La Soumission De Ma Belle-Soeur

Depuis 5 ans Gaëtan été marié à une femme charmante certes mais peu portée sur le sexe. Virginie, sa femme, avait une sœur beaucoup plus ronde qu’elle 1m68 pour 85 kg, une poitrine opulente à vue de nez au moins du 105 E. Gaëtan n’avait jamais prêté attention à sa belle-sœur, qu’il appréciait mais pas au point de fantasmer sur elle.
Fabienne vint un jour à la maison car elle avait un problème avec son pc portable, elle savait que Gaëtan pourrait le lui résoudre sans problème. Après avoir examiné le portable, il avait besoin de sauvegarder un certain nombre d’information et demanda son disque dur externe à Fabienne afin que ses données ne soient pas perdues. L’opération devant durer un certain temps les deux filles allèrent papoter dans le salon, laissant Gaëtan seul dans le bureau. Il avait toujours été de nature curieuse, et c’est tout naturellement qu’il commençait à ouvrir différents dossiers en attendant que cela charge.
Il découvrit un dossier intitulé seulement « Fabienne », il était bien caché en ce sens qu’il lui avait fallu ouvrir une dizaine d’autres dossiers avant de trouver celui-ci. Quelle ne fut pas sa surprise en double cliquant sur l’Icône. Un tas de photos de sa belle-sœur nue, dans différentes positions lui apparurent. Après un bref coup d’œil vers le couloir, il examina les photos. Elles avaient toute été prises par Fabienne elle-même, façon selfie. Des classiques, nue, avec lesquelles il put apercevoir les formes rondes de sa belle-sœur, ses gros seins épais tombant sur son ventre et son sexe totalement épilée. Contrairement à ce qu’il aurait pu penser avent de tomber sur ces photos, elles commençaient à lui faire de l’effet et il sentait son sexe durcir. Certaines photos le titillèrent plus que d’autres, une où l’opulente poitrine de Fabienne était serrée avec des élastiques faisant ainsi remonter et durcir celle-ci en mettant en évidence ses tétons un peu long. Une autre où ceux-ci étaient ornées de pinces à linge ainsi que ses lèvres et son clitoris.

Certaines avec des plugs et gods de différentes formes et taille s’immisçant dans sa chatte ou dans son cul. Des clichés qui ne laissaient aucun doute sur les préférences sexuelles de Fabienne.
Etant délaissé par sa femme, Gaëtan avait découvert un goût pour l’univers du SM en dialoguant sur des sites spécialisés, visionnant des vidéos, et lisant quelques histoires. Jamais cependant il aurait pu penser que sa belle-sœur eut aussi les mêmes goûts. Son état d’excitation était au plus haut, sa main avait commencé des va et vient régulier sur son sexe et la jouissance était prête à venir. Il entendit arriver les filles juste à temps pour retirer sa main, et fermer la fenêtre du fichier, ni vu ni connu mais avec un sentiment amer de frustration.
Gaëtan eu du mal à discuter de la pluie et du beau temps avec les filles, mais parvint à se contenir malgré les images qui défilaient devant ses yeux. Sa femme pensât que c’était les préoccupations du boulot qui le rendait si peu loquace et Fabienne finit par lui demandait si sa demande d’intervention sur son PC l’avait importuné.
- Je te rassure, je suis content que tu sois venu me voir, je n’aurais laissé cela à personne d’autres, dit-il avec un sourire que lui seul pouvait comprendre.
La soirée se passât sans rien de plus ni dans les attitudes ni les sous-entendus. Mais au moment d’aller se coucher, Gaëtan prétextât un dossier très important à lire et laissât sa femme aller dans leur chambre seule. Ce n’était pas inhabituel, Gaëtan avait pris l’habitude de travailler tard dans son bureau puisque rien ne l’attendait dans son lit conjugal.
Avant de s’extasier devant les photos de Fabienne, il avait pris le temps de copier le dossier sur une clé USB qu’il pouvait avoir sur lui en toute discrétion. Ce soir-là il détailla soigneusement les 97 photos en sa possession en se branlant jusqu’à éjaculation.
Cela faisait maintenant 3 mois que cet épisode avait eu lieu et il ne manquait pas un soir ou plus où il se branlait en imaginant divers scénarii où il se trouvait dominant sa belle-sœur et parfois, plus rarement l’inverse.
Après 3 mois la flamme commençait à s’éteindre, les fantasmes toujours pareils et aucune idée pour les concrétiser. Gaëtan avait fini par se lasser, autant qu’il est possible, de cet imaginaire. La vie continuait son chemin jusqu’au jour où …
Les parents de Virginie et Fabienne était morts dans un accident de voiture quelques années plus tôt, les filles n’avait plus de famille directe, et avait un fort respect mutuel. Aussi quand Fabienne eut des difficultés pour se loger après son licenciement c’est tout naturellement que Virginie lui proposât un toit. Leur maison était spacieuse avec 4 chambres et un sous-sol faisant la taille de la maison. Gaëtan et Virginie avait essayé de faire des s mais pour cela, c’est une évidence, il faut passer à l’acte et pour Virginie ce n’était pas une priorité. Aussi la maison était un peu vide. Cet épisode se déroulait plus d’un an après le téléchargement du fichier de Fabienne et Gaëtan quoique plus attentif à sa belle-sœur n’en restait pas moins bienveillant.
La maison était grande, le sous-sol aussi, Valérie proposât à sa sœur d’aménager celui-ci en appartement privé pour que Fabienne se sente à l’aise. Aussitôt dit, aussitôt fait, les travaux furent rondement menés et peu de temps après Fabienne inauguré son nouvel appartement qui avait tout d’un vrai, excepté que certaines portes donnaient accès à la maison de sa sœur.
Lors des travaux, à l’insu de sa femme et de sa belle-sœur, Gaëtan avait placé des caméras discrètes dans toute les pièces su sous-sol y compris toilettes et salle de bain. L’arrivée de sa belle-sœur, avait ravivé l’ensemble de ses fantasmes aussi rapidement qu’une allumette frottée sur son grattoir. Il avait très vite compris l’intérêt qu’il aurait à surveiller Fabienne.
Dès les premiers jours il fut conforter dans son idée, sa belle-sœur se livrait régulièrement à des jeux intimes mais restée soft. Cela excité et frustré Gaëtan qui commençait à avoir du mal avec ce chaud-froid. Il avait tenté des rapprochements avec sa femme qui lui avait concédé une branlette rapide sans aucune autre considération.
Après quelque temps il avait cessé de regarder les vidéos en direct, mais continuait à enregistrer, au cas où.
Un après-midi, sa femme étant parti faire des courses avec sa sœur, Gaëtan se livrer à l’inspection des vidéos enregistrées. Au détour d’une énième vidéo, il aperçut enfin le Graal. Fabienne, dans sa salle de bain s’introduisait des boules de geisha dans le vagin, un plug anal et commençait à enserrer ses énormes seins avec des élastiques. Gaëtan était content d’être seul pouvant se livrer à son exercice favori. Fabienne pris un martinet et commençait à se fouetter les seins, son bas ventre et son cul. Son plaisir n’était pas feint et il sentit monter le désir en lui, s’imaginant tenir le martinet. Puis vint le tour des pinces qu’elle s’appliqua à mettre sur ses tétons et ses seins,5 sur chacun, et 6 sur ses grandes et petites lèvres. A chaque morsure Fabienne semblait défaillir, embarquant avec elle la jouissance de Gaëtan.
Après avoir remis de l’ordre dans son bureau, il réfléchit à comment tirer parti de cette vidéo. Il savait que Fabienne connaissait le peu d’intérêt de sa sœur concernant le sexe et jamais ce sujet n’était abordé lors des réunions de famille. Gaëtan tenait là le moyen de faire pression sur Fabienne.
Il fit une copie de la vidéo, l’a mis sur une clé USB et la glissât dans une enveloppe avec un mot. :
« Fabienne, regarde le contenu de la clé et monte me voir quand ta sœur sera couchée… »
Pas de long discours, juste laisser planer un doute. Il descendit dans l’appartement de Fabienne et déposât le mot sur sa table de chevet avec l’inscription à lire seule.
Les filles rentrèrent des courses et chacune allât vaquer à ses occupations. Gaëtan, toujours du travail à finir, était dans son bureau. Les yeux rivés sur l’écran il guettait le moment ou Fabienne allait lire son mot. Elle déposât ses courses sur la table de cuisine, retirât ses chaussures, sa veste et fit tomber son pantalon. Elle ne gardait sur elle qu’une culotte et un débardeur.
Pour Gaëtan, l’attente devenait insupportable, tant son excitation était au maximum. Fabienne continuât, allant se soulager dans les toilettes, Gaëtan avait pris l’habitude de la regarder faire, il avait placé une nouvelle caméra dans les toilettes elle-même qui lui offrait un spectacle toujours renouvelé. Enfin, après 1h de déambulation, Fabienne entre dans sa chambre et sa vue est très vite attirée par ce mot énigmatique. A-t-elle compris que c’est l’écriture de son beau-frère ? Toujours est-il qu’elle s’empare de son Pc portable, l’allume et insère la clé USB. Gaëtan compris sa première victoire quand il vit Fabienne lâcher son Pc et devenir blanche. Elle tourna plusieurs fois la tête cherchant quelque chose qu’elle ne parvenait pas à voir. Elle se levât et marchât de long en large dans son appartement surement en proie à des craintes bien compréhensibles. Son propre beau-frère, elle ne l’aurait jamais cru. Dans son courrier il ne disait rien de ses intentions et c’est bien cela qui l’inquiétait. Elle ne pouvait qu’imaginer, et il n’y a rien de pire que notre imagination pour augmenter nos angoisses.
Un sourire apparut sur le visage de Gaëtan qui retournait voir sa femme pour diner.
21h30. Virginie dormait depuis longtemps. La silhouette de Fabienne passe la porte laissée ouverte. Gaëtan, au salon, attend, les yeux brillants, sûr de son stratagème.
- Entre lui dit-il, je suis dans le salon.
Fabienne arrive et alors que Gaëtan imaginait une furie débarquer, il trouvât une Fabienne froide, distante, le regard glacial.
- Comment as-tu pu me filmer, chez moi ?
- C’est un peu chez moi aussi, excuse-moi de te le rappeler. Je te demanderais de parler un peu moins fort, tu ne voudrais pas que ta sœur se lève et découvre tes turpitudes ! Il l’avait ferré et le chantage qu’il avait imaginait se mettait en place petit à petit.
- Que veux-tu ? Lui dit-elle froidement
- Tout
- Et qu’est ce qui te fait croire que tu l’auras ?
- La même chose qui te fait baisser la voix. Si tu ne fais pas tout ce que je te demande, si tu ne te soumets pas à moi, je montrerais à ta sœur de quoi tu es capable. Tu connais sa position sur le sexe, je te laisse imaginer sa réaction et du coup ta nouvelle demeure… La rue.
Silence, l’atmosphère est tendue, Gaëtan se demande s’il n’a pas été trop loin, trop vite. Fabienne, elle, cherche vainement une échappatoire à cette situation qui certes la contrarie mais commence aussi à la chauffée. Enfin ses fantasmes sont découverts, oui mais elle ne le voulait pas comme ça.
- Alors ta réponse ?
- Je n’ai pas vraiment le choix, il me semble.
- Bien alors, déshabille-toi !
- Quoi, ici ? Mais Virginie…
- Elle dort pour l’instant et si tu ne veux pas que je la réveille tu dois obéir plus vite et sans discussion.
Fabienne commence à se déshabiller, bien sûr son corps n’avait plus de secret pour Gaëtan qui l’avait vu tant de fois. Il voulait mesurer par là son degré d’obéissance.
Nue devant lui elle attendait, gênée, les mains croisées devant son pubis. Gaëtan ne disait rien, continuant à la fixer comme si elle n’était pas devant lui.
La gêne était visible, elle ne bougeait plus jetant quelques regards à Gaëtan sans oser ouvrir la bouche. Au bout d’un certain temps les yeux posés au sol elle entendit les premiers mots depuis son effeuillage.
- Il était temps, tes yeux doivent toujours regarder le sol. Ce sera ta première règle. Pour la deuxième, quand je te dirais en position tu te mettras à genoux, jambes écartées, les mains croisées derrière la tête et le regard au sol. Tu as compris.
- Hum… Grommela Fabienne.
- J’ai besoin d’un oui franc. Dépêche-toi !
- Oui. Arriva-t-elle à articuler en faisant la grimace.
- Troisième règle tu devras quand nous serons tous les deux t’adresser à moi en disant Monsieur. Quatrième règle tu t’adresseras à moi que quand je te le demanderais. Tu as compris.
- …..
- Ne m’oblige pas à répéter cela te conduirait à ta première punition.
- Oui Monsieur.
- Bien, enlève tes mains et croisent les derrière ta tête. Redresse-toi la tête baissée et écarte tes jambes.
Fabienne s’exécuta difficilement mais teins la position demandée. Gaëtan s’approcha et commença à faire le tour jaugeant sa bête comme une vache au salon de l’agriculture. Il fit le tour une fois, deux fois et à la deuxième s’assis sur la chaise derrière Fabienne sans un mot.
Au bout d’un quart d’heure ce qu’il avait prévu arriva. Fabienne lui demande si elle peut descendre ses bras car ils commencent à être douloureux.
- Quel est la quatrième règle ? dit-il d’une voix glaciale.
- Je ne sais plus.
- Tu as quatre règles à retenir et tu en enfreins deux en un quart d’heure. T’es vraiment une grosse conne.
« Grosse conne », cela avait frappé Fabienne aussi durement qu’un coup de fouet. Elle ne s’y attendait pas, son beau-frère ne lui avait jamais parlé de la sorte.
- La quatrième règle c’est que tu ne dois ouvrir la bouche que quand je te le demande, et la troisième c’est que tu dois dire Monsieur à chaque fois. Tu as compris cette fois ?
- Oui Monsieur, je suis désolée Monsieur.
- Ne t’inquiète pas c’est la première fois, tu n’auras qu’une petite punition, lui dit-il en repassant devant elle.
Il sentit le frisson qui passait sur son corps, il avait réussi son coup. Elle ne s’en rendait pas compte mais le cœur de Gaëtan battait à 200 à l’heure, il jubilait à l’intérieur et son corps y répondait, l’érection naissante quand Fabienne se déshabillait était devenue bien visible.
- Reste en position !
Gaëtan approcha ses mains de cette poitrine tant convoitée. Il les massât à pleine mains, n’hésitant pas à bien les serrer. Sa poitrine tombante était dans les critères de fantasmes de Gaëtan. Il roula ses tétons entre ses doigts, les tirant et les étirant à souhait. Fabienne ne pouvait cacher son émoi et ses quelques pincements de lèvres démontrés que le plaisir montait doucement.

A suivre…

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