La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1176)

La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1174) -

… et pouvaient changer toute une vie… J’étais heureuse …Quelques jours plus tard, en fin de journée, alors que je m’apprêtais à éteindre l’ordinateur sur lequel j’avais passé la journée à travailler assise sur mon plug vertical fixé à ma chaise, j’entendis le claquement sec des doigts du Maître, et je me dépêchais de le rejoindre en quadrupédie.

- Ma chienne que j’aime, demain tu viendras avec Moi. Un de Mes amis est un excellent traiteur, il est d’ailleurs un des meilleurs cuisiniers-pâtissiers de France et il nous attend pour nous faire déguster différents mets de sa carte pour le repas de notre mariage. Tu mettras ce qui sera préparée pour toi, comme d’habitude ! En attendant, et avant de partir en cuisine, où Marie t’attend, en position prosternée, j’ai dit !

J’obéis prestement, me prosternant en Lui présentant mon cul, me cambrant au maximum, essayant de faire passer dans ma position et mon attitude, toute mon envie de chienne en chaleur, d’être prise bestialement à même le sol. Je L’entendis faire rouler Son fauteuil de bureau jusqu’à moi. Je ne tardais pas à sentir la morsure des lanières d’un martinet. Il s’abattait régulièrement sur les globes charnus et arrondis de mon fessier, régulièrement, juste assez fort pour exciter mon côté maso, à en faire couler la cyprine le long de mes cuisses.

- Ecarte tes fesses, Salope, que ton cul Me soit bien présenté !

Et alors que j’obéissais, Il posa Son instrument, enleva le plug qui ornait mon trou anal en permanence, et le remplaça prestement par Sa belle et grosse queue volumineuse, épaisse et dure, qui n’eut aucun mal à s’enfoncer dans mon fondement largement dilaté par le plug anal. Il s’enfonça jusqu’à la garde, restant quelques secondes en coït profond, bien planté en moi ayant une parfaite maîtrise de la prise de possession de mon cul. Puis Il se mit à me labourer, à me pilonner, de plus en plus fort, au point que je dus enlever mes mains de mes fesses pour les poser au sol pour ne pas m’écrouler sous la puissance sauvage et virile de Ses coups de boutoirs !

- Jouis, ma petite salope, et je veux t’entendre !

Je partais alors dans de longs cris gutturaux et sauvages voire bestiaux, au moment où j’entendais Ses râles à Lui.

Dans ces moments-là, la chienne que j’étais profondément s’exprimait librement et je me mis à couiner, véritablement couiner comme l’animal canin, comme cette femelle en chaleur que j’étais. Après la fin de nos orgasmes, nous nous allongeâmes à même le sol, Lui restant profondément enfoncé en moi en un long et délicieux coït anal. Le mélange de Sa domination, de mon côté masochiste et de notre Amour, me provoquait des orgasmes de plus en plus puissants, de plus en plus nous ne faisions plus qu’un, et au lieu d’affaiblir notre relation D/s, elle s’en trouvait boostée, décuplée par nos sentiments. Sachant très bien l’un et l’autre que nous ne pouvions pas vivre sans être ce que nous étions profondément, Lui un Maître mondialement reconnu, et moi Son esclave dévouée, dont le seul but était de Le satisfaire et Le rendre heureux pleinement, nous savions très bien que nos sentiments ne prendraient jamais le dessus. Après un baiser sur la tempe et une claque sonore sur mon cul, le Maître claqua des doigts et je me remis en position prosternée. Il se réajusta et quitta le bureau sans un mot. Un paradoxe de notre relation qui résumait tout : Je pouvais me sentir princesse entre ces mains, et l’instant d’après une chose tout à fait insignifiante...

J’attendais quelques instants avant de me redresser sur mes quatre pattes et me dépêcher de descendre en cuisine, où Marie, la fidèle et perverse cuisinière du Château nous attendait. Affectée ce soir à la plonge, donc utile à la fin du repas, j’eus droit comme d’autres qui se trouvaient pour une raison ou un autre utilisés seulement après le dîner, à un repas rapide dans l’arrière cuisine, où se trouvaient une grande gamelle commune pour la pâté nutritive que nous avalions, et une gamelle d’eau, pour chacun de nous, alignées contre un mur. Nous avions l’interdiction de nous parler, et de nous toucher. Nous devions nous débrouiller pour manger ainsi, en essayant de partager équitablement la gamelle entre nous. Cela ne posait en général aucun problème, nous nous respections tous les uns les autres, et personne ne cherchait à prendre l’avantage sur un autre.


Parfois, et ce fut le cas pour moi ce soir-là, l’un de nous était désavantagé. Marie, quand l’envie lui venait, prenait un long fouet, et avec une précision chirurgicale, touchait celui ou celle qu’elle voulait voir quitter le groupe. Ce fut donc moi ce soir. Je me reculais et aller la rejoindre à quatre pattes. Avant que je ne puisse me prosterner, attendant un ordre, elle souleva sa jupe, où dessous aucune culotte ne s’y trouvait, écarta ses cuisses. Je m’approchais donc au maximum, et sortais ma langue pour commencer à gouter aux différents sucs et goûts de la belle chatte humide de la cuisinière. Entre les effluves de la cuisine, la transpiration et son excitation permanente due à la Domination qu’elle exerçait sur son domaine et tous ceux qui y pénétraient nus, il y en avait, comme on pourrait le dire, pour tous les goûts. Je m’appliquais à la lécher, la suçoter, la mordiller… Je m’occupais d’abord de son clito, tout en léchant ses lèvres mais sans chercher à les ouvrir et les pénétrer, pendant quelques minutes. Je sentais son plaisir monter mais elle le contrôlait très bien, et faisait durer les choses. Alors ma langue s’insinua dans sa caverne qui dégoulinait, m’abreuvant au passage, la pénétrant aussi loin que possible, caressant ses parois de mon appendice buccal, puis ressortant, allant de nouveau sur son clitoris bien développé. Je la pénétrais de ma langue comme si elle avait été un petit pénis, à la différence près qu’elle s’agitait dans tous les sens pour titiller chaque partie nerveuse qu’elle pouvait rencontrer, essayant d’être partout à la fois.

Le traitement que je lui appliquais fini par avoir son effet, et quand elle le décida, elle lâcha un puissant orgasme qui m’inonda le visage et la bouche. Je lapais la moindre goutte de son plaisir comme une petite chienne aurait lécher la main du Maître à qui elle appartenait. Je terminais au moment où la soumise qui faisait le service et desservait le couvert revenait avec le chariot rempli de vaisselle sale.
Monsieur le Marquis dînait seul aujourd’hui, le repas s’était donc vite terminé. J’étais donc seule ce soir-là à faire la plonge. Après que Marie m’eut repoussée du pied, je me déplaçais donc en quadrupédie jusqu’aux larges éviers posés à même le sol, près desquels le chariot de vaisselle avait été placé. J’avais le droit de me redresser uniquement pour le vider, et c’est à genoux que je lavais la vaisselle. Pendant que je remplissais cette tâche à laquelle tout le Cheptel était habitué, je songeais au lendemain avec délice. Préparer notre mariage me rendait si heureuse, et je savourais chaque moment privilégié que je passais en compagnie du Maître… Je fus ensuite ramenée à Mon Cachot où je m’endormis très vite …

Le lendemain matin, Walter me réveilla du bout de son fouet, rien de bien méchant, juste de quoi faire rougir la peau sans pour autant laisser de marque. Ensuite, sans un mot, il sortit son sexe de son pantalon. Je vins donc me placer à genoux à ses pieds et ouvrit la bouche. Il m’attrapa par les cheveux, m’empêchant de poser mes fesses sur les talons, puis de son autre main il m’immobilisa la tête et me baisa d’une manière impérieuse la bouche, jusqu’à gicler au fond de ma gorge. Je n’avais littéralement et uniquement servi que de vide-couilles. Mais c’était un des rôles premiers de l’esclave, et cela me rendait heureuse. Après être amenée dans les douches des soumises, il me laissa après m’avoir donné des instructions. Je ne devais pas aller dans la salle d’habillement, mais me rendre directement dans le bureau du Maître.

Une fois bien propre, bien toilettée, je me dirigeais donc en quadrupédie pour Le rejoindre. La porte était ouverte, indiquant la volonté du Noble que j’entre immédiatement ce que je fis. Il n’était pas dans la pièce alors je me mis en son centre, et j’attendais prosternée, cul face à la porte, mains bien en avant, tête posée sur le côté. Je restais un long moment ainsi, patientant le bon vouloir du Châtelain. Mais cela ne me dérangeait pas.
J’étais dans la position que je préférais, celle où je me sentais le plus être ce que je suis. Et c’était mon rôle d’esclave de patienter, d’être à Son entière disposition. Ce que je ne savais pas, c’est qu’Il m’avait vu entrer, et s’était approché de la porte silencieusement pour m’observer. Il se laissait aller dans Ses pensées. Lui qui avait toujours dit qu’Il ne mélangerait jamais D/s et vie sentimentale, que les deux étaient incompatibles… Si Ses sentiments Lui avaient fait peur au début, s’Il avait voulu se les cacher à Lui-même, Il ne pouvait nier le soulagement et le bonheur qu’Il avait ressenti à partager ce qu’Il avait au fond de Son cœur depuis si longtemps. Et Il savait que dans ce mariage, Il trouverait tout ce qu’Il avait toujours voulu trouver chez une seule et même esclave.

Sans dire un mot, Il claqua des doigts, m’annonçant ainsi Sa présence et Sa volonté que je vienne à Ses pieds. Avant que je ne puisse me prosterner de nouveau, cette fois-ci face à Lui, Il saisit ma laisse et la maintint de manière à ce que je ne puisse faire autrement que de rester à quatre pattes. Il me caressa le dessus de la tête tendrement. Puis Il donna une impulsion à la laisse pour que je le suive, jusque dans le grand hall d’entrée, puis une fois la grande double-porte massive franchie, dans l’immense parc du Château. Après une petite promenade d’une demi-heure sur les pelouses parfaitement entretenues, Il exigea que je pisse contre un arbre, avant de reprendre le chemin de la noble bâtisse. Une fois à l’intérieur, nous retournâmes dans Son bureau où se trouvait un tailleur bleu clair aux coutures dorées. La veste se fermait par fermeture éclair qui remontait juste au milieu des deux seins, laissant un décolleté plus que suggestif, et la jupe était très courte. Le Maître me conduisit dans le cabinet de toilettes qui attenait à Son bureau pour que je puisse effacer les traces de terre et d’herbes restant de la balade, avant que je ne puisse m’habiller sous Son regard… Un regard de puissance dominatrice si forte qu’il m’envoûtât …

(A suivre …)

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