Redecouverte Du Sexe

L’histoire d’un couple ordinaire. Voilà bientôt 20 ans que nous sommes mariés. Deux s de 20 et 18 ans. Bref une vie banale. Tellement banale que la libido nous avez fuit comme si jamais nous en avions eu. Pourtant au début de notre relation c’était tout feu tout flamme, nous faisions l’amour partout comme si rien ne comptait plus que de nous donner du plaisir. Et puis la vie nous a rattrapé, plus rien depuis 10 ans. Ça paraît long mais dans la monotonie d’une vie c’est très court.
Pourtant ce qui nous avait menait au début de notre rencontre était toujours là, en plus fort, plus intense. Comme si la frustration sexuelle nous avait conduit à une perversité insoupçonnée. Un volcan éteint que tous les spécialistes avaient diagnostiqué mort qui entre subitement en éruption.
Tout d’abord présentons nous. Je m’appelle François, j’ai 48 ans, 1m80 pour 85 kg, cheveu poivre et sel. Ma femme, véronique, à 44 ans, 1m70, 80kg, une poitrine de 100C, de longs cheveux bruns. A chaque fois que je la vois je suis amoureux, même durant ces années je n’ai jamais cessé de l’aimer.
Les s sont parties faire leurs études dans d’autres villes et aujourd’hui, nous préparons les cartons pour le déménagement de Paul notre cadet. Sa grande sœur, Jeanne, était partie l’année d’avant, elle faisait ses études à Paris. Paul lui partait moins loin, mais Montpellier n’était pas la porte à côté. Cela signifiait que nous allions nous retrouver seul dans cette maison en sachant que les s ne rentreraient pas tous les week-ends.
Nous ne nous étions jamais posé la question de cette « solitude » à deux. Nous prenions cela comme tout le reste, une suite d’évènements, sans plus. C’est pourtant le départ de Paul qui a, je pense, tout déclenché.
Dimanche soir, nous montons nous coucher, plus d’s à la maison, le film limite érotique de ce soir, bref je n’en sais rien, mais je sentais l’atmosphère changer. Nous dormons tous les deux sur le même côté et la nuit nous nous tournons en rythme.

J’était donc contre elle, et j’ai eu envie de la caresser. Le bras, la main, la hanche et je remonte la main, le bras. Je n’ais plus l’habitude de la caresser comme cela et je sentais à son souffle qu’elle aussi était troublé. Mes caresses dépasser ses hanches et ma main osa se poser sur ses fesses, un arrêt pour ressentir si je peux aller plus loin… Jusqu’ici tout va bien dirait un film célèbre. Je caressais donc ce cul que j’avais ignoré si longtemps, à travers son pyjama d’abord, puis passant sous l’élastique ma main caresse sa peau. J’avais presque oublié que sa peau était si douce, quel bonheur de retrouver ces sensations. Ce soir là nous sommes restés sage et après ces instants qui peuvent sembler très sage, nous nous sommes endormis.
Un volcan qui s’éveille ce n’est pas une explosion soudaine mais une suite de prémices, de secousses qui amène à l’explosion finale. Pour nous c’était pareil. Nous n’avons pas parlé le lendemain, mais tout les soirs mes mains aller plus loin, un sein, sa toison, un téton que l’on roule entre ses doigts, petits à petits mes mains reprenaient connaissance de ce territoire depuis si longtemps inexploré. Ma femme ne restait pas passive, certes elle ne participait pas, pour l’instant, activement mais ses mouvements visés clairement à me faciliter l’accès vers des zones inatteignables. Quand je me tourner elle faisait jouer ses mains sur moi comme pour elle aussi reprendre la mesure de mon corps.
Ce petit jeu durât une petite semaine, nous sentions tous les deux que nous en avions besoin et pourtant nous ne parlions pas, ni de nos besoins, ni de nos ressenties.
Un soir, ma main s’attardât un peu plus longtemps sur sa toison et comme par reflexe, je descendis pour l’embrasser. Cela faisait longtemps que je n’avais pas bu à ses lèvres, pourtant au début de notre relation c’était une de mes qualités.
J’ai toujours aimé pratiquer des cunnilingus. Passer ma langue sur son clitoris, lécher l’intérieur des ses lèvres, pointer ma langue comme une petite queue et la pilonner avec, que du bonheur.
J’ai toujours aimé ça et ce soir plus particulièrement. Véronique contrairement à nos débuts, me pris par mes cheveux et insista avec sa main pour que je lui lèche son sexe, ma laissant à peine le temps de respirer. Je bandais, je dois le dire ce traitement me mis tout de suite en excitation. J’aimais me laisser faire et cette pression sur ma tête, quel bonheur. Elle me retira la tête de son sexe alors qu’elle était prête à exploser et me dit d’un ton naturel :
- Bouffe-moi le cul, chérie !
Cet ordre aurait pu me laisser de marbre, mais il faut dire que ça aussi je le lui prodiguais quand nous nous sommes rencontrés. Je le fis donc avec ardeur, comme si c’était la première fois. Elle était prête à jouir et je sentais toute sa détermination à lutter.
- Descend du lit et mets toi à genoux. C’était sec et direct et le ton ne souffrait aucune plainte. Je m’exécutais donc rapidement.
Elle s’assoit sur le lit et me reprends par les cheveux pour que je la lèche de plus belle. Je la voyais entre temps ce massait les seins et serrer ses tétons, jusqu’à ce cri libérateur, que je n’avais plus entendu depuis longtemps. Elle s’affala sur le lit comme prise d’un sommeil profond. Je restais là, avec mon érection, et ma partenaire dans les vaps. Mais j’étais pourtant aux anges cela faisait 10 ans que véro n’avait plus eu un orgasme et ce qui aurait pu nous coûter notre mariage, venait de revivre ici et ce soir.
Je me levais de ma position inconfortable et alors que j’allais regagner ma place dans le lit, j’entendis :
- Merci, ça fait tellement longtemps, je croyais même que ce ne serait plus possible. Merci. Ses yeux à ce moment là me montrait tout l’amour qu’elle avait toujours pour moi.
- De rien je suis tellement heureux de nous retrouver. Luis dis-je
- Pas de nous retrouver, moi je t’ai retrouvé, mon lécheur endiablé. Mais moi suis-je de retour ? me dit-elle en clignant de l’œil. Reste là debout que je m’occupe de cette belle érection.

Alors je ne suis pas de ceux qui se vante de la taille de leur sexe, le mien est normal on va dire 17 cm et 3 de diamètre et je suis circoncis, le plus important c’est qu’il plaise à ma femme et qu’elle puisse jouer avec.
Elle se rassoit sur le bord du lit et commence à lécher mon gland, faisant le tour avec sa langue. Que j’aime cette sensation, j’ai toujours aimé les fellations et très, très souvent nos ébats se terminer par cela. Elle passe sa langue sur mon méat et insiste comme si sa langue voulait rentrer dedans, cette sensation est magique. Elle continue, ferme ses lèvres sur mon sexe et commence à coulisser le faisant entrer entièrement avec sa langue qui continue de lécher sur la longueur. J’avais eu quelques aventures avant elle mais jamais personne n’avait su me sucer aussi bien, quelle sensation fabuleuse. Sa main gauche jouer avec mes bourses, les soupesant et les relâchant (j’ai les bourses pendantes et cela lui a toujours plu, car elle pouvait jouer avec), je me sentais presque comme avant. Elle aimait tirer mes bourses et savait que cette pratique pouvait me faire jouir rapidement. Mais ce soir elle ressentait l’envie de se rappeler de nos derniers ébats et pendant que sa bouche et sa main gauche était occuper, je sentais sa main droite prendre possession de mes fesses. J’étais aux anges. Je savais ce qu’elle avait en tête et avant que sa main face son office je pris ses doigts en bouche pour les lubrifier. Ce trou là n’avait pas servi depuis longtemps et tant qu’a faire je souhaitais que cela se passe bien. Elle prit son index et commençât à tourner autour de mon petit trou, ma queue se raidissait et c’était peu de dire que j’étais proche de l’explosion. Ma prostate n’a pas eu le temps d’être touché par ce doigt inquisiteur, le fait qu’il soit juste rentrer couplé à tous le reste ce fut une explosion de sperme qui envahit sa bouche. Surprise à moitié, elle ne put pas tout avaler, ce qu’elle faisait avant. Mon sperme coule le long de son menton, tombe sur ses seins et son ventre.
Moi je n’étais presque plus là vaincu par un orgasme que je n’avais pas ressenti avant.
Je m’assois à côté d’elle, nos bouches se trouvent et nous sous embrassons comme si c’était la première fois.

…. A suivre

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