Barbara 6

Michel.
Une semaine s’était passé depuis que N’Doumé, Théo et moi avions baisé Barbara. Elle avait été resplendissante et soumise. Elle m’avait obéit au doigt et à l’œil. Cette femme qui dans sa vie professionnelle dirigeait une équipe avec poigne, avait besoin de se lâcher sexuellement en étant soumise à un homme pour profiter de son sexe sans se poser de question. Elle avait confiance en moi.

Barbara.
Grâce à Michel, enfin mon Maitre, j’avais vécu une relation sexuelle avec trois hommes en toute confiance. Je savais qu’il n’y aurait aucune violence, aucun manque de respect. J’avais simplement à respecter mes engagements que j’avais pris avec mon Maitre. Être disponible sexuellement, acceptant de faire tout ce qu’il m’ordonnait de faire. J’avais accepté de faire vivre mes fantasmes les plus inavouables pour une femme de mon âge. Mon Maitre m’avait convaincue que je devais vivre enfin ma sexualité librement tout en étant soumise à lui puisque j’en avais fait la demande lors de notre premier échange. C’est moi qui étais venue à lui. C’est moi qui voulais être sa muse, c’est moi qui voulais être sa soumise. J’étais désormais toute à lui, je lui donnais mon corps entier. Quand j’étais sous son emprise, je ne réfléchissais plus, je me donnais, peu importe ce qu’en penseraient les personnes qui me voyaient me faire pénétrer, sodomiser, faire des fellations en série. Je m’étais même aperçue que j’étais encore plus forte dans mes relations professionnelles, surtout celles où je devais commander des hommes.

- Allo, Barbara ?
- Oui mon Maitre.
- Comment tu vas ?
- Quand vous me parlez, je ne peux qu’aller à merveille.
- Très bien.
- Vendredi soir, j’ai besoin de toi.
- Très bien Maitre, vous savez que je suis toujours disponible pour vous.
- Très bien, je n’en attendais pas moins de toi.
- Avec plaisir.
- Dans la semaine, pour préparer cette soirée, tu iras voir Théo dans sa boutique.


- Au sexshop ?
- Oui, je l’ai prévenu, il te vendra une tenue que j’ai payée.
- Oh merci Maître, mais je peux payer mes tenues.
- Non, non, tu es ma soumise, je dois t’équiper pour te mettre en situation.
- Bien Maitre, et que devrais-je faire pendant cette soirée ?
- Tu sais bien que tu le sauras au dernier moment.
- Oui c’est vrai Maitre, excusez-moi de cette curiosité mal placée.
- Pas de soucis, cependant il faudra te préparer, donc tu mettras cette tenue. Bien sûr pas de dessous, des escarpins très hauts et fins. Tu te maquilleras exagérément, avec notamment beaucoup de rouge à lèvres.
- Bien Maitre, je ferai comme vous ordonnez.
- Très bien Barbara, je passerai te chercher vendredi soir vers 18h. On boira l’apéritif chez toi, si on a le temps et que tu es comme je te l’ai demandé, je te baiserai avant d’aller à notre rendez-vous.
- Bien Maitre, je serai comme vous avez demandé.
Barbara.
Comme me l’avait demandé mon Maitre, j’avais appelé Théo qui m’avait dit de passer ce soir à 19h (heure de la fermeture de sa boutique). Je décidais de m’habiller avec ma robe d’été rouge qui est relativement courte. Je décidais de ne pas mettre de dessous. J’arrivais à la boutique de Théo où une femme venait de sortir, Théo lui tenait la porte. Quand il me vit, il eut un large sourire.

- Bonjour Barbara, comment vas-tu ma belle ?
- Bonjour Théo, ça va bien merci.
- Tu es très belle dans cette robe, très désirable.
- Merci Théo, tu es gentil.
- Je vais fermer la porte, la boutique est censée être fermée à cette heure-là. Nous serons plus tranquilles pour l’essayage de ta tenue.
- Merci.

Théo.
Barbara était déjà très sexy dans cette robe d’été rouge. Elle soutenait ses seins et elle moulait parfaitement les formes de Barbara. Je sentais que je bandais en la regardant marcher de derrière. Je pouvais apprécier la forme de ses fesses, rondes et fermes avec le sillon bien visible.
J’étais sûr qu’elle n’avait pas de culotte sur elle, cette salope. Michel m’avait dit que je pouvais en profiter, dans les règles établies entre nous.

Barbara.
Je sentais le regard de Théo sur mes fesses, n’ayant pas mis de culotte, je commençais à mouiller sur mes bas.

- Viens Barbara, j’ai préparé ta tenue et sa taille d’après les mensurations que j’avais notées la dernière fois.
- D’accord. Mais je pense qu’il faut que je l’essaye quand même. Tu sais que mon maitre est très exigeant.
- Oui, ne t’en fais pas, j’ai tout mon temps.

Barbara.
Théo m’amena vers la cabine de la dernière fois, mais il ne ferma pas le rideau. J’ai compris tout de suite qu’il allait en profiter pour me regarder, me baiser et j’en avais très envie.

- Voilà ta tenue Barbara.
- Wouaaa, en effet, elle est plus que sexy.

Barbara.
Cette tenue était composée d’une jupe très courte (limite mini-jupe), et d’un haut qui se nouait au niveau du nombril avec une imitation panthère. Je ne sais pas ce que me réservait mon Maitre, mais je savais déjà que j’allais ressembler à une pute. Je commençais à me déshabiller. Théo restait devant la cabine à me regarder. Quand j’eus enlevée ma robe, il s’avança vers moi. Je voyais que sous son pantalon, il bandait comme un âne. Il me prit la main.

- Viens là Barbara, on ne va pas salir ta tenue tout de suite, approche, j’ai envie que tu me suces. J’ai l’accord de ton Maitre.
- Bien sûr Théo.

Barbara.
Je m’agenouillais devant Théo pour baisser son pantalon et son boxer, son gland était déjà à moitié décalotté. Je voyais que sur son boxer il y avait une tache de sperme encore humide, je devinais que la cliente précédente avait dû passer à la casserole. Je me mis à le lécher tout en le masturbant.

- Oh putain Barbara, tu suces toujours aussi bien. C’est trop bon.
- Hummmmm.

Barbara.
J’en avais la pleine bouche.
Le sexe de Théo tapait sur ma gorge. Je le pompais avec envie, j’adorais sa queue qui était de la bonne taille pour moi, bien que celle de mon maitre fût ma préférée. Je sentis son gland qui enflait, je m’arrêtais de le pomper et me relevais. Une fois debout, je retournais face au mur et me penchais en avant pour offrir ma croupe à Théo. Celui-ci me rentra deux doigts dans ma chatte pour les humidifier et les ressortit pour les rentrer dans mon anus. Je me cambrais aussitôt pour le rendre plus accessible.

Théo.
Le cul de Barbara se dilata aussitôt. Son trou était de plus en plus souple. Cette salope avait dû se pluguer le cul toute la journée chez elle dans le but de se faire enculer.

Barbara.
Je sentis que Théo approchait son sexe de mon anus, je le désirais en moi.

- Vas y Théo, encule moi fort, défonce-moi. Le cul.
- J’arrive ma salope, je vais t’enculer sale pute.
- Oh oui Théo, mon maitre serait fier de moi.
- Putain, il peut être fier, avoir trouvé une salope soumise comme toi, il a de la chance. Tu es une sacrée salope.
- Oh oui Théo, Vas-y prends moi.

Théo.
Je tenais cette salope par les hanches je rentrais mon gland et la pris d’un coup en entier dans son cul. Elle hurla, mais cette fois ce n’était pas de la douleur, c’était du plaisir pur, elle n’y tenait plus, elle voulait se faire enculer comme une chienne.

Barbara.
Théo me lima le cul pendant une ½ heure à fond. Je criais sans arrêt. Je l’encourageais à être très sauvage.

- Putain Théo, plus fort, défonce-moi le cul.
- Oui oui oui sale chienne tu vas ramasser.

Théo.
Je sentais mon orgasme arriver, je bloquais mon sexe au fond du cul de cette chienne pour lâcher la purée. Cette salope se mit à hurler de plaisir et éjacula de la cyprine sur le sol de la cabine. Je me dégageais. Barbara mit son plug dans l’anus pour ne pas perdre de sperme. Elle se retourna pour nettoyer mon sexe avec sa langue avant d’essayer sa tenue.


- Qu’en dis-tu Théo ?
- Tu es une vraie pute, habillée comme ça.
- Oui tu as raison.

Barbara.
Je me découvris dans la glace de la cabine. Je ressemblais vraiment à une pute. Mon Maitre aurait pu me mettre sur le trottoir, mais je savais qu’il me respectait, il avait une autre idée en tête. Mais laquelle ?

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