Collection Le Marin. Trois Marins, Une Jeune Femme (1/2)

Dans cette année 1970, les trains avec compartiments étaient nettement mieux que ceux d’aujourd’hui, ils avaient un seul inconvénient leur vitesse, il nous fallait une nuit pour aller de Paris à Toulon où notre bateau était amarré.

Nous rentrons de permission par ce train de nuit, départ 21 heures de la gare de Lyon, pour une fois, il n’y a pas grand monde, il est vrai que c’est un week-end prolongé et que nous sommes de service à partir de demain avec mes deux copains.
Ils arrivent du nord de la France, je suis de la banlieue parisienne, je cherche un compartiment où nous pouvons tous tenir en pouvant avoir assez de place pour dormir.

Dernier wagon vers l’avant, le premier derrière la motrice électrique, temps moderne, comparé aux trains à vapeur et leurs machines ressemblant à des dragons crachant leurs flammes.
Nous passons un wagon de 1ère classe et montons, dans le wagon, dans le premier compartiment une jeune femme est assise côté fenêtre, nous entrons, mettons nos sacs dans le porte-bagage et nous nous asseyons.

• Je coince la porte, nous aurons plus de place pour dormir.

Comme nous le faisons souvent, nous éteignons la lumière jusqu’au départ, et Hugo place son pied sur la poignée pour éviter qu’elle fonctionne quand quelqu’un veut l’ouvrir.
Les contrôleurs passent plus tard et tout est normal quand ils ouvrent.
Ludo le deuxième copain me devance et vient s’asseoir à côté de la demoiselle.

• C’est rare d’avoir une jeune femme aussi jolie que vous à l’avant dans ces trains, chaque fois, elles montent dès qu’elles le peuvent, entrant dans le premier compartiment où il y a une place.
• C’est mon mari qui m’a dit de monter dans le wagon de tête derrière la motrice, il n’attend à Marseille et sera en tête de train, nous aurons plus facile à nous retrouver, il est comme vous marin, mais marin-pompier.
• Ton mari, tu es bien jeune pour être mariée !
• J’ai dix-huit ans, il a vingt ans, je me suis marié il y a trois mois, mais je suis montée à Paris voire ma grand-mère qui était souffrante, je reprends mon travail après le week-end.


• Que fais-tu à Marseille ?
• Je suis caissière dans un supermarché.

Le train roule depuis une demi-heure quand le contrôleur ouvre la porte et allume, est-ce le fait que Ludo est assis à côté de la petite rousse qu’il lui pose la question.

• Ça va mademoiselle, ces jeunes marins ne vous importunent-ils ?
• Non, ils sont très gentils, mon mari est marin comme eux.

Rassuré, il contrôle les billets, les poinçonne, éteint la lumière et en fermant la porte nous souhaite.

• Bon voyage.

Je me mets dans mon coin face à la petite rousse qui est sagement assise, quand je suis réveillé par des chuchotements malgré le bruit des essieux sur les rails.

• Non, tes copains vont nous voir.
• Suce ma queue, regarde, ils dorment.

Avec la lumière dans le couloir, malgré les rideaux tirés, je distingue ce qui se passe, Ludo a baissé son pont et sa verge se dresse fièrement.
Dans ces années-là, notre pantalon possédait un pont fermé par quatre boutons, en les défaisant, nous avions plus facile de sortir notre queue pour faire nos besoins sur les bateaux qui roulaient et qui tanguaient.
Quand je baisse le mien, je trouve mon slip, Ludo lui trouve sa queue, n’en portant jamais, il m’a toujours dit que cela lui permettait de gagner du temps pour baiser de vieilles salopes.
Après avoir dit que nous dormions ce qui n’est plus le cas, la jeune femme dont j’ignore le nom se penche pour poser sa main sur la hampe et y porter sa bouche.
La vision de ce couple commençant à copuler, me fait bander, j’ouvre un bouton et je passe ma main, je n’arrive pas à attr ma queue, c’est à ce moment que je comprends pourquoi mon copain se promène nu sous son pont.

• C’est bien fillette, tu es douée ton marin-pompier de mari ne doit pas s’ennuyer.

J’entends le bruit de la sucions que fait sa bouche sur la verge et sa main qui le masturbe.
Certainement pour pouvoir le prendre plus loin dans sa bouche, elle soulève sa jambe et pose sa bottine sur l’appareil de chauffage, ce mouvement fait remonter sa petite jupe et livre à mes yeux sa petite culotte blanche.

Je me lève, ce qui me permet de mettre ma main dans mon slip, je bande magnifiquement, je m’agenouille et j’approche ma bouche de ce morceau de tissu où je colle mes lèvres.

• Qu’est-ce que je t’avais dit, ton copain me suce ma petite culotte !
• Laisse faire, tu vas voir à nous deux, nous allons te faire connaître des plaisirs que tu seras loin de retrouver avec ton mari.
• Je veux lui rester fidèle, je l’ai juré devant le curé.
• Le mois dernier, c’est une bourge de cinquante ans qui était à ta place, elle aussi avait juré fidélité à son homme, trois gosses plus tard et trente ans de mariage et de fidélité, nous lui avons donné du plaisir toute la nuit.
Allez, continue, tu es une bonne petite pute.

En levant les yeux, je vois qu’elle veut se défendre de ces propos, mais il lui tient la tête, se masturbant avec sa main dans sa bouche.
De mon côté ma langue fait du bon travail surtout amplifié par l’odeur de rousse qu’elle dégage, j’avais entendu dire que ces filles aux cheveux couleurs de feux dégageaient des effluves incroyables quand elles étaient stimulées.
La jeune femme doit être stimulée, car ce que mon nez, mais surtout ma langue respire et récupère est formidable.
J’écarte la culotte dégageant son clitoris, j’ai déjà sucé des chattes malgré mon jeune âge moi aussi, mais jamais des comme celle-là qui coule littéralement, je tire sur sa culotte, elle soulève ses fesses me permettant de retirer son morceau de tissu que je mets dans ma poche.

• Ludo, pousse-toi un peu, toi ma belle, met toi à quatre pattes sur la banquette, je vais te défoncer ta chatte.

Je m’attends à une rebuffade, mais ma langue a fait du bon travail et son vagin doit être en feu, à moins qu’elle soit résignée à nous appartenir.
Je rentre facilement dans son conduit vaginal, son marin-pompier a fait du bon travail, elle est juste à ma pointure et je coulisse, mais avec resserrement, elle est encore jeune ce qui n’était pas le cas de la veille dont Ludo à parler, je la pilonne la tenant par les hanches.


• Les copains, vous êtes dé-gueux, heureusement que j’ai eu envie de pisser, vous auriez pu me réveiller pour participer à la fête, je reviens, je vais pisser.

Il sort, il est parti depuis quelques minutes quand le train ralenti et que les lumières d’une gare augmentent la lumière dans le compartiment.

• Je jouis ma salope, tiens avale.

Devant moi, j’entends la petite pute, comme il a dit déglutir.

« Lyon, dix minutes d’arrêt, les voyages pour Grenoble changent de train. »

Mince, le train arrêté, les portes du wagon s’ouvrent et j’entends du mouvement, je n’ai pas fini et la porte n’est pas bloquée, des gens peuvent entrer et nous voir dans cette fâcheuse situation.
J’allais sortir de sa chatte pour sauter sur la porte quand j’entends Hugo dans le couloir.

• Toi le bifin, si tu touches à cette porte, je t’éclate.

C’est Hugo qui a entendu le train entrer en gare, le bifin qui a eu des velléités d’entrer à certainement reculer quand il a vu la carrure de la bête, toujours premier pour le coup de poing dans les bars quand les choses dégénèrent ou qu’il les fait dégénérer.
Togo, c’est le surnom qu’il a depuis que nous le connaissons, sans savoir pourquoi, il est mort en tombant du pont du porte-avion Arromanches un jour de cuite quelques mois plus tard, je devais l’apprendre en mer quand je faisais le tour du monde.
Mais en ce moment, il est bien vivant et je pense que le militaire passe son chemin, avant que le train ne reparte.
Il ouvre la porte au moment où j’expulse mon sperme dans le vagin accueillant de notre petite amie.
Il enlève carrément son pantalon et son slip taille XXL dans ces années-ci.

• Chris, laisse-moi la place, mademoiselle regardez comme vous me fait bander.
• Ludo, pas lui, toi si tu veux, il est énorme ton copain.
• Chaque fois que je l’ai vu sauter une jolie fille comme toi, elles en redemandaient, laisse-toi faire, ça te fera d’excellent souvenir.


Je laisse la place, la petite se retourne se plaçant pensant être prise dans la position du missionnaire, soit elle aime ce que nous lui faisons, soit elle est résignée.
Sa tête repose sur les jambes de Ludo, qui lui dégage les seins, tous petits, tous mignons, sa main avec ses doigts râpeux passe sur les pointes, nous sommes mécaniciens et malgré les fréquents lavages, des callosités doivent lui agresser les fraises, quand il change de sein, ses fraises sont tendues autant que ma bite l’ait.
Alors que Togo se place face à elle, je la vois tourner la tête, de la main et de la bouche se remet à pomper Ludo qui rebande déjà.
Prestement, Togo lui relève les jambes, dégageant sa rosette.

• Les mecs, je vais l’enculer, vous savez le plaisir que je prends quand je les baise par la petite voix…

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