Le Diner D'Affaire

Le diner d’affaire

Depuis plusieurs jours, nous savons que ce diner est inévitable.
Désolé mais je ne peux pas échapper à cette corvée, il s’agit d’un futur client pour lequel j’ai besoin de faire bonne impression.
Maintenant on doit y aller.
Une fois la situation posée, un diner dans un bon restaurant (ne t’inquiètes pas c’est moi qui ai choisi), il y a pire comme contrainte.
Finalement, tu sembles d’humeur joyeuse en te préparant…..depuis deux heures.
Comme d’habitude tu seras ravissante, même si je préfère quand tu t’apprêtes pour nos petites soirées intimes.

Enfin prête, tenue mode chic, robe et escarpins, avec un je ne sais quoi de fashion.
Je te fais remarquer comme à chaque fois, que je ne connaissais pas cette tenue, évidemment tu me réponds comme d’habitude que « c’est vieux » et que tu l’as depuis longtemps.
En retard, nous avons rendez-vous dans le 7ième arrondissement, dans un restaurant fraichement étoilé, cuisine franco-japonaise comme tu l’aimes.
Nous devions être six convives, le client, son directeur général et leurs épouses et nous deux.
Je vais devoir faire « mon numéro » et tu me le reprocheras au retour comme d’habitude.

Dans la voiture, je crois remarquer que ta tenue semble moins sage qu’il n’y paraît.
Tes jambes sont-elles gainées des bas de soie que je t’ai offert dernièrement ?
Je tente de vérifier en glissant ma main sur ta cuisse, mais visiblement ce n’est pas le moment.
Je vais devoir payer le fait de t’avoir imposé ce diner.

Nous arrivons devant le restaurant, le voiturier semble troublé en ouvrant la portière de ton coté.
Il a un regard un peu interloqué mais il esquisse un sourire et toi tu sembles ne te rendre compte de rien.
Cette réaction ne fait que m’intriguer un peu plus sur le caractère faussement sage de ta tenue.

Ils sont déjà installés à table, tout le monde se lève à notre arrivée, salutations d’usage et présentations de rigueur.


Nous passons à table pour déguster avant diner un champagne Krug millésimé, je suis surpris pour l’excellent choix de Pierre, le client.
Mais il semble que ce soit Véronique, son épouse, qui fasse office de sommelier, elle est une œnologue amatrice éclairée, visiblement avec un gout très sûr.
Ce qui l’a rendue tout de suite sympathique à nos yeux d’épicuriens. Jolie, très souriante, la quarantaine passée depuis un moment.
Tu deviens rapidement complice avec elle, peut être que votre statut d’épouses embarquées dans un diner «  » vous rapproche surtout après une ou deux coupes.
L’autre représentant de la gente féminine, Julie, est plutôt à l’opposé de vous deux, plus introvertie, limite timide, soumise à son mari Marc qui semble confirmer être le con que j’avais cru déceler lors de notre première rencontre.
Reste Pierre, le maitre de cérémonie, enfin c’est comme cela qu’il s’improvise ce soir.
Il veut visiblement apparaitre comme un homme de gout, charmant et sympathique, mais je crois voir une fêlure dans son comportement qui me laisse penser qui les circonstances ne sont peut-être pas aussi simple que prévues.
Après un échange de banalités, par respect de nos charmantes compagnes, nous convenons de reporter notre discussion d’affaire à l’heure du digestif.
Rapidement Marc le DG adjoint, déjà si peu convaincant dans la fonction, confirme la mauvaise impression de départ, il semble avoir déjà un peu trop bu, Julie, sa compagne est gênée par son comportement et n’ose pas participer à la conversation.
Marc cherche n’importe quel prétexte pour démarrer une querelle, elle fait tout de son côté pour éviter les foudres de son mari.
Seuls Pierre et moi remarquons la situation gênante et nous essayons de converser avec la jeune femme qui semble de plus en plus mal à l’aise.
Véronique et toi, vous bavardez en toute insouciance comme deux déjà vieilles (jolies) copines.
Avec Pierre nous échangeons un regard circonspect et d’un commun d’accord nous décidons de mettre fin au malaise.

Pierre demande à Marc de se tenir, visiblement s’en est trop pour lui, il se lève et quitte la table sans saluer personne abandonnant Julie, les yeux embués, et un peu désemparée.

Ta nouvelle amie et toi regardez cela avec un sourire narquois, vous semblez ravies que l’importun soit parti.
Julie fini par nous confier son malaise et nous narre son quotidien peu enviable, Marc picole comme un trou et devient de plus en plus agressif chaque soir.
Elle a fini par lui dire qu’elle voulaitt le quitter, le diner de ce soir était vraisemblablement le dernier de leur vie de couple.

Pierre avait bien remarqué que Marc s’enfonçait dans la déprime et l’alcool mais il n’avait pas agi.
Véronique lui intima fermement l’ordre de le virer au plus vite, c’est bien ce que j’avais cru voir c’est elle le boss de la société.
La société lui appartient, il s’agit de l’héritage de son père.
Pierre est le gérant et Véronique l’actionnaire unique.
La situation avait légèrement refroidi l’ambiance, Julie semblait de plus en plus gênée.
Nous fîmes le nécessaire pour la rassurer et lui dire combien nous étions contents de sa présence ce soir.
L’atmosphère se détendit en partie à l’arrivée des entrées, servies avec un Puligny-Montrachet de très belle facture.
Toi de ton coté, visiblement tu profitais de ce diner en bonne compagnie et surtout de la qualité des vins, tu avais ton petit air charmant et coquin quand tu es un peu euphorique.
Tu avais remarqué que Pierre te regardait avec insistance, tu jouais à faire semblant de ne pas t’en apercevoir.
J’en profitais pour glisser ma main sous la table et j’allais directement sur ta cuisse après avoir légèrement relevé ta robe.
Là, je constatais qu’effectivement une partie de tes cuisses étaient nues, tu avais mis des bas !
Je profitais allégrement de la douceur de tes cuisses en remontant vers ta culotte.
Tu étais devenue plus silencieuse, Véronique remarqua que ma main n’était plus sur la table, elle sourit avec un air légèrement lubrique.

Pierre tentait avec succès de décoincer Julie. Elle riait enfin de bon cœur et acceptait de gouter les nectars servis à table, pour accompagner nos plats nous avions droit à une bouteille de Côte Rotie.
Le bonheur du soir : des mets raffinés, des vins d’exception et ma main sur entre les cuisses gainées de soie de mon amour.
C’est à ce moment que tu décidas de te lever pour aller te laver les mains comme on dit poliment. Véronique fit de même nous laissant Pierre et moi avec Julie de plus en plus détendue, ce qui mettait son charme discret en valeur.
Pierre la flattait poliment, je profitais pour la faire parler de ses relations avec Marc, elle nous avoua que sa vie sentimentale n’était pas très accomplie, un peu par dépit et par vengeance, elle finit par nous avouer que Marc était peu présent au lit et surtout pas très doué.

Nous étions en train de l’entrainer sur ce terrain, quand nos charmantes compagnes sont revenues, tout sourire, visiblement à voir les regards amusées qu’elles nous lançaient, Pierre et moi nous en avions pris visiblement pour notre grade
Les confidences que les filles s’étaient visiblement échangées dans les toilettes, nous faisaient avoir quelques coups de retard par rapports à nos deux coquines.
Je profitais de ton retour pour remettre ma main à sa douce place, surpris de constater que plus aucun tissu ne faisait obstacle à ma main au niveau de ton entrecuisse.
Tu avais profité de ton séjour aux toilettes pour enlever ta culotte, elle devait être maintenant en boule dans ton sac.
C’est avec délectation que je caressais ta légère toison en essayant maladroitement d’atteindre tes lèvres épilées pour y glisser un doigt.
Mes contorsionnent amusaient grandement Véronique, un brin narquois et toujours avec ce sourire ravi et coquin.
Pierre avait perdu de l’allant et le diner était un peu au point mort.
C’est Julie, qui à ma surprise relança la conversation sur un sujet qui égailla rapidement la tablée.

Elle demanda à nos épouses, comment faire pour qu’un couple dure, le sien n’avait pas passé les 3 ans et si finalement le sexe n’était-il pas surfait ?
Elle ne pouvait pas mieux relancer cette soirée, en effet Véronique pris la conversation à son compte.
La dame avait envie d’exposer ses arguments basés sur la confiance dans le couple, les plaisirs de la vie en général et le sexe en particulier.
Un discours épicurien et un brin libertin, tout en retenu pour ne pas choquer son mari et les convives
Mais ce que Véronique semblait le plus apprécier était le caractère ludique de tout cela.
Pendant ce temps mon doigt s’était glissé entres tes lèvres intimes et avait atteint ton clitoris.
Il m’a semblé que tes jambes étaient un peu plus ouvertes, ce qui me permis de caresser le bouton doucement et en toute discrétion, enfin à voir le regard de Véronique, je n’en étais pas tout à fait certain.
De ton coté, tu avais par moment des petits instants d’absence dans la conversation, qui devaient te permettre d’ un soupir généré par les allers retours de mon doigt entre tes lèvres.
Le dessert arriva avec son champagne, Julie légèrement ivre, avait un bouton de son chemisier qui c’était dégrafé dans l’emballement de la conversation.
Un joli petit sein pointait sous le tissu, téton exposé aux regards des convives.

Le diner touchait à sa fin l’ambiance était très chaleureuse et il régnait un climat amical teinté d’une pointe de libertinage mondain.
C’est le moment où tout le monde est gai, un peu ivre et surtout un peu embarrassé par une situation qui pourrait présager de l’éventualité de possibles débordements.
C’est à ce moment, que remontant ma main sur ta cuisse et abandonnant ton bouton sacré, je rencontre avec surprise une autre main qui te caresse à la jointure de la cuisse et des bas.
Véronique me fixe droit dans les yeux sans vergogne et avec un air de défi.
Elle me fait savoir qu’elle aussi est sous ton charme.
Tu papillonnes en buvant la dernière coupe comme si tout cela était normal,
Visiblement nous ne parlerons pas affaire ce soir, Pierre me propose d’évoquer le sujet lors d’un prochain déjeuner entre homme.
Pierre et Julie amorce le mouvement de départ, moment où les convives sont toujours un peu gênés, ne sachant pas s’il faut se quitter là, ou proposer de continuer au risque de devoir entendre des refus polis.
Nous décidâmes finalement d’aller boire un verre dans un bar à quelques pas du restaurant, ce sont les charmes de quartiers chics de Paris.
Le temps de récupérer les clefs de la voiture auprès du voiturier, nous nous mimes en route avec à nos bras trois belles femmes rieuses et légèrement éméchées.
Arrivés au bar d’un d’hôtel chic un peu guindé, nous sommes peu nombreux dans la salle, deux couples occupent les tables devant le bar, nous nous réfugions dans un angle au fond de la salle.
De grands fauteuils club et sofa font face à une table ronde, Véronique s’assoit en face de moi en me défiant du regard.
Tu es à ses côtés, j’ai donc assises devant moi, mon amour, un peu saoule et sans culotte, et la jolie quadra qui me montre ostensiblement en s’asseyant qu’elle n’en porte pas non plus.
L’emplacement est parfait, l’angle ne permet pas au serveur et aux rares clients de vous voir.
Elle ouvre ses cuisses en remontant sa robe pour que je puisse voir son sexe épilé, le geste est discret, personne ne peut s’apercevoir de son impudeur, tu ris en voyant mon visage et tu ouvres aussitôt les cuisses pour que mon trouble soit complet.
Je suis perplexe devant tant d’audace libertine, surpris, aussi que tu joues le jeu de ta diablesse de voisine.
Marc, sur le sofa, peut seulement mater tes jambes, il ne s’en prive pas, tout en reluquant la poitrine de Julie, assise à ses côtés, le chemisier toujours ostensiblement ouvert.
Le serveur arrive, mesdames, si vous ne resserrez pas les jambes, il va avoir droit de reluquer deux paires de cuisses ouvertes et peut être d’apercevoir vos cons mignons.
Effectivement, il fait tomber son stylo, et petites garces, vous n’avez pas bougé, il en profite au maximum en se penchant longtemps pour bien voir vos fentes que j’imagine entrouvertes.
Voilà de quoi lui fournir les images mentales de sa masturbation du soir.
Heureux homme !
Je suis de plus en plus impatience de voir comment la soirée va évoluer, pour l’instant nous continuons au champagne.
Pierre n’est peut-être pas le décideur dont j’ai besoin pour mon business, mais il est généreux, sympathique et totalement sous la domination de sa femme.
Julie se rapproche de moi, très près, elle s’assoie sur l’accoudoir du fauteuil, instaurant un moment de confidentialité ren par la proximité physique.
Grace à ce rapprochement, j’ai ses adorables petits seins sous les yeux, dans ton fauteuil, tu me regardes être gêner par cette vision intime imposée, tu me souris avec bienveillance, comme pour me donner un blanc-seing pour l’instant présent et la suite de la soirée.
Au regard de la tension sexuelle palpable qui irradie notre groupe, nous savons tous les deux que les choses vont évoluées vers des jeux sexuels que nous assumons par avance dès maintenant.
Quoi qu’il se passe, c’est ensemble que nous chavirerons dans la lubricité.
Toujours en me regardant, ta main se pose sur les cuisses de Véronique, tu tires en arrière sa jupe à la lisière de son porte-jarretelles pour me dévoiler encore plus ses cuisses et son sexe totalement épilé.
Pierre ne dit plus rien, béat, repu et muet, il n’y rien à attendre de ce coté, si ce n’est qu’un léger gonflement dans son pantalon.
Julie a tourner la tête suivant mon regard éberlué, elle découvre le con de Véronique face à elle, je vois sa poitrine qui tressaille, elle interrompt sa phrase, la bouche entrouverte, la langue pointant joliment.
Sa stupéfaction me fait reprendre mes esprits, tes yeux toujours fixer aux miens, tu m’incite par le regard à aller de l’avant.
Julie se penche vers moi, ce qui me donne l’opportunité d’avancer ma bouche dans l’échancrure béante du chemisier et de poser un baiser sur son sein offert.
Elle est pétrifiée par l’audace, j’en profite, tout en te regardant, pour sucer son téton érigé.
Nous sommes interrompus par l’arrivée du serveur, chacun reprenant une position plus conforme à la bienséance bourgeoise.
La conversation repart sur un sujet banal, comme si cette parenthèse érotique, n’avait pas existé sauf dans notre imagination débridée.





Après quelques minutes sans intérêt, la tension s’installe à nouveau.
Julie semble de plus en plus troublée, elle s’approche de toi pour te murmurer quelques confidences à l’oreille, en te collant, comme cela semble être son habitude du soir, ses seins sous les yeux.
Juste après, elle vient s’asseoir sur mes genoux, dans un échange de regards à trois, tu lui souris et tu me regarde avec amour.
Je crois deviner qu’elle t’a demandé la permission de se rapprocher de moi.
Je lui soulève le bas de sa robe, elle ne porte pas de bas et ses jambes sont nues, légèrement halées, souvenirs de ses dernières vacances.
Elle me laisse poser ma main entre ses cuisses encore un peu trop serrées à mon gout.
A cet instant Véronique se lève, comme pour aller aux toilettes, mais il se penche vers notre fauteuil et d’un geste précis glisse sa main en haut de cuisses de Julie, l’obligeant à s’ouvrir sous ses doigts insistants.
Elle ne porte pas de culotte, finalement pas si timorée Julie !
Véronique passe rapidement son index dans la fente humide de Julie écartant les limbes de son sexe, puis s’éloigna sans mots vers les toilettes suivies de très près par Pierre.
Julie soupire et laisse sa tenue en l’état, robe relevée haut sur ses cuisses, mont de venus a porté de regard.
Tu en profites pour venir me coller un baiser fougueux à quelques centimètres du visage de Julie complétement perdue par ce tourbillon de sensations.
Tu lui pinces le téton comme pour la punir d’essayer de séduire ton homme, elle gémit sous la caresse.
Maintenant, je comprends mieux la psychologie de la demoiselle, elle est d’une nature soumise, elle se vibre en subissant les situations.
Malheureusement pour elle, son compagnon lui faisait vivre ses névroses alcooliques, son incapacité sexuelle et son manque d’imagination.
Nous pourrions si tu en as envie l’initier aux plaisirs de la soumission complice.
Nous lui demandons à l’oreille d’attendre en silence le retour de nos amis (ils sont bien longs ?)
la jupe relevé jusqu’en haut, les jambes ouvertes et le con dévoilé, elle frémie de peur d’être surprise par le serveur.
Elle semble obéir avec la plus complète complaisance, elle y prend un plaisir certain.
Il me tarde de lui faire révéler les plaisirs de sa nature de soumise.

Je te demande de vérifier si cette petite exhibition lui procure quelques sensations, tu glisses ton doigt dans son con exhibé pour me confirmer qu’il est humide à souhait.
Nos nouveaux amis reviennent enfin, ils semblent très détendus surtout Pierre.
Ils marquent un temps d’arrêt devant la chatte exhibée de Julie. D’un signe de tête, j’indique à Julie de revenir à une tenue moins provocante.
Elle est charmante et obéissante, elle s’asseoir sagement attendant son prochain défi sensuel.
Véronique te glisse à l’oreille en passant qu’elle a demandé à Pierre de la prendre dans les toilettes, mais qu’il a jouit trop vite pour qu’elle profites vraiment.
Vous prolongez votre petit conciliabule en me regardant intensément.
Tu me demande de t’accompagner aux toilettes, Véronique nous emboites le pas laissant Pierre et Julie seuls à table.
Arrivés au sous-sol, tu me précipites dans les toilettes dames, là devant le lavabo tu soulèves ta robe, dévoilant ton merveilleux cul sublimé par le porte jarretelle, écartant tes jambes gainées.
Je ne peux résister, je glisse mon doigt entre les lèvres humides de ton con baillant jusqu'à ton clitoris.
Tu es mouillée, mon amour, je te branle comme tu aimes, écartant ton con de mes doigts et je me penche pour poser un baiser intrusif sur ton œillet brun.
Tu te cambres à fond et tu me demandes crument « encule moi »,
Je sors mon sexe dressé de mon pantalon, c’est le moment qu’a choisi Véronique pour entrer dans les toilettes, elle nous épiait par la porte entrouverte.
Je continue d’insinuer ma langue dans ton œillet brun pour le lubrifier en te caressant le clito, tu vas jouir, je le sens
J’enfonce profondément mon gland dans ton si joli cul avec facilité, il a avalé ma bite ! Chérie.
Véronique se glisse sous notre duo et te lèches le bouton pendant que je te pénètre.
Sa langue ayant remplacé mes doigts, tu jouis en criant, tu coules dans la bouche de ta complice et ton cul accueille le sperme que je déverse par coulées chaudes.
En silence, abasourdis par la jouissance, gênés par ce déchainement libertin, nous essayons de refaire bonne figure ainsi qu’un brin de toilette.
Ce déchainement lubrique a duré 10 minutes en tout. Une vraie tempête charnelle
Tu me dis en partant que Véronique n’a pas jouit, que c’est un peu injuste car elle l’instigatrice de cette turpitude.
Je te propose de remédier à ce petit accro.

Dans les escaliers, je lui soulève sa jupe, elle s’arrête net, se cambre et m’expose son cul en s’appuyant sur les marches, j’écarte ses lèvres humides et dévoile son clito qui est très gonflé.
Je lui enfonce deux doigts dans la chatte humide et mon pouce s’immisce dans son charmant cul, elle soupire fort et me demande avec autorité d’insérer trois doigts dans son cul, elle veut jouir vite, du con et du cul.
Cette masturbation lubrique l’excite au plus haut point, tu viens l’achever en lui pinçant très fort les tétons à travers sa robe, elle jouit dans un râle contenu pour ne pas affoler le serveur et les derniers clients à quelques mètres de nous, à l’étage.
Je retire doucement ma main qui est trempée et odorante de sa mouille, nous retournons à notre table en silence.

La soirée touche à sa fin, après quelques banalités et le règlement de l’addition auprès d’un serveur encore tout à ses visions lubriques.
Nous nous promettons de nous revoir bientôt, il s’agit d’une promesse polie mais peu crédible, difficile de revivre des moments aussi spontanés que déchainés, le risque d’être déçus et mal à l’aise la prochaine fois est certain.
Les embrassades et les conciliabules entre Véronique et toi durent un peu plus longtemps que nécessaire.
Pour me contredire, ne seriez-vous pas en train de comploter pour un nouveau rendez-vous libertin ?
Avec Pierre, nous nous reverrons pour le business et l’affaire en suspend semble en passe d’être conclue.
Reste Julie qui ne veut pas renter chez Marc, nous lui proposons de venir dormir à la maison, notre amie docile accepte bien volontiers avec un regard faussement gêné et vraiment lubrique.

Nous partons tous les trois à pied vers notre voiture, laissant Pierre et Véronique devant le bar.

A suivre….

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