Se Branler...

« …Tout l’monde l’a fait…Personne n’ledit… ». Comme chantait je ne sais plus qui.
Point de passage obligé pour l »ado qui découvre son corps et sa sexualité. On a très très longtemps culpabilisé sa pratique –« Ca rend sourd !! »- Aujourd’hui, on n’en est plus là. Du moins, j’espère. Remise au « goût du jour » par le porno et par la libération des mœurs. On en parle plus librement qu’avant. Même les femmes revendiquent sa pratique pour elles mêmes !
« …C’est si bon !!... » Comme chantait l’autre.
Ce soir là, vous êtes seul. Il n’y aura personne avec vous pour la nuit. Vous le savez. Il peut arriver que j’arrive à m’endormir tout de go. Il peut. Rarement. Rien que de repenser à Paulo, à son absence, ça y est : je sens la boule qui me vient au ventre. Je sais déjà comment tout ça va finir…Comme toujours, tout commence dans la tête. Je sens ma bite se gonfler très légèrement. Je ne la touche pas encore… Je la laisse venir…J’approche ma main en coquille, sans la toucher. Je dors toujours nu. Rien que ça, là voilà qui gonfle encore un peu plus. C’est elle qui vient effleurer ma main, en gonflant. Souvent, je reste ainsi, sans bouger, à attendre que ma bite remplisse toute seule ma main. La laissant vivre et se gonfler. Oh ! Je ne dois jamais attendre bien longtemps. Je sens mon sang qui la parcourt doucement. Elle me paraît plus chaude. C’est alors que je sens que mon gland commence à s’humidifier. Il se couvre lentement de cyprine. Les glandes de Cowper commencent à cracher de la mouille. C’est pas rare que, du bout des doigts, j’en prenne un peu et que je me mette à les sucer. J’aime ce petit goût aigrelet. Cette fois, elle est bien raide, bien dure, bien droite. C’est à ce moment là que j’aime la regarder. Dans toute sa splendeur. Je sais que, lorsqu’elle aura terminé sa « croissance », mon gland dépassera légèrement mon nombril. Et donc, ma main ne suffira plus à l’englober complètement à elle toute seule. Paulo m’a souvent dit qu’il aimait bien ma bite.

Il aime la regarder, la toucher, la caresser, la branler doucement, la sentir, la sucer et se la faire mettre surtout. Mais Paulo est un coquin. C’est souvent qu’alors je la caresse du bout des doigts et de l’autre main, je me caresse les pecs et me pince les tétons. Plus tard, cette main viendra affoler ma rondelle. Je fais doucement rouler mes couilles rasées entre le bout de mes doigts puis, je remonte très très lentemnt le long de ma tige qui se met à vibrer… Je reprends un peu de mouille sur mon gland dégoulinant. Ce que j’adore, en fait, c’est faire durer, contrôler la montée du désir jusqu’à l’explosion libératrice. Mais pas toujours. Parfois, quand je suis super excité, j’ai envie de me finir le plus vite possible. Mais c’est pas souvent. Je préfère déguster lentement…
Je commence à la prendre complètement avec ma main et à la serrer doucement, sans me branler. Je la sens vibrer dans ma main. Je serre doucement et je relâche. J’ai l’impression qu’elle gonfle encore un peu plus. Là, elle a carrément décollé, ne touchant plus du tout mon ventre.. Du bout de trois doigts, en l’effleurant à peine, je commence à la parcourir de bas en haut. Je sens la peau fine qui glisse doucement. Trop bon ! Je remonte très très lentement jusqu’au gland que je décalotte doucement. La peau du prépuce se tend et libère complètement mon gland ruisselant de mouille. C’est le moment de m’amuser avec le frein du prépuce. Les garçons, on sait tous que c’est le point G de notre bite. L’endroit le plus sensible. Celui qui nous fait grimper au ciel. Alors, justement, il faut y aller tout doux. Je me mets un peu de mouille sur le bout de l’index et je le pose sur le frein en le faisant tourner doucement….Aaaaah ! Trop trop bon !!! Je sais que les filles font pareil avec leur clito. Ca inonde dans toute ma queue. Je m’enduis complètement la paume de la main avec ma mouille. J’aime ce contact. On dirait du gel chaud. Très très progressivement, j’accélère un tout petit peu la cadence de mes allées et venues.
Alternant la prise en main complète de ma bite et le bout des doigts seulement. Alors, je la prends doucement à deux mains ; l’une derrière l’autre. Mon gland dépasse tout juste de la hauteur de sa tête de mes mains. J’en ai plein les deux mains. J’adore. C’est ce moment là que je peux faire durer très très longtemps. Il suffit de ne pas s’emballer. Je sens bien les grosses veines gorgées de sang chaud dans ma main. C’est la vie qui circule.
J’adore aussi me faire branler mais, parfois, le partenaire ne fait pas exactement ce qu’on voudrait à un instant précis. Ou alors, il faut lui dire ce qu’on aimerait. Paulo adore ça, qu’on lui dise…Moi aussi j’aime ça, même que ça m’excite grave de le guider ainsi… Quand je me branle, je laisse toujours la lumière allumée. J’ai besoin de voir. Ca me stimule encore plus. Et je peux même ainsi offrir un spectacle chaud à mes voisins d’en face. Mais, si je me mets à penser à Paulo, à ce moment là, j’éteins ! Et alors je l’interpelle :
« Ooooh, meu Paulo ! » J’imagine que c’est Paulo qui me fait tout ça.
C’est souvent à cet instant, que commence vraiment la branle. A partir de là, je sais que je ne réduirai plus la cadence.. Au contraire. Cette fois, je ne lâche plus ma bite que j’ai empoignée à pleine main. Mon autre main enserre mes couilles et mon majeur cherche ma rondelle. Allez ! Un peu plus vite encore. Je sais que je suis loin d’être à fond. Là aussi, je peux faire durer. Ca dépend de mon degré d’excitation, en fait. Putain ! Comment on peut se passer de ça ? Pourquoi ? Y’a pas de mal à se faire du bien, non ? Bien sûr, c’est mieux à deux ! Mais quand on est seul… J’entends de petits couinements. Ca doit être la peau du prépuce qui chuinte sur le gland. Je préfère nettement les bites non circoncises - sans préjugé religieux aucun -. A cette phase, j’empoigne le bout de ma bite, englobant tout mon gland dans ma main. Elle ne bougera plus de là. A l’éjac, soit je la décalerai légèrement pour tout recevoir sur mon torse ou mon visage, soit je la laisserai là pour recueillir tout mon foutre entre mes doigts et les sucer.

Je passe encore à la vitesse supérieure. Ma respiration commence à se syncoper. Je sens mon corps tout entier commencer à se tendre. Mes fesses durcissent et s’enfoncent plus profondément dans le matelas. Tout semble se concentrer vers ma bite en feu. Mon bassin se soulève légèrement. Ma main s’affole sur ma bite vibrante.. Ma main gauche quitte mes couilles et vient caresser à toute vitesse mo, ventre, mes abdos, mes pecs. Mon souffle se fait encore plus court. J’augmente encore la vitesse de ma main et la pression sur mon dard. Plus vite ! Plus serré ! J’arrive alors au point de bascule, de non retour… Je sens un petit point chaud qui se forme dans mes couilles et qui remonte le long de ma bite. Cette chaleur va envahir tout mon corps en une vague déferlante que rien ne pourra arrêter. Ca y est ! Je vais cracher mon sperme, mon foutre, ma crème, ma semence. Souvent, je crie. Ca me libère encore plus. Combien de jets ? Ca dépend. Ca m’est déjà arrivé d’en recevoir jusque dans mes cheveux ! J’adore cette odeur un peu âcre, ce goût un peu salé ? Je continue à me branler tout en ralentissant nettement pour me vider les couilles à fond. Souvent, je lâche ma bite et j’étale tout mon sperme sur ma peau puis je suce mes doigts. Chez moi, ma bite se dégonfle assez vite, malheureusement. Pas chez Paulo. C’est à ce moment là que j’adore la lui nettoyer avec ma langue. A fond. De plus, il rebande beaucoup plus vite que moi. Souvent, je l’envie pour ça… Je cherche à reprendre ma respiration. C’est pas toujours facile. Ca dépend combien de temps a duré la phase finale… Juste après l’éjac, je sombre souvent dans ce qu’on appelle « la petite mort ». J’ai comme l’impression d’être complètement débranché, sans énergie. Après, c’est fou comme je me sens apaisé. Ca détend complètement. Je crois même que c’est fait pour ça. Pour apaiser la tension sexuelle.
Je n’ai jamais, au grand jamais, éprouvé la moindre culpabilité à faire ça. Bien au contraire ! Je me suis même déjà filmé entrain de me branler.
J »envoi aussitôt la vidéo à Paulo. Il fait ça aussi quand on est loin l’un de l’autre.

Après, très vite, je sombre dans un sommeil réparateur. En attendant de recommencer…

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