Mon Pote Peintre

L’été dernier, je souhaitais repeindre plusieurs pièces de ma maison. Je dois bien reconnaître que l’ampleur du travail me décourageait quelque peu. Je me suis rappelé que j’en avais discuté avec mon pote Jérôme, qui est peintre en bâtiment, pour lui demander quelques conseils. Je l’ai donc appelé.

Après quelques prises de nouvelles mutuelles, je lui ai reparlé de mon projet de peinture et lui ai demandé si son emploi du temps permettrait qu’il vienne me donner un coup de main. Il m’a répondu qu’il était justement disponible le week-end d’après. Etant donné qu’il habite loin de chez moi, je lui ai proposé de loger tout le week-end à la maison, ce qui ne lui posait aucun problème en me proposant même de venir à partir du vendredi matin.

Quelques jours plus tard, j’attendais l’arrivée de mon pote. Lorsque je lui ai ouvert la porte, je me suis rappelé à quel point ce mec était sexy. Il approchait la trentaine mais avait gardé un visage de minet, des cheveux bruns stylés, des yeux bleu océan. Il mesurait environ 1m90 et avait une musculature soignée. Son seul défaut était d’être un pur hétéro.

Il m’a demandé où il pouvait se changer, et je lui ai indiqué le chemin de la salle de bains. Je m’attendais à le voir réapparaître avec son pantalon blanc du boulot mais il avait enfilé un training en coton et un vieux t-shirt m’expliquant qu’il était plus à l’aise en tenue décontractée. Je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un œil sur ses entre-jambes où se dessinait une belle bosse qui me faisait envie. Dans mes fantasmes j’aurais presque pensé qu’il l’avait fait exprès pour m’exciter vu qu’il connaissait bien mon attirance pour les hommes.

On s’est mis au travail et je constatais avec quel professionnalisme il exécutait chaque geste. Les heures passaient et son ardeur à la tâche ne faiblissait pas. On discutait en même temps de tout et de rien. Il m’expliquait qu’il avait quelques plans culs réguliers mais aucune relation sérieuse avec l’une de ses partenaires.

Il s’en trouvait bien ainsi mêlant plaisir et liberté.

L’après-midi il fallait qu’il utilise une escabelle pour atteindre le plafond. Malgré sa grandeur et les deux marches franchies, ses bras atteignaient péniblement le plafond. De plus, la stabilité de l’escabeau laissait à désirer et il me demandait de le tenir fixement pour ne pas trembler. Je me retrouvais ainsi la tête face à son sexe. Mon excitation se renforçait en voyant le bas de son ventre découvert sous l’effet de ses bras levés et ses quelques poils pubiens qui remontaient au-dessus de la ceinture.

Mes lèvres positionnées à quelques centimètres de l’objet de mon désir me donnaient envie de lui bouffer le pantalon. Je levais les yeux vers lui qui semblait concentré sur son travail. Mon regard revenait vers sa bosse. J’avais l’impression que son sexe était en semi-érection. Tout à coup, perdu dans mes pensées, les jambes de Jérôme ont bougé et mon nez s’est retrouvé collé à sa bosse. Gêné, j’ai levé le regard vers lui qui me fixait avec un air vicieux. Je ne savais quoi dire, ma vue est redescendue vers son sexe qui, j’en étais désormais certain, se dressait fièrement à travers le tissu.

Je n’ai plus pu me retenir, j’ai ouvert la bouche pour la poser sur le tissu tendu et léchait sa zone intime. Je n’osais pas relever les yeux. Il a lui-même baissé son pantalon, il ne portait pas de sous-vêtements, et sa queue s’offrait ainsi à moi. J’ai sorti ma langue pour lécher son magnifique sexe, je suis redescendu vers ses deux testicules puis suis remonté vers son gland circoncis. J’ai ensuite gobé sa queue pour lui prodiguer une bonne pipe avec mon savoir-faire reconnu. Ma langue caressait son gland pendant que je faisais des va-et-vient avec ma tête. J’alternais les vitesses et quelques gémissements de sa part m’encourageaient à y aller de plus belle. Une main caressait ses couilles, l’autre s’agrippait à une de ses fesses pour y donner encore plus d’entrain. Dix minutes de ce traitement plus tard, j’entendais son souffle s’accélérer et comprenait bien que son éjaculation était proche.
Lorsque j’ai entendu sa voix dire qu’il allait jouir, j’ai eu à peine le temps de me retirer et me suis pris une douche de son jus sur le visage. J’ignorais si cette quantité était habituelle chez lui mais on peut dire lorsque je me suis retourné vers un miroir dans la pièce, j’avais la face bien repeinte de son liquide chaud et bien blanc.

J’ai été chercher un essuie pour nettoyer mon visage, j’entendais mon pote prendre de l’essuie-tout pour se frotter les quelques gouttes restées sur son gland. Lorsque je suis revenu dans la pièce, j’étais gêné et ne savais pas que dire. Jérôme qui avait remis son pantalon en place m’a regardé en disant tout simplement qu’on reprenait le travail.

L’après-midi s’est déroulée tout à fait normalement et aucun de nous deux n’a reparlé de cela. Le soir, il s’est douché et m’a ensuite dit qu’il ne tarderait pas à aller dormir pour être en forme le lendemain. Je lui ai donc montré la chambre d’amis et l’ai laissé s’installer. Sur mon lit, mon esprit fantasmait à le rejoindre mais la raison me poussait à rester en place. Le sommeil me gagnait peu à peu et j’entendais Jérôme se retourner encore et encore dans son lit. J’ai fini par fermer les yeux lorsque dans un état second j’ai senti une main me réveiller. Jérôme était là debout, le sexe à nouveau bien bandé et me dit naturellement « On a qu’une vie ». J’ai bien compris l’invitation et ne me suis pas fait prier pour le sucer à nouveau. Jérôme s’est ensuite positionné à califourchon sur mon torse, m’a tenu la tête et m’a baisé la bouche sans violence mais en insistant bien pour aller au fond de ma gorge.

Il m’a ensuite demandé si j’avais une capote devinant bien ses intentions. Je lui ai montré le tiroir de la table de nuit, ne pouvant pas parler la bouche pleine. Il a sorti le lubrifiant puis m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Il a appliqué une bonne dose toute froide du lubrifiant et sans ménagement a voulu me pénétrer aussitôt. Il eût quelques difficultés à bien me pénétrer étant fort serré mais quelques mouvements plus tard il avait attrapé un rythme de pénétration qui semblait fortement l’exciter.
Je l’ai entendu me dire que c’était trop bon de baiser un cul finalement. Je dois avouer que de mon côté c’était malgré tout douloureux mais m’appliquait à lui laisser prendre du plaisir. Ses va-et-vient étaient énergiques et ses grognements de plaisir m’excitaient de plus en plus. J’avais enfin la rondelle assouplie et me suis mis à gémir à mon tour tellement ce mec me baisait bien.

Son endurance était à toute épreuve et j’étais surpris qu’il puisse rester autant de temps dans la même position à me limer encore et encore. Je sentais la sauce monter dans mon bas ventre et ai fini par éjaculer une bonne dose directement sur les draps sans même me toucher. Il a accéléré le rythme de son coté jusqu’à éjaculer à son tour dans un grand râle de plaisir. Il s’est débarrassé de la capote, s’est couché à ma gauche et a simplement dit « Maintenant dodo ! ». Il ne lui a pas fallu une minute pour être plongé dans un sommeil profond. J’ai donc fait de même de mon côté.

Le matin venu, je me suis réveillé sur le flanc et ai senti le sexe de mon pote contre mes fesses. J’ai tourné le regard vers lui et il dormait encore profondément. Je l’ai poussé délicatement sur son dos et ne résistant pas, ma bouche est descendue vers son sexe une fois de plus. Je le suçais avec envie pendant que lui continuait de rêver. Occupé à saliver sur sa grosse queue, j’ai senti sa main se poser sur ma tête pour imprimer le rythme qu’il désirait. Je m’arrêtais par moments pour faire de bonnes gorges profondes qu’il semblait fortement apprécier. Il ne lui a pas fallu longtemps pour sentir l’éjaculation monter et sans me prévenir s’est vidé au fond de ma gorge. Lui, ravi de cet agréable réveil s’adresse à moi en me disant « Eh beh quel gourmand tu fais ». Un peu gêné, je lui réponds « J’avoue mais ça ne semble pas te déplaire ». Il enchaîne et rétorque « Je suis très cochon en effet, le week-end n’est d’ailleurs pas fini ». J’ai souri, très heureux de savoir que je pourrais encore profiter de son engin avant son départ.

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