Groupe De Vacances 35

GROUPE DE VACANCES 35
Ep 35 LE PROTOTYPE

La visualisation 3D c'est cool ! J'adore ces programmes, Antoine et moi avancions dans notre travail. Pour Antoine C'était son stage, moi, le mien je l'avais déjà fait et je regrettais presque mais, bon, je ne vais pas changer mon rapport de stage, je ne voudrais pas vexer Justine … Elle a été adorable avec moi, et son fils est trop sexy . On était bien vu par l'équipe de conception, les responsables nous laissaient utiliser les imprimantes 3D . Pas le modèle métal mais les autres, enfin une à la fois, il ne faut pas exagérer … Eux aussi ils travaillaient !

Notre maquette avançait, au bout d'une semaine on imprimait le premier modèle … C'était pas tout à fait ça … En fait notre prototype n'était pas utilisable, les différentes parties ne s’emboîtaient pas correctement ! C'était un loupé mais on n'en restait pas là ! Les techniciens qui nous encadraient nous expliquaient nos erreurs et nous encourageaient à continuer …

Vers le milieu de la seconde semaine le premier prototype viable sortait . L'équipe technique était impressionnée, selon les ingénieurs c'était viable, totalement viable … Pour une production en série il faudrait redessiner les différentes parties pour pouvoir les mouler mais ça c'était leur travail, pour des stagiaires comme nous c'est à dire des amateurs, nos études n'étaient pas dans ce domaine, nous nous en sortions plus que bien ! Je décidais le l'essayer !

Moi : Voyons, les clées, elles sont ou les clées ?
Un des technicien : C'est la sécurité qui les garde !
Moi : Ok, je connais bien le chef de la sécurité !

J'arrivais au bureau de Jean François . Je frappais, il me laissait entrer .

JF : Tiens Djé, ça se passe bien pour toi ? Tu as besoin de quelque chose ?
Moi : Il me faudrait mes clées !
JF : Tu nous quittes ?
Moi : Non mais il faut que j'essaye un nouveau modèle .
JF : Un nouveau modèle ?
Moi : On l'a conçu Antoine et moi !

Je lui expliquait rapidement , il me donnait ma clée, et je revenais aussitôt au bureau des conceptions .

En quelques secondes je retirais ma cage de chasteté, on ne se gênait pas, je le faisais devant tout le monde . J'enfilais aussitôt le prototype, je n'avais même pas le temps de bander, aucune réaction . Érection interdite, j'avais respecté le règlement … Et là …

Moi : J'ai bien l'impression qu'on a fait du bon boulot !
Antoine : Ça fait quoi ?
Moi : C'est très confortable … Il faudrait voir à l'usage …
Antoine: Moi aussi je veux essayer !
Moi : C'est moi qui l'ai !
Antoine : Bon d'accord, je m'en imprime un aussi !
Moi : On peut en faire deux, Luc est en phase d'adaptation, c'est un moment qui n'est pas ment facile et quelquefois douloureux, il pourra nous dire si ce modèle est plus facile à supporter !

Finalement on lançait l'impression de quatre exemplaires . En attendant on partait se détendre, on avait bien travaillé . Ce nouveau truc semblait tout à fait confortable et je ne sais pas ce qui me stimulait alors mais je sentais venir une érection . La nouvelle cage était de même taille que la précédente et se remplissait vite, pourtant je n'éprouvait pas cette gène, cette douleur à la base de mon pénis … Rapidement la cage se retrouvait sous pression … C'était agréable … Je faisais part de mes sensations à Antoine … On se rendait à la piscine .

Plusieurs personnes remarquaient mon dispositif et n’hésitaient pas à me demander si c'était un nouveau modèle ! Un groupe se formait autour de nous !

… Moi aussi de temps en temps j'éprouve des douleurs …
… A la base du pénis sur le coté gauche …
… Sur le coté droit …
… Non là moi ça va , il me va très bien …

On échangeait nos impressions …

Mois : Vous savez, c'est un prototype, pour l'instant … il est en phase de test … On verra par la suite …

L'objet était joli, le dessus n'était pas lisse mais en relief et il reproduisait la forme d'une belle bite repliée vers l'avant, à l'endroit du gland, le dispositif reproduisait un relief également … De retour dans ma chambre j'essayais un maillot de bain, le résultat était bluffant, je fonçais dans la chambre à Antoine pour lui montrer …

Antoine : Mais, tu l'as retiré, tu vas te faire allumé toi!

Je baissais mon maillot de bain, je ne l'avais pas retiré !

Antoine : Mince ! Il est totalement invisible ! Tout au plus on pourrait croire que tu traîne une grosse molle ou que tu es bien doté …
Moi : Je suis bien doté !
Antoine : On voit quand même une belle bosse !
Moi : C'est un maillot de bain, on voit toujours une belle bosse avec un maillot de bain !
Antoine : Ouai ! Peut être !
Moi : Tu me fatigues !

Je ressortais de sa chambre et revenais quelques instants plus tard avec un short, pas un short moulant mais pas non plus le modèle trop large …

Moi : Alors ! La on voit quelque chose ?
Antoine : Ouai ! La d'accord c'est totalement invisible ! Mais si tu continue comme ça tu ne seras pas habillé pour le repas ! .
..

Aussitôt après le repas on courrait voir si les autres exemplaires étaient prêts . Ils l'étaient ! Je courrais au bureau de Jean François pour avoir les clées pour Antoine et Luc, on se retrouvait tout les trois vers l'heure de la sieste dans ma chambre …

Luc d'abord retirait le dispositif qu'il portait depuis dix jours, et aussitôt avant de bander il mettait le nouveau modèle …

Luc : Ça change tout, il est réellement plus confortable . L'autre me faisait un peu mal là … Et de ce coté ici, oui juste ici …

Il nous montrait en même temps les zones qui étaient douloureuses . Antoine suivait, a son tour il mettait le modèle qui restait . Aussitôt il réagissait comme Luc, comme moi !

Antoine : Wouah, j'y crois pas, c'est vraiment plus confortable ! L'autre on le supporte bien, on s'habitue mais là ! Wouah, génial ! Je crois qu'on a fait du bon boulot … C'est un grand confort !
Moi : On l’appellera … Le GC du Château …
Luc : Explique, là moi j'ai pas compris !
Moi : Le GC … Le Grand Confort … Du Château … Le Château c'est la marque qui diffuse ces produits …
Luc : Ok, là j'ai compris !

Luc expliquait qu'il ne disait, enfin qu'il ne nous disait rien mais que … C'était pas facile à supporter tous les jours, les érections matinales, la nuit il se réveillait, souvent dans la journée s'il venait a avoir une érection … Et là, justement il avait une érection, il ressentait la pression, une douce et ferme pression, implacable et confortable il disait ! En l'écoutant je me dirigeais vers mon armoire, j'ouvrais mon sac à dos, j'en sortais un gode de taille moyenne et deux gros … Je lançais le plus petit à mon frère qui le recevais en faisant un sourire bête . Un des deux gros à Antoine, je me gardais le dernier !

Luc tripotait le gode avec les mains tout en faisant un large sourire . Antoine s'approchait lui posait une main derrière la tête et le tirait vers lui . Luc se laissait faire, ils s'embrassaient tendrement … Brusquement la pression dans ma cage montait en flèche .
La gène douloureuse que je ressentait de plus en plus depuis plusieurs semaines ne se manifestait pas, la pression devenait intense mais la cage restait confortable, très confortable . La pression, l'impossibilité de me stimuler, le confort, c'en était jouissif et l'excitation que je ressentais n'en était que plus forte !

Luc et Antoine s'étaient rapprochés et chacun tenait l'autre dans ses bras, ils se caressaient, s'embrassaient . On devinait la tension que leurs cages retenaient … Luc était sur le dos, Antoine le recouvrait, ils se frottaient l'un à l'autre, les bras se déplaçaient de la tête aux fesses en passant par le torse, s'attardaient sur les tétons, s'attardaient sur le menton sur la gorge, un baiser s'échangeait alors sur la bouche . Les caresses reprenaient de plus belle, plus rapide plus frénétiques, plus intenses … Mon cœur battait très fort et je sentais chacune de ses pulsation dans ma queue que compressait ma cage …

Je les regardais, je me caressais le torse, mon gode était en position sur une chaise, je m'asseyais, je hurlais de plaisir au moment ou le gode dilatait mon anus et qu'il entrait au plus profond de mon intimité . J'avais l'impression que mon cul allait exploser . C'était sans doutes à cause des deux autres il me chauffaient bien là et j'avais introduit le gode un peu vite, ça me faisait mal, mais je ne voulais pas le retirer ! Mon cul allait exploser, ma cage allait exploser elle aussi ! Douleur, frustration … le pied !

Antoine s'était retrouvé sur le dos, Luc le chevauchait à son tour, le couvrait de baiser, Antoine lui rendait ses baisers, ses caresses . Leurs membres se mélangeaient . Antoine se relevait, assis jambes écartées, Luc s'était assis entre ses cuisses et passait ses jambes dans le dos d'Antoine, ce n'était plus que câlins, baisers, caresses, étreinte . J'hésitait à les rejoindre ...

Antoine retournait mon frère sur le dos, lui écartait les jambes, prenait son gode … Je me dirigeais vers mon armoire en sortais un harnais et le lançais à Antoine !

Moi : Antoine, on avait oublié çà l'autre jour !
Antoine : Woué, un gode ceinture , ( à l'intention de Luc ), tu connais ?
Luc : Non !
Antoine : Tu vas voir !

Antoine s'enfilait le harnais, j'en enfilais un aussi .
Il y fixait le gode, je faisait de même avec un gode plus gros . Luc avait compris, il se laissait faire, Antoine lui relevais les jambes et positionnait le gode juste sur l'anus de Luc, doucement il poussait, doucement mais fermement, Luc laissait retomber sa tête et faisait une grimace qui ne cherchait pas à dissimuler une certaine douleur .
Le gode entrait, Luc hurlait, le gode s'enfonçait lentement, Luc haletait, le gode continuait sa course, un gémissement suivi d'un nouveau cri. Luc semblait suffoquer, mais il demandait pas qu'on arrête le gode était bien entré, bien à fond, Luc poussait une longue plainte … Je me positionnais juste derrière Antoine et me joignait au duo !

Antoine se laissait retomber sur Luc, leurs visages se touchaient, ils s’embrassaient . Je poussais doucement mon gode contre l'anus d'Antoine, d'abord une légère résistance, ensuite un gémissement puis le gode s'enfonçait et le gémissement se transformait en plainte et en râle de plaisir . Quand j'arrivais au fond Antoine avait relevé son torse en s'appuyant sur ses mains, la tête en arrière il avait la bouche ouverte mais aucun bruit n'en sortait ! Luc lui caressait les bras, il gémissait lui aussi . Je me retirait avec un mouvement lent . Le gode ressortait presque en entier . Antoine se retirait lui aussi, Luc gémissait, son gode ressortait de son cul en même temps que le mien rentrait à nouveau . Antoine s'empalait sur mon gode en gémissant de plaisir !

On recommençait ces mouvements, doucement au début puis plus vite, et plus vite encore ! Luc avait un visage paniqué, il grimaçait, il râlait, son souffle était rapide et fort il poussait un gémissement qui ressemblait à une plainte ! Son souffle était irrégulier, il râlait, semblait pleurer, pour finir il jouissait, du sperme giclait hors de sa cage, il se contractait, tous ses muscles se crispaient avait des convulsion puis finalement demandait à Antoine d'arrêter et de se retirer .

Antoine se retirait totalement . Luc ne bougeait plus il était comme amorphe, il nous regardait, nous faisait un sourire . Je ne m'étais pas retirer et sans prévenir je reprenait mes mouvements de va et vient … Antoine poussait un cri de surprise, Luc avait un fou rire, il avait l'air jovial, satisfait .

Antoine se penchait sur mon lit à coté de mon frère et je le limais sans ménagement . C'est en titubant que Luc allait s'installer sur un fauteuil, de plus loin il pouvait suivre ce qui se passait . Je limait encore un long moment Antoine avant qu'il ne se relève, ne me repousse doucement de la main et demandait à Luc de lui lancer le gros gode qu'il avait au début … J'avais compris, je retirais le harnais, je m'allongeais sur le dos, j'écartais les jambes et prenait la position qui était celle de Luc un peu plus tôt .

C'est avec un gode plus gros que Antoine me faisait subir la même chose qu'à mon frère … Je m'étais déjà bien dilaté aussi il y allait direct bien à fond en un mouvement violent ! Luc avait l'air fasciné, il en sursautait, il ne loupait rien, je râlais de plaisir, c'était bon, je caressait les bras d'Antoine en le regardant bien dans les yeux … Le plaisir était total, ma cage était sous pression mais je n'éprouvais aucun désagrément, une douce et ferme pression, une agréable pression, je me laissais aller aux plaisirs que me prodiguait Antoine !

Luc se plaçait juste derrière Antoine . Un regard sur ma droite et je constatais qu'il avait récupéré mon harnais … Antoine se cambrait et prenait de grandes respirations, je devinais ce que mon frère faisait . Un grimace sur le visage d'Antoine, Luc s'introduisait … Un cris, Luc s'enfonçait, doucement, Antoine penchait la tête en arrière … Un dernier cri suivi d'un gémissement, Luc était en place bien à fond . Il commençait les mêmes mouvements que ceux que je faisais un peu plus tôt, quand il se retirait Antoine se retirait, je sentais son gode ressortir en me massant l'anus ! Antoine grimaçait quand son cul se remplissait . Le rythme accélérait, j'en prenais plein le cul et j'aimais ça, brusquement j'étais pris d'un tremblement sur tout le corps, je ne contrôlais plus rien, je jouissais, je ne jutais pas mais je jouissais, Antoine commençait à trembler à son tour, il ne bougeait plus son bassin, il fermais les yeux, il poussait une longue plainte puis se laissait tomber sur moi ! Le moindre de ses mouvements me faisait trembler encore plus, j'étais à bout de souffle . Luc se laissait tomber sur Antoine, j'étais à la meilleure place, j'étais en dessous, ils m'écrasaient, je me sentais bien . Luc d'abord se relevais puis Antoine, moi je ne bougeais pas … Je restais sur mon lit allongé sur le dos les bras en croix, j'étais au ciel !

Luc s'était installé sur le fauteuil, Antoine était dans la même position que moi mais sur le sol .

Luc : On ne s’ennuie pas avec vous les mecs !
Antoine : Alors tu as aimé ?
Luc : Je suis prêt à recommencer …
Moi : Moi j'ai pas la force …
Antoine : Moi non plus !
Luc : Moi non plus mais je voulais dire … demain … ou après demain … enfin un autre jour quoi !

On rigolait … Il nous fallait un long moment avant de nous relever, on prenait une douche, Luc allait se détendre à la piscine, Antoine et moi retournions à notre bureau après être passé resti les clées à la sécurité … Jean François me fait confiance mais la règle est toujours … Érection interdite !

Au bureau on admirait longuement le fruit de notre travail le dernier dispositif était sur notre table de travail … Frénétiquement on en modifiait le design, on imaginait un petit bouclier interchangeable qui pourrait être fixé sur le devant pour … changer de look ! On dessinait un modèle qui devrait se montrer totalement invisible … L'avant du dispositif reproduisant parfaitement le relief d'un pénis, un peu comme le modèle qu'on venait de réaliser mais en plus réaliste encore … Dans notre enthousiasme on lançait plusieurs impressions …

Moi : Bon, je crois que là on a bien travaillé ! Le premier modèle il est là, si on allait …
Antoine : Il y avait deux prototype quand on es parti ! Il est ou le deuxième ?
Moi : On nous l'a volé !
Antoine : Mais qui à bien pu faire ça ?

Ça y est on se faisait encore tout un cinéma . On était à la limite de la panique quand les techniciens du design arrivaient … On leur sautait presque dessus …

Moi : C'est une catastrophe on nous a volé un prototype !
Antoine : Il était là, vous vous souvenez ? Il était là juste avant qu'on s'en aille !
Moi : Vous avez vu quelqu'un ?

Les deux techniciens éclataient de rire …

Le premier : Mais enfin, personne ne peut entrer, on est au château …
Le second : On a emmené un des prototype pour le montrer …
Le premier : C'est du très bon travail, Mr Le Conte nous a d'abord félicité …
Le second : Ensuite on lui a dit que c'était votre idée !
Le premier : Il vous transmet ses félicitations … Chapeau les gars !

Le dispositif que nous avions imaginé n'avait pas la serrure incorporée contrairement au dispositif en métal que nous portions avant ! Plusieurs modifications s'imposaient . Avec les techniciens on définissait la partie qui devait être modifiée . Antoine et moi planchions sur le sujet et eux commençaient à travailler sur les moules … L'après midi avançait vite, Luc passait nous voir, il avait mis son costume …

Moi : Tiens Luc, tu es bien habillé toi, tu vas ou ?
Luc : Dans moins de vingt minutes on passe à table !

Là c'était la panique, on laissait tout sur place et on fonçait se changer . On arrivait juste à temps, quelques instants de plus et on était en retard … Mr Le Conte le remarquait !

MLC : Et bien les garçons qu'est-ce qui vous arrive ?
Moi : Excusez nous Mr Le Conte mais on a failli être en retard !

Je lui racontais !

MLC : On m'a montré le fruit de votre travail, c'est du très bon boulot, toutes mes félicitations ! Je pense qu'on devrait pouvoir faire quelque chose avec ça !

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