Les Vacances, C'Est Fait Pour Baiser

Claire, Marianne et Françoise représentent trois générations de femmes d'une même famille. Claire a 19 ans, est étudiante, a pour petit ami Kevin, du même âge, qui l'a dépucelée et avec qui elle fait (souvent) l'amour. Elle est blonde, mince et élancée, aime les jupes courtes mettant ses jambes en valeur mais n'aime pas la provocation gratuite, réservant ses fantaisies à son jeune amant.
Marianne sa mère a 40 ans, dirige une agence immobilière, est divorcée mais a pour compagnon Olivier qui la baise plus qu'il ne lui fait l'amour, ce qu'elle attend de lui. Son corps est moins fin que celui de sa fille mais plus sexué avec des seins, des fesses et des cuisses bien visibles qu'elle aime mouler dans des tenues près du corps. Son visage, encadré de cheveux châtains assez longs, est plutôt anguleux, évoquant la décideuse qu'elle est.
Françoise la grand-mère a 62 ans, est divorcée depuis de longues années, est plutôt petite avec des formes abondantes qu'elle étale avec une générosité qui frôle parfois l'impudeur. Elle n'a pas de compagnon attitré mais des amants occasionnels qu'elle convoque quand elle a envie de sexe. Bien qu'à son âge, beaucoup de femmes soient "rangées des voitures", elle n'a au contraire aucune difficulté à trouver des partenaires qui adorent son côté cochonne décomplexée. Claire l'adore mais Marianne craint toujours que sa mère ne crée un jour ou l'autre un scandale qui nuirait à ses affaires.

Nous retrouvons ces trois femmes dans une maison de campagne ayant appartenu à un ex de Françoise qui la lui a léguée à l'occasion de leur divorce par consentement mutuel. Elles s'y retrouvent chaque année quelques jours pour les vacances d'été. Claire est venue avec Kevin, Marianne avec Olivier, chaque couple dans leur propre chambre de cette vaste demeure qui comprend également une piscine privée.
Quant à Françoise, elle a ses "habitudes" avec le maire du village, veuf quinquagénaire, qu'elle retrouve dans son lit de temps à autre, en général à l'heure de la sieste plutôt qu'à celle du coucher.



Justement ce jour là, en plein après-midi, Françoise vient de baiser avec Albert, le maire, et retrouve sa fille, sa petite-fille et leurs compagnons au bord de la piscine en train de bronzer. Tous sont entièrement nus et Françoise se débarrasse en un tournemain de sa tunique et de son pantacourt pour dévoiler sans complexe ses deux obus et son fessier charnu aux deux hommes présents qui, à vrai dire, n'en sont plus à s'en étonner, ayant déjà connu le corps pulpeux de leur hôtesse.
- Hou ! Je suis vannée ! Albert était dans une forme étincelante, glousse-t-elle en s'allongeant.
- Dispense-nous de tes commentaires, on n'a pas à connaitre tes fredaines, réplique sa fille Marianne.
- Mais si mamie, raconte-moi à l'oreille, répond Claire en pouffant de rire.

Et Françoise s'exécute, évoquant les diverses positions adoptées pendant son récent acte sexuel. Claire ouvre de grands yeux, se met la main sur la bouche mais Françoise en rajoute car elle voit les pointes de seins de sa petite fille durcir pendant qu'elle parle. Elle insiste particulièrement sur la manière dont Albert l'a sodomisée après l'avoir longuement préparée avec sa langue. Claire se retient pour ne pas mettre sa main sur son clitoris mais une fois que Françoise a fini son récit, elle se lève et interpelle Kevin, son petit ami :
- Chéri, tu viens avec moi ? On va ranger notre chambre.
Personne ne se trompe devant cette curieuse invitation. Claire ressent une brutale envie de faire l'amour. Kevin, qui lui tient la main en direction de la maison, bande déjà à moitié.
- Bravo, bien joué maman, avec ce genre d'attitude, tu vas finir par devenir arrière grand-mère, grince Marianne.
- Eh, oh, occupe-toi plutôt d'Olivier au lieu de nous faire la leçon. Les vacances, c'est fait pour baiser.

Et de fait, pendant que Marianne et Françoise se rôtissent les fesses, des cris de plaisir s'échappent d'une fenêtre ouverte de la chambre où Claire et Kevin copulent avec l'ardeur de leurs vingt ans.
Ils réapparaissent une demi-heure plus tard, main dans la main, et se glissent dans la piscine sous le regard attendri de Françoise, un peu moins de Marianne qui, sans le montrer, ressent au creux de son bas-ventre une impression de vide qui ne demande qu'à être comblée.
Mais contrairement aux deux autres, elle attendra la nuit. Ecartelée, les mains collées sur les fesses d'Olivier comme pour mieux l'enfoncer en elle, elle a ses cris d'orgasme dans l'épaule de son amant puis dans l'oreiller pendant qu'il la prendra en levrette, regrettant de ne pas laisser exploser sa jouissance afin de ne pas subir les sourires goguenards de sa mère le lendemain, mais aussi le regard étonné de sa propre fille. Mais on ne combat pas éternellement sa nature, la suite va le démontrer.
**********

La scène se passe dans la cuisine, au petit-déjeuner. Françoise et Claire sont seules dans une maison où tout le monde dort encore. Devant leur bol de café, elles discutent en toute intimité, comme elles aiment à le faire. Claire a très envie d'entendre sa grand-mère parler de sexe. Ce sont des conversations qu'elle ne tient pas avec sa propre mère bien qu'elle la sache portée sur la chose. Mais avec une grand-mère, on se lâche davantage. Elle s'est habituée à son langage très vert qui choque parfois sa propre mère.
- Dis-moi, mamie, tu as toujours été comme ça, très cul ?
- Oh oui. J'ai eu la chance de vivre une jeunesse sans sida mais avec la pilule et crois-moi, j'en ai bien profité. Et pas seulement avec ton grand-père.
- Tu l'as trompé ?
- Oui et non. Il m'est arrivé de baiser avec un autre homme sans qu'il le sache mais plus souvent encore alors qu'il le savait. Et même participait.
- Ah bon ? A plusieurs ?
- Oui, entre autres. Mais quand ta mère est née, on s'est un peu calmés. Puis on a recommencé, mais il y a eu des trucs qui ne m'ont pas plu et on a fini par se séparer. Ne me demande pas de détails, c'est perso. Quoi qu'il en soit, on est restés en bons termes.

- Tu n'as jamais eu envie de te remarier ?
- Non. Excuse-moi de le dire comme ça mais j'aime changer de bite. Et je ne m'en suis pas privée.
- En somme, tu es libertine. Et encore à ton âge, c'est épatant.
- Cela m'aide à rester jeune, au moins dans ma tête et même si mon corps, hélas, a changé. Mais il plait encore. Je fais encore bander ce bon vieux Albert...
- Il te fait bien l'amour ?
- Il me baise, nuance, et très bien, oui.
- C'est quoi la différence ? Moi, je fais l'amour avec Kevin.
- Parce que tu es amoureuse de lui. Moi, je suis amoureuse de la queue d'Albert et lui est amoureux de mon cul. C'est du sexe, rien que du sexe, et c'est super bon. Tu devrais essayer, rien que pour voir.
- Comment ça, essayer ?
- Ben oui, tu n'es pas mariée avec Kevin, que je sache. Rien ne t'empêche de baiser avec quelqu'un d'autre. Et je dis bien baiser.
- Mais, mamie, je tromperais Kevin...
- Mais non. Enfin, pas tout à fait. Et ça complèterait ton savoir, dont il profiterait aussi.
- Mais... avec qui ? Je ne connais personne d'autre.
- Moi, je connais quelqu'un qui t'irait très bien. Mon pote Albert.
- Quoi ? Le maire ? Mais il est bien trop vieux !
- Détrompe-toi. Il a une bite en acier. Et il sait la faire marcher. Il te ferait jouir, j'en suis sûre.
- Ah ben ça alors ! Mais je n'oserais jamais.
- Allons allons, je fais pas ta sainte nitouche comme ta mère. Toutes les trois, on aime le cul. Et puis, je serais là avec vous deux, pour te rassurer.
- C'est étonnant, ta proposition. Mais je n'ai jamais fait l'amour avec quelqu'un d'autre que Kevin.
- Et ça continuera parce que tu vas BAISER.

Claire se tut. Cette conversation, elle devait bien l'avouer, lui avait mis de l'humidité entre les cuisses. Depuis qu'elle était arrivée dans cette maison, elle ressentait presque tout le temps le besoin d'être pénétrée. La vision des corps nus de sa mère, de sa grand-mère, d'Olivier et de Kevin avait installé une atmosphère puissamment érotique que les récits cochons de Françoise et les ébats nuitamment sonores de sa mère (qui croyait être discrète), sans oublier la vitalité de son jeune amant, faisaient bouillonner en permanence le corps de la jeune fille.
Une expérience sexuelle avec un homme mûr ne pouvait pas lui faire de mal. Kevin n'en saurait rien. Elle en était là de ces réflexions quand Marianne apparut, sommairement vêtue d'un tee shirt lui arrivant en haut des cuisses. Claire trouva qu'elle sentait encore l'amour, qu'elle avait dû pratiquer quelques minutes avant de descendre. Ses seins pointaient sous la toile légère, en particulier lorsqu'elle s'étira debout, le sourire aux lèvres, dévoilant son pubis brun où perlaient encore des gouttes de sperme.
- Mmmh, j'ai bien dormi ! lâcha-t-elle en se servant son café.
- Avec un bon réveil câlin, compléta Françoise, pas dupe.
- Occupe-toi de tes fesses, répliqua sa fille.
- Rassure-toi, je m'en occupe, répondit Françoise.
Claire ne dit mot, encore sous le coup de la proposition de sa grand-mère qu'elle allait accepter, elle le savait déjà. Elle en informa plus tard sa grand-mère en lui faisant jurer de n'en rien dire à personne.
- Promis, juré, répondit cette dernière. Viens me rejoindre à l'heure de la sieste chez Albert. Tu diras que tu vas faire un tour à vélo.

*********

Elle arriva chez le maire comme convenu en début d'après-midi. Kevin voulut absolument l'accompagner en vélo mais elle prétexta le besoin d'être seule et le jeune homme n'insista pas. Ce fut Françoise qui lui ouvrit la porte, entièrement nue avec son bronzage intégral soigneusement travaillé au bord de sa piscine.
- Ah te voilà. On a déjà commencé, déshabille-toi et viens nous rejoindre dans la chambre.
Après cette débarrassée de ses trois vêtements (short, string et tee shirt, plus les sandales), Claire fit son entrée dans la chambre, un brin contractée. Albert était allongé sur le lit et la jeune fille remarqua d'emblée à la fois son érection spectaculaire et son bronzage partiel, avec une peau blanche jusqu'à mi-cuisses, signe d'une pratique assidue du vélo en cuissard. Ses cheveux grisonnants coupés très court et son corps sec de sportif, associés à un sourire enjôleur, ne déplurent pas à Claire.
- On avait commencé par un cunni, expliqua Françoise. Tu sais ce que c'est, au moins ?
- Heu...
- Cunnilingus, ou si tu préfères langue dans le con. Albert me léchait et il va continuer, hein Albert ?
Et Françoise s'allongea, cuisses largement ouvertes. A genoux, le maire plongea son groin sur la fente de la sexagénaire. Puis il se retourna de manière à offrir son pénis tout en continuant à lécher. La bouche sèche, Claire observait les mouvements de la tête grisonnante entre les cuisses de sa grand-mère laquelle se penchait pour absorber le pénis d'Albert. Cette activité buccale en forme de préliminaire, elle ne l'avait jamais pratiquée avec Kevin, tellement celui-ci était impatient de la pénétrer. Il faut croire qu'elle donnait du plaisir à la femme puisque Françoise se mit à couiner en frétillant, la main crispée sur la nuque d'Albert. Elle avait joui. Le couple se détacha et Françoise, l'oeil égrillard, commenta :
- Tu vois, il n'y a pas que la queue. La langue aussi. A toi maintenant.

Claire s'allongea à côté de sa grand-mère, un peu fébrile et en même temps impatiente. La scène avait provoqué dans son vagin une importante coulée de cyprine. L'homme se mit à genoux dans le prolongement de son corps, lui releva haut les jambes et colla sa bouche contre sa vulve. Claire eut alors la sensation inédite du plaisir buccal. Avec un savoir-faire diabolique, le quinquagénaire passait de son clitoris à son tréfonds, glissant jusqu'à l'anus avant de remonter, tandis que Françoise observait à ses côtés la montée de l'orgasme de sa petite fille. Il intervint assez vite après qu'elle se fut cabrée en arc de cercle au cours d'une bruyante jouissance. Le maire se retira, le visage complètement barbouillé de jus intime. Il prolongea le plaisir de la jeune fille et engageant deux doigts dans son vagin, ce qui la fit se tendre à nouveau. Lorsque le maire lui tendit ses lèvres, elle répondit à son baiser avec ardeur, comme pour le remercier de l'avoir déjà régalée. Mais elle en voulait plus, beaucoup plus. Elle voulut l'entrainer entre ses cuisses, mais Françoise l'arrêta :
- Hop là ! Pas tout de suite. Tu vas d'abord nous regarder baiser.

Et Françoise, après avoir brièvement astiqué le pénis de son amant, puis s'être enduit copieusement de gel intime, s'empala sur lui à l'envers. Et lâcha quelques commentaires en haletant :
- Je lui montre mon cul, il aime ça. Il va m'écarter les fesses, mettre son pouce dans mon petit trou.
Le lit se mit à tanguer sous l'effet des grands coups de reins de la sexagénaire.
- Approche-toi, regarde la bite comme elle va loin, souffla-t-elle à la jeune fille qui, de fait, avait le nez sur la jonction des deux sexes joints. Françoise se mit sur ses pieds et fit claquer ses fesses sur le ventre de son amant. Claire put découvrir toute la longueur de la pénétration, ce dont elle n'avait pas pris conscience avec Kevin. Françoise faisait danser sa croupe en agitant ses gros seins, concentrée, bavarde, laissant échapper quelques mots crus qui firent rougir les oreilles de Claire, jusqu'au moment où elle lâcha :
- Encule-moi maintenant.

Alors, le couple se détacha et Claire vit avec stupéfaction le quinquagénaire coller sa bouche contre l'anus grand ouvert de sa grand-mère, l'humecter abondamment de salive puis engager son gland violacé dans l'orifice. Dans un premier temps, la pratique la choqua. Non, le "derrière" n'était pas fait pour ça. Elle regarda néanmoins, fascinée par ce rapport incongru. Après quelques petits coups préparatoires, Albert se retrouva totalement engagé et à nouveau, les peaux claquèrent. A quatre pattes sur le lit, les seins pendants balançant au rythme des coups de boutoir, Françoise venait à la rencontre de son amant à grands coups de cul. Claire assistait comme hypnotisée à la première sodomie de sa vie et c'était sa grand-mère la pratiquante. Le cul blanc d'Albert, avec ses frénétiques va et viens, lui donna peu à peu une furieuse envie d'être pénétrée à son tour et elle se masturba quand elle entendit sa grand-mère s'exclamer :
- Ah c'est bon c'est bon, encore, vas-y, à fond !
Puis elle ajouta, après une nouvelle série de claquements de peaux :
- Ne jouis pas ! Retiens-toi !
Tendu, contracté, en nage, le quinquagénaire faisait un visible effort pour ne pas s'abandonner. Il se retira en se comprimant la queue et en gémissant. Quelques gouttes de sperme perlèrent au bout du gland. Françoise se retourna en se caressant les seins.
- C'est bien, tu t'es retenu. Tu es un expert. Souffle un peu et tu vas t'occuper de Claire.

*********

La jeune fille avait le regard brouillé par la scène surréelle qu'elle venait de vivre. Ainsi donc, c'était ça, "baiser" ? C'était ce rapport bestial ? Rien à voir avec l'amour. Mais alors, pourquoi avait-elle le bas-ventre en feu ? La langue d'Albert avait allumé l'incendie, son accouplement avec sa grand-mère avait répandu la flamme comme sur une flaque d'essence et maintenant, elle n'était plus qu'incandescence. Le Priape d'Albert lui faisait une excroissance d'animal fabuleux.
- Regarde ça, dit Françoise à Claire en tapotant du doigt l'engin dressé. C'est pas une pine. C'est un braquemard et il va te fourrer. Tu vas voir la différence avec ton petit copain.

Albert entra en jeu. C'est lui désormais qui voulait prendre l'affaire en main. Il poussa Claire, la força à s'allonger sur le lit et se glissa entre ses cuisses, bras tendus, cherchant à capter son regard. Dès l'abord, Claire ressentit une certaine réticence devant ce quinquagénaire grisonnant, si éloigné de son beau Kevin. Jamais elle n'aurait imaginé, en l'ayant vu auparavant, faire l'amour avec lui. Trop vieux. Pas assez sexy. Mais voilà : sa tête n'était pas "raccord" avec son sexe. Quand le gland plantureux s'insinua dans sa vulve, les chevilles de Claire se croisèrent par réflexe autour des reins du maire. Et elle pressa, avec plus ou moins l'idée d'en finir au plus vite pour apaiser le feu en elle.

Mais elle méconnaissait le savoir-faire de l'amant de sa grand-mère. Au lieu des mitraillades frénétiques de Kevin, lui la labourait de toute l'épaisseur de son mandrin. Pas pressé, mais en profondeur et sur un crescendo irrésistible, il la fit peu à peu basculer dans un autre monde sexuel, à tel point qu'elle plaqua ses deux mains sur les fesses de son baiseur comme pour mieux l'enfoncer. Ce n'était plus un "vieux" qui était en elle. C'était une bite épaisse, virulente, qui l'envahissait comme jamais encore elle n'avait été envahie. Mouvante sur le lit, elle proféra une série de "oui oui oui" qui ne laissait aucune place au doute : elle été baisée et heureuse de l'être. Encouragé, l'homme y alla franco, décidé à ne plus la ménager puisqu'elle "en voulait". Glissant ses bras sous ses genoux, il lui releva les jambes pour caler ses chevilles sur ses clavicules et poursuivit son travail de sape. Pliée en deux, Claire crut qu'il allait atteindre son estomac. Elle poussa un cri guttural en le fixant d'un regard éperdu de reconnaissance. Son orgasme fut violent et elle mit un certain temps à reprendre ses esprits tandis qu'il ralentissait ses va et viens mais sans s'interrompre pour autant. Cette fois, ce fut Claire qui vint à sa rencontre, les pieds sur le lit, en ruant sous lui. Albert n'en revenait pas de sa chance de baiser ce morceau de roi, cette fille de 19 ans au corps de rêve, qui remuait sous lui comme s'il avait vingt ans. Il tortilla du croupion et sentit un doigt s'insinuer dans son anus. C'était Françoise qui se rappelait à son souvenir.
- Tu te régales, hein, mon cochon ! Tu vas quand même en garder un peu pour ta Fanchon, hein ?

Il sentit qu'elle lui saisissait la queue entre ses cuisses et la tirait vers l'arrière en serrant son pénis à la base, comme pour l'empêcher d'éjaculer. Il bascula sur le dos, abandonnant Claire à regret. Il aurait bien joui en elle mais à l'évidence, sa maitresse ne l'entendait pas ainsi.
- Tu vas me prendre maintenant, tu vas me finir, tu as bien fait ton boulot avec ma petite-fille, maintenant c'est à moi, viens.
Hébétée, en sueur, Claire assista à la nouvelle phase de l'accouplement du couple senior.

*********
Quelle ne fut pas sa surprise de voir sa grand-mère saisir le pénis d'Albert et le porter entre ses seins. Le maire avait tellement payé de sa personne pour honorer la jeune fille qu'il connaissait un petit coup de mou. Aussi sa maitresse avait-elle décidé de le revigorer en lui offrant une fantaisie qu'elle savait appréciée.
- Je vais te montrer une cravate de notaire, ou si tu préfères la branlette espagnole, indiqua-t-elle à Claire.
La résultat fut spectaculaire. Frottée entre les deux plantureux nichons, la bite reprit rapidement le volume ad hoc pour une pénétration en bonne et due forme, d'autant que la langue de Françoise ponctuait chaque aller-retour.
- Ce n'est pas avec tes petits nénés que tu pourrais faire ça mais garde ça en mémoire quand tu auras mon âge, rigola Françoise entre deux succions.
Redevenu gaillard, Albert se positionna entre les cuisses charnues de sa maîtresse et l'accouplement prit un tour plus classique. Claire n'en fut pas moins très excitée de voir le cul blanc du maire virevolter dans le compas ouvert à 45° par la récipiendaire qui, de surcroit, s'était pris les pieds à pleines mains.
- Caresse-lui les couilles, lança la sexagénaire à sa petite fille, qui s'exécuta illico et connut une autre sensation, manuelle celle-là, consistant à flatter l'organe mâle, en l'occurrence très agité. Sa caresse parut encore plus dynamiser le maire et Françoise se mit à couiner.
- Viens viens maintenant ! cria-t-elle à son partenaire.
Claire, tout en continuant à palper les bourses, se masturba à nouveau, tendue vers le spectacle de ce cul d'homme en révolution qui conduisait tout droit sa grand-mère à un nouvel orgasme. Ils explosèrent ensemble, à deux et même à trois car Claire avait déclenché manuellement une nouvelle décharge électrique dans son tréfonds. Et le calme revint peu à peu sur le lit transformé en chantier érotique.

*********
Lorsqu'elle s'en revint à la maison familiale sur son vélo, Claire se demanda si elle n'avait pas rêvé. La scène torride à laquelle elle avait assisté -et participé- marquait à l'évidence un tournant dans sa jeune vie sexuelle. Le frottement de la selle ne fit rien pour la calmer et à peine arrivée, elle sauta littéralement sur Kevin. Il lui fallait encore de la bite et l'endurance de son jeune amant, à défaut de son imagination, parvint à la calmer un peu. Mais elle trouva leur rapport très conventionnel à côté de ce qu'elle venait de vivre. Il lui faudrait "éduquer" Kevin, sans quoi elle finirait par aller voir des hommes plus mûrs. Bien entendu, elle et sa grand-mère demeurèrent discrètes mais l'escapade de sa fille n'avait pas échappé à Marianne. Connaissant sa propre mère, elle se doutait qu'elle cherchait à édifier Claire. Une indiscrétion du maire, se vantant d'avoir "baisé une fille de 19 ans", lui vint aux oreilles. Interrogée avec véhémence, Françoise finit par lâcher le morceau :
- J'ai agi dans l'intérêt de ta fille. Maintenant, elle a vraiment vu le loup. Et son boy friend n'est qu'un petit louveteau qui ne la gardera pas longtemps.
Cette réflexion alerta Marianne. Elle ne voulait surtout pas que sa fille fraye avec des hommes qui pourraient être son père. Il fallait absolument qu'elle conserve le goût des garçons de son âge. En particulier ce Kevin qui lui plaisait bien, qu'elle trouvait gentil et particulièrement sexy puisqu'elle le voyait nu tous les jours au bord de la piscine. Et pour qu'il le reste pour Claire, il n'y avait pas trente six solutions : elle devait "l'éduquer" comme le maire avait "éduqué" sa fille.
A SUIVRE

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