L'Autoroute Du Plaisir

Quatuor sur autoroute
A trop aguicher le mâle, on finit par le payer ! C’est un peu ce qui m'est arrivé en cette fin septembre. Partie seule en Normandie chez des amis tandis que mon mari bossait, J’avais profité d’une semaine de bon temps soldant ainsi mes heures supplémentaires cumulées depuis le début d’année. Mon séjour chez Marc et Sonia des amis de longue date s’était bien passé malgré une météo maussade. Seul bémol à mon séjour, ne connaissant pas le coin, j’étais restée avec mes amis toute la semaine ne profitant pas même d’une soirée pour me trouver un moment de plaisir. J’avais pourtant tenté deux soirs leur disant que je voulais les laisser en amoureux mais rien n’y a fait. Généreux et très sympas ils insistaient tous deux pour que je passe la soirée en leurs compagnie.
Je m’étais déjà amusé un peu à l’aller sur la route en roulant la jupe remontée, petit plaisir perso que je m’accorde régulièrement. L'excitation était retombée doucement dès mon arrivée et je pense que si je n’avais pas eu à subir les cris de Sonia le jeudi soir, peut être que rien ne serait arrivé.
Entendre mon amie gémir une bonne partie de la nuit sous les assauts répétés de Marc qui en plus est plutôt beau mec, cela me rendait limite jalouse. Moi qui ne subis que trop peu les velléités de mon mari, pour ne rien cacher, je me suis caressée dans le lit sous les grincements de sommier et autres gémissements.
Tous cela pour vous dire que ce vendredi, jour où je reprenais la route, j’étais motivée, excitée plus que de raison et pourquoi pas me trouver une âme charitable qui saurait éteindre le feu qui brûlait en moi. Sur trois heures d’autoroute je me disais qu’il y avait peut être une possibilité. Ce matin là je me préparais tout en songeant à cela. Une petite jupe en jeans et un débardeur vert militaire suffisait à me rendre désirable. Je fermais ma valise prenant soin de laisser mes talons haut juste sur le dessus avec l’idée qu’ils pourraient m’être utiles! Je prenais une collation le midi et vers seize heures trente voire dix sept heures je saluais mes amis les remerciant chaleureusement de leurs superbe accueil.



Je prenais donc la route en début d’après midi mais faisais une halte dans un super marché pour me fournir une boisson et de quoi grignoter sur la route. C’est en passant devant le rayon que je me suis dis : oui sympa une paire de bas sur la route ! La journée était grise, maussade, rien de drôle à porter des bas mais tellement plus plaisant pour ceux qui regardent. Je sortais donc du commerce avec mes emplettes et à peine engagée sur l’autoroute, je stoppais à la première aire de repos me stationnant le plus loin possible des autres véhicules. Je passais par le coffre et ma valise pour en extraire mes talons, non sans bien me pencher, tendant la croupe, excitée par la situation. Mes hormones étaient en fusion ! Les talons en main je ne prenais pas la peine de refermer la valise et c est au moment où j’allais claquer le hayon que j’ai aperçu ce petit bout de dentelle blanc dans le coin de mes affaires. Ce n’était rien d autre que mon body que j’avais pris avec moi sans avoir eu l’occasion de le porter ! Pour le coup, peut être allait il m’aider (rires) … j’adore cette pièce de lingerie et le blanc à l’orée d’une jupe en jeans est certainement plus visible que le string noir que j’avais sur les fesses.

Côté passager, portière ouverte, je scrutais la route et me changeais vite fait. Déjà excitée, la fièvre montait encore d’un cran me mettant quasiment nue sur le bord de la route. L’air frais, ce sentiment d’être nue et offerte au moindre regard. J’ajustais tranquillement mon body sur mes hanches avant de repasser ma jupe et assise sur le siège, j’enfilais mes bas chair avant de finir par mes hauts talons. J’ai failli remettre mon débardeur mais là aussi ma longue veste de cuir noir sur la banquette arrière me paraissait plus de circonstance si toute fois je voulais faire profiter les chauffeurs de mon superbe body. Je me regardais ainsi dans la carrosserie et en frissonnais… une vrai petite allumeuse de luxe .
Je reprenais enfin la route tranquillement plus excitée que jamais.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour mettre à contribution ma jolie tenue. Dès les premiers poids lourds en vue je me retroussais la jupe, veste grande ouverte et prenais soin de ne pas doubler trop vite ! Le résultat ne s’est pas fait attendre, klaxons, appels de phares, tout ce qu’il faut pour encore me faire chauffer d’avantage si besoin était. Des kilomètres à prendre un plaisir fou et à exagérer puisque plus je roulais et plus je n’hésitais pas à me glisser une main entre les cuisses. C’est du reste la vue qu’ont eu certains chauffeurs, jambes ouvertes je me glissais les doigts sous la dentelle et me massais la vulve, introduisant parfois un doigt dans la chatte détrempée. Je m’arrêtais parfois sur les aires de repos prendre un grand bol d’air, fumer une cigarette. Les fesses sur le capot de la voiture ou sur un banc à proximité, ma jupe cachait à peine la lisière de mes bas, excitée, j avais les idées confuses, je n’étais plus moi même. Malgré la fraîcheur, par deux fois je suis sortie sans la veste, mini jupe en jeans et mon body blanc dessous, je peux vous dire que bien des hommes me regardaient avec insistance .
D'ordinaire j’aurais été gênée et n’aurais même jamais osé sortir aussi provocante, mais lá, l’excitation, l’adrénaline, je me sentais prête à tout ! Kilomètre après kilomètre je sentais cette fièvre m’envahir, cette excitation folle me faire frissonner les ovaires. Par deux fois je me suis arrêtée sur des aires de repos très fréquentées par des poids lourds, je prenais l’air près de la voiture regardant les sanitaires, je me mordais la lèvre inférieure, tentée par l’idée de m’y rendre innocemment avec bien entendu l’espoir d’y faire une rencontre. J’en ai tellement entendu parler de ces endroits anodins qui renferment bien des secrets. Pour fréquenter les autoroutes assez régulièrement, je peux vous dire que sur certaines aires il s’en passe ! Malgré la surtension qui m’animait, je n’osais franchir le pas et par deux fois je me contentais de m’exposer un peu me penchant, impudique dans la voiture offrant ainsi une jolie vue sur mes fesses aux véhicules quittant l’aire.
J’ai joué ainsi tout le long de la route prenant des pauses répétées quasiment à chaque aire de repos tant et si bien que vers vingt heures, la nuit s’installait doucement. Plus embêtant pour s'exhiber, vous en conviendrez mais l’obscurité créait à elle seule une nouvelle ambiance, un autre sentiment peut-être encore plus fort.
Je roulais tout en me disant que maintenant la vision était réduite, l’excitation, elle, était intacte ! Je ne pouvais me résoudre à rentrer sans me faire plaisir et évacuer cette pression que je sentais bien présente en moi. J’en étais même à quasiment regretter de ne pas avoir osé me rendre dans les sanitaires sur l’une des deux aires passées ! Évidement, plus j’avançais, plus la nuit tombait, je songeais aux solutions qu'il me restait pour calmer ce feu continu, me trouver un coin en retrait et me caresser, m’offrir un moment en solo jusqu’à explosion des sens. Sur une aire de repos, cela doit avoir une saveur particulière, j’imaginais même, pourquoi pas l’arrivée d’un brave homme pour m aider dans ma besogne.

L'aire suivante, enfin la grande. Restera à jamais gravée dans ma mémoire ! L’aire du Plateau pour ne pas le citer ! Comme bien souvent, le parking auto en épis devant le local sanitaires. Je me garai sur les dernières places à une soixantaine de mètres de là. J’épiais quelques minutes les allers venues aux sanitaires. A ma gauche se trouvaient quelques arbres qui auraient pu m’abriter, la question s’est répétée sans relâche dans ma tête ! J y vais, j’y vais pas ? Allais-je encore passer à côté et regretter une fois de plus ? Une seule voiture était stationnée devant le local et à l’arrière de celui-ci je distinguais trois ou quatre semi remorques. Les fesses sur le capot en fumant ma cigarette je tremblais comme une feuille. Après quinze bonnes minutes pendant lesquelles, mis à part un chauffeur je n’ai vu personne, J’ai fini par me laisser guider par mes envies. J’ai passé ma veste de cuir et doucement me suis rendue jusqu'aux toilettes.

Le bruit de mes talons sur le macadam, cette odeur particulière, l’humidité, les lampadaires diffusant une lumière jaunâtre. J’étais terriblement chamboulée ! Le petit bâtiment gris avait une petite avancée métallique grise et vitrée, un espèce de hall ouvert. Timidement j’entrai côté femmes le cœur à cent à l’heure. L’endroit était vide, un petit couloir donnant sur un grand lavabo surplombé d’un miroir et quelques portes donnant ment chacune sur un toilette. J’étais surprise de la propreté de l’endroit. Je ressortais quelque peu rassurée et surtout moins farouche.
Si la nuit était tombée, il faisait encore bon. Mise en confiance, j’enlevais ma longue veste et regagnais ma voiture tranquillement. Mis à part le ronronnement des véhicules et autres camions qui passaient à vive allure de l’autre côté de la butte, l’endroit était pour le moins paisible. J’aurais pu en rester là, m’installer dans la voiture et me soulager comme je le pouvais mais l’envie de remettre une couche, de me sentir encore d’avantage excité en a décidé autrement ! J’ai alors tout simplement déposé ma veste sur le siège arrière puis me suis allumé une seconde cigarette avant de repartir le long du trottoir pour une dernière ballade ! C’est flippant ce genre d’endroit mais l’adrénaline que cela me procure est une véritable drogue pour moi. Je passais cette fois à l’arrière du local observant le parking réservé aux camions. Je passais paisiblement sur le trottoir à peine à vingt mètres d’eux. Imaginez un instant la scène ! Petite jupe en jeans bien courte, escarpins à talons et body bien moulant à bretelles me déhanchant, la clope aux bout des doigts face à plusieurs poids lourds stationnés. Pour deux d’entre eux, les rideaux étaient tirés, mais les autres je ne pouvais voir si l’un des chauffeurs était à l’affût ! De quoi me griser encore d’avantage.
Je suis allée tranquillement jusqu’au bout du parking avant de revenir sur mes pas tout aussi tranquillement. Là, à hauteur du premier camion, j’ai bien vu un type, probablement le chauffeur, passer devant la cabine. Je fixais dans sa direction lorsque j’ai été éblouie par les phares du second camion. Mon cœur s’est affolé, pas de moteur en marche et pourtant les phares m’éclairaient. Je baissais la tête et pressais le pas, non pas vers la voiture mais vers les toilettes ! Je ne sais pourquoi, je suis allée au plus proche, innocente, je m’enfermais dans la première toilette tout en riant de mes bêtises. Quelques minutes à écouter les bruits dans un silence complet, rien ! Pas un chuchotement. J’ai franchement pensé qu’il fallait que j’arrête mes bêtises et regagne la voiture, certainement un peu apeurée au fond.

Quelques instants encore et je déverrouille la porte. Je passe le bout du nez, rien à l'horizon. Je sors tranquillement …oups !
Une voix m’interpelle « Bonsoir madame ! » un homme d’une cinquantaine d’année, les mains dans les poches me sourit. Je souris également lui retournant son bonsoir et le type me demande si je n’ai pas froid comme cela. Sa voix résonne sous le paravent. Je souris de plus belle lui disant que ça va. Je m’apprête à prendre la direction de la voiture ne sachant que lui dire de plus et le type me propose une cigarette ajoutant de ne pas me sauver ainsi qu il n’était pas méchant ! L’occasion est trop belle c’est vrai ! Pourquoi fuir alors que depuis des heures c’est ce que je cherche !
Je m'appuie donc sur la vitre dans l’intérieur à l’abri du petit vent et accepte la cigarette qu’il me tend. Très vite le type sans gêne me dit que je suis très sexy et bandante comme cela ! Que répondre à cela, si ce n’est un merci de politesse. Enhardi, il poursuit en me demandant si je ne cherchais pas à prendre du bon temps. Confuse, je n’ai su répondre. Je me contentais de sourire me tournant vers la route pour échapper à son regard en prenant une grande bouffée sur ma cigarette. À l’inverse, le type prenait confiance et me vantait d’avoir de superbes jambes. Une fois de plus je le remerciais cachant mon émoi derrière un grand sourire. Un véhicule est alors passé devant nous, instinctivement je regardais en sa direction et là une bonne grosse main est venue se plaquer sur mes fesses, je n ai pas bougé, bras croisés j’ai laissé faire l’entendant me dire qu’en plus j’avais un joli cul ! De ses gros doigts, le type à vite saisi le tissu, se frayant un chemin le long de ma raie trempée. Quel bonheur d’enfin sentir cette emprise ! Je donnais sans chercher plus loin mon autorisation en écartant légèrement les jambes et me cambrant. Je me délectais déjà de cette caresse, fermant les yeux, appréciant ce doigt qui me fouillait ! A cet instant, j espérais juste être tombé sur un type qui saurait me donner du plaisir, qui saurait me faire évacuer cette tension trop longtemps gardé en moi. Je ne fus pas déçue puisque mon cher compère s’est agenouillé derrière moi me troussant la jupe en grognant qu'il voulait voir ce joli fessier ! Son haleine chaude, ses petits baisers puis sa langue ont eu raison de mes dernières craintes ! Les mains plaquées sur la vitre j’ouvrais les jambes et sortais les fesses m’offrant à sa bouche gourmande. Le type après quelques coups de langue, m’écartait les fesses de ses pouces et m’administrait de grands coups de langue qui me faisaient gémir de bonheur. Lorsqu’il s’est redressé, il grognait qu’il avait envie de me baiser, je ne bougeais pas, me penchais de plus belle alors que j’entendais son ceinturon claquer. A sa façon de me prendre la hanche, je savais qu’il allait me donner du plaisir. Une entrée en moi digne de ce nom ! J’étais certes trempée mais son premier coup de rein m’a fait crier et bondir. Un « ho oui » m’échappa tellement l’envie était grande. Hélas, une voiture s’est arrêtée et nous avons dû cesser notre moment intime. Je tirai sur ma jupe tandis qu'il refermait son pantalon. le type de la voiture est passé devant nous un petit regard coquin et nous à saluer, mon chevalier m’a alors dit de le suivre derrière que nous serions plus tranquille .

Je me suis laissé emmener par la main vers les camions, traverser la route comme une vrai pute qui se laisse entraîner sur un parking. Si l’image me troublait, je ne savais pas encore à quel point elle était réaliste ! Le type s’est arrêté entre deux camions, c’est vrai que garé en épi on ne pouvait quasiment pas nous voir. Au passage il ouvrait un coffre sur le côté et en sortait une couverture grise qu’il prenait sous le bras avant de m’emmener quelques mètres derrière sur la bordure d’herbe qu’il jugeait plus confortable. J’étais prise au jeu et je me suis agenouillée sur la couverture, là, en bordure de route. Je me suis demandé pourquoi nous ne reculions pas plus mais le temps d’y penser que mon chauffeur me brandissait la queue m’implorant de le sucer. Il me fallait cesser de réfléchir et ne penser qu’au plaisir pour ne rien regretter comme c’est souvent le cas. Je devais ne penser qu’au plaisir et vu mon état d’excitation ce ne fut pas bien compliqué !

J ai sucé cette superbe queue épaisse et bien tendue sous ses râles et encouragements. Je comprenais le sursaut que j’avais eu dix minutes plus tôt lorsque cette verge était entrée en moi. La fièvre faisait rage et je m’appliquais à le lécher le mordiller comme une bonne salope que j’étais. Toujours à genoux il a baissé une à une les bretelles de mon body me palpant les seins, me pinçant les tétons déjà bien durcis par l’excitation. Le type m’a ensuite couchée sur le dos me troussant la jupe et m’a léché le minou de longues minutes. J’ondulais des hanches gémissant, lui tirant par moment les cheveux preuve d’un désir fou de me faire sauter ! Je ne pus contenir mes cris lorsque enfin il s’est positionné entre mes cuisses ouvertes et à guidé son pieu en moi. Il s’est rué avec ce côté bestial qui me plaît tant. Jambes en l’air je gémissais de plaisir à chacun de ses coups de queue. Sa barbe m’irritait le cou, sa respiration me laissait penser qu'il arrivait au plaisir extrême de la jouissance. Mais non, je fus surprise, voire déçue qu'il se retire ! Haletante et au bord de l’implosion je le regardais se redresser avec peine. Une main sur mon genou il me demande alors de me retourner. Je me suis retrouvée à quatre pattes sous son emprise et quelle emprise ! L’entre jambes de mon body ouvert ses gros doigts ont repris possession de ma chatte dégoulinante, ses râles, ses compliments. En quelques secondes je remuais les fesses, je tortillais le cul lui demandant de me baiser ! Sa grosse queue surpuissante s’est alors mise à me pilonner ! Ses doigts ancrés dans mes hanches, ses coups de reins violents je me suis mise à hurler, le nez sur la couverture. Il s’est littéralement déchaîné sur mes fesses avec une rare violence. Je ne me contrôlais plus, rugissant, criant de plaisir. Les doigts agrippés au tissu, le visage plaqué au sol je lâchais prise lorsqu’une main est venue me redresser la tête ! Malgré les spasmes, les convulsions, j’ouvrais les yeux mais n’avais pas le temps de comprendre qu'une queue me pressait les lèvres ! En pleine jouissance un type, un second type venait me mettre sa queue dans la bouche. Trop ailleurs pour quoi que ce soit je suçais cette queue . A quatre pattes sur le bord de la route je me faisais littéralement démonter les fesses et suçais une queue tout aussi inconnue que celle qui me faisait jouir. Les spasmes un peu calmés, je prenais attention au jeune type sorti de nulle part à qui je suçais la queue tandis que j’entendais mon premier partenaire grogner qu’il pouvait y aller, que j’aimais la bite ! Rien que ces propos me replongeaient dans une envie folle de continuer. Le type derrière moi s’est retiré en me disant que j’étais trop bonne ! Ses jets de foutre m’ont brûlé le bas du dos alors que guidée par des mains dans mes cheveux je pompais cette nouvelle queue. Je caressais dans ma paume de main les testicules de mon nouvel amant plutôt soulagée que mon premier se soit retiré. Je reprenais du poil de la bête comme ont dit. Je pense même que je me remettais à remuer les fesses lorsque j’ai reçu une fessée digne de ce nom.

Un instant sans lâcher la queue que j’avais en main je me retournais pour découvrir qu'un troisième type était derrière moi et me fessait.
Alors on réveille les routiers petite salope ! Le plus jeune que je suçais me pinçait les seins nus et mon premier était debout la queue en main disant à ses collègues que j’aimais me faire mettre bien profond. Le nouvel arrivant sans gêne c’est installé derrière moi , à genoux entre mes cuisses et m’a doigté avec force grognant que j’avais un sacré cul ! Quelques fessées plus tard je sentais sa queue entrer en moi avec puissance je subissais à nouveau les assauts d un inconnu qui cette fois ne prenait aucune précaution et me fourrait comme le vide couilles que j étais . Je me suis mise à hurler sous ses coups de butoir , son pubis claquait sur mes fesses, les doigts encrés dans mes hanches je ne pouvais que subir ce pieu qui me perforait le ventre . Mon jeune mâle me forçait à avaler sa queue qu' il poussait au plus profond de ma gorge les doigts noués dans mes cheveux . Mes cris étaient étouffés par cette queue qui me remplissait la bouche … j ai bien tenté de me reculé sentant ce bougre de gamin ce déchaîner dans ma bouche qu il devait prendre pour un vagin … rien n'y a fait ! Ce petit Salop m'a évacué dans la bouche , dans la gorge même. .. je déglutissais tans bien que mal , un filer de sperme me coulant du coin de la bouche mais le bougre ce soulageait tandis que derrière, mon dernier venu ce soulageait sur mon cul en bûche !!!
J’ai été ainsi leur objet durant une heure trente. J’ai sucé trois queues simultanément, me suis faite baiser en levrette tout en suçant une seconde queue, puis couchée jouant avec deux queues pendant que la dernière me limait avec passion. Le plus jeune m’a jouis au visage une seconde belle quantité de sperme. Le premier après s’être vidé sur mes fesses m’a arrosé les seins alors que j’étais allongée sur le dos les fesses en l’air à me faire limer par le dernier. Lui c’est sur mon ventre qu' il s’est lâché pour sa seconde jouissance….

Tous trois étaient unanimement d’accord pour dire que j’étais une sacré salope. Après une bonne cigarette et un moment de récupération, je me suis essuyé au mieux avant de les saluer et rejoindre ma voiture , je tenais à peine sur mes escarpins …




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