Groupe De Vacances 37

GROUPE DE VACANCES 37
Ep 37 LE CLUB DES QUATRE

Avec Mathias on retrouvait Antoine et Luc à la piscine … C'était les grandes retrouvailles, Luc avait rencontré Mathias au début des vacances à mon école et ils étaient heureux de se revoir .

Mathias : Mais c'est pas vrai je rêve, vous avez tous un nouveau dispositif, j'en veux un moi aussi !
Antoine : C'est un prototype on le teste !
Mathias : Moi aussi je veux tester !
Moi : Je ne pense pas qu'on puisse t'en trouver un .
Antoine : Mais pourquoi ?
Moi : Tu as pensé à la taille ? On les a conçus pour nous, nous avons tous les trois la même taille et ce dispositif doit être parfaitement ajusté pour être confortable !
Antoine : C'est vrai mais on doit pouvoir en imprimer un à la bonne taille, il suffit de modifier quelques paramètres … On essaye ?
Mathias : Oh oui les gars essayez !

On se rendait tous la quatre au bureau d'étude, il était vide mais trois imprimantes métal chauffaient fort . C'était du matériel incroyable capable d'imprimer des objet en titane avec une précision d'un vingtième de millimètre … Elles étaient toutes en service .

On s'installait à notre poste de travail, depuis plus d'un mois qu'on était là, on avait nos habitudes . On reportait les nouvelle cotes à notre plant et rapidement l'ordinateur nous montrait en relief le résultat … Ça semblait fiable, on lançait l'impression … Les techniciens arrivaient à ce moment, on restait un moment à discuter avec eux, ils travaillaient sur ce dernier détail eux aussi, les différentes tailles … Pour les tailles les moins demandées il ne prévoyaient pas de réaliser de moule, le plus simple restait encore de les imprimer à la demande mais les tailles les plus demandées seraient réalisées en série …

Juste avant de partir un des techniciens, Frank nous lançait …

Frank : Vous allez gagner du fric avec ça les gars !

On se regardait, '' gagner du fric '' ?

Il nous expliquait que quand un employé faisait un tel travail il recevait une prime, nous on n'était pas employé mais on serait payé quand même .



Frank : Ne vous inquiétez pas le service comptable de Mr Le Conte est irréprochable, c'est même pas la peine de réclamer, il vous contactera …

En repartant …

Moi : Un peut d'argent ne fait jamais de mal !
Antoine : C'était pas prévu ça, qu'on gagne du fric !
Moi : Tu crois que ça va faire dans les combien ?
Antoine : Je sais pas ! Quelques centaine … Quelques milliers de DI ( Dollars Internationaux ) … ?
Moi : Quelques milliers ?
Antoine : Je sais pas , je dis ça comme ça !
Moi : Remarque quelques milliers ça serait cool ! C'est toujours bon à prendre !
Antoine : Tu as un budget serré ?
Moi : En ce moment ça va … Je ne paye plus le logement, plus aucune facture, plus la bouffe … Mon budget c'est juste de l'argent de poche … Et toi, ça va être pareil !
Antoine : Ça va être la grande vie moi je te dis !
Moi : Attention, il ne faut pas mollir, on n'est pas obliger d'être les meilleurs, mais si on se laisse aller et qu'on retombe comme il y a un an on se fait jeter !
Antoine : J'ai pas envie de me laisser aller !
Moi : En plus on aura le 'ptit' sous notre responsabilité …

Luc réagissait vigoureusement à cette dernière réflexion … Depuis qu'on était sortis du bureau, Mathias et Luc nous écoutaient sans rien dire, mais là, il se faisait entendre le 'ptit' frère . Antoine et moi rigolions de bon cœur !

Mathias : Eux aussi, ils t'appellent le 'ptit' comme Sophie et Greg !
Luc : Bon ça va tu vas pas t'y mettre toi aussi !

…

Dans la soirée on retrouvait Mathias dans la salle à manger, il arborait un grand sourire de satisfaction …

Mathias : Il est vraiment génial votre truc, je le porte depuis une heure et il est vraiment confortable, c'est à peine croyable . Je n'avais aucune difficultés à supporter l'autre, mais celui là … C'est incroyable , ça va être un gros succès j'en suis sûr !

On était les quatre premiers à tester ce nouveau dispositif de chasteté, une sorte de club des quatre.
Bien , on était les premiers mais certainement pas les derniers ...

Arrivait la veille de notre départ . Antoine, Luc et moi étions convoqué à l'accueil … C'est là que les nouveaux arrivants reçoivent leur dispositif et le verrouillent . Ils avaient imprimé trois dispositif de chasteté en métal, les techniciens de la conception étaient là aussi ils voulaient s'assurer que tout marchait parfaitement … On retirait le dispositif que nous portions et enfilions le nouveau dispositif . Un anneau à la base du sexe, rien de nouveau … Suivait la cage en titane modèle anatomique, on y glissait notre queue en se disant que c'était pour un bon moment. Il avait été décidé de nommer ce nouveau modère … Confort Titanium … Par Le Château … ou encore … C.T.C …

A ce moment je me souvenais de la discussion avec Charles au moment de mon départ en vacances, j'avais prévu de retirer mon truc pour les vacances et finalement, les vacances étaient finies …

On enclenchait la cage sur le premier anneau, comme sur les autres modères . Sur le dessus de la cage il y avait un espace creux et circulaire au dessus duquel étaient gravées les trois lettres ' C.T.C ' et en dessous, en plus petit ' Le Château ' . on y positionnait la serrure qui avait la forme d'une petit pièce de monnaie d'environ six millimètres d'épaisseur … Clic ! C'était verrouillé ! Plus rien ne bougeait , plus rien de dépassait .

De nombreuses pensées se bousculaient dans ma tête . Luc ne le portait que depuis quelques semaines … On était parti pour au moins trois mois … Antoine ne l'avait pas retiré depuis plus d'un an, depuis le jour ou nous étions entrés comme des voleurs dans le parc du Château et lui c'était le moins probable des porteurs . Il s'y était tellement habitué qu'il ne parlait plus de le retirer, et ce, depuis longtemps ! Et moi, depuis plus d'un an je ne l'avais retiré qu'une seule fois, dans la limousine, il y avait Charles avec moi ce jour là !

On retournait dans nos chambres pour préparer nos sacs à dos … J'avais oublié qu'ils étaient pleins, nos sacs à dos … C'est là qu'on avait caché les godes … Ceci dit, Luc avait eu une bonne idée, James n'y avait pas touché .
Mon Frère et Antoine débarquaient dans ma chambre presque en même temps, avec leurs sacs à dos !

Antoine : Il faudrait peut être remonter tout ça au grenier … Si James voit ça il va nous faire toute une histoire …
Luc : Et il est déjà assez casse pied quand on ne le provoque pas ! Là, j'ose pas imaginer !

Machinalement on inspectait le contenu de nos sacs, on déposait les godes un par un sur mon lit …

Luc : Je sais pas comment vous faites pour vous enfiler un truc pareil dans le cul … Moi j'aime bien mais là, c'est vraiment trop gros, on ne peut même pas en faire le tour avec les doigts !

Je prenais le gode qu'il nous montrait en disant ça, je le lançais à Antoine et tel un défis …

Moi : On lui montre !
Antoine : Ok , enlève tes fringues !
Moi : Mais pourquoi moi ?
Antoine : C'est ton idée … !

Je retirais d'un geste mon T-shirt, suivait le pantalon … J'étais à poil … Je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtements ? … Il me semble que oui maintenant que j'y pense !

Antoine : Allez en position, tu te penches en avant, les mains sur le lit, tu écarte les jambes …
Moi : C'est bon là, tu n'en fait pas un peut trop .
Antoine : C'est moi qui ai le bazars dans les mains et c'est toi qui va l'avoir dans le cul alors non, j'en fait pas trop !

Luc s'était installé sur le fauteuil, de là bas il ne loupais pas une miette . Antoine lubrifiait abondement le gode, le posait juste sur mon anus …

Moi : Je me demande …
Antoine : Allons bon quoi encore ?
Moi : Je me demande si c'est bien sain tout ça ?
Antoine : Comme si c'était la première fois !
Moi : Non je veux dire … Toi, ok … Mais Luc … C'est mon frère … Je me demande si c'est bien sain, si c'est bien naturel quoi …
Luc : A mon avis c'est aussi naturel que des concours de branlettes comme on en a déjà fait ou encore de s'enfermer la bite dans un dispositif de chasteté …

Il avait raison !

Antoine : Bon ! On peut y aller ? Tu respires bien à fond Djé !
Moi : Je respire à fond, pourquoi tu dis ça, arrête de faire du cinéma, tu … AAAAAhhhhhhh !

L'enfoiré venait de pousser violemment sur le gode, j'avais l'impression que mon cul allait se déchirer .
Ça faisait mal, vraiment mal, je me laissais tomber sur le lit …

Moi : Arrête, tu me fais mal !
Antoine : Voilà comment tu donnes l'exemple ! Allons un peu de tenue, on se détend, on se calme, on arrête de se plaindre, et on ouvre bien son cul . Là j'ai juste passe le gland !

Il poussait encore un peu … Je hurlais !

Moi : Non là tu vas trop vite …

Il se retirait . Je me relevais, j'étais rouge, Antoine faisait l'andouille, Luc rigolait .

Moi : Non mais c'est pas drôle , ça fait mal !
Antoine : Chochotte, tu fais un caprice … ( se retournant vers Luc ) … C'est toujours comme ça avec les filles …

Je me tordais de douleur. Il m'avait fait mal le con … La douleur finissait par passer … On reprenait !

Antoine poussait de nouveau le gros gode, j'avais tout de même choisi un gros modèle, mais bon au départ c'était pas pour moi . Le gland du gode passait, je soupirais, je respirais fort, je râlait et pas seulement de plaisir ! Antoine continuait à enfoncer le gode, doucement mais fermement ! Luc n'en loupait pas une miette, quand je jetais un œil dans sa direction je le sentais un peu tendu, il devait être sous tension, sa CTC devait le travailler . C'était confortable mais on la sentait bien tout de même quand on bandait . Sans douleurs mais pas ment sans sensation ou sans frustrations … Il devait se sentir frustré le petit Luc !

Je sentais chaque centimètre de l'énorme gode que j'avais choisi, il m’explosait les entrailles, je le sentais entrer jusqu'à mon estomac je sentais mon anus se dilater à l’extrême, et chaque centimètre me donnait l'impression de me déchirer l'anus ! C'était bon, terrifiant mais bon ! Là je faisais confiance à Antoine, il ne disait plus rien, il restait concentré sur mes réactions, il y allait en fait avec une grande douceur, c'était violent mais c'était fait avec douceur !

Luc gigotait sur son fauteuil . Je relevait le dos le gode était complètement entré .

Moi : Alors Luc, ça ne rigole plus là !
Luc : Ouai … Ouch … Terrible … Ça fait peur … Wouah !

Je m'allongeais sur le dos, les jambes écartées et bien relevées . Antoine continuait à me masser l'anus avec le gode en le retirant et en l'enfonçant de nouveau … Il y allait doucement, il accélérait le mouvement mais savait rester raisonnable … Le gode était énorme et pouvait me blesser . Antoine restait concentré et quand il m'entendait gémir puis haleter puis gémir encore, mais plus fort, quand il ressentait mes convulsions dans tout mon corps, quand il m'entendait crier puis hurler, il savait que je jouissait, il savait qu'il pouvait faire durer le plaisir et il le faisait . Luc ne bougeait plus, il avait l'air tétanisé, complètement absorbé par le spectacle . Antoine remarquait à je ne sais quel signe que je manifestais qu'il était temps de tout arrêter ! Doucement il retirait le gode … J'avais joui et je jouissais encore à ce moment, j'avais éjaculé et certainement avec violence . Je baissais les yeux, je n'avais pas éjaculé, pourtant je l'avais senti …

Au moment ou Antoine retirait totalement le gode un flot de sperme coulait de ma cage sans me procurer la moindre sensation . J'étais essoufflé, mon cœur battait tellement fort qu'il semblait vouloir éclater . Je me laissais retomber sur mon lit, Luc se laissait retomber au fond du fauteuil il avait presque l'air essoufflé lui aussi, Antoine était assis à coté de moi, il passait doucement sa main sur mon torse provocant chez moi de véritables convulsions au moindre contact !

…

Luc se relevait brusquement …

Luc : Vous avez vu l'heure qu'il est ! James est réglé comme une horloge et dans dix minutes il va franchir cette porte pour mettre un peu d'ordre dans la chambre !

C'était la panique ! Luc et Antoine faisaient disparaître les godes dans les sacs à dos . Les sacs à dos sous le lit . J'essayais de me relever, j'avais le vertige, je retombait sur le lit … Il me soulevaient tous les deux et au moment ou James ouvrait la porte nous disparaissions tous les trois dans la salle de bain … Je trouvais la force de crier …

Moi : James s'il te plaît, je vais préparer mon bagage, aussi il me semble inutile de faire le moindre rangement ce soir, Pourrais-tu reporter le rangement de la chambre à demain ?
James : Bien Monsieur Brosso !

Antoine hurlait !

Antoine : Eh, James tu fais pareil pour ma chambre !
James : Bien Monsieur …
Luc : Et pareil pour moi !
James : Bien Monsieur … Brosso …

James passait sa tête dans l'ouverture de la porte .

James : Si vous me permettez … Mais combien êtes vous ici ?

On s'était installé dans la baignoire équipée du bain bouillonnant …

Antoine : C'est la seule des trois chambres à avoir un bain bouillonnant !
James : Si vous me permettez Monsieur, le bain bouillonnant fonctionne mieux quand on y met de l'eau !
Luc : On sait … C'était prévu !

James repartait et on éclatait de rire au moment ou il fermait la porte derrière lui … Quelques instants plus tard la porte de la chambre s'ouvrait à nouveau …

Moi : James, s'il te plaît …
Mathias : C'est pas James, c'est moi ! ( il apparaissait dans l'ouverture de la porte ) Il est dans ma chambre … Il est casse pieds … Mais pourquoi vous avez pas mis d'eau dans le bain bouillonnant ?

On éclatait de rire . Mathias était déjà habillé . On prenait une douche rapide . J'avais repris mes esprits … Je n'avais aucune sensation de pression au niveau de ma CTC mais j'avais encore l'impression que mon cul était bien rempli ! Chacun courait dans sa chambre pour terminer de s'habiller . On se retrouvait dans la salle à manger, on n'était pas en retard !

En sortant de table je me penchais vers mes camarades …

Moi : Ce soir opération commando ! On ramène le matos au grenier !
Mathias : Qu'est-ce qu'il raconte ?
Luc : C'est rien je t'expliquerai !

Minuit passé, le Château était plongé dans l'obscurité, plus de bruits on aurait entendu un termite au travail s'il y en avait eu un … Sur la pointe des pieds, en tenue de ninja comme la fois précédente et les bras pleins de mes godes, je me glissais en rasant les murs jusqu'à la porte de la chambre d'Antoine … Je grattais discrètement à la porte, pas de réaction, je grattait plus fort et j'entendais hurler …

Antoine : C'est bon entrez !

J'ouvrais la porte et je lui criais tout bas …

Moi : Mais ça va pas, il faut rester discret !
Antoine : Oh excuse moi, j'y pensais plus ! ( sur le même ton, je l'entendais à peine )

Il était en tenue lui aussi . On ressortait, Antoine se glissait jusque au premier couloir en rasant les mur, sur la pointe de pieds, en se penchant . Il avait lui aussi les bras pleins de ses godes . Je frappais deux coups puis trois coups à la porte de Luc . Il ouvrait !

Luc : Pourquoi tu frappe comme ça à ma porte …
Moi : Comme prévu, deux puis trois …
Luc : On n'a rien prévu de tel ! Mais bon, ça y est, il sont repartis …

Je rejoignait Antoine, prenait position de l'autre coté du couloir . Une porte claquait derrière nous, on sursautait ! On se retournait … C'était Luc .

Luc : Quoi ? Je ferme la porte de ma chambre !

On reprenait, je faisait signe à Antoine, lui à gauche, moi à droite, il allait s'élancer ! On entendait frapper à une porte . On se retournait … C'était Luc …

Moi : Bon Luc, maintenant tu ne fait plus de bruit, tu vas nous faire repérer !
Luc : Tu sais Jeremy, il doit y avoir au moins cent cinquante chambre dans cette maison, si tu veux vraiment déranger tout le monde ça va nous prendre une bonne partie de la nuit …

On ne répondait plus, Antoine se glissait au bas des escaliers, je le suivais puis le doublait, je me glissait ainsi jusqu'au premier palier entre les étages, il faisait de même et s'arrêtait au palier de l'étage supérieur … Ainsi de suite jusqu'au grenier . De temps en temps un gode nous échappait des mains, il fallait le ramasser dans le noir sans perdre les autres …

Au grenier on n'avait pas besoin de chercher, j'entendais Luc qui baillait puis une voix qui n'était pas la sienne ! '' Ah ouai, je vois le genre, c'est impressionnant !''

On sursautait, on hurlait, tous les godes se retrouvaient par terre ! Luc allumait la lumière, on se retournait … C'était Mathias …

Mathias : J'aurais pas vu, j'y aurait pas cru !
Moi : C'est malin ! Et tu nous suis depuis longtemps ?
Luc : J'ai frappé à sa porte pour l'avertir …
Antoine : Bon on a assez rigolé ! Mais Luc, tu n'as même pas emmené tes godes ?

Luc se retournait, il avait son sac à dos … Il s'était montré plus futé que nous le p'tit frère … On rangeait les godes et on repartait sans nous occuper d'avantage de Luc et de Mathias … Ils nous suivaient en discutant . Luc racontait notre première expédition et on entendait les fous rires de Mathias …

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