C'Est Arrivé Par Accident

Par un bel après-midi de septembre, au cours d’une balade en voiture avec Ghislain, particulièrement amoureux et moi très envie de me retrouver le plus vite possible entre ses bras ,mariés depuis seulement six mois donc en pleine lune de miel, lui vingt-six, moi Laurine vingt-quatre, la scène est facile à imaginer, il roulait lentement sur une route de campagne où il ne passe quasiment personne, moi avancée sur le siège passager, chemisier ouvert sur mon balconnet, cuisses ouvertes, jupe relevée et string écarté par ses doigts qui fouillaient ma vulve baignée de mouille, lui verge raide sortie du pantalon serrée et manipulée par ma main gauche
A vrai dire nous cherchions un chemin forestier qui pourrait nous mener à un endroit désert où nous pourrions étaler notre couverture et satisfaire nos envies …soudain une voiture nous double sans avertir, surpris Ghislain fait une embardée sans conséquences, le véhicule disparut dans le virage nous reprenons nos ‘préliminaires’ de plus belle, mais pourquoi dans ce virage a-t-il tourné la tête pour regarder ma chatte ? ça a suffit a provoquer l'accident ...
- ATTENTION !! ATTENTION A LA VOITURE ! FREINE CHÉRI FREINE !!!
- MERDE DE MERDE !!!... et voilà je l’ai touché… pas de bobo chérie ?
- Non, juste une peur bleue, heureusement que tu as de bons freins c’est à peine si tu l’as tapé !
- Voilà le mec qui vient …
- Range ta queue voyons !
- Et toi baisse ta jupe … trop tard …bonjour monsieur …
- Salut les jeunes, alors ont roupille au volant ?
- Mais non !
- Oui, je vois que c’est tout autre chose qui vous a distrait
- Vous avez des dégâts ?
- J’sais pas on va voir ça ensemble... muuuuuummmmmm, elle est très belle ta copine …
- Pas ma copine, ma femme ! voyons chérie couvre toi
- Ho pardon ! excusez, ça m’a perturbée, je suis distraite
- Je n’en perdrais pas la vue, bon, naturellement vous êtes en tort, allons voir les préjudices
- Je vous suis
Je reste dans la voiture en ruminant à ce qu’avait pu voir cet homme de deux fois notre âge… ma poitrine ça c’est sûr, mon entrecuisse et aussi et surtout ma chatte encore dégagée du slip … ma première exhibe et je n’en ressens aucune gêne, aucune honte … même un peu de joie intérieure, ce mec va surement se tripoter la queue en se remémorant la scène, les deux chauffeurs me tirent de mes rêvasseries
- Moi je n’ai rien et vous à peine une petite rayure, si je fais un constat je perds mon bonus, ça vous va cinquante euros ?
- Va pour cinquante euros à condition que vous me filiez votre carte de visite au cas où mon carrossier demanderait plus
- Ça marche, donne une carte de visite a monsieur chérie …
- Ah, je vois que vous habitez tous près ?.

.. trouvez vite un coin pour faire un câlin à madame, je crois que ça presse, au revoir les jeunes
- Au revoir monsieur
- Que fait-on chérie ?
- Heuuuu, on cherche quand même un coin sympa ?
- Je crois bien que le mec a vus ta chatte non ?
- Je ne crois pas, j’en suis sûre !
- Ça ne te fait rien ?
- Non,
- Tu ne l’aurais pas fait exprès au moins ?
- J’étais tellement surprise que je n’ai pas eu la présence d’esprit de réagir
- Mouais …te connaissant je suis certain que ça t’a excitée de te montrer et de te savoir matée
- Ça n’a été que furtif pour lui, mais pour moi ça dure encore ! dépêche-toi j’ai très envie de ta bite !
- C’est moi qui vais te sauter, ne me confond pas avec lui …
J’ai jouis plus vite et plus fort que d’habitude …dans ma tête je voyais le corps de Ghislain sur le mien surmonté par le visage triomphant de l’homme …
Deux jours plus tard le carillon d’entrée résonne... qui cela peut-il être ? je suis seule, la voisine sans doute ? boff, je vais ouvrir
- Vous ? le monsieur de ‘l’accident’ ?
- Bonjour Laurine, j’ai vu votre prénom sur le bristol, je vous dérange ?
- Heu si vous voulez voir Ghislain il ne sera là qu’a dix-huit heures
- Désolé je ne peux ni attendre ni revenir
Tout se bouscule dans ma tête, je revois le regard de cet homme qui scrutait mon entrejambe par la portière et qui maintenant me déshabille carrément avec des yeux pleins de convoitise, au lieu d’être terrorisée une onde inconnue traverse mon bas ventre pour finir en une bulle qui éclate dans ma culotte
- Que voulez-vous ? encore de l’argent ?
- NON ! rassurez-vous, offrez moi un café je vais vous expliquer
- Entrez...
Il me suit à la cuisine, j’imagine son regard bloqué sur mon cul qui se dandine malgré moi devant la machine à expresso, j’essaie de meubler ce silence pesant
- Qu’a dit votre carrossier ?
- Que ce n’était pas grave
- Mais encore ?
- Une rayure qui s’est effacée au lustrage, je viens donc vous rendre les cinquante euros….

- C’est une bonne nouvelle !
- Laurine… depuis deux jours je suis hanté par votre image dans la voiture, écartelée, complètement alanguie, sachant que je vous regardais, affolée ou lucide ?
- J’étais pétrifiée par le choc …
- Je n’en crois rien, c’était volontaire, j’ai envie de vous Laurine et je suis certain que je ne vous laisse pas indifférent
- Je suis mariée …
- Et alors ? moi aussi, personne ne peut lutter à l’attraction de deux êtres
L’homme prend mes petites mains dans ses grosses pognes c’est fini, je ne peux plus résister, nous nous enlaçons, mes seins sont écrasés sur son torse, mon ventre plaqué sur son excitation impossible à dissimuler, il baisse la tête je relève la mienne, un baiser de plus en plus ardent accompagne la progression de sa main entre mes cuisses, mes jambes se dérobent lorsque ma vulve est ouverte par deux doigts qui me pénètrent profondément pour me branler virilement
Accrochée à son cou il n’a aucun effort à faire pour poser mes fesses sur la table de cuisine, les tasses heureusement vides sont bousculées, me voilà allongée totalement et délibérément offerte à la bouche avide qui bouscule mon string, je plaque mes mains sur son crâne chauve afin de le guider, elles ne servent à rien, il me bouffe délicieusement la moule soit avec les lèvres qui aspirent mon clito soit avec une langue qui me pénètre tel un sexe tantôt dur tantôt mou… mon petit trou n’est pas épargné … des jets de cyprine fusent de ma chatte lorsque l’orgasme puissant surgit
J’ai encore des étoiles dans les yeux lorsque sa queue m’ouvre en deux et me relève sans que mes pieds ne puissent toucher le sol
- La chambre ?
- Au bout du couloir à droite
Il me dépose sur le lit conjugal avec son phallus toujours planté dans ma chatte, ses deux mains sous mes fesses il m’écartèle littéralement de son pieu à coups de reins vigoureux ininterrompus, je jouis et pisse de bonheur sur la couette, il ne cesse de me perforer que pour permettre à son sperme de gicler hors de sa bite et gonfler ma matrice, nous reprenons notre souffle toujours soudés l’un dans l’autre, c’est un doigt qui cherche mon petit orifice qui me fait réagir
- Que fais-tu ?
- Ce que tu désires secrètement …
- Mais je ne vais pas pouvoir cacher ça à mon mari ?
- Boff, ça aussi c’est comme une rayure, ça va s’effacer au lustrage ! met toi à quatre pattes
J’obéis car il dit vrai, j’ai envie que sa trique visite tous mes orifices, la joue sur la couette, le cul cambré j’attends l’estocade, un coup de langue et un doigt pour lubrifier mon conduit anal, son gland pèse de plus en plus fort repoussant les replis à l’ extrême, une vive douleur m’arrache un cri puis la douceur du membre s’installe profondément, il me laisse le temps de m’habi à ce corps étranger avant de se retirer légèrement pour débuter la sodomie ,mes ongles et mes dents éraflent le tissu , je devance ses coups de butoirs en reculant vers lui , pour jouir encore plus vite je glisse une main vers mon clitoris de plus en plus sensible, ma chatte n’arrête pas de d’expulser sa sève sur l’intérieur de mes cuisses
- Putain que t’es bonne, je ne regrette pas que ton mec m’ait rentré dedans ! prends ça salope ! han-han-han-han !!
- Oui-oui-oui-oui-Ouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !! donne-moi ta sauce maintenant ! remplie-moi le fion
- Madame est serviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie !!!aaaaaaahhhhhhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuuiiiiiiiiii !
Épuisée je me laisse aller à plat ventre, déboitant son membre de mon cul ouvert comme jamais, au point d’émettre un gargouillis horrible, j’entends vaguement mon amant se laver la queue à la salle de bain …
- Une petite pipe avant que je ne reparte ?
- Quoi ???
- C’est le seul trou que je n’ai pas visité ! aller, s’il te plait !
De nouveau mes orifices émettent des bruits immondes lorsque je change de position, l’homme s’agenouille devant moi les poings sur les hanches me présentant sa trique toujours aussi tendue, par curiosité, car je n’ai pas eue encore l’occasion de la voir de près je me penche vers elle et gobe le gland vermillon où perle une larme de plaisir, la bonne cadence trouvée je triture les bourses et l’anus cerné de poils frisés
- T’es une sacrée petite salope toi ! ton mec doit se régaler
- Mmmmmuuuuummmmmm-mmmmuuuuuummmmmmm !
- Je crois que je vais retenir ton adresse !
- Mmmmuuuuu-mmuuuuuummmmm !
- Personne ne t’oblige à révéler mon passage à ton mari, tu gardes les cinquante euros pour faire les boutiques ?
- Mmmmmmuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmm _ mmmmmmmmmmmmmmuuuuuuummmmmmmm !!!
- Attention ça vient, je me retire ?
- Rrrrrrhhhhhuuuuuuuuuummmmmmmmmmm !!!!
- Hhhhhhoooooooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaahhhhh tu suce et tu avale à merveille ! ça va ?
- Wwooouuuuh ! quelle partie de cul ! pars à présent j’en ai pour deux heures à m’en remettre et effacer les traces de notre ‘accident’ !

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