Les Voyeurs. Premier Épisode

LES VOYEURS. Premier épisode.
La scène se passe à Paris vers 1900.
« Allez, suivez-moi. Je connais le chemin. Tu viens Fonsine ? », chuchota Fred en ramenant le large collet de son manteau car le vent descendait la rue.
« Oui..oui..t’énerves pas. Elle n’est pas trop laide j’espère ? », répondit Fonsine, qui faisait habituellement le trottoir près du boulevard.
« Elle est grassouillette avec de gros nichons. Ça te changera des mecs. On n’a jamais eu de plaintes de toute façon « , ajouta Bébert qui faisait la paire avec Fred. Des voyeurs invétérés qui a 40 ans avaient déjà vu à peu près tout, au moins une fois. Fred était grand et mince et avait déjà eu une moustache qui lui faisait bien, mais il l’avait rasée. Il était menuisier. Bébert était court et plutôt rondelet. Il était serveur de café, mais seulement sur appel. Certains disaient qu’il avait hérité.
Fonsine était blonde et avait dans la vingtaine mais elle n’avait pas d’âge. Assez jolie, mais l’air un peu fatiguée, avec un grand sourire et de belles dents. Ce n’était pas la première fois avec une concierge et elle connaissait bien les deux lascars qui l’accompagnaient.
Il était presque minuit et le seul éclairage venait des lampadaires. Fred craqua une allumette pour s’assurer du numéro. C’était bien le 54. Il poussa la porte de chêne qui n’était pas fermée à clé.
Madame Lison les attendait dans sa loge. Une petite lampe à l’huile éclairait sa silhouette et semblait en augmenter le volume. Lison avait revêtu son manteau par-dessus sa robe de nuit. Elle n’était pas grosse mais bien en chair, avec les cheveux noirs et courts à la garçonne. Le trio entra dans la loge et se dirigea vers le mur du fond où il y avait une table de bois qui servait de table à dîner. Elle était prête à servir pour un autre type de bouffe. Les hommes enlevèrent leurs souliers, leur pantalon et leur culotte. Lison était un peu plus courte que Fonsine qui dut se pencher pour l’embrasser.

Fonsine était nue sous sa robe à manches longues très simple qui descendait jusqu’aux genoux.
« Allez-y les filles…nous sommes prêts », dit Fred en souriant.
On ne voyait que très peu les visages. Bébert accrocha la lampe au mur pour bien éclairer la table. Les rideaux de la loge étaient tirés. On était entre adultes consentants. Lison enleva son manteau mais garda sa robe de nuit. Fonsine semblait attirée même si la concierge avait deux fois son âge. Les deux hommes étaient bandés et attendaient que le spectacle commence.
Il y avait bien deux couples : deux femmes ensemble et deux hommes ensemble. Fred et Bébert étaient aux hommes mais aussi voyeurs aussi bien en ce qui concernait les femmes que les hommes. Ils préféraient les spectacles intimes comme celui-ci aux salles enfumées même si ces dernières constituaient d’excellents endroits pour faire des rencontres entre hommes et même plus.
Lison et Fonsine se tripotaient tout en s’embrassant. Le petit nichon de Fonsine disparaissait entièrement dans la bouche de Lison qui ne se privait pas pour travailler la chatte de sa jeune compagne. Fonsine suçait une tétine de la concierge et tripotait les fesses un peu molles de son hôtesse. À la suggestion de Bébert, Lison s’installa sur la table et Fonsine aussi mais se plaça tête-bêche avec son amoureuse d’un soir.
Les deux hommes se masturbaient mais tout seul, les yeux rivés sur les deux femmes qui se léchaient la fente et les lèvres roses. Les voyeurs s’approchaient du couple de lesbiennes pour voir de plus près le travail de langue et de bouche. Les deux femmes n’étaient pas à leur premier 69 entre femmes, bien qu’elles ne s’étaient jamais sucées l’une l’autre auparavant. Les deux voyeurs semblaient trouver une compagne différente pour Lison à chaque occasion.
« Vas-y Lison, lèche-lui son petit trou », suggéra Bébert
« Oui…vas-y Lison…elle a de belles fesses la Fonsine », ajouta Fred
« Et alors ? Et moi ? », dit Bébert un peu vexé
« Toi aussi tu as de belles fesses mon loup », répondit Fred en échangeant un baiser avec son amoureux.

Les deux femmes étaient des partenaires qui n’avaient physiquement que peu en commun mais elles se bouffaient la motte avec beaucoup d’entrain. Elles se tournèrent sur le côté pour jouir et Fonsine se retrouva sous la concierge et coincée contre le mur. Elles se replacèrent en face à face pour s’embrasser et se dire des mots doux. Les deux hommes étaient ravis que la rencontre de deux femmes qui ne se connaissaient pas se terminent si bien.
En fait, ce n’était pas terminé. Lison voulait se frotter et Fonsine accepta d’être la soumise. Puis le cirque reprit de nouveau avec Fonsine sur le dos, les jambes en l’air et croisées sur le dos de Lison qui montait sa conquête comme une jeune lesbienne en chaleur.
C’en était trop pour nos deux voyeurs. Bébert accepta la queue de Fred à temps pour recevoir son coup sans sourciller. Puis ce fut au tour de Bébert de se faire sucer pendant quelques secondes avant de jouir dans la bouche de son amant. Les deux femmes ne portaient aucunement attention aux hommes alors qu’elles étaient en plein frottage de mottes. Cet accouplement de femelles durant bien cinq minutes avant que les cris étouffés par un énorme baiser ne furent entendus par les deux spectateurs.
Avant de partir, les deux femmes échangèrent leur adresse pour s’envoyer des mots doux et planifier des rendez-vous. C’était un vrai coup de foudre. Fonsine refusa même les billets que lui avait promis Fred. Tout le monde se rhabilla et Lison retourna dans son appartement du rez-de-chaussée.
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Fred et Bébert remontèrent la rue vers la Butte.
« T’as encore envie ? », demanda Fred
« Oui…et toi ? », répondit Bébert
« Tu parles…les deux gonzesses m’ont fait encore bander », avoua Fred
« Il n’y a rien chez Le Père Goriot…c’est trop tard », dit Fred
« Peut-être en descendant de l’autre côté, il y a des tripots », suggéra Bébert
Il y avait dans le village de Montmartre plusieurs petites boîtes de nuit qui ne fermaient jamais sauf le matin.
Certaines étaient des bordels à ciel ouvert, d’autres réservées aux hommes, quelques-unes aux femmes.
Un homme de leur âge était à l’entrée de la forêt bordant la route et pissait sur un arbre. Bébert et Fred s’installèrent de chaque côté de l’homme et se mirent à pisser également.
« Il y a des choses à voir dans le coin ? », demanda Fred à l’homme
« C’est pas mal terminé, je pense, dit l’homme qui semblait connaître le quartier, « sauf si on s’enfonce dans la forêt ».
« Vous aimez regarder ? », dit l’homme qui se prénommait Gérard
« Oui..tous les deux…et toi ? », répondit Fred
« Oui…mais plutôt discret. Tout à l’heure, dans un sous-sol, il y avait un crêpage de chignon entre deux danseuses du Moulin, mais il y avait tellement de monde qu’on ne pouvait rentrer », dit Gérard
« Ah oui…ça aurait été bandant cet affrontement », dit Bébert qui se masturbait lentement
« Allons dans la forêt, c’est parfait pour des types comme nous. On peut se cacher facilement et c’est un terrain de chasse pour les hommes et les femmes. On peut à peu près tout voir. « , dit Gérard qui avait donné de l’œil à Fred (et c’était réciproque).
Les hommes remirent leur bite dans leur pantalon et suivirent un étroit sentier bordé de grands arbres. La forêt était parsemée de clarières où se retrouvaient les couples et les groupes, et bien sûr les voyeurs et voyeuses qui les suivaient.
Les hommes se penchèrent tout à coup derrière des bosquets. À dix mètres d’eux, dans une petite éclaircie entre deux arbres, on pouvait voir deux hommes nus qui s’embrassaient debout, l’un assez gros et court, l’autre plus grand et mince. On pouvait voir un chapeau melon, une belle chemise de soie et un pantalon de laine dans un tas et un peu plus loin étaient empilés des vêtements de travailleur. Les voyeurs se regardèrent en souriant. Un homme de la haute société parisienne, probablement le petit gros, possiblement un politique, qui cherchait une baise avec un beau travailleur des champs ou un garçon de café.

Le plus gros avait les cheveux gris et avait près de 60 ans, l’autre avait peut-être 40 ans, et bandait comme un étalon. Le plus vieux était à genoux et suçait son comparse. Fred, Bébert et Gérard enlevèrent leurs souliers et leur pantalon, se préparant pour une branlette entre voyeurs. L’action se déroulait assez rapidement. Le gros était à quatre pattes et le grand lui léchait les fesses, préparant son entrée. Les voyeurs savaient qu’une fois l’accouplement commencé, la scène de baise ne durerait que quelques minutes. Parmi les voyeurs, on avait déjà commencé les baisers de bouche et les attouchements de queue. Dans la petite clairière, le grand jeune homme, bien membré, enculait son ministre avec détermination. C’était le point culminant d’excitation pour les trois voyeurs. Pendant que le couple masculin approchait rapidement de l’orgasme, les trois lascars à moitié nus s’étaient placés en cercle et se branlaient l’un l’autre en utilisant les deux mains et joignirent leur bouche pour un baiser de langues à trois.
Les trois hommes éjaculèrent presque en même temps. Puis comme des abeilles butinant des fleurs, les langues léchèrent les cuisses, les ventres, les glands, les couilles pour en avoir un peu plus à bouffer. Avant que les amants observés ne les voient, les trois hommes se glissèrent sans bruit jusqu’au sentier qui les amenait plus profondément dans la forêt.
À SUIVRE

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