apporté un pied tel, que je souhaite à toute femme d’en connaître un jour.

Christian a bien fait de me tromper, notre groupe marche d’enfer, je n’ai qu’un regret, je suis retourné à Dakar, j’ai baisé avec des dizaines de noirs, surtout des hommes du désert, mais aucun n’avait la tige fine de Sambou.
J’y retourne le mois prochain, j’ai prévu un safari en 4x4 dans les plaines et les déserts où habitent les hommes touaregs appelés aussi hommes bleus, je n’ai pas dit mon dernier mot.

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