Dominique : Ma Femme Est... Étonnante !

Je prenais quelques jours de vacances, seul sur la côte. C’était une période de réflexion après une aventure récemment terminée. Je profitais du calme et du beau temps de ce début d’automne, pour flâner sur la plage naturiste ou sur la place du village, devant l’hôtel où je résidais pendant mon séjour.
Cette place s’articule autour d’une immense halle avec un espace piétonnier, un terrain de boule, des jeux pour s, le tout bien ombragé, avec des bancs disséminés un peu partout.
C’est là que depuis deux jours je bouquine tranquillement avant de boire l’apéro dans un bar et dîner.
Je suis plongé dans mon roman historico-policier et ne prête guère attention à ce qui se passe autour de moi. De temps en temps je jette un regard. A l’autre bout de « mon » banc, une femme s’est assise depuis un moment, ce n’est que quand je sors une cigarette qu’elle m’interpelle.
« Excusez-moi, monsieur. Puis-je vous demander une cigarette s’il vous plaît ?
Bien sûr ! Prenez. »
La femme, qui doit avoir la trentaine, s’est rapprochée pour saisir la cigarette et que je lui allume. Elle reste à proximité. La conversation s’arrête là et je reprends ma lecture, captivé par mon bouquin, je ne m’occupe plus d’elle. Ce n’est qu’après quelques minutes que je me rends compte qu’elle sanglote. Je suis à la fin d’un chapitre, aussi, je me tourne vers elle, histoire de ne pas paraître bougon. C’est une assez jolie femme, même si ses pleurs ont quelque peu ravagé son visage. Elle tire nerveusement sur la cigarette et il me semble même qu’elle n’est pas habituée au tabac. Je marmonne :
« Vous savez, un chagrin d’amour, ce n’est pas fatal. A votre âge vous trouverez vite quelqu’un.
De quoi vous vous m….
Pardon ! Pardon ! Je ne veux pas vous embêter, mais une jolie femme qui pleure, çà m’a toujours troublé. Excusez-moi, je ne veux pas me mêler de vos affaires ! » Je reprends mon livre.
Ne vous excusez pas ! C’est moi qui devrais le faire.

Vous avez été gentil, mais je suis dans un mauvais moment.
J’espère que ce n’est pas un deuil ou une maladie.
Non, non, C’est autre chose…. C’est toujours pareil !
Je comprends.
Non, vous ne pouvez pas comprendre… c’est spécial.
Si çà peut vous aider, n’hésitez pas à en parler. Çà fait du bien. En plus, je ne suis pas d’ici alors vous ne risquez rien. Et puis, j’ai le temps.
Je ne veux pas vous embêter avec mes histoires.
Vous ne m’embêtez pas du tout et puis, çà me changera de mon roman.
Je… Bon… » Elle s’approche un peu de moi et son parfum me trouble. Elle tremble. Je lui offre une nouvelle cigarette. Sans prendre garde je passe ma main derrière son dos et la pose sur le dossier. « Je sortais avec un garçon depuis un an… On était bien ensemble…
Il vous a laissé tomber.
O… Oui ! C’est chaque fois pareil !
Pourtant, une jolie fille comme vous…
Vous êtes gentil mais… J’ai voulu … comment dire… « officialiser » notre relation. Je croyais qu’avec lui ce serait possible… C’est là que… » Elle se remet à pleurer, aussi j’entoure ses épaules de mon bras et elle pose sa tête sur mon épaule. C’est alors que je remarque trois jeunes hommes de l’autre côté du square, qui nous regardent en rigolant. Je la lâche et me redresse.
Ah je vois !
Qu’y a-t-il ?
Vous avez fait un pari !
Un pari ? Je… Ne comprends pas !
Mais si ! Vous avez pariez avec les trois mecs en face, que vous alliez draguer le vieux assis sur son banc et qu’il allait vous suivre.
Mais… Non ! Pas du tout ! C’est des cons ces trois là ! Ils me font chier depuis toujours ! Excusez-moi ! Je ne veux pas vous déranger ! » Alors qu’elle se lève, je la retiens par la main. Ce contact provoque en moi comme un courant électrique. Elle me regarde et se rassoit. « Je vous jure que je n’ai rien à voir avec ces cons ! » Elle ne lâche pas ma main. « Je comprendrais si…
A mon âge, on se moque de ce que peuvent dire les autres.
J’ai l’impression que çà vous fait du bien de parler, alors ne vous gênez pas continuez.
Vous êtes gentil… Et puis, vous n’êtes pas vieux.
Merci. Mais, je dois avoir le double de votre âge.
J’ai trente deux ans.
Vous ne les faites pas ! Moi j’en ai presque cinquante.
Vous ne les paraissez pas, non plus ! C’est vrai !
Dites-moi. Qu’est-ce que vous pensez de continuer notre conversation autour d’un verre dans le café là-bas ?
Çà ne vous gêne pas… d’être vu avec moi ?
Pourquoi çà me gênerait ? Au contraire, je suis flatté d’être à côté d’une belle et jeune femme !
C’est que… Bon d’accord. J’ai soif »
Nous nous levons, toujours main dans la main, et nous dirigeons vers le café de l’autre côté de la place. Notre trajet passe devant le banc où les trois gars continuent de se marrer. Au moment où on passe devant, l’un d’eux apostrophe ma compagne.
« Alors Dominique ! Tu as trouvé un nouveau pigeon ? Il va être surpris tout à l’heure !
Messieurs, dis-je avec une assurance qui n’est pas celle que je ressens au fond de moi, vos insultes sont dignes de gamineries de cour d’école et vous feriez bien de vous en abstenir.
Toi, le vieux, tu risques de regretter ce qui va t’arriver !
Parce que vous croyez me faire peur ? J’en ai maté des plus forts que vous qui pourtant étaient persuadés de leur supériorité. Qui veut commencer ?
Bon, çà va ! réplique un autre. Après tout c’est ton problème. Mais ne viens pas te plaindre ensuite.
Rassurez-vous ! Ce n’est pas vers vous que je me tournerai si cela arrive. Je suis assez vieux, comme vous dites, pour m’arranger moi-même. »
Sur ce, je poursuis mon chemin, n’ayant pas lâché la main de Dominique, puisque j’ai appris son prénom. Les trois autres marmonnent dans notre dos, mais je n’en ai cure. Nous parvenons au café et nous installons en terrasse, côte à côte face à la place.
Je commande un coca sans réfléchir, alors que je suis plutôt du style bière, ma compagne faisant de même.

« Vous savez, me dit Dominique, ils n’ont pas tout à fait tort. Je… Je préfère vous prévenir tout de suite pour éviter tout malentendu.
Qu’est que c’est ? Vous êtes une… occasionnelle ? Je m’en fiche, on est là pour discuter et que vous vendiez vos charmes ne me dérange pas du tout. Que les gens autour sachent que je vous fréquente ne va pas me faire changer d’avis.
Non ! Pas du tout ! je ne me prostitue pas ! Vous pensiez à çà ?
Vu la réaction des vos… amis
Ce ne sont pas mes amis !
D’accord ! Vu leurs commentaires et qu’ils ont l’air de vous connaître, je ne vois pas…
Je… Je suis… » Elle guide ma main, qu’elle n’a pas lâchée, entre ses cuisses, où je sens la bosse de son sexe.
Tu es un trans ? Je ne retire pas ma main et entre mes propres cuisses mon sexe gonfle.
Non, c’est un peu plus compliqué. Maintenant que vous savez, je comprendrais que vous me quittiez.
Tu n’y penses pas ! Si tu n’es pas un transexuel, j’aimerais bien savoir ce que tu caches sous ta culotte. Franchement je ne suis pas hostile au 3ème sexe, même si je n’ai jamais eu d’expérience avec.
Et vous le regrettez ?
Non… Oui… Je ne sais pas.
Vous avez eu des expériences avec un homme ?
Dis donc tu es indiscrète toi ! On ne se connaît pas beaucoup !
Pardonnez-moi !
Je rigole ! Tu sauras qu’il y a peu de choses qui me choquent et je ne sais pourquoi, avec toi j’ai envie de parler. Alors, oui, j’ai eu des expériences avec des hommes.
Vous êtes un drôle de numéro vous !
Raconte-moi un peu ce qui fait ta … particularité. » Il va s’ensuivre un long monologue de ma compagne, parfois interrompu par une remarque de ma part, ou une commande, car nous grignotons tout en buvant des cocas.
Dominique me raconte sa vie. Nous sommes seuls au monde, serrés l’un contre l’autre ou au moins sans nous lâcher la main. Grand moment de tendresse, d’intimité, de connivence, de complicité entre cette jeune femme et moi.

« C’est ma mère qui m’a raconté le début. Je suis née fille et j’ai été déclarée comme telle à la maternité. Quelques temps après le retour à la maison, des changements ont commencé à se produire. Le clitoris devenait énorme, c’était en fait une verge qui poussait. Effrayée, ma mère n’a rien dit, même pas à mon père. La seule à qui elle en a parlé, est sa sœur et encore…
Je suis une anomalie de la nature ! A la fois femme, sans les ovaires et homme sans les bourses ! J’ai un vagin et une verge. En fait, maintenant mon vagin s’est refermé.
Les premières années se sont passées sans problèmes, ce n’est que quand je suis allée à l’école à partir de six ans et que mes camarades se sont rendues compte que je n’étais pas comme elles que les ennuis ont commencé. L’une d’elles a posé des questions à sa mère, qui en a parlé à l’institutrice, qui en a parlé à ma mère. Il s’en est suivi des examens multiples, j’ai été auscultée par je ne sais combien de spécialistes pendant des années. Je suis un phénomène ! Enfin. Je l'étais car au bout d'un moment j'ai refusé tous ces examens.
Au collège, j’évitais de faire du sport pour ne pas aller à la douche avec les autres. Néanmoins, tous avaient eu vent de ma singularité. J’ai été formée avant les autres, certaines filles ont tenté de me regarder, car en effet, elles pouvaient connaître l’anatomie des garçons sans risque. Personne ne voulait jouer avec moi. J’étais un peu le « monstre », l'handicapée !
Au lycée, je me suis retrouvée en pension dans une chambre avec une fille.
Pour éviter tout problème par la suite, le premier soir, je lui ai montré ma différence. Elle a aussitôt crié, a demandé à changer de chambre. Bref, re scandale et on m’a mis d’abord seule, puis une fille arrivée en cours d’année, bien qu'informée de mon état, a accepté de partager ma chambre.
Cette fille avait des tendances homosexuelles et avait trouvé le moyen de les assouvir sans le paraître au grand jour.
C'est elle qui m'a fait découvrir l'amour avec une fille. Elle en avait tous les avantages, car elle « utilisait » ma verge tout en ne risquant pas d'être enceinte.
Nous avons vécu ensemble toute la fin de notre scolarité à la faculté, jusqu’au master. Nous étions traitées de gouines de dégénérées, mais on a appris à s’en fichait. Surtout elle qui pouvait ainsi faire quelques conquêtes féminines. Quand à moi, j'y avait trouvé un équilibre et je n'étais pas sollicitée par les garçons. Nous avions tous les avantages des filles et des hommes réunis.
Mon amie suivait des études de vétérinaire. J’ai donc moi-même suivi des modules supplémentaires après mon master en architecture. J’ai ainsi acquis des compétences qui m’ont ensuite ouvert des portes pour des chantiers spéciaux, ainsi que comme archi d’intérieur et bâtiments basse consommation.
A l’époque ce n’était pas la mode, mais maintenant, je me retrouve en avance sur mes collègues. Ah oui ! Mon métier c'est architecte !
J'étais heureuse, ou au moins je le croyais. J'ai connu là ma première désillusion !

La dernière année, pour valider mes diplômes, j’ai dû passer quatre mois en Côte d’Ivoire, au milieu de la brousse, coupée de tout. A mon retour, mon amie avait changé. Elle avait rencontré l’amour avec un garçon. En fait, cela s’était fait avant mon départ car elle se retrouvait enceinte de 5 mois.
Tout s’écroulait ! Trahie par mon amie je passais et obtenais mes derniers diplômes, mais de retour chez moi, j’ai sombré dans une longue dépression. Je ne sortais pas, ne travaillais pas, il a fallu un concours de circonstances pour que je sorte de cet état. Je me suis plongée dans le travail et j’ai réussi.
En revanche, côté cœur et sexe, c’est une bérézina ! J'ai commencé à fréquenter les hommes. Pas ici, mais j'allais en ville à Bordeaux ou Toulouse, dans des boites spécialisées où en trouve des travestis et autres transsexuels. Parfois, je sortais avec un homme dragué en boite. Cela ne durait jamais. Les hommes se servaient de moi, surtout en ne se faisant pas voir en public en ma compagnie ! Quand ils sont eu ce qu’ils voulaient et leur petite dose d’adrénaline, ils m’abandonnaient et ne voulaient plus de contact avec moi.
Depuis l’an dernier, j’avais rencontré un homme avec lequel nous avions une relation suivie. On se voyait assez régulièrement chez lui. Il habite à une cinquantaine de kilomètres d’ici. Il m’amenait au restaurant et même si je ne connaissais pas ses amis ou sa famille, je m’étais faite à l’idée que quelque chose de sérieux pourrait exister entre nous.
Ce midi, nous avions passé un week-end prolongé en « amoureux » dans un gîte isolé de la forêt landaise, je lui ai proposé de venir ici et de le présenter à mes parents. Idiote que je suis ! Il a déversé des horreurs sur moi. Qu’il n’était pas question de « s’exhiber » avec moi ! Que je n’étais juste bonne qu’à baiser. Qu’il n’avait pas envie de passer pour un pédé…
Je me suis enfuie de chez lui, j'ai roulé comme dans un brouillard et je ne sais pas pourquoi je n'ai pas eu d'accident, parce que j'avais envie de mourir. Sûrement quelque chose m'a protégée !
Arrivée ici, je ne voulais pas rentrer chez moi. C’est comme çà que j’ai atterri sur ce banc.
Ce qui est la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps ! Je t’ai rencontrée !
Tu es gentil mais…
Mais quoi ? Çà m’est égal ce que les gens peuvent dire en me voyant avec toi, d’ailleurs, depuis tout à l’heure, je peux te dire qu’il y en a un paquet qui sont passés et repassés pour nous regarder. Que je te tienne par la main ou que je t’embrasse a semblé en troubler certains mais peut m’importe. C’est plutôt moi qui suis inquiet, car tu es une très belle et très jeune femme et moi un vieux monsieur qui a déjà peur de te perdre !
C’est vrai ? Mon dieu ! Dès que tu as pris ma main, j’ai senti comme un courant électrique et dès que tu la lâches, je me sens perdue !
Moi aussi ! C’est fou ! Je ne croyais pas cela possible.
Mais… tu sais que je ne suis pas… normale ?
Moi non plus ! Qui est normal et qui ne l’est pas ?
Hum… Hum… » Le garçon de café vient nous interrompre « Excuse-moi Dominique mais… il faut que je ferme. » Nous sommes les derniers sur la terrasse. Le garçon a rentré toutes les tables et il ne reste que la notre.
Pardon Régis ! On ne s’est pas rendu compte de l’heure !
J’ai bien vu, ne t’inquiètes pas, mais là, il faut vraiment…
Bien sûr ! »

Nous aidons le garçon a rentrer le matériel et derrière nous, il ferme et éteint le bar. Nous nous retrouvons dans le square de notre rencontre, nous tenant toujours par la main. Nous faisant face, pour la première fois, on s’embrasse voluptueusement. Ni l’un ni l’autre n’a envie d’arrêter ce moment.
Longtemps, au milieu du square, nous restons ainsi enlacés, seuls au monde.
- « On pourrait rentrer ? Dis-je. Je... J'ai une chambre à l'hôtel, là.
- Ah non ! Pas celui-là !
- Excuse-moi. Je ne voulais pas... avoir l'air de …
- Ce n'est pas çà. C'est à cause de … l'hôtel. J'y ai été une fois avec un homme et le patron m'a traitée de tous les noms. Il m'a humiliée.
- Je comprends. On peut aller ailleurs, si tu veux.
- Oui ! Viens ! Suis-moi ! On va chez moi.»
M’entraînant par la main qu'elle n'a pas lâchée, nous traversons la place.
Dominique s'engage sous un porche et devant une porte, tape un code en passant sa main dans un lecteur.
- « Un contrôle d'accès ? Dis-je
- Oui, un gadget pour ma sécurité. Seuls mes parents et moi pouvons entrer par là. En plus, pas besoin de clé. Tu connais ?
- Oh oui ! Dis-je en riant. Je t'expliquerai. »
A l'intérieur, un escalier droit accède à l'étage et débouche sur une vaste pièce dont les lumières s'allument à notre arrivée. La demoiselle a des moyens. Le grand living est équipé d'un immense home cinéma. Une grande baie donne sur un jardin... Enfin, ces détails, je les découvrirai plus tard, car pour l'instant, nous sommes au milieu de la pièce, enlacés, reprenant les caresses où nous les avions laissées dans le parc.
Nos mains ne se contentent plus de parcourir le corps de l'autre. Nous nous attaquons mutuellement aux habits. Fébriles, les lèvres soudées, c'est à celui qui déshabille l'autre le plus vite. A ce jeu, je gagne facilement car le chemiser et la jupe sont vite envolés, alors que s'attaquer à la ceinture et au pantalon d'un homme, sans parler des chaussures, est un peu plus ardu.
Dominique porte une sorte de gaine, dont elle m'expliquera l'usage, rendu nécessaire afin de plaquer son sexe sous les vêtements. Son soutien gorge ne résiste pas longtemps à mes assauts et je découvre une poitrine magnifique aux tétons érigés.
L'un comme l'autre, nous finissons de nous dévêtir, pressés d'être nus. Nous tenant par les bras tendus nous découvrons nos corps.
Je dois dire que je ne suis pas déçu. Dominique est magnifique. Une silhouette de rêve ! Des seins ronds avec des aréoles roses et des tétons érigés. Sans oublier bien sûr, son sexe bandé qui lui donne une allure si spéciale. Elle semble tendue intérieurement, en attente de ma réaction.
Un grand sourire aux lèvres. Je lui déclare que je la trouve superbe. Collés l'un à l'autre, nos peaux entrent en contact, provoquant chez moi et elle me le dira plus tard, chez elle aussi, un frisson de volupté intense.
J'abandonne ses lèvres pour couvrir son cou, puis ses seins, son ventre, et enfin à genoux à ses pieds, son sexe turgescent, que je couvre de bisous, avant de l'enfourner dans ma bouche avide.
Je me délecte de sa queue ! En levant les yeux je peux voir sa belle poitrine ferme au dessus de moi. Dominique me tient la tête, la sienne renversée en arrière.
Ma bouche n'est pas la seule à s'occuper. Mes mains caressent ses cuisses fuselées, sans oublier ses couilles que je roule délicatement.
Je ne sais combien de temps je m'occupe ainsi. Ma compagne me relève et m'embrasse goulûment. On mélange nos langues et nos salives. Elle retrouve l'odeur de sa bite sur mes lèvres. Parallèlement, nos mains ont trouvé le chemin, l'une de la queue, l'autre des fesses de notre partenaire.
La tension monte, la chaleur aussi. C'est une tendre lutte entre nous. A celui qui donnera les plus de caresses et de tendresse à l'autre. Nous découvrons ainsi nos corps de nos mains fiévreuses.
N'y tenant plus, ma compagne recule sa tête et les yeux embrumés, me jette :
- « Viens ! J'ai envie de toi !
Abandonnant nos habits au milieu de la pièce, elle me tire vers sa chambre.
Là aussi, une vaste pièce et un lit immense.
- « Tu as des capotes ? Demande-je
- Heu... oui. »
Elle fonce dans la salle de bain et revient en riant, tenant une boite de préservatifs. Elle me la tend et grimpe sur le lit se mettant à genoux au bord de celui-ci.
Fébrilement, j'enfile la protection, mais alors à ce qu'elle s'attend à ce que je la prenne ainsi en levrette, je la retourne sur le dos.
- « Je te veux, comme çà. Comme une femme. Je veux voir tes yeux, tes seins ta queue.
- Je... Je n'ai jamais fais comme çà !
- Eh bien, voilà une première. Viens ma chérie ! Lève tes jambes ! »
Je pointe mon gland sur sa rosette. Pendant que je « m'habillais » Dominique avait enduit son anus de gel rapidement. Ma bite tendue, s'enfonce sans effort dans sa cavité brune. En quelques mouvements je suis au fond de son rectum et m'immobilise. Je me penche alors pour embrasser ses lèvres.
Dominique entoure ma tête dans ses bras, remonte ses jambes autour de ma taille sa langue voltige contre la mienne. Je commence alors le mouvement éternel de l'homme dans la femme, à la différence, que contre mon ventre je sens sa queue dressée.
La mienne est idéalement enserrée dans ses lombes. Ma compagne entame un chant d'amour, montant dans les aigus. Nos corps transpirants s'accordent parfaitement. Je me redresse et, debout maintenant, je peux voir le corps de mon amante. Un corps somptueux, avec ce plus qui ajoute à son charme si particulier. Moi qui ai plutôt du mal à jouir d'habitude, je sens monter en moi, les prémices de mon éjaculation. Voulant faire durer ce moment idyllique, je m'arrête un peu, mais ma compagne ne l'entend pas ainsi. Ses jambes m'enserrent fort elle crie « Encore ! Baise-moi fort ! C'est trop bon comme çà ! Vas-y ! Encule ta pute ! Je viens ! Je vais jouir !
Je me déchaîne alors, ne me retenant plus. J'empoigne sa bite raide tout en claquant mon bas ventre contre ses fesses et, n'y tenant plus, je me vide en criant, au fond de la capote. C'est alors que j'assiste à un spectacle incroyable. Un véritable geyser jaillit de la bite de Dominique, arrosant son ventre, sa poitrine, son visage et les draps autour. Dominique est une fontaine ! Mais une fontaine qui jaillit par un organe masculin ! Elle hurle son plaisir, continuant de couler alors que je ralenti peu à peu, accompagnant la fin de ma propre jouissance de mouvements au ralenti.
Je m'effondre enfin sur elle, son jus abondant nous collant l'un à l'autre.
Je lèche sa mouille sur son visage. Le goût et la texture ressemble à celle d'une femme, aussi je me régale à nettoyer et avaler ce jus odorant.
Peu à peu, le calme revient. Nous sombrons peu à peu dans une sorte de sommeil paradoxal qui faire retomber le rythme de nos cœurs. Apaisés.
Dominique sort peu à peu de sa léthargie. Prend mon visage dans ses mains et m'embrasse passionnément. Un grand sourire aux lèvres, elle murmure « Je t'aime » les yeux humides et embrumés.
Ma bite s'est rétractée et est sortie de son antre. Je retire le préservatif, le noue, m'étonnant encore d'avoir joui si vite et si intensément. Je fais un nœud et jette le condom sur le sol revenant vers mon nouvelle amie, toujours étendue sur le lit.
Sa silhouette androgyne, même si le haut est celui d'une femme bien pourvue, m'attire une nouvelle fois. Je plonge sur sa bite au repos et l'avale à nouveau, me délectant de son odeur, de sa mouille et de sa forme qui, après quelques minutes, redevient ferme et rigide. Ma partenaire a les capacités multi-orgasmiques des femmes ! Relevant la tête un moment, je la découvre qui m'observe en souriant.
- « Dis donc, toi ! Il me semble qu'elle te plaît ma queue ! Petit cochon !
- Oh oui elle me plaît ! D'ailleurs, elle me plaît tellement que je la veux en moi. Viens me baiser à ton tour ma chérie.
- M... Mais... Je n'ai jamais...
- Tu n'as jamais baisé ?
- Un homme, non ! Ce qu'ils veulent, c'est mon cul ! Avec l'impression de ne pas avoir baisé un mec et de ne pas être homo ! C'est vrai ? Tu veux que...
- Oui ! Je veux que tu m'encules ! Je veux ta bite dans ma rondelle ! Comment il faut que je te le dises ? Baise-moi ! Prend-moi ! Éclate-moi la rondelle !
Encule-moi !»
- Comment veux-tu que je te prenne ?
- Comme tu veux. Mais je crois que je préfère sur le dos, pour te voir, si belle avec tes seins et tes beaux yeux. Une autre fois, tu me prendras en levrette. »
Dominique me tend le tube de gel et enfile à son tour un préservatif.
Lorsqu'elle est équipée je relève mes jambes, prêt à la recevoir entre mes fesses.
Quel magnifique spectacle, que cette femme à la poitrine arrogante et au corps pulpeux, dont une bite se dresse au bas du ventre. Je me suis déjà fais prendre ainsi par une femme, mais elle avait alors une bite factice. Mais là, c'est autre chose !
- « Je ne te fais pas mal ? Demande Dominique alors qu'elle entame sa poussée contre mes sphincters.
- Pas du tout ! J'ai tellement envie que tu peux y aller à fond ! Je veux te sentir au fond de moi ! »
Je suis si relâché que je ne souffre même pas. Sa queue se fraye un chemin facilement dans mes lombes. Je sens bientôt son bassin buter contre mes fesses. Comme elle tout à l'heure, j'entoure ses hanches de mes jambes.
Dominique se lâche alors. Agrippée à mes cuisses, elle me besogne en cadence. Je sens monter en moi une vague énorme. Une jouissance inconnue ! Je suis en train de prendre un pied d'enfer ! Jamais je n'ai connu cela ! J'ai l'impression que sa bite épouse parfaitement l'intérieur de mon cul.
- « Mon chéri tu jouis ! » S'exclame alors Dominique. Sans que je me touche, un liquide blanc sort de mon méat. Je jouis en continu, alors qu'il n'y a pas longtemps j'éjaculais déjà. C'est énorme !
Mais ce n'est rien encore ! Quand Domi, à son tour se lâche ! Comme tout à l'heure, c'est une cataracte qu'elle expulse ! Pas habituée elle rempli rapidement la capote et sous l'effet de ses mouvements, celle-ci se vide par l'arrière, répandant son jus entre mes fesses et sur les draps, qui n'avaient déjà pas besoin de çà !
Je suis anéanti et m'endors aussitôt. La bite de ma partenaire toujours en moi. Je sens vaguement lorsqu'elle se couche contre moi et sombre dans un profond sommeil, peuplé de rêves érotiques.
Le soleil est éclatant lorsque je me réveille. Je mets quelques secondes avant de me rappeler où je me trouve. Je découvre alors à mes côtés la silhouette de Dominique. Étalée en travers du lit elle repose sur le dos bras écartés, les seins un peu aplatis par la position et surtout la bite raide !
Je ne peux résister, après avoir admiré un moment son corps magnifique, à me pencher sur ce sexe ardent et à le lécher tout d'abord. Du gland à la racine, sans oublier les deux belles boules que je cajole. Aucun poil ne vient troubler son obélisque. Au dessus de la verge une petite touffe est soigneusement taillée comme un ticket de métro.
Occupé à rendre hommage à sa queue, je n'ai pas vu mon amante se réveiller.
Certes, elle bouge un peu, mais c'est lorsque je sens sa bouche sur ma queue que je prends conscience de son réveil.
Je me retourne alors pour l'embrasser. Elle me sourie. Nos corps sont couverts de son jus séché et une odeur de foutre flotte dans la pièce. Les draps sont dans un sale état mais cela ne nous empêche pas de nous y vautrer.
- « J'ai faim ! S'exclame alors ma compagne. Pas toi ?
- Oui ! Même si j'ai encore faim de ton corps.
- Tu es insatiable ! Toi qui dis que tu es vieux ! Tu m'as tuée !
- Toi aussi tu m'as tué. Je n'ai jamais si fortement joui ! Et j'ai encore envie de te prendre, que tu me prennes et aussi de te sucer !
- Tu es gentil ! Si tu savais comme j'ai joui moi aussi. Quand je t'ai …
- Enculé ?
- Oui ! Je n’aimais pas ce mot, mais maintenant j'adore ! Je t'ai enculé mon chéri et tu as jouis avec ma bite dans ton cul ! Mais j'ai aussi joui avec la tienne dans le mien !
- Et quand tu jouis, çà arrose fort !
- Tu sais que c'est la première fois que çà m'arrive ?
- Tu es devenue une femme fontaine ! C'est merveilleux !
- C'est toi qui es merveilleux ! Tu as su provoquer cette jouissance.
Maintenant, mon lit est à tordre, il va falloir changer les draps !
- On a aussi besoin d'une bonne douche ! »
Nous passons dans l'immense salle de bains, après avoir retiré les draps.
L’immense douche à l'italienne nous fait du bien. C'est aussi l'occasion de se caresser encore. Je ne me lasse pas de ce corps voluptueux de femme auquel le sexe masculin rajoute une touche érotique supplémentaire. Dominique, à peine sollicitée, bande à nouveau et je ne peux m'empêcher de me retrouver à genoux pour cajoler cette queue magnifique. Ma partenaire me laisse faire un moment, et une nouvelle fois, me récompense d'une giclée phénoménale qui me couvre de la tête aux pieds, son jus étant heureusement nettoyé par l'eau qui coule sur nous.
Nous nous retrouvons ensuite dans le spa où l'eau bouillonnante nous réconforte. Couché au fond de la baignoire, Dominique entre mes jambes, je ne peux m'empêcher de caresser ses seins et sa bite, vite redressée. Nous somnolons un peu, jusqu'à quelle ne glisse à mon oreille :
- « Mon chéri, je sens que tu es de nouveau raide. Avant de recommencer, je voudrais tout de même manger un peu ! Tu veux bien ? A moins que tu ne préfères t'en aller ?
- M'en aller ? Je n'en ai pas envie du tout ! C'est pour çà que je prolonge ce moment. J'ai envie que çà dure toujours ! Je suis tellement bien avec toi.
Je n'ai jamais ressenti cela !
- J'ai peur – me dit-elle -
- De quoi as tu peur ?
- De la tournure que prend notre histoire ! On se connaît depuis même pas vingt quatre heures et j'ai l'impression que tu comptes déjà beaucoup pour moi. Que va-t-on devenir ? Je sais que tu vas partir et que je vais me retrouver seule. Mais je ne t'oublierai jamais. Tu m'as rendue si heureuse !
Merci encore de tout çà !
- Si j'ai bien compris, tu veux que je m'en aille ? Pas de problème ! Moi non plus je ne t'oublierai jamais !
- Mais non ! Je ne veux pas que tu partes ! Mais je suis égoïste ! Je ne pense qu’à moi ! Tu vas reprendre ta vie, ce que je comprends, mais notre rencontre est si belle que c'est irréel !
- Bon alors, primo, je n'ai pas envie de te quitter. Deuzio, je n'ai jamais été aussi bien avec quelqu'un, que ce soit une femme ou un homme. Moi aussi je suis égoïste et je ne pense pas à ma vie sans toi. Le seul problème est que j'ai le double ou presque de ton âge !
- Je m'en fous de çà ! Je t'aime !
- Tu te rends compte de ce que tu dis ?
- Je n'ai jamais été aussi lucide de ma vie ! Je sais que je t'aime !
- Moi aussi je t'aime et je puis te dire que çà me trouble profondément. Je n'ai jamais dis spontanément je t'aime. Avec toi je sens quelque chose d'énorme ! Quelque chose qui va au delà des préjugés. Je me fous de savoir ce que pourront penser les autres. Je n'ai qu'une envie : rester avec toi ! »
Dominique se tourne dans l'eau. Elle pleure et je pleure aussi après ce double aveu. Couchée sur moi, elle m'embrasse fougueusement. On ne se lâche pas comme si la vie en dépendait. Contre ma queue, je sens la sienne tout aussi dure. Je n'ai pas envie de la baiser, mais de la garder ainsi tout le temps. Les bulles nous enveloppent. Je n'ai plus sommeil, je voudrais que tout s'arrête pour vivre ce moment de communion éternellement.
La faim qui malgré tout nous tenaille, nous fait quitter le spa. On se sèche mutuellement, amoureusement, sans cesser de s'embrasser, de se caresser. Nous devons lutter contre l'envie de faire l'amour à nouveau.
Dominique trouve deux peignoirs blancs dans son armoire. Je lui fais remarquer que je devrais aller me raser à mon hôtel et me laver les dents.
Pour ces dernières, elle a ce qu'il faut en revanche, elle n'a rien pour ma barbe.
- « J'aime que tu piques un peu et puis çà fait distingué.
- Tu trouves ? J'ai l'impression de paraître plus vieux.
- Viens ici mon vieux ! Il n'y a pas un jeune qui te vailles » Elle ouvre mon peignoir et se jette à genoux. « Mois aussi j'aime te sucer ! Pour te punir, tu vas rester comme çà. » Elle se relève en riant « Allons manger ! »
Je vais à la cuisine, mais elle m’entraîne par un escalier tournant qui mène au rez-de-chaussée « La cuisine est en bas ! »

à suivre ...

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